Encore Une Longueur
Je m'appelle Kevin, j'ai 27 ans. Lorsque j'étais plus jeune (20 ans), j'avais l'habitude d'aller à la piscine tous les samedis matins pour m'entraîner (très sportif, j'aime m'entretenir) et c'est à cette époque que mes instincts de "passif soumis" sont apparus lors d'une de ces matinées que je vais vous raconter. Le samedi matin, il n'y a en général jamais personne à la piscine. C'est pourquoi j'ai décidé d'y venir à ce moment là. Seuls quelques quinquagénaires, sexagénaires, voir plus, qui y vont pour garder la forme ou la retrouver.
Il était 7h30 lorsque j'entrais et faisais cacheter mon abonnement. Je mettais mon maillot et introduisais mon jeton et hop, à la douche
évidemment froide et saut dans la piscine pour une série de longueurs NON STOP comme d'habitude. C'est toujours au début qu'on est optimiste. Il y avait déjà une quinzaine de personnes dans l'eau, occupés à nager ou à faire de l'exercice en suivant le maître nageur. J'occupais le premier rayon, celui qui est toujours vide et qui est souvent considéré comme la "troisième bande" de la piscine. Après une dizaine de minutes, je remarquais qu'une autre personne avait rejoint mon rayon et nageait relativement vite, si bien qu'elle me dépassait une première fois en prenant bien soin de m'effleurer les fesses "sans faire exprès" je supposais encore à ce moment là. A la fin de cette nième longueur, je m'arrêtais pour souffler. La personne qui m'avait dépassé était là, à croire qu'elle savait que j'allais m'arrêter. C'était un homme approchant de la soixantaine à mon avis, les cheveux grisonnants, le torse épilé, musclé, très viril. Des yeux verts presque hypnotisants. Me croyant hétérosexuel à 100%, je ne pouvais pas encore dire à ce moment là que j'étais sous le charme mais j'étais très intimidé par cette personne. Elle dégageait quelque chose de spécial. Elle engagea tout de suite la conversation comme si nous nous connaissions depuis un bout de temps.
- Alors, à bout de souffle ?
Bégayant, essoufflé, je répondais.
- Heuuu
Oui, ça fait pas mal de temps que je nage
Je pense qu'il était temps que je m'arrête pour souffler.
- Tu viens souvent ici ? C'est la première fois que je te vois.
- Oui, je viens tous les samedis. Vous aussi, c'est la première fois que je vous vois.
- Je viens de temps en temps le dimanche pour me détendre.
- Oui, la piscine ça m'aide aussi à me détendre et aussi, surtout, à m'entretenir en fait.
A ce moment, il commençait déjà à me faire des avances.
- Tu n'es pas mal dans ton gabarit pourtant.
Je lâchais presque inconsciemment un "
ho vous non plus
". Je rougis. Il fit mine de prendre cela à la rigolade
Enfin, j'espérais. J'apprenais qu'il s'appelait André et qu'il avait été sauveteur en mer d'où son profil et sa vitesse de nage. Nous continuions à nous entraîner dans le même couloir. Lorsqu'il me dépassait, il n'hésitait jamais à m'effleurer : Un coup c'était sa main touchant mes fesses, l'autre, son "paquet" qui effleurait le bas de mon dos
C'était assez intriguant, des frissons traversaient mon dos à chaque contact. A la fin de ma séance de nage, je décidais de sortir tout de suite et rentrer tout en oubliant pas de saluer mon "nouveau" copain. Nous nous serrâmes la main et échangeâmes un "à bientôt" formel. Je suis alors retourné au vestiaire et suis rentré chez moi. Je constatais au passage qu'il était assez bien "équipé" sous son maillot.
La routine m'obligeait à me masturber 4 à 5 fois par jour avec comme support des sites porno, des images érotiques trouvées ici et là
Mais lors de ces séances de masturbation, je m'étonnais de ressasser de plus en plus ces contacts avec André dans la piscine ce samedi matin
Et je me voyais éjaculer plus rapidement que d'habitude et d'une force ! Ces phases commençaient à m'intriguer de plus et en plus et je ne voulais pas me convaincre que j'avais des "attirances homosexuelles".
Les soirs, je me masturbais sous la couette en essayant de penser à des filles vues sur le net mais à chaque fois, des séquences de baise imaginaires avec André ou d'autres hommes matures commençaient à apparaître : Je les imaginais en train de me prendre en levrette ou j'imaginais les sucer
Ces images me dégoûtaient et me faisaient peur mais d'un autre côté me donner un plaisir jamais égalé jusque là.
Le samedi suivant, je suis retourné à la piscine, mon cur battait très fort. Je me faisais des phases, en pensant qu'André serait là et qu'il saurait que je m'étais masturbé tout la semaine en ne pensant presque qu'à lui. Mais (mal)heureusement, André n'est pas venu cette fois. Ni la semaine d'après. Mais mes fantasmes avaient pris de l'ampleur. Et je commençais vraiment à les apprécier, le dégoût d'une relation avec un homme mature s'estompant peu à peu. Une nuit je suis même sorti d'un rêve où André me baisait
.Je me suis mit tout nu sous la couette et me suis masturbé en ne pensant exclusivement qu'à lui.
Il m'est arrivé plusieurs fois de me masturber l'anus avec des concombres ou des carottes enroulés dans des préservatifs. J'aimais ça mais sans plus et je ne m'étais jamais permis de remettre en cause mon hétérosexualité par cette pratique. Mais là, ces derniers temps, je me donnais ces petits plaisirs plus souvent
En pensant que c'était la queue d'André qui me défonçait.
Après 3 semaines, il est réapparu. Je nageais comme d'habitude dans le premier couloir. Il est arrivé, m'a salué et nous avons à nouveau discuté au bord de la piscine, dans l'eau.
- Alors, ça faisait un bout de temps dis donc.
J'étais intimidé comme à notre première conversation. S'il savait que pas plus tard que hier soir, je m'étais défoncé le cul avec un concombre énorme en pensant à lui.
- Ca te dirait après cette séance d'aller boire un verre à la buvette ?
Cette proposition me déstabilisa complètement. Je répondais d'un "oui" tremblant. Il concluait par un "parfait" sûr de lui.
- Alors je te propose encore une petite série de longueurs et puis on y va
10.000 questions me traversait l'esprit pendant que je nageais :"Pourquoi me proposer d'aller boire un verre ? Il est homo ? qu'est-ce qu'il me veut ? De quoi va-t-on parler ?".
Nous sortons de l'eau, et nous nous dirigeons vers la douche.
Etant allé chercher nos affaires dans nos casiers, André m'indique d'un naturel une cabine "4 personnes" à la base prévue pour les familles. Automatiquement je lui obéis. C'est quand il ferme la cabine que je réalise que nous allons nous changer dans la même cabine étroite et que nous allons nous voir mutuellement nu. Où plutôt, que je vais voir le sexe de l'homme que j'imaginais, sur lequel j'ai fantasmé voici à présent depuis plus d'un mois. Je me sèche et lance des regards furtifs sur l'anatomie d'André. J'ai à certains moments l'impression qu'il fait la même chose. Je viens d'enlever mon maillot. Lui a toujours le sien.
André sort une crème. Il m'explique que c'est une crème relaxante et vitalisante pour la peau.
- Tiens, tu veux essayer ?
Je sors un "oui pourquoi pas" sans trop réfléchir sur les conséquences : Je pensais qu'André allait me tendre la crème et que je m'en mettrais moi-même pour la forme mais non
- Tourne toi. Je vais commencer par le dos. Détends-toi surtout. Tu peux t'appuyer sur le mur.
Le simple contact de ses doigts sur mon dos provoque des ondes le long de ma colonne vertébrale. J'ai l'impression que je vais défaillir.
D'une voix calme, André me fait la remarque :
- C'est dingue comme tu as la chair de poule
Laisse-toi aller. Ecarte un peu les jambes pour bien t'appuyer contre le mur.
J'ai l'impression d'être dans les préliminaires d'un film de cul. André me masse le dos, les épaules avec cette crème. Je frissonne. C'est alors que je réalise qu'il descend dans le bas du dos. Non
il ne va quand même pas
.Mon sexe non plus ne réalise pas la scène, le voilà qu'il double de volume de manière presque instantanée. J'ai honte, je rougis. Je ne peux pas me retourner.
André vient de s'arrêter, j'ai l'impression qu'il a réalisé.
- Dis donc, elle ne produit pas que l'effet escompté cette crème apparemment.
Un silence. Oui, il a bel et bien réalisé, voyant par derrière que ma queue ne répond pas à l'appel. Je ne réponds pas moi non plus, je ne me retourne pas. J'ai honte de moi, mon cur bat la chamade. Je veux sortir, m'enfuir. Je suis face à ma perversion sexuelle.
- C'est la première fois.
- Ne te fous pas de moi. Dés le départ, j'ai tout suite vu que tu étais ce que je supposais être. Il ne faut pas être gêné comme ça. Qu'est-ce qui se passe ?
André enlève son maillot et se colle à moi, toujours face au mur. Il m'entoure de sa main gauche et prend ma queue. Il commence à la branler tout doucement. Je sens son souffle dans mon cou qu'il commence à embrasser, lécher. Quelque chose vient effleurer mes fesses. Je réalise qu'il se masturbe devant mes fesses de son autre main. C'est mon fantasme le plus fou qui se réalise. Je ne pourrais pas tenir longtemps dans cette position. L'ironie de la situation : Sentir la queue d'un homme contre ses fesses avant même de l'avoir vue. Un sexe que l'on a désiré au plus profond de son inconscient. Perdu pour perdu, je décide de me laisser aller.
Je tourne la tête pour rejoindre sa bouche qu'il n'hésite pas à accueillir chaleureusement. Et ma main gauche rejoint sa queue que je décide de branler. Je viens de me transformer en femme. Il me dit des mots tout doucement à l'oreille.
- Ca te plairait d'être ma pute soumise le temps d'un quart d'heure dans cette cabine ? Juste toi et moi. Je te ferais découvrir des tas de trucs. Tu sais, il peut s'en passer des choses en un quart d'heure. Personne n'en saura rien. Tout ce qui se passera ici restera entre nous.
- Oui, je veux devenir ta pute André. Je rêve de ça depuis le début. Je veux ta queue en moi, je veux t'appartenir.
Je me lâche complètement. Lui-même est surpris par mes propos. Moi, qui au départ, jouais le garçon réservé
Toujours face au mur, il relève ma jambe droite qu'il appuie contre le banc amovible.
- Cambre toi, je vais un peu jouer avec toi.
Automatiquement, je lui obéis. J'en profite pour jeter un il sur cette queue tant espérée finalement. Elle est déjà grosse (je saurais par la suite, qu'elle n'était pas encore complètement bandée
). Il bloque sa queue entre mes fesses et me demande de bouger les fesses de haut en bas pour la branler. Il sert mes deux fesses avec ses mains. C'est très agréable. L'effet crème aidant. Pour ma part, je me masturbe comme jamais. Et je jouis presque aussi vite que j'ai touché ma queue. Cette jouissance est arrivée par surprise. André ne s'y attendait vraiment pas. Moi bien par contre. Plusieurs jets viennent s'écraser contre la paroi de la cabine.
- Tu gâches tout Kevin. Tu m'as cassé dans mon élan. Regarde ce que tu as fait.
Je me surprends à m'excuser.
- Mets toi à genoux. Tu vas me lécher ton foutre contre la paroi et par terre. Il faut bien effacer les preuves. Rien ne doit sortir de cette cabine, dit-il en ricanant.
Je lèche ce qu'il y a à lécher. André s'assied sur le banc de la cabine et en profite pour me palper les fesses, "inspecter la marchandises". Il me touche, me caresse, ici et là.
- Ca suffit, c'est bon. Viens t'occuper de moi maintenant.
Toujours à genoux, je me mets entre ses jambes et lui gobe son sexe. Je me surprends à le faire comme si j'avais toujours fait ça, comme si je n'avais fait que ça. J'en profite pour lui malaxer les couilles, ces couilles que je sens bien pleines. J'aime l'odeur de son sexe.
Je me souviens que j'avais des haut-le-cur durant les premières bouchées car je voulais trop avaler d'un seul coup. J'ai souvent entendu dire que sucer une queue c'était comme manger une glace. Croyez-moi, ça n'a rien à voir. Sucer un sexe, c'est au-dessus de tout. C'est un plaisir physique et puis cérébral garanti.
Des filaments de salive s'échappaient quand je ressortais cette énorme sexe de ma bouche. André poussait alors sur ma tête pour que je reprenne "le travail". Il pressait ma tête sur sa queue, il me violait littéralement la bouche. Apparemment il aimait ça. Les yeux fermés en arrière, il avait l'air de profiter du moment. J'aimais lécher ce gland, cette colonne de chair monstrueuse. Quelques maladresses de débutant bien entendu venaient perturber le cours de l'action.
- Utilise pas tes dents, t'es con ou quoi.
Une claque pour me rappeler à l'ordre. J'aimais ça. J'aimais être considérée comme une pute, juste bonne à sucer des queues.
Conscient que nous étions tout de même dans une cabine d'une piscine publique, j'imaginais alors l'obscénité de la situation. Cela ne faisait qu'augmenter mon excitation et mon envie d'aller toujours plus loin.
Je l'ai senti se raidir un moment. Une première giclée est venue frapper le fond de ma bouche. Surpris, j'ai quand même avalé. Les autres sont venues me garnir la figure. Comblé, il me regarda dans les yeux, passer un doigt sur mon visage et le porta à ma bouche pour que je lèche. C'était bon. Du foutre mélangée à ma salive coulait de ma bouche Je m'amusais même à passer la langue sur mes lèvres pour profiter un peu plus de cette semence. J'ai évidemment eu droit au traditionnel : "Nettoie ma queue". Chose que je n'ai pas rebuté à faire. Je me suis alors essuyé le visage avec mon essuie de bain. Je me suis assis sur le banc et ai commencé à me masturber timidement
.j'avais encore envie. J'avais l'impression que la température de la cabine, bien que ventilée par le haut, avait augmenté de 50° ! Je transpirais littéralement. André me voyant ainsi assis, une jambe relevée sur le banc, en train de me toucher, a tout de suite compris mes souhaits.
Sans un mot, il s'est approché de moi et m'a embrassé. Un de ces baisers qui vous bouffent la langue. J'avais toujours le goût de son sexe en bouche et maintenant sa langue venait prendre le relais.
- J'ai l'impression que madame veut aller plus loin ?
- Oui, s'il te plaît. J'en ai vraiment envie. Mais je voudrais que ce soit doux, je ne l'ai jamais fait.
Ricanant, d'un ton arrogant, il me répondit.
- T'es un sacré numéro toi. Tu me chauffes dans la piscine avec tes airs de sainte nitouche, avec ton maillot moulant qui met ton cul plus qu'en valeur. Tu suces comme une vraie pro et tu veux me faire croire que tu ne t'es jamais fait prendre. Je suis vraiment bien tombé. Ca faisait longtemps que je recherchais une jeune salope soumise comme toi. Et je dois dire que je suis totalement satisfait de tes prestations jusqu'à maintenant. Tu sais te servir de ta bouche, à quelques erreurs prés (le coup des dents et des haut-le-cur
). A présent, je vais voir si tu arrives à bien bouger ton cul. Je vais te terminer sur le sol. Et crois-moi, j'ai de l'endurance.
Toutes ces paroles me firent plus peur qu'autre chose en fait. Je voulais me lever, prendre mes affaires et foutre le camp mais j'étais déjà allé trop loin. Force était de constater que lui aussi en avait envie de mon petit cul, sa queue ayant retrouvé toutes ses formes. L'idée d'avoir un tel calibre dans le cul me faisait frissonner de plaisir et de peur.
- Enfile moi cette capote, chérie. Utilise ta bouche.
Je l'ouvris et essayais de lui mettre. Je concluais qu'il fallait de la pratique pour ce style de manuvre, j'échouais à plusieurs reprises.
- Tu le fais exprès ou quoi ?
Une fois la capote en place, il m'a enduit l'anus de sa crème "relaxante et vitalisante"
- T'es prête ? Je te demanderai juste de ne pas trop faire de bruit. On est peut-être dans la partie la plus isolée des vestiaires mais on est jamais à l'abri de cette petite conne de femme de ménage. Ben tiens, je vais te bâillonner comme ça au moins, je serais sûr que je peux y aller à fond.
André m'a plaqué contre le mur, m'a foutu mon maillot dans la bouche et a commencé à essayer de s'introduire dans mon cul. Il n'y arrivait pas. J'étais trop stressé par la tournure des événements bien que je voulais vraiment le sentir en moi. De plus, son sexe était vraiment énorme, jamais je n'aurais cru qu'il y arriverait.
Doucement, lentement, je l'ai senti venir. C'était des ondes puissantes qui me transperçaient, qui traversaient mon corps. Ce membre étranger s'infiltrant à travers mes entrailles. Je commençais à gémir. J'avais oublier que l'on était dans une cabine et malgré le bâillon, je gémissais fortement. C'est alors qu'il m'a planté sa queue brusquement, d'un seul coup au plus profond et a commencé un mouvement de va-et-vient. Ca y est, je me faisais baiser. C'était parti. Qui l'aurait cru. Appuyé contre le mur, le cul bien cambré, je me laissais aller. A plusieurs moments, je sentais mes jambes défaillir mais André me relevait le cul. Il m'interdisait de me masturber, voulant absolument que je jouisse du cul. Je sentais sa queue frapper contre ma prostate. Des décharges électriques puissantes. Je me mis à pisser. Ca ne fit qu'exciter André encore plus car il me pistonnait encore plus fort, encore plus vite. Mes jambes quittaient le sol, j'étais littéralement planté sur sa queue. Je gémissais de plus en plus, les larmes aux yeux. La cabine commençait à grincer. André s'en aperçut et nous mit à terre, moi en levrette. C'était alors moi qui bougeait mon cul sur sa queue. Je me prenais pour une actrice de cul. Les parois de mon rectum chauffaient, j'avais l'impression d'être écartelé, coupé en deux. Ce traitement dura au moins une dizaine de minutes. Tu parles d'une endurance. Il déchargea dans la capote et me la déversa dessus. Il pris soin de répandre son foutre partout sur le cul et le dos. Je n'en pouvais plus, je ne sentais plus rien à la fin, mon cul transformé en un trou béant. J'étais couché par terre, baisée. André se releva et conclu d'un ton autoritaire :
- Tu te rhabillera quand j'aurais fini. Il est hors de question qu'on nous voit sortir ensemble. Tiens retourne-toi, je vais te marquer mon numéro de téléphone sur le cul, enfin si il reste une place, ton cul est vraiment dégueulasse. Dommage que je ne peux pas te le faire nettoyer avec la langue. Tu te débrouilles comme tu veux pour ne pas l'effacer. Tu m'appelles quand t'as envie. T'es un sacré coup, je ne veux pas passer à côté d'un tel trou à bites. Ton numéro c'est quoi ?
-
J'attendis par terre qu'il se rhabille, j'en profitais pour me masturber encore une fois. André me regarda.
- T'en auras jamais assez toi. Putain, si je savais que t'étais une folle du sexe comme ça, je t'aurais limé dés la première fois que je t'avais vu. Avant de sortir, il me mit une claque et m'embrassa.
J'ai contacté André la même semaine et l'ai revu chez lui. Il m'a littéralement déchiré les vêtements et violé dans son living. J'adorais cette violence qui caractérisait nos ébats. Du cul pour du cul. Depuis, nous sommes sortis ensemble. Nous vivions comme un couple. Il me "partageait" parfois avec ses "copains" et m'initia aux boîtes à partouze gays. Mais tout cela fera l'objet d'autres histoires. Promis.
ofeliejardin@hotmail.com
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