Collection Histoire Courte. La Trique De Beau-Papa (1/1)

• Bonjour mademoiselle, vous allez à Lyon.
Je suis bête s’est marqué sur votre carton.
J’habite et je travaille à Lyon, montez, je vous emmène.
Christian.
• Sophie.

71 ans, je porte beau, cheveu seulement grisonnant, juste blanc sur mes tempes.
Je fais du vélo d’appartement pendant dix kilomètres depuis trente ans, le frein tendu presque au maximum.

• Dite, moi, vous êtes un gentleman, on m’a dit que j’étais folle de faire du stop à notre époque.
• Trop tard, Sophie, vous êtes déjà dans la voiture d’un sérial baiseur.
• Vous me faites marcher, vous semblez être une gentille personne.
• C’est ce que ma femme Hortense me dit depuis 49 ans.
Jules, tu es trop gentil avec la clientèle.
Mais assez parlé de moi, qu’allez-vous faire à Lyon !
• J’ai répondu à une annonce sur Internet et j’ai trouvé un emploi de caissière dans un supermarché.
J’ai épuisé mes droits au chômage, c’est pour ça que je fais du stop.
C’était le train avec le risque d’une grosse amende me faisant basculer dans le rouge écarlate ou le risque de me faire violer.
C’est Serge qui m’a dit que j’étais folle lorsqu’il m’a conduit à l’autoroute sur son scooter.
• Vous avez un logement, il est difficile de se loger dans ces grandes villes.
• Oui, ils me fournissent une chambre retenue sur mon salaire.
De toute façon, c’est provisoire, je viens de finir mes études de commerce, j’espère trouver un poste mieux rémunéré.

Comme toutes les jeunes femmes, elle sort son portable et se met à pianoter.
Ces jeunes sont drôles, ils tapent sur leur clavier tout en discutant.

• Vous m’avez dit que vous habitiez et travaillez à Lyon, à votre âge !
• Quel âge me donnez-vous ?
• 65 ou 66 ans, c’est celui de mon père et il semble aussi vieux que vous.
• J’ai 71 ans, toutes mes dents grâce à une opération dentaire m’ayant couté une blinde.


Mais l’argent s’est fait pour être dépensé.
• C’est quoi votre caisse !
• Une Volvo, c’est une voiture suédoise, la voiture la plus sécurisé sur le marché.
• Si je finis violée, ce sera dans une voiture entièrement sécurisée, un comble.
• Qui vivra verra !
Je suis à la retraite, mais je continue à aider mon fils Yves qui a repris notre affaire à Hortense et à moi.
J’étais à Marsannay-la-côte chez un viticulteur lui acheter quelques caisses de rouge pour notre bar à vins.

Nous roulons à la vitesse autorisée grâce à mon limiteur, mais rapidement nous arrivons à Villefranche.
Elle s’est endormie, il m’arrive de tourner mes yeux et son petit short pousse au viol lorsque l’on fait du stop, entre dans sa fente, malgré mon âge, je bande.
Ma femme et moi avons un fils et avons été très actif sexuellement.
Notre bar à vins, à un toit ensoleillé où nous montions pendant des années dès les premiers beaux jours pendant la fermeture.
Nous avions un matelas que je rangeais dans une petite cabane où mon père à qui j’ai succédé dans son affaire à son décès avait des pigeons voyageurs.
Mon père représentait et vendait les vins Nicolas.
Ça végétait alors j’ai eu l’idée et la place de transformer cette enseigne désuète à notre époque en ce bar à vins.
Placé comme nous le sommes, je vendais des vins du Lyonnais, Maçonnais, côte chalonnaise et jusqu’à la côte dijonnaise d’où je viens.
Le toit, j’y vais toujours me faire bronzer le zizi, mais le matelas un peu pourri ; je l’ai remplacé par un gonflable bien plus facile à transporter.
Ça fait deux ans qu’Huguette me refuse tout rapport.
Un mal de genou en a été l’origine.

Le bar est au rez-de-chaussée, au premier mon bureau que j’ai conservé, j’y ai mon ordi sur lequel j’écris à l’insu de ma femme, des histoires érotiques publiées sur un site que j’ai trouvé, « Histoire de sexe ».
Celui de ma femme, c’est Yves qui l’a récupéré, elle reste toujours dans notre maison près de celle de ma mère à trois kilomètres de notre bar.

Quand je suis sur mon matelas à me faire bronzer, je lis des histoires écrites par d’autres auteurs me donnant des idées pour celle que je publie.
Mo
Je suis en train de penser à une histoire où je prendrais une jeune fille un peu délurée en stop quand son portable sonne.
Elle se réveille et le porte à son oreille.

• Mais vous êtes une belle bande d’enfoirées, allez vous faire foutre.
• Que se passe-t-il, une mauvaise nouvelle ?
• Ce fumier de gérant du supermarché vient de me prévenir qu’ils avaient donné mon poste à la fille d’une de leurs vieilles employées.
Je lui pisse à la raie, à cette vieille pute.
• Vous êtes excessive, chacun défend sa vie.
Vous avez aussi perdu le logement.
• Oui, laissez-moi ici, je vais faire du stop et essayer de rentrer à Dijon avec un conducteur aussi prudent et gentil que vous.
• Si je suis gentil, je vais faire mieux ; le temps de m’arrêter et à mon tour téléphoner.

Je me gare à la dernière aire aux portes de Lyon avant Fourvière.

• C’est moi.
Oui, j’ai le vin, tu vas être content, je savais qu’il avait énormément de surplus, j’ai eu six cartons de douze de son premier cru, il me les a faits à moitié prix de ce que tu avais eu la dernière fois.
Je sais, je suis top, mais c’est pour autre chose que je t’appelle.
Comment c’est passé ton entretient avec la postulante ?
À oui, tout ça, elle t’a pris pour Crésus, la place est libre donc.
• J’ai quelqu’un que ça pourrait intéresser.
Je te rappelle et on se voit après.

Je reprends la route.

• Sophie, nous cherchions une serveuse que nous formerions à présenter nos vins à nos clients.
La personne que mon fils a reçue avait des exigences impossibles à satisfaire pour une petite structure comme la nôtre.
• Avant tout, vous l’avez dit Christian, le logement.

C’est fait, ça fait trois mois qu’elle nous donne entière satisfaction.

Son petit cul qu’elle sait mettre en valeur nous attire énormément de clientèle.
Elle fait déguster moyennant une quote-part des clients d’une dizaine d’euros.

• Oui, Sophie, je te prends pour épouse.

Aucune méprise, je suis toujours marié avec Huguette, mais c’est elle qui fièrement a remonté l’église son fils à son bras.
Moi c’est au bras de Sophie que je fais le même chemin.
Elle est sans famille, même Serge le garçon qui l’a conduite vers nous elle semble vouloir l’oublier.
Un jour au téléphone, je l’ai entendu dire vais te faire foutre.
Maman est aux anges, le jeune couple a emménagé chez elle.
Elle a pris le sous-sol que nous prêtions à Sophie et ou mon fils a dû passer un peu de temps et leur laisse son logement plus spacieux, le jeune couple voulant rapidement lui donner un arrière-petit-fils.
Je tiens le bar pendant leur voyage de noces à Venise.
Tout va bien dans le meilleur des mondes.

L’été est là, j’ai repris mes habitudes de me faire bronzer nu sur mon matelas.
Là ou je suis, personne pour me voir.
Je lis une histoire de Chris71, quand j’entends.

• Oh ! pardon, je vous cherchais.
Yves vient d’appeler, il reviendra une journée plus tard, il demande si vous pouvez rester avec moi une journée de plus beau-papa.

Oui, monsieur, puis Christian est devenu beau-papa.
Elle est devant moi, bandante comme jamais, sans trouver anormal que je sois nu, bandant, un Kleenex près de moi afin d’éviter de tacher le matelas.

• Je vois où vous cacher pendant les poses du midi, beau-papa, vous avez bien raison de profiter du soleil.

Sans plus de questions, elle hôte son mini-short, celui qu’elle avait dans la voiture, il y a quelques mois, ouvre son corsage qu’elle dépose m’apparaissant nue.
Nue d’une beauté parfaite quand elle se couche à mon côté.

• Continuez à lire, je sens que je bronze déjà.


Bien sûr, je fais semblant de lire pour faire retomber ma queue, je me vois mal éjaculer à côté de ma belle-fille.
Le lendemain, je suis à mon bureau quand elle entre.
J’écris l’histoire de cette jeune fille faisant du stop.

• Beau-papa on monte, j’ai fermé la boutique.
Deux heures à bronzer.

Deux heures à bronzer, mais un peu mal à l’aise à côté d’elle, car sa nudité me fait commencer à bander.
Elle doit dormir.
Elle est sur le dos, elle se retourne, sa main certainement involontairement vient à peu de ma queue.
La coquine, elle tourne la tête ses yeux bien ouverts et me souris.
Sa main réduit la distance et me prend alors que sa bouche arrive et se met à me sucer le gland.
Un instant, très court de lucidité me fait penser à mon fils, mais ça fait si longtemps que ma seule main me satisfait que je me laisse faire.
Elle me suce divinement, sa bouche est chaude, mais bien moins que sa jolie petite chatte quand elle m’enjambe m’enfonçant très profondément en elle.
Je dois lâcher mon sperme après un temps qui m’a semblé une éternité la faisant hurler de plaisir.
Entre les moments où nous baisons où je deviens « mon amour », beau-papa reprend ses droits en présence de ma mère, ma femme ou mon fils.
Chaque fois que nous sommes seules, ce qui, hélas, est rare, je la saute qui sur mon bureau, sur le matelas bien sûr et même une fois sur le fauteuil de son mari.
C’est dimanche, nous mangeons à la maison en présence de maman.
Mon fils arrive avec un dossier qu’il ouvre au dessert.

• Papa ouvre la bouteille de champagne que j’ai apportée, regardez cette photo d’écographie.
C’est un garçon.

Tous partis, Huguette vient pleurer dans mes bras.

• Christian, je suis plus heureuse des heureuses.
Il y a quelques semaines, notre fils est venu me faire une confidence.
Il venait de consulter avec Sophie, il lui avait annoncé qu’il avait moins d’une chance sur un million d’er par les voix naturelles.
Ses spermatozoïdes étant très peu nombreux.

Un fils, beau-papa est-il père et grand-père en même temps, ça restera un mystère.
Mais quelques semaines après, Sophie ayant repris son travail, Huguette avec ma mère gardant peut-être mon fils, profite de l’absence d’Yves.

• Mon chéri, montons sur la terrasse, il fait beau, après ton fils, offre-moi ma fille.

Comment refuser cela à une jeune femme, une jeune femme amoureuse, surtout quand elle vous sort votre trique tendue au maximum ?

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