Ciné Folie 2/2
CINE FOLIE (Fin alternative)
Le membre envahi ma bouche et exécute un vas et vient. Il a encore le goût du sperme. Il va vite. Il va fort. Puis je le sens gonfler encore, par petits coups et soudain, il se vide de nouveau, remplissant ma bouche dune giclée grasse et chaude. La main qui appuie sur ma tête, ne me donne pas dautre alternative que davaler. La pression sur mon crâne se relâche. Je ramasse mon manteau, me lève, passe précipitamment devant le papi, qui ne manque pas de me remettre la main aux fesses. Je manque de tomber et arrive devant la porte au hublot. Toute tremblante, jenfile mon manteau et jette un dernier regard à la salle pour voir si je ne vais pas être suivie et là
stupeur ! Dans la rangé derrière mes deux compères, sont assis cinq hommes. Ils me dévisagent. Il ne fait aucun doute quils ont matés tout le long. Le rouge remonte à mes joues. Machinalement, avant de pousser la porte, je porte ma main à mes lèvres. Je sens, à une de mes commissures, un peu de sperme qui commence à sécher. Si ça se trouve, jen ai partout. Impossible de sortir ainsi. Lidée de monter aux toilettes ne menchante pas, mais après tout, je suis une grande fille et je saurai me défendre si il le fallait. Je longe, donc, la salle en direction de lescalier, la tête baissée, en espérant quil ny aura pas brusquement une image trop claire, qui anéantirait la discrétion dont jessaie de faire preuve. Cest une fois dans lescalier, que je me rends compte que de toute façon, on est obligé de me voir et de repérer que je suis une femme. Je veux juste vérifier mon apparence dans un miroir et repartir. Cela ne me prendra que quelques secondes. Je pousse la porte. Un couloir part vers la droite. Au bout un homme fume, adossé au mur, face à lentrée des toilettes hommes. Mais avant cela, il y a une porte à deux battant, style western, indiquée comme étant les toilettes femmes. Je pousse les battants. Je suis de suite surprise par la propreté des lieux.
Jen suis très étonnée, mais ravie. Au dessus dun lavabo nickel, il y a un miroir. Je me penche et inspecte mon visage. Tout va bien, il ny a rien. La netteté de lendroit me fait oublier que je suis dans un lieu peu fréquentable, et je décide de profiter de ma présence ici pour assouvir un besoin bien naturel avant de reprendre le métro. Je pousse la porte dune des trois cabines disponibles, et massied après avoir déposé des feuilles de papier sur la lunette. Les coudes sur les genoux, je me perds un peu dans mes pensées. Un frôlement sur mes cheveux près de mon oreille gauche, me fait sursauter et je me redresse dun bond. Je nen crois pas mes yeux. Un sexe sort de la cloison, raide, dur, semblant me défier. Je navais pas remarquée ces deux trous de chaque cotés en entrant. Je ne sais plus quoi faire. Mon instinct me fait regarder dans lautre. Je crois mourir en voyant un oeil me regarder. Paniquée, je me lève et tire la porte pour menfuir. Mais je ny parviens pas. Elle semble bloquée de lextérieur. Loeil est maintenant remplacé par un membre, tout autant dressé que lautre. Jai trop peur. Je tambourine à la porte, suppliant quon me laisse sortir, menaçant même daller tout droit chez les flics. Une voix venue de je ne sais ou, minforme quun mode demplois pour ouvrir la porte est indiqué sur celle-ci. Ce que je lis me consterne. Je naurais jamais crus que lêtre humain pouvait être autant tourmenté. Entouré au feutre, effectivement, il y a un mode demplois, griffonné au stylo, presque effacé.
« Si la porte est bloquée, vous interdisant la sortie, veuillez vous rasseoir.
Astiquez correctement le ou les braquemarts qui vous sont présentés, suivi dun pompage intense et complet.
Seul lexécution parfaite de ces recommandations débloquera la porte.
Un refus, des insultes ou des cris provoquerait la colère de vos bienfaiteurs. »
Je suis scotchée. Je lis et relis ce que je pense être des conneries.
« Arrêtez vos conneries maintenant... Laissez moi sortir ! »
« Tais toi ! On ta vus dans la salle. Tes une bonne salope. Tu peux le faire. »
Mes pauvres jambes ne me tiennent plus, elles tremblent trop. Je repose mes fesses sur les bouts de papier toilette, et ne sachant que faire, je prend ma tête dans les mains et commence à verser quelques larmes en silence. Mais quest ce que je fais ici ? Comment en suis-je arrivée là ? La réponse me parait tellement évidente. Je lai tout simplement cherché. A moi dassumer. Facile à dire, mais je crois que je nai plus le choix. Du bout des doigts je touche une seconde les membres violacés. Ils réagissent de suite en relevants la tête. Jessai de minimiser la situation. Ce ne sont que des bites après tout. Pas très convaincue par ma réflexion, je les empoignent tout de même et avec douceur commence à appliquer le premier paragraphe du mode demplois. Leurs contacts, leurs chaleurs, leurs duretés et leurs douceurs ne me laisse pas longtemps de marbre. Un trouble étrange menvahi. Mes lèvres sont irrémédiablement attirées par ces deux bourgeons prêts à exploser. Je mapproche du premier et lenveloppe de ma bouche. Derrière la cloison, un râle de satisfaction se fait entendre. Après plusieurs minutes, sentant le dénouement trop proche, je le délaisse, comme pour faire durer le plaisir, et engloutie lautre qui navait pas quitté ma main. Elles sont bouillantes, gonflées, congestionnées. Laboutissement de mes efforts est proche, je le sens. Jai juste le temps de tourner la tête et de positionner ma bouche, que déjà un flot de foutre éclabousse mon palais, retombe sur ma langue et coule doucement dans ma gorge. A cet instant précis, il maurait fallu deux bouches, car la deuxième se libère également et projette un jet puissant dans mes cheveux et mon cou. Surprise et ennuyée, je me retourne et comme pour me punir de lavoir abandonnée, la première me balance le reste de ces réserves en plein visage.
« Tu vas pas sortir comme ça, hein ? Faut la nettoyer aussi. » Une grosse tache blanche macule le bas de ma jupe. Je remouille du papier et frotte. « Mais non, pas comme ça, regarde.» Il soulève ma jupe et la pose sur le bord du lavabo. « Voilà, maintenant tu peux frotter » je me dis que le mieux est sûrement dobéir pour ne pas les énerver davantage. Ma jupe relevée, mon minou à lair, je frotte. Dans la glace, je vois le jeune se placer derrière moi. Il me colle. Puis appose ses deux mains sous ma jupe, sur mon ventre, juste entre mon nombril et mon sexe. Il me plaque à lui. Sa queue glisse entre mes cuisses. Jai un sursaut, car je ne lavais pas vus la sortir. Je lâche ma jupe, me redresse, magrippe au lavabo et lui lance un regard furieux dans le miroir. Je ne limpressionne pas. Il laisse une main sur mon ventre, applique lautre entre mes épaules et pousse fort. La pression est forte, je ne peux pas résister et me penche en avant. Avec son pied il écarte mes jambes, prend ma jupe et la coince dans lélastique de la ceinture. Il me caresse les fesses avec frénésie. Je lentend racler sa gorge et un cracha méclabousse lanus. Voyant que je napprécie pas, il me donne une claque sur une fesse et me dit « bouge pas, salope ». Son pouce étale la salive et pénètre mon cul jusqu'à la phalange. Je nai pas le temps de réagir plus, que déjà son pouce est ressorti et son gland force laccès. Il le pousse et il disparaît dans mon fondement. La douleur est forte, aigue. Je mords mes lèvres. Je ne veux pas crier, ça lui ferrait trop plaisir. Mais il accélère la cadence me croyant disposée à le recevoir. Je respire profondément et tente de me calmer. Jy parviens et la douleur diminue. Il att mes seins et sy accroche pour senfoncer encore plus loin. Ses couilles frappe mon vagin. Je dois bien reconnaître que outre, la violence, lhumiliation et la honte que je subis, cest le plaisir qui me gagne peu à peu. Toujours accrochée à mon lavabo, je lève la tête pour jeter un regard dans le miroir. Je vois mon assaillant. Il est rouge, il transpire, et se mors les lèvres. Sa chevauché ce calme et ralentie pour sarrêter complètement. Planté entièrement dans mes entrailles, il me prend maintenant par les épaules et me tourne doucement. Cest lui désormais qui est appuyé contre le lavabo. Toujours en moi, ces mains viennent enserrer ma taille. Je nai pas dautre alternative que de poser les miennes sur mes genoux. Face à mon visage, le sexe du vieux aimerait sinviter dans ma bouche, mais je tourne la tête. Alors poussant sur mes épaules il me force à me redresser. Face à lui, debout, empalée, impuissante, je ne suis pas très fière .Il prend mon visage dans sa main et glisse un pouce provocateur sur mes lèvres. Puis il se baisse, passe ces bras derrière mes genoux et relève le tout. Les jambes en lair, je suis assise sur le pieu du jeune homme, les jambes ouvertes, ma vulve offerte. Maintenue par la taille et les jambes, seules mes mains essaient de repousser la masse qui sécrase contre moi. Son gland glisse à plusieurs reprises sur ma chatte, venant frapper mon clito. Lorifice rétréci par la pénétration anale, ne lui simplifie pas les choses. Dans un dernier réflexe, mon regard limplore de renoncer et je lui fais non de la tête. Il me regarde, me fais un grand sourire et me dit « si ! » Il pousse un grand coup et frottant à travers ma paroi le sexe de lautre homme, viens cogné mon utérus avec rage .Une onde de choc me parcoure et je pense défaillir lorsque les deux pistons se mettent en marche. Quand lun rentre, lautre sort, ainsi de suite. Il me semble avoir été ouverte en deux. Mais aussi incroyable que cela puisse paraître, une émotion intense sempare de moi. Mes nerfs lâchent, des sanglots plein de béatitude sortent doucement de ma bouche, des larmes de satisfaction coulent sur mes joues rougies et je jouie comme jamais. Mon corps est porté par un bonheur intense. Il me semble flotter. Deux explosions presque synchronisées, inondent mes entrailles de liqueurs bouillantes. Une chaleur intense envahie mon corps tout entier. Les râles de plaisirs se calment et sestompent. Les corps ralentissent et sarrêtent. Nous respirons très fort et avons beaucoup de mal à calmer nos pulsations cardiaques. Je métonne de constater que mes bras sont autour du cou du vieux et ma tête sur son épaule. Mes jambes qui enserrent sa taille se relâchent. Ces bras les laissent reprendre contact avec le sol. Les mains relâchent mes hanches, mes seins. Le vieux se dégage le premier et je devine un flot de sperme coulant sur mes cuisses, mes bas. Puis, le jeune, se retire avec tant de douceur que joublie la violence dont il a fait preuve. Me disant quils ont bien raison et que je suis certainement la reine des salope, je me retourne et embrasse avec fougue mon tortionnaire. Mais sa gentillesse sarrête là. Il jette un rouleau de papier dans le lavabo et sort en riant avec le vieux. Je me retrouve une fois de plus seule, au milieu des ces chiottes, dans un état lamentable. Le miroir semble se moquer de moi en me montrant mon maquillage qui dégouline sur mes joues, mes cheveux collés par la chaleur et ma jupe coincée dans lélastique laissant apparaître une fente dégoulinante. Une nouvelle bouffée de honte sempare de moi. Puis, fatiguée, je recherche de nouveau à retrouver une apparence plus digne. Trois rouleaux de papier plus tard, cest presque fait. A par les taches humides sur mon pull et ma jupe, toutes les traces dagressions on disparus. Je vais enfin pouvoir rentrer chez moi, et cest avec un sourire à peine dissimulé que je sors dans le couloir. Je tourne à droite pour rejoindre la porte donnant accès à la salle et je percute un homme qui fume. Je mexcuse et le contourne pour passer mais il tend sa jambe et pose son pied sur le mur den face pour faire barrage. Proche de la crise de nerf, jessaie de passer en dessous, mais il baisse la jambe. « Vous nallez pas partir sans finir la visite, quand même ! » sa main me saisie le bras et il me tire vers le fond du couloir. Je proteste, me débat, mais je nai plus de force. Il me jette littéralement dans les toilettes pour hommes et je tombe au sol. Lendroit est beaucoup plus sale ici .Une forte odeur de vielles urines agressent mon odorat. Six urinoirs sont alignés contre le mur et deux marches conduisent à un chiotte à la turc, ouvert à tout vent, sa porte étant défoncée. Un homme pisse, tourne la tête et me regarde à terre. Quatre hommes regardent un homo faire une pipe à un autre. Ma présence ne semble pas les troubler ni les gêner. Ils continuent sans détourner les yeux. Celui qui se fait sucer est un beau male, brun, baraqué, de type méditerranéen. Lautre, quarante ans, laid, cheveux grisonnant, ne semblant pas très clean. Il pousse des « hum !hum ! »À chaque fois quil avale la queue. Il a un regard de fou vicieux. Une fois létat des lieux effectué (cela ne ma pris quune petite seconde) je me relève, furieuse. « Ça vas pas la tête, espèce de tarer ! » le type qui suce se retourne et me lance un « ta gueule connasse ! » que je ne suis pas prête doublier. « Connasse toi-même espèce de p
.. ! » le mec se lève et me montre le revers de sa main. « Vas y, dis le sale pute, dis le ! » il a les yeux exorbités. Il fait mine de me frapper et se remet à genoux devant son pote. De grosses larmes réapparaissent sur mes joues, je nen peux plus, cest un vrai cauchemar. Jessai de forcer le passage entre deux types, mais rien à faire. Cest alors quils savancent tous, en ligne, vers moi. Comme un animal traqué, je me blottie à langle du mur. Je suis maintenant acculée, sans espoir déchappatoire. Une voix sélève. « Fou toi à poil ! ».Ça, il nen ai pas question et je ne bouge pas. « FOU TOI A POIL ! ». Cette fois, jai vus qui a hurlé ça. Cest un lascar de deux mètres, appuyé au mur à ma droite. Il tient dans la main un organe de longueur impressionnante, mou, quil secoue dans tout les sens. Jai trop peur. Mes gestes sont saccadés et ne sont plus coordonnés. Quatre mains viennent retirer mon manteau. Je suis vaincue, terrassée et je laisse faire. « Continue seule ! ». Me servant du mur comme appuie, je retire mes bottes, me semblant être les éléments les moins importants. Ainsi, il me semble retarder léchéance finale. « Continue ! ». Je me penche et aperçois mes bas filés. Intérieurement, jen rigolerai presque, car jai limpression que je les arnaque. Je roule le premier et le dépose à terre. Puis le second, lentement, très lentement, espérant sans cesse quun événement me sortira de là. Mais rien. Je pose le second sur le carrelage et reste prostrée à terre, recroquevillée sur moi-même. Lexcitation du coté des hommes est grandissante. Ils sortent à tour de rôle leurs membres gonflés. Je ne bouge plus. Mais la haut, la voix recommence à hurler. « CONTINUE ! ».Je me relève doucement, en me frottant aux murs. Si ils pouvaient mabsorber, comme ça, dun coup. De nouveau debout, je porte mes mains à ma bouche, tremblante. « CONT
. » « Oui, oui, ne criez pas, ne criez pas, sil vous plais ne criez pas » ma voix sanglotante accompagne le premier geste fatidique. Je croise les bras, att mon pull de chaque coté de mes hanches et le soulève lentement. Je sens mes seins monter et ensuite retomber au passage de la laine. Nerveuse, jai du mal à me dépêtrer des manches. Une fois fait, lhumiliation ne pouvant pas être plus grande, je reste les bras ballant le long du corps. Pas plus grande ? Cest ce que je crois. « Vire ta jupe, salope ! ». Je lève mes yeux et je dévisage chaque types, un par un, comme pour les affronter une dernière fois. Leurs regards sont vides de toutes émotion, mais remplis denvie, de vice et de sexe. Ils sastiquent tous, poussent des râles de bêtes. Je fais lentement glisser ma fermeture éclair, je mécarte du mur pour libérer ma jupe qui tombe à mes pieds. Sans les quitter des yeux, je la pousse avec mes pieds. Je suis désormais offerte et vulnérable. Ladrénaline me réveille un peu, et une douce chaleur que je connais bien sinstalle dans mes tripes. Non ! Pas ça ! Je suis excitée. Jen ai une terrible honte et je me sens rougir. Ils ne me touchent pas, ils ne font que se branler en me regardant. Jessaie davoir une allure digne et attend avec angoisse les premiers jets. Mais rien. Lhomme qui hurle depuis tout à lheure, sécarte et mindiquant les marches, mordonne de my asseoir. Lui, me fais vraiment peur et je mexécute sans broncher. Ils se regroupent face à moi. « Mes tes mains dans ton dos et écarte les jambes ». Ca ne finira donc jamais. En écartant les jambes, je perçois mes grandes lèvres se décoller et je les devinent humide. Sils sen aperçoivent, je serrais bonne pour une honte supplémentaire. Un jeune sapproche et ce place face à moi à moins dun mètre. Je ferme les yeux et attend dêtre une fois de plus aspergée. Il y a bien un jet, mais pas de foutre. Le salopard me pisse dessus. Il vise mes seins. Le liquide chaud arrivant avec force, sécrase sur mes tétons comme milles petites aiguilles qui le piquent de partout. Chose inattendue, mes tétons réagissent et gonflent à vue doeuil. Les éclaboussures mobligent à lever la tête. Le fluide qui me coule sur le ventre, passe sur mon sexe et sétale sous moi. Je suis maintenant assise dans une marre durine qui refroidissant dégage une odeur dégoûtante. Un autre jet viens fouetter mon minou et les milles aiguilles sattaquent à mon clito. Celui ci déjà très existé par toute cette journée, ce violace et menvois des spasmes de plaisir dans le ventre. Cette sensation nouvelle, minterpelle et me réveille au plaisir. Et lorsque de multiples jets atteignent mon corps tout entier, cest un orgasme violent qui me surprend. Un jet monte plus haut, atteint mon cou, mon menton. « Ouvre la bouche ! ». Mordonne la voix roque. Un peu dégoûtée, jouvre et bloque comme je peux ma trachée, afin de ne pas avaler. Le liquide doré remplis ma bouche et tel une fontaine en ressort par cascades sur mes seins. Un autre jet me remplie et je manque cette fois de m et moblige à avaler une gorgée. Lamertume du liquide me donne envie de vomir, mais je parviens à me contrôler. La chaleur de lurine fait maintenant place à la chaleur du foutre. Moi qui pensais en avoir finie, je reçois de grande quantité de semence sur tout le corps, mais également sur le visage et dans la bouche. Le goût du sperme me fait passer celui de lurine et cest bien volontiers que javale. Je suis de nouveau dégoulinante et odorante. Le temps de reprendre mes esprits et les toilettes se sont vidées de la populace. Seul le vieil homo vicieux se masturbe face à un urinoir. La toilette au papier hygiénique, na plus de secret pour moi. Dans un coin par terre mes affaires traînent. Je me rhabille. On a volé mes bas. Jai envie de faire pipi. Je coure dans le couloir descend les escaliers. Sans jeter un coup doeil à la salle, je rejoint à toute vitesse la porte au hublot, grimpe les escaliers et prend enfin une grande bouffée doxygène. « Ca vas mademoiselle ? »La caissière ayant vus ma précipitation pour sortir, a lâchée son « VOICI »et sinquiète pour moi. Je me retourne, la regarde et lui sourie gentiment « Oui, madame, merci. Ca va
Ca va... »
Certes, la séance fut très hard, mais je nen veux à personne. Qui sème le vent, récolte la tempête et je ne regrette rien et si cétait à refaire
Mais ça, cest une autre histoire.
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