Marie - Agathe Mes 'Réguliers'

Agathe – Mes «  réguliers »


Marie, se plonge une nouvelle fois dans le journal de son arrière-grand-mère Agathe « pensionnaire » de la célèbre maison close, le Chabanais.


Mes « clients réguliers » ...et leurs petites habitudes !

Après les mardis de monsieur Charles, le docteur, il y a les mercredis de monsieur Louis le pharmacien, l’ami du docteur. Monsieur Louis, le vieux célibataire un peu bedonnant comme le docteur. Sur le nez une paire de petites lunettes rondes qui le font ressembler a un hibou !

Monsieur Louis est aussi un habitué. Tous les mercredis, après la fermeture de son officine, toujours en tablier,il vient au Chabanais. Chaque semaine, c’est le même rituel que je connais par cœur.
Je l’attends, nue dans la chambre, quand il rentre, je m’approche de lui, je caresse son sexe a travers le pantalon, en jouant la malade à la pharmacie.

- Monsieur le pharmacien, je crois que j’ai de la fièvre !
- Nous allons voir ça mademoiselle, j’ai mon « thermomètre » !

Je déboutonne son pantalon, d’une main j’empoigne son sexe et je le branle. C’est là qu il me demande de m’agenouiller et d’ouvrir la bouche. Il me prend par les cheveux, sa bite se glisse entre mes lèvres. A chaque mouvement, il s’enfonce plus loin, en donnant la température ! 36…...37….38….39...40..41 !!!et il explose dans ma bouche !

Bien sur mais maintenant, il veut me donner un médicament, un suppositoire ! Alors, debout, je me penche au dessus du lit, et il enfonce son « suppositoire » dans mon petit trou tout en lançant

- Oh oui, c’est bon, avec ce suppositoire, vous allez guérir !

Quand il a fini sa « petite affaire »il se réajuste pendant que je me rhabille, et nous finissons la soirée au salon en buvant (beaucoup) de champagne ! C’est bon pour le commerce, comme le dit madame Louise !!

Le vendredi, c’est autre chose !! c’est le jour du colonel ! Norbert De.

..quelque chose, un homme de la haute! Officier dans la garde républicaine.
C’est vrai qu’il est beau « Nono » (c’est le petit nom que nous lui donnons, entre filles !) dans son bel uniforme, avec ses épaulettes et ses boutons dorés !

La première fois qu’il est venu, il a beaucoup hésité entre Gisèle et moi, mais j’ai été la plus « convaincante »
Nono adore l’uniforme et il adore que j’en porte un avec... rien en dessous !!Alors , avec les filles, nous en avons cousu un et quand il vient , je le reçois au garde a vous et il fait l’inspection !

A chaque fois, pour lui, ma tenue n’est pas impeccable, alors je dois l’enlever, la veste d’abord. Avec sa cravache, il me caresse les seins en se caressant, interdiction de bouger!Puis je dois baisser le pantalon tombe et là il me frappe la chatte, les seins, les fesses, je dois rester impassible, toujours au garde a vous !

Certains jours, il est plus violent et n’hésite pas a enfoncer le manche de sa cravache dans mon sexe ou dans mon cul !
Quand Nono est bien excité, il me bascule sur le lit et je deviens sa « monture »tout en me baisant comme un Hussard, il me frappe a nouveau et crie, hue!hue!hue !

Quand il me laisse, je suis toute endolorie, il me faut deux jours pour m’en remettre! C’est ça la vie d’une fille de joie, satisfaire ses clients quoi qu’il en coûte !!

Mais pour oublier tout ça, il y a Jacques, mon Jacques. Il n’est pas de la haute, c’est le barman du Chabanais. C’est qu’il est beau mon Jacques avec sa chemise blanche et son nœud papillon. Il est aussi notre garde du corps et justement , un jour , il ma sortie des mains d’un client un peu violent.
Il m’a réconforté gentiment, nous avons sympathisé et avec le temps, nous sommes devenus amants.
Ce que j’aime chez lui , c’est sa douceur, sa tendresse et son sourire. La première fois qu’il m’a rejoins, discrètement , c’est interdit !, Jacques ne m’a pas pris pour une fille que l’on baise rapidement, non, il a pris son temps.
Ses caresses sur ma peau ont réveillé la femme qui était en moi, la femme qui a du désir, qui gémit de plaisir quand un homme gentil et doux lui fait l’amour, tout simplement !
Depuis ce jour, nos liens sont encore plus forts. Jacques voudrait que nous partions dans sa région, mais il doit me « racheter » a madame Louise !


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