Coît Avec La Collegue Du Labo

C’était passé l’an dernier pendant que je parachevais mon mémoire de fin de cycle universitaire. Au laboratoire nous étions 2 garçons en binôme et 5 filles, 2 binômes et Malika en monôme. C’est une fille super jolie, blonde, les yeux verts, petite poitrine mais très désirable, ses longues jambes très fines se cachaient sous son jean très serré, elle ne portait presque jamais de jupes et quand c’étais le cas il s’agissait d’une longue jupe lui arrivant au talents, elle était un peu timide mais dans son regard se cachait une petite lueur de vice. Au début nous avions plutôt une relation professionnelle mais au fil du temps nous avons commencé à sympathiser et à devenir plus complices. Ce qui m’a fait encore plus flashé sur elle c’est qu’elle compatissait avec moi quand mon équipe de foot préférée perdait (moi étant un grand supporteur de foot, j’ai ça et le sexe dans le sang et j’étais déçu quand mon équipe perdait) et me prenait dans ses bras, et elle jubilait avec moi en cas de victoire. Bref, un jour il ne restait que moi, mon binôme et elle, les autres filles étaient déjà parties, ce jour là j’étais fatigué après avoir disputé un match la veille, on était entrain de nettoyer le labo quand je lançais :

- je suis extrêmement fatigué et j’ai des courbatures partout, si seulement j’étais pro il y’aurais des kinés qui me masseraient. C’est là qu’elle dit :

- Tu veux bien que je te masse ? tu sais, je sais y faire.

- Ben oui si tu veux. Je disait ça tout en commençant à bander.

Je m’assis sur une chaise et elle a commencée à me masser les épaules par-dessus la blouse puis descendit plus bas quand je lui demandait. Ses mains étaient si douces et elle travaillait ses doigts d’une manière très sensuelle, et sans avoir rien demandé elle jetait ses petits doigts sur ma nuque me procurant ainsi des frissons qui descendaient le long de mon corps, laissant mon pénis prendre des proportions impressionnantes se retrouvant étranglé sous mon calçif.

J’en pouvais plus je voulais me jeter sur elle, la croquer et lui rendre la pareille et la faire jouir, mais mon binôme était toujours là et il ricanait en me lançant un clin d’œil. N’en pouvant plus et gêné un peu par mon binôme je lui demandait de s’arrêter et je l’ai remerciée.

Le jour suivant mon binôme était parti tôt car il avait des courses à faire et nous nous retrouvâmes tous seuls moi et la sulfureuse Malika qui est une vraie petite coquine, elle aimait beaucoup le sexe mais je ne tardais pas à savoir tout ça.

Étant seuls je fermais les stores et la porte quand elle m’interloqua :

-Pourquoi fermes-tu ?

-Tu veux bien me masser encore s’il te plait ça m’a fait beaucoup de bien hier et je ferme pour ne pas être dérangé.

-Allons-y alors.

- Tu veux bien que je reste torse nu ton massage sera plus efficace comme ça.

Elle acquiesça avec sa tête. Je commençait à enlever ma blouse puis mon tee-shirt quand ses mains vinrent pour m’aider à retirer le tee-shirt. Elle commença son massage qui était très naturel au début puis il s’est transformé en caresses très sensuelles et elle s‘attaquait à ma nuque et je sentis son souffle effleurait la peau sur mes oreilles et mon cou, puis sans gène elle glissait ses mains le long de mon torse et arrivait jusqu’à mes tétons avec lesquelles elle jouait avec ses doigts, vous imaginez pas les frissons que j’ai eu et tout ces petits grains qui se dessinaient sur mon corps sous l’effet de l’excitation, m’apportant des sensations extraordinaires, j’étais aux anges quand elle prononça :

-Tu sais, c’est ce que j’aime le plus chez un homme (les tétons) après son sexe, j’aime les caresser, les sucer, les croquer ….je les aime !

- Vas-y alors je suis ton homme.

- C’est vrai je peux !

Et elle s’élança sur ma poitrine avec sa bouche et avale un de mes tétons et commença à enrouler sa langue autour, puis à l’absorber, le sucer , le croquer, le lécher puis elle passa à l’autre et fait de même et moi j’étais dans les nuages excité par ce que je venais de subir, ma verge se tendant de plus en plus, j’en pouvais plus je la retournais vers moi, mes lèvres trouvèrent les siennes et nos langues s’entrelacèrent et nous restâmes comme ça un bon moment, me retirant de sa bouche je lui dit :

- Tu sais t’es magnifique et j’ai envie de toi là tout de suite.


- Moi aussi mais je suis encore vierge, et les traditions, le mariage…

- N’es pas peur on peux se donner du plaisir sans que tu sois diverger, laisses moi faire.

- Et puis le gardien du bloc risque de venir.

- Il est encore 17 :00 h et il nous reste encore une bonne heure avant son arrivée.

C’est là que je la plaquait contre le bord de la paillasse de travail, je lui embrassait le cou et mes mains s’immiscèrent et touchaient son sexe à travers son jean bien serré, je les fait pénétrer le pantalon puis sous sa culotte touchant ainsi sa forte toison riche en poils, on dirait l’Amazonie tellement c’est dense mais c’est pas pour me déplaire, je crois même qu’elle ne sait jamais rasée par là.

Le souffle coupé par mes caresses et sentant mes mains se rapprocher de son clitoris elle formula :

- Non, pas par là s’il te plait.

- Y’a pas de problème t‘en fais pas, laisses toi faire lui dis-je.

Je décidais donc de lui enlever son pantalon, puis avec ma langue je lui descendis sa petite culotte rose, je la fis asseoir sur une chaise, lui écartais les jambes et commençais à faire tourner mon index autour de son clitoris après l’avoir lubrifié dans ma bouche. Elle tremblait tellement elle était excitée, puis je mis ma bouche contre son sexe et ma langue alla remplacer mon index pour s’occuper de son petit bouton qui commençait à bander, ma langue s’appliquait à le travailler, je suçais, léchais, croquais son petit bouton d’amour qui coulait de désir, ma langue s’égara aussi sur sa touffe bien longtemps avant d’aller rejoindre ses lèvres qui étaient tellement délicieuses.

Elle était entrain de gémir très fort comme une folle, caressait ses seins par-dessus la blouse et s’écria :

- Ah oui, c’est merveilleux, lèches moi, embrasse moi je suis à toi, je suis ta femme, oh, oh, mes seins, mes seins s’il te plait.


Sans attendre je me lançais à la conquête de sa poitrine, je lui enlevais sa blouse puis son décolleté si beau qu’elle a entrepris de porté ce jour là, et tout en délicatesse avec ma bouche je dégrafais son soutient gorge que je laissais tombé, je me mis derrière elle et je commençais à malaxer ses seins, elle semblait très ravie, puis elle dis :

- Suces moi le mamelon, vite, vite, j’en peux plus.

Je m’exécutais mais après avoir fait subir à son mamelon le même traitement qu’avec son bouton d’amour en appliquant mon index trempé de ma salive. Comme elle m’avait fait auparavant je lui léchais, suçais et mordillais son mamelon, de plus je lui gobais un sein tout entier dans ma bouche du fait qu’elle a de petits seins mais qui étaient exquis. Je descendis jusqu’à son nombril et commençais à le lécher.

Par la suite elle me plaqua par terre sur le sol et commença à me caresser la poitrine à son tour jouant avec mes tétons et léchant tout le haut de mon corps avec sa langue puis elle dit :

- Jamais j’ai pu toucher un homme de la sorte c’est ma première fois, merci, merci de ce moment et en plus on m’a jamais lécher la chatte ni les seins c’est divin !!!

- Et on t’a niqué ?

- Non.

- Alors ça ne va pas tarder à se faire.

- hein, quoi, quoi !

Je lui ferme la bouche avec ma main, la plaque au sol et lui écarte les jambes, puis ma langue s’attaquait à son petit anneau rose luisant et je la tournait au fond de ce trou serré, je crachait entre chaque coup de langue pour le lui lubrifier encore d’avantage avant de faire pénétrer mon majeur tout doucement.

- Ah, j’ai mal me dit-elle, ah, ah, ah.

Par suite à ma continuelle lubrification ce mal se transforma en plaisir et elle prononça :

- Ah oui enfonce-le bien au fond, enfonces-moi vas-y je t’en pris c’est si excitant, hein, hein, ah, oh, oui, hii.
C’est tellement bon ah mon salaud que tu sais t’y prendre.



Après quelques coups de doigts son anus était bien écarté, j’allais trouver un préservatif dans mon pantalon que je posais devant moi puis j’entrepris d’enlever mon froc quand elle élança :

- Non, laisse moi faire.

Et elle me retira le pantalon et là en voyant mon dard bandant étouffé sous mon calçif elle s’exclama :

- Ah, que c’est beau.

Elle m’enleva aussi mon caleçon et mon pénis se libérant oscilla comme un ressort.

- Ah tu t’es rasé le pubis, quel beau cadeau et ton pénis est au garde à vous, je peux toucher s’il te plait, je peux dit-elle.

- D’accords t’attends quoi lui répondis-je.

J’étais près à exploser, il faut dire qu’il y avait un bon moment que ma pine n’arrêtait pas de bander et s’est retrouvée emprisonnée dans mon calçif pendant que je subissait les assauts de ma belle sur mon corps et que je lui caressais le sien.

Après voir caressé et embrassé mon pubis imberbe, elle pris ma bite embrassa le gland puis la mise en bouche quand je lui lança :

- Arrête j’en peux plus je vais jouir, tu le veux où mon sperme, sur le visage ? Ça ne fait rien, hein hein…

- Oui, oui vas-y donne moi tout ce que tu as.



Et je lançais ma semence à la rencontre de son doux visage, ces lèvres et même ses cheveux en étaient imprégnés. Je l’embrassais sur les lèvres, recueillis du sperme avec ma langue et lui propulsa dans sa bouche, sa langue rencontra la mienne, elle pris ce jus si appétissant pour les femmes et l’ingurgita immédiatement. J’étais étonné qu’elle l’eu avalé, j’attendais plutôt un refus mais au contraire elle aspira tout.

- C’est bon lui dis-je ?

- Exquis, tu aurais dus me donner tout ton foutre à boire j’en rêvais depuis toujours de pouvoir avaler le foutre d’un mec.

- Ah t’es une vraie petite salope tu m’as bien eu, la prochaine fois je vais te rassasier.



Par la suite je pris un peu de sperme qui coulait sur ses joues et commençait à l’enduire dans son petit trou histoire de terminer ma lubrification entreprise auparavant, elle était sur le dos par terre.

Mélangeant sperme et salive et la doigtant comme il faut, son petit anneau était maintenant près à accueillir mon membre qui avait très vite repris des proportions assez intéressantes (généralement je prends entre 2 et 5 minutes pour rebander après éjaculation), je déchirais le préservatif de son enveloppe et sans rien dire elle me le pris des mains et me l’enfila avec la bouche l’enduisant au passage de sa salive.

Je mettais un doigt puis deux dans son anus histoire de mesurer la largeur et de bien le préparer à recevoir mon membre dont je fis pénétrer d’un coup le gland puis suivi par presque tout mon membre, elle était tellement lubrifiée que je n’ai eu aucun mal et commençais à donner des coups de reins, des fois je faisait sortir tout mon pénis et le rentrait tout doucement, des fois j’accélérais mes mouvements puis je ralentissais, en même temps je crachait sur son con que je caressais avec mes doigts. Elle jouit comme une folle la salope et n’arrêtait pas de me supplier de la sodomiser d’avantage,

- Ah oui, encules moi, vas-y accélère, plus fort, plus fort réussit elle à dire et je m’exécutais.

Les larmes étaient entrain de couler de ses yeux tellement le plaisir était intense, je pris ce liquide dans mes doigts et le mis en bouche, je gouttais un instant puis je l’avala, c’étais très bon un mélange d’acidité et de salé mais super goût qui ne faisait que faire monter le plaisir en moi.

Je sentais donc le plaisir monter en moi, j’allais jouir, j’enlève ma bite de son anus, retire le préservatif et lui dis :

- Viens boire ma chérie.

Elle pris mon pénis dans sa bouche et je m’éclatait au fond de sa gorge et elle me but toute ma semence.

- C’est délicieux disait-elle.

Elle me léchait le gland et tout mon pieu pour ne laissait échapper aucune goutte.

Après cet intense moment de plaisir je la prie dans mes bras et nous nous sommes embrassés intensément.

Rassasiée elle me dit :

- Tu sais, jamais j’aurais cru me faire sodomiser ni boire du foutre d’un mec, c’était juste dans mes rêves et fantasmes mais maintenant j’ai réalisé ce rêve et tu en es pour beaucoup, je te remercie infiniment. Pour mon con c’est une autre histoire et j’aimerais que ça soit toi qui le visites le premier mais le jour de notre mariage.

- Quoi, quoi réussis-je à dire.

- Le mariage dit-elle.

- Tu sais on se connaît pas depuis très longtemps et j’envisage pas de me marier pour l’instant, s’il te plait parlons ont une autre fois, pour l’instant je veux qu’on savoure le moment présent.

- D’accords comme tu veux.

Je me jetais à nouveau sur elle et nous nous sommes encore embrassé. Après, nous nous rhabillâmes et nous sommes partis.

Nous l’avons refait 3 ou 4 fois avec les instruments du labo et plein d’autres choses mais ça c’est une autre histoire. 3 mois après j’ai soutenu ma thèse et eu mon diplôme, je ne l’ai plus revu, je gardait un bon souvenir de nos ébats, dommage ça n’a pas collé entre nous, elle voulait se marier et était attachée un peu aux coutumes alors que moi j’avais l’esprit libre et je me sens toujours pas près au mariage et en plus j’ai pas une situation qui le permet et on peut même pas concubiner par ce que elle ne le veut pas et faute d’appart.

Voila, si cette histoire vous as plu ou que vous avez des remarques à porter n’hésitez pas à me faire part de vos impressions. C’est la première fois que j’écris, avant lisait plutôt des textes scientifiques vu mon domaine mais maintenant je me suis mis un peu à la littérature et qui plus est érotique, j’espère que j’ai été à la hauteur sinon vous m’en excuserais.








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