Rencontre Improbable

L'histoire que je vais raconter est une histoire vraie qui m’est arrivée il y maintenant quelques mois et qui aujourd’hui dure encore.
Tout a commencé lors d’une soirée de Noël de mon travail ; nous avions passé une bonne soirée avec un super dîner dans un endroit superbe. Une fois le repas terminé, nous nous étions rendus dans une discothèque pour danser et nous amuser.
Force est de constater que je ne m’amusais pas vraiment, la musique était bien trop forte et il n’y avait que des jeunes de 20-25 ans. Moi j’en ai 35 donc un peu en décalage.
Beaucoup de mes collègues n’avaient pas voulu y aller et nous n’étions qu’une petite dizaine. Au fur et à mesure de la soirée, certains sont partis et j’allais en faire de même. J’attendais un collègue qui devait me ramener chez moi, trouver un taxi un jeudi soir dan Paris est parfois bien difficile.
Alors que je buvais un verre tranquillement et que je regardais mes collègues danser, j’avais dansé pendant une bonne heure sur la piste et je m’étais bien déhanché ! Il fallait donc que je me repose.
J’avais remarqué un homme d’une cinquantaine et même peut-être soixantaine d’année qui ne cessait de me regarder, de me dévisager. Cela me mettait assez mal à l’aise mais je ne pouvais m’empêcher de le regarder aussi.
Alors que j’avais décidé de partir sous peu avec mon collègue, je suis allé aux toilettes faire un petit pipi et me rafraichir un peu, et alors que j’étais en train de me laver les mains, l’homme entra dans les toilettes et me dis de-suite et sans aucune retenue ou gêne :
« Salut tu sais que tu me plais beaucoup ! » Tout étonné et très gêné je lui réponds, « c’est gentil mais je ne suis pas gay » « moi non plus mais j’aime me taper un mec de temps en temps et toi je te veux ». « Je t’ai vu danser et bouger ton derrière et si tu veux le savoir je le trouve superbe ». J’étais surpris et je ne savais quoi répondre. « Ne sois pas gêné, c’est normal de rougir ; ceci-étant j’adore te voir mal à l’aise et ça m’excite ».

Sans me laisser le temps de répondre, il me met une main au derrière et me dit « j’en mourrais d’envie coquin » « non mais tu es fou, quelqu’un pourrait entrer !!! » « Ah ce n’est pas la main au cul qui te gêne mais que l’on nous voit ! ». Il continuait à palper mes fesses et commença même à positionner un doigt entre mes fesses. « Je t’en prie arrête STP » « ok j’arrête mais tu sors avec moi de la boîte et tu me suis au parking, si tu veux je te ramène ! » « Je ne peux pas, c’est un collègue qui me ramène » « dis à ton collègue que tu as croisé un voisin et que je te ramène, ça devrait l’arranger ! » me dit-il ! « Ok d’accord mais laisse-moi du temps pour voir » lui répondis-je sans savoir ce qui allait m’arriver. Je pense qu’au fond de moi j’étais excité par cette sensation nouvelle et bizarre.
Effectivement ça arrangeait mon collègue et donc je m’apprêtais à sortir de la boîte avec cet homme que je ne connaissais pas vraiment. Et au fond de moi, je sentais que j’en avais envie.
Nous sommes donc sortis de la discothèque et avons pris la direction du parking souterrain, sa voiture était au -3. Nous avons descendu les marches une à une et arrivés au -2, il me plaque contre le mur à côté de la machine à ticket et il me dit en me fixant dans les yeux « tu me plais beaucoup, j’ai envie de toi, de ta bouche et de ton cul !
« J’imagine que tu n’as jamais masturbé ou sucé une queue mais je vais t’apprendre ! »
« Non jamais et je dois t’avouer que j’appréhende »
« Ne t’inquiète pas, je vais d’abord faire de toi une coquine puis tu deviendras une cochonne, bientôt c’est toi-même qui m’appelleras et tu me supplieras de te donner ma queue ! ».
Après m’avoir dit ça, le ton de sa voix devint directif et j’avais l’impression d’être totalement à sa disposition.
« Assez parlé ! Retourne-toi que je puisse voir tes fesses ! relève ton blouson et met ton cul en arrière ! »
« Je ne suis pas à l’aise, quelqu’un pourrait nous voir »
« Mais non il n’y a personne à cette heure-ci, allez laisse toi faire je te dis ! Montre-moi ton derrière ! ».

A cet instant précis, j’ai eu envie de lui obéir et de m’exécuter, j’ai bien mis ma croupe en arrière et ça n’a pas trainé, il m’a mis une tape sur le cul et m’a dit d’écarter les jambes, ce que j’ai fait sans discuter.
« C’est bien ma coquine, tu comprends vite ! j’adore ton cul rebondi, tu sens ma main qui titille ton p’tit trou serré ? »
« Oui je le sens et c’est à la fois bizarre et excitant »
« Je vais t’exciter le trou pour que tu sois chaude et que tu ais envie de te comporter comme une femme !!! ». J’avoue qu’il m’excitait et j’avais l’impression d’être une véritable salope, une femme à disposition ; j’ai senti sa main sur mon ventre et j’ai compris qu’il était en train d’enlever ma ceinture.
« Laisse-toi faire ! je vais baisser ton pantalon et enlever ton slip, je veux voir ton derrière nu ! »
« Mais t’es fou, quelqu’un pourrait venir !!! »
« Ne t’inquiète pas on entendra la porte du parking »
« Bon vas-y alors mais fais vite s’il te plait ». Je n’avais plus la force et l’envie de dire non et je l’ai laissé faire. J’avais à présent les fesses à l’air ; il me les caressait et me donnait des petites tapes ; je sentais un doigt près de mon orifice ; je n’avais jamais pensé qu’une telle chose m’arriverait un jour. J’ai découvert ce soir-là un plaisir nouveau.
La suite prochainement …
Ça te plait que je te caresse le cul hein dis-moi ? Je n’osais pas répondre mais c’est vrai que ça n’était pas désagréable pensais-je intérieurement. Je ne savais pas si c’étaient les caresses qui me plaisaient ou la sensation d’être dirigé et à sa disposition.
« Tu m’excites salope ! J’ai envie que tu me suces ! » me dit-il d’un ton brusque. « Mais on ne peut pas faire ça ici ce n’est pas possible ! » « Et pourquoi ? Tourne-toi ! Tes lèvres me plaisent beaucoup et il est temps que tu prennes ma queue en bouche ».
« Je t’en prie ne me demande pas de faire ça ici ! » « Ah j’aime te voir me supplier ; ce n’est pas sucer qui te dérange mais l’endroit ! C’est bien tu commences à te faire à l’idée de pomper et être à ma disposition ! Allez viens ! on va aller dans ma voiture, remonte ton slip et remet ton pantalon, il y a des caméras dans les parkings, ça serait dommage que l’on te filme les fesses à l’air ».

« Avec tout ça j’ai oublié de te demander ton prénom ? » « Alex » répondis-je « Ok ; moi c’est
Il était garé dans un recoin assez à l’écart, c’est à se demander s’il ne l’avait pas fait exprès ; sa place laissait peu de chance de se garer aux autres voitures ; d’un côté il y avait un mur et de l’autre un espace gêné par une bouche d’aération, ce qui rendait la place moyennement accessible pour s’y garer.
« Eh bien ta voiture est difficilement visible » lui dis-je ; « oui c’est fait pour, tu vas pouvoir t’occuper de moi tranquillement et ça m’évitera de t’entendre dire qu’une personne pourrait nous mater ! tu vas pouvoir apprendre à sucer et faire ce que je te demande ». « Allez installe-toi à l’avant ! Mets-toi à l’aise et vire ton pantalon ! » « J’enlève mon slip également ?» « Non ! garde le pour l’instant, on verra plus tard ». « Je reviens dans 2 minutes j’ai un truc à faire ».
J’étais donc seul dans la voiture en attendant son retour, j’avais enlevé mon pantalon, mes chaussures et mes chaussettes aussi car je trouvais ça moche de les garder. Je n’avais finalement gardé que mon slip et mon polo. Soudain, la porte s’ouvrit :
« Me revoilà ! Oh c’est bien tu t’es mis à l’aise ; j’apprécie ton initiative » « Allez ! enlèves ma ceinture ! déboutonne mon pantalon et occupes-toi de moi ! ». Sa queue était quasiment sortie toute seule de son slip tellement il était déjà dur ; elle était grosse et longue ! « Elle te plait ?» « Elle est grosse ! » « Oui assez ; si tu veux le savoir elle mesure 20 cm pour 4 d’épaisseur, autant te dire que tu vas bien la sentir ». « As-tu une capote ? » « Oui mais pour la pipe, je veux que tu le fasses sans ; rassures toi je suis sein et je ne joue pas à la roulette russe, j’aime bien baiser mais je ne veux prendre aucun risque ». Je ne sais pas si c’était une bonne réponse mais il m’a donné envie de le croire et puis je savais que sucer sans capote était très peu risqué.
Sa queue remplissait bien ma main et je commençais à le masturber doucement ; « oh tu branles bien toi dis donc ! tu as des mains de fée ! Ne sois pas timide ; embrasses mon gland ! tu vas voir comme c’est bon ! » Je m’exécutais et je posais donc délicatement et timidement le bout de mes lèvres sur son sexe et là sans me prévenir il appuya sur ma tête et me dit « Allez suces là ! prends là bien ta bouche ! Ne te fais pas prier salope ! ».
Sa queue me remplissait la bouche et je n’avais plus d’autre solution que de la sucer, je faisais de mon mieux dans ce nouvel apprentissage. « Tu as l’air d’aimer ça ma salope !? » Je ne savais pas si c’était une question ou une affirmation et je ne répondais pas, je suçais pour le contenter. « He bien alors c’est qu’elle y prend goût la coquine ! » « Ça te plait n’est-ce pas de sucer une queue dans une voiture ? ». Laisse ma queue 30 secondes et réponds à ma question ! « Oui je ne déteste pas ça ! » « Tu parles ! tu suces comme une bonne salope ! J’ai rarement vu une coquine sucer comme ça la première fois ! »
« Merci pour le compliment, j’essaie de faire de mon mieux et de te donner le plaisir que tu attends de moi » « Mais tu aimes ça aussi non ? Je te sens motivée et chaude ! Je vais faire de toi une bonne petite salope ! ». Ces paroles avaient fini de me rendre fou d’excitation, je ne réfléchissais plus à ce que je faisais et le lieu où j’étais, je ne pensais plus qu’à le satisfaire et prendre moi-même du plaisir.
« Arrête un peu de sucer comme ça » « ça ne te plais pas ? » « Oh que si mais je veux tenir encore un moment avant de jouir ma salope ! » « Ouvre plutôt la boite à gants et prend la boite qui s’y trouve et ouvre-la ».
J’étais étonné par cette demande mais il avait l’air sérieux et attendait que je le fasse, ce que je fis donc mais non sans en être un peu étonné.
« Des dessous féminins ? » « Eh oui ma coquine ! Tu aimes ? ». Je ne savais pas quoi répondre, je restais à découvrir le contenu du paquet, il y avait des bas, un string, un caraco et un porte-jarretelles ; j’ai vite compris qu’il voulait que je les mette.
« Tu veux que je mette ces dessous ? ici ? » « Comme tu me l’as si bien dit tout à l’heure, la voiture est à l’écart, les vitres à l’arrière sont fortement teintées et il n’y a vraiment pas grand monde ce soir dans le parking » « Tu es fou de me faire mettre ça ici ; si quelqu’un nous surprend, on va avoir de gros soucis » « Ne t’inquiète pas, ça n’arrivera pas et cesse de me contredire ; fais ce que je te dis ! passe à l’arrière et habille-toi ! » « Je veux que tu sois sexy et désirable au possible ; préviens-moi quand tu seras prête ; j’ai hâte de voir le résultat ! »
J’ai vite compris que je n’avais d’autre choix que d’obéir à sa demande et je passais donc à l’arrière ; il m’aura fallu bien 10 mn pour réussir à tout passer et me présenter le plus sexy possible. Je dois dire que les dessous qu’il avait sélectionné étaient très sexy et qu’ils semblaient être de qualité. J’étais prêt à me présenter à lui.
« Et voilà le résultat ! » « Oh là-là tu es super bandante ! A partir de maintenant tu es Alexia et tu fais ce que je te demande, c’est bien compris ? » « Oui mais je ne veux pas faire des choses sales » « Ne t’inquiète surtout pas je n’en ai pas l’intention ; ils te plaisent ces dessous ? » « Oui je les trouve beaux et sexy et je te remercie » « Merci qui ? » « Merci Chéri ? » « Oui c’est bien, j’aime l’idée que tu m’appelles ainsi, j’ai l’impression que tu es à moi en m’appelant comme ça ; d’ailleurs mets-toi à genou sur la banquette arrière, tourne-toi et montre-moi ton cul ! ». Je m’exécutais de suite sans broncher et avec l’envie de lui faire plaisir et de répondre à nouveau à son désir.
« Oh tu es excitante comme ça ; remue donc ton cul ! » « Comme ça Chéri ? » « Oui c’est très bien, tu te comportes comme une belle chienne, et j’adore ! » « Veux-tu que je repasse à l’avant ? » « Très bonne idée, viens donc continuer à me sucer ; positionne-toi bien ; mets bien tes fesses en arrière que je puisse mater ton cul pendant que tu me suces ! » Je repris sa queue en main et après quelques va et vient il était à nouveau dur ; je prenais de plus en plus de plaisir à lécher, à sucer et il le voyait bien. « T’es bien excitée ma salope ! Tu aimes avoir la bouche pleine hein ? oui c’est bien, met ton cul bien en l’air que je puisse le caresser comme il se doit ! ». C’est à ce moment précis que j’ai basculé et que j’ai compris que j’aimais cette situation et que j’avais envie d’aller plus loin ; il l’a bien compris puisqu’il n’a pas attendu pour me dire « Tout à l’heure j’ai commencé à te doigter mais tu étais réticente à l’accepter ; là tu es prête et bien chaude ; détend toi bien ; dis-moi que tu en as envie ? » « Oui chéri j’en ai envie ; mais vas y doucement s’il te plait ». Il me mit deux doigts dans la bouche en me disant de les lécher « Je vais te lubrifier ton petit trou mignon pour que tu ne souffres pas trop » « Merci chéri tu es gentil » « Je veux que tu sois bien et que tu prennes autant de plaisir que moi ».
Je sentais son doigt pénétrer en moi et je bougeais mon derrière pour en faciliter l’introduction ; je ne voulais pas souffrir.
« Mais dis-moi tu gémis comme une petite chienne, on dirait que ça te plait de sucer et d’avoir un doigt dans le cul ! » « Oui j’aime ça chéri ! Vas-y ! fais de moi ce que tu veux ! » « J’adore comme tu te comportes ; regarde-moi pendant que tu suces, je veux voir ton visage prendre du plaisir et voir ma queue te ramoner la bouche ! » « Ça te plait de profiter, d’r de moi ! » « Oh oui ça me plait et ça n’est rien par rapport à ce que tu vas prendre ; tu vas voir comme tu vas aimer ; tu vas jouir comme jamais ! ».
J’avais bien compris ce qu’il attendait de moi ; je savais qu’il voulait me prendre, que je lui offre mon cul encore vierge. D’ailleurs, il ne tarda pas à me le faire savoir. « J’ai envie de te sauter ! je veux tes fesses ! Passe à l’arrière de la voiture et offre-les-moi ! ; je veux les sentir, les avoir face à moi ». J’étais devenu sa chose, son désir, je voyais bien qu’il me dévorait du regard et qu’il me voulait tout à lui. Quelques secondes furent suffisantes pour lui offrir une pleine vue sur mon cul « Voilà chéri ! Elles te plaisent ? Si oui, elles sont à toi ! Fais-en ce que tu veux ! » « Oh Alexia je les adore ! Je vais te les manger ! ». Il ne pouvait pas mieux dire ; je commençais à sentir sa langue s’agiter puis elle se mit à parcourir le sillon de mes fesses avant qu’elle ne s’introduise dans mon trou, il me léchait, me lubrifiait ; je ne pouvais plus me retenir tant je prenais du plaisir.
« Tu aimes ce que je te fais ? Encore quelques minutes de ce traitement et tu vas me supplier de te baiser ! » « Oh oui chéri tu me rends folle, j’ai l’impression d’être une chatte en chaleur ! » « Oh mais tu as la chatte en feu oui ! » « Oh ta langue ! elle me fouille ! je n’en peux plus ! Vas-y fais-moi l’amour s’il te plait ! Pénètre-moi !» « Quelle belle salope tu es, je vais te défoncer le cul, je vais te faire crier ! » « Chéri STP ne me fais pas mal, j’ai envie de toi mais je veux de la douceur » « Ne sois pas inquiète, je vais te dépuceler comme une jeune fille, tu vas aimer, tu vas en redemander, quand je serai en toi, tu prendras du plaisir, je peux te l’assurer ». Je sentais son sexe titiller mon trou, jouer avec mon orifice, je sentais qu’il était prêt à me pénétrer.

« Je vais y aller doucement, laisses-toi faire, ne résistes surtout pas, ouvres bien tes fesses, offres-moi ton cul » ; il ne cessait de me rassurer, je sentais le désir augmenter et j’avais envie de me donner à lui ; « Vas-y Chéri je suis prête, j’ai confiance en toi, je veux être à toi ce soir ; prends moi comme une coquine » ; « Oh mais tu es plus qu’une coquine, tu es une petite chienne en devenir, je vais faire de toi une véritable cochonne ; tu vas devenir ma maîtresse attitrée ; d’accord ? Tu feras ce que je te demande ? » « Oui Chéri je veux être à ta disposition, être comme ta femme » « c‘est bien tu es docile et consentante, tu es ma salope et je vais bien m’occuper de toi ». Cette dernière phrase me fit tressaillir et je sentis son membre entrer en moi, il l’enfonça et seul un gémissement de ma part le fit ralentir « Ça va ? tu n’as pas trop mal ? » « Oh si je la sens bien, j’ai l’impression d’avoir un pieu qui entre moi ! » « Tu aimes ? » « Oh ! Vas-y doucement ! Oui j’aime mais j’ai mal » « C’est normal mais tu vas t’habi à cette sensation et la douleur va laisser la place au plaisir, tu vas aimer te faire prendre je peux te l’assurer, ton cul me semble fait pour ça ! Tu as vraiment des fesses faites pour le plaisir ! ».
J’écoutais ce qu’il me disait mais surtout je sentais son sexe en moi et je commençais à prendre vraiment du plaisir ; il me pilonnait sans s’arrêter et il accélérait même fortement ces coups de butoir. Mon derrière semblait lui appartenir, je ne pouvais plus reculer et je ressentais une telle sensation de plaisir que je ne pouvais que me laisser faire, je m’abandonnais à cet homme comme jamais je n’aurai pu imaginer le faire un jour.
« Alors ma salope ! tu sembles apprécier d’avoir une queue dans le cul dis-moi ! Tu ne me demandes pas d’arrêter mon traitement, j’ai même l’impression que tes fesses sont demandeuses ! Tu ne rechignes pas à t’empaler sur ma queue ! Je me trompe ? ». J’avais du mal à répondre tellement j’étais concentré sur ce que j’étais en train de subir mais il insistait pour que je lui réponde « Alors tu réponds ? ça te plait que je te baise le cul ? » « Oui Chéri j’avoue que j’aime ça ! » « Je m’en doutais et j’ai rarement rencontré une salope qui s’assume si vite ! Tu as un esprit de chienne c’est moi qui te le dis ! C’est dingue de voir comment tu te laisses faire, tu es un vrai délice !» « Merci Chéri mais je ne me considère pas comme une chienne » « Peut-être pas encore mais d’ici quelques temps et même plus vite que tu ne le crois, tu en seras une et une bonne ! » « Mon Dieu que tu encaisses bien, je prends un pied incroyable à te culbuter ! ». J’avais l’impression de n’être plus qu’un morceau de viande pour lui, il ne cessait de me pilonner et me de dire que j’étais sa salope. J’avoue que tout cela m’excitait beaucoup et que je n’étais pas étranger au plaisir qu’il prenait ; je me laissais faire car j’aimais ça et je ne pouvais le nier à la vue de ce qu’il me faisait sans que je ne bronche un instant. Alors que je gémissais maintenant de plus en plus fort, je vis une ombre sur le côté de la voiture. « Chéri ! Il y a un homme qui nous regarde !!! » « Je sais oui, c’est Kader il travaille ici ; c’est grâce à lui si j’ai cette place de parking et si l’on est si tranquille ! » « Tu veux dire que tu le laisses nous mater ? » « Oui car il aime ça et moi je trouve cela excitant de lui offrir ce spectacle » « Il va rester là longtemps ? » « Je veux qu’il puisse t’entendre crier et te voir jouir ! » « Salaud ! tu le laisses me reluquer ! » « Comment tu me parles Salope ! Je suis ton homme et tu fais ce que je veux ! » « Excuses moi Chéri je ne voulais pas dire ça mais je suis pudique et savoir que ce mec me regarde me stresse ! » « Pudique ? Tu plaisantes ? Cela fait deux heures que l’on se connaît et je te prends déjà le cul ! Tu n’es qu’une petite salope qui a besoin de se faire éduquer pour devenir une grosse cochonne ! » « Je veux que tu lui fasses plaisir et que tu le laisses s’assoir à l’arrière de la voiture, je veux qu’il voit comme tu t’offres bien ». Je comprenais que je n’avais pas le choix et que je devais dire oui à ce qu’il demandait. « D’accord Chéri, dis-lui d’entrer » « C’est bien je te veux docile et consentante ». Il fit un signe à Kader pour lui demander de venir, il ne tarda pas à rentrer dans la voiture et à s’assoir derrière le siège passager. Il ne disait rien mais il pouvait voir le spectacle qu’on lui offrait.
« Alors Kader, elle te plait ma salope ? » « Oh oui ! en plus tu lui as fait mettre des dessous féminins, une vraie salope ! Et elle aime la bite on dirait, tu l’as trouvée quand et où ? » « Ce soir même en boîte de nuit ! » « C’est elle qui t’a dragué ? » « Non c’est moi, je l’ai vu danser sur la piste et j’ai craqué sur son cul ! je l’ai suivi jusqu’aux toilettes et j’ai fini par l’embarquer, et tu sais quoi elle n’avait jamais toucher une queue ! » « Ah bon ? c’est incroyable on a l’impression qu’elle a fait ça toute sa vie » « Si tu l’avais vu il y a deux heures, elle était toute timide mais elle avait de l’excitation dans le regard, elle avait envie » « C’est bizarre de dire « Elle » alors que c’est un mec ? » « Oui et non, il s’appelle Alex mais je l’ai rebaptisé Alexia et je l’ai habillée comme ça pour qu’elle soit plus excitante et qu’elle fasse bien salope ! Voilà pourquoi je la traite comme une femelle ! » « Tu as raison, en plus elle a l’air d’apprécier ce traitement » « N’est-ce pas Alexia ? » me dit Kader « Il t’a posé une question donc réponds à Kader STP ? » « Oui j’aime la manière dont il s’occupe de moi ». Jean commença à expliquer les détails m’ayant mené jusqu’à là ; en détaillant la sortie de boîte jusqu’à ce que l’on soit dans la voiture ; puis il dit à Kader « Tu peux sortir ta queue et te branler si tu en as envie, ça devrait lui plaire » « Oh Merci car effectivement j’en ai envie ! ». Il ne tarda pas à enlever le bouton de son pantalon, à baisser sa braguette, puis il en extirpa son sexe, il était gonflé d’excitation et je dois bien avouer qu’il avait une sacrée queue, elle était épaisse et longue, elle était impressionnante. « Elle ne te donne pas envie sa queue ? » me dit Jean. « Elle est belle oui mais je ne suis qu’à toi » « Tu ne voudrais pas la sucer pendant que je te saute ? » « Elle est trop grosse, elle n’entrera jamais dans ma bouche » « Ne te sous-estimes pas et suces le ! J’ai envie de te voir avaler sa queue, je veux te voir la sucer et prendre ton pied ».

Les mots de Jean raisonnaient dans ma tête et je fixais le sexe de Kader sans savoir quoi faire ; accepter ou refuser ? C’est à ce moment-là que Kader ma parla comme pour me rassurer « Prends là, caresse là et si tu ne la trouves pas à ton goût, je comprendrais ». Ces paroles m’avaient convaincues, je la pris dans ma main et doucement je commençais à le masturber, elle était dure et grosse et c’est doucement que Kader se rapprocha de moi pour la guider jusqu’à ma bouche, il savait y faire pour me rassurer et c’est naturellement que j’ouvris mes lèvres pour le laisser y glisser son sexe durci. Croyez-moi elle était vraiment grosse et dure comme un bout de bois !
« Eh bien dis donc tu as l’air de l’aimer la queue de Kader ? » « Oui Chéri elle est bonne » « Et dire que tu te faisais prier ! Tu es vraiment une bonne petite cochonne, on va tellement te combler que tu vas hurler de plaisir ! » « Alors Kader ? Elle est comment ma petite femelle ? » « Elle est superbe, elle aime ça la bite ! Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu une salope pareille ! ». Jean me culbutait de plus belle, il accélérait ces coups de butoirs et je prenais beaucoup de plaisir. « Oh je ne vais pas tarder à jouir ! » « Oh non Chéri ne t’arrêtes pas, j’en veux encore ! Ne jouis pas tout de suite ! » « Désolé mais je ne suis pas une machine, cela fait environ trente minutes que je te baise le cul, je vais bientôt éjaculer ! Mais j’en connais un qui ne rechignerait pas à te sauter si tu le voulais » « N’est-ce pas Kader que tu la lui mettrais bien dans le cul ? » « Oh oui avec plaisir, si tu la veux en toi, je te la mets ! » « Mais Chéri ! C’est que tu serais prêt à me donner complètement à Kader ! » « Oui puisque tu n’es pas rassasiée ! pour te combler, je ne vois que lui pour te défoncer la chatte et te laisser continuer à prendre ton pied ! ». Je sentis mon homme se retirer et me dire « Tu le veux où mon jus ? Dans ta bouche ? sur ton cul ? sur ta gueule ? » « Je ne sais pas Chéri, sur mon derrière peut-être ? » « Pourquoi pas mais si Kader doit te prendre, je pense qu’il serait mieux que tes fesses soient propres ! » « J’ai envie de jouir dans ta bouche ! Je veux te voir avec la bouche pleine de sperme ! » « C’est dégoutant je n’en ai pas trop envie » « Dégoutant ? mais non tu vas aimer et tu vas en redemander après ça ! » « Allez lâche Kader et viens me biberonner ! Kader, prépares-toi à prendre ma place ! Tu vas voir qu’il est bon son cul ! ». Je me retournais pour me positionner face à Jean, ou plutôt face à sa queue gonflée et gorgée de sperme, il se masturbait frénétiquement et il me tenait la tête comme pour mieux me dominer. « Approche ton visage Alexia et sors ta langue ! Je vais t’inonder la bouche ; tu vas te régaler, ça va devenir ta boisson préférée ! ». A peine sa phrase terminée, je sentis un jet puissant de sperme gicler dans ma bouche, je n’avais jamais imaginé le goût que pouvait avoir le sperme et la quantité importante de jus que j’avais dans la bouche m’obligea à refermer les lèvres pour ne pas en mettre partout. « Alors tu aimes ? » Je ne pouvais lui répondre mais le goût légèrement salé ne me dégoutait pas ; je le regardais et il avait l’air satisfait de la tournure des évènements. « Tu as le visage d’une coquine qui a fait une bêtise mais qui ne veut pas le montrer ; avales tout ! ; si tu le fais je pourrais dire que tu es ma femelle et que tu m’appartiens ! ». Sa dernière phrase m’a électrisée au plus profond de moi et je ne sais pas si j’ai voulu lui faire plaisir ou si j’en avais tout simplement envie ou besoin, il ne me fallut que quelques secondes pour tout avaler, le léger sourire que j’ai esquissé à ce moment précis a fini de le convaincre que j’étais à lui. « Oh tu es divine ! Embrasse-moi ! ». J’ai tendu mes lèvres et nous nous sommes embrassés à pleine bouche, je devais certainement sentir le sperme mais apparemment cela ne le dérangeait pas le moins du monde, bien au contraire d’ailleurs puisqu’il m’en fit la remarque « Oh ta langue sent le jus, j’adore ça ! allez maintenant tu vas retourner à l’arrière te faire prendre par Kader ! ». Kader n’avait pas perdu une seule miette du spectacle et il me dit « Tu as été magnifique, tu as une préférence pour la position » « J’aime me faire prendre en levrette mais j’ai envie de venir m’assoir sur toi » « Viens donc ! ma queue est tout à toi ! ».
Je me retrouvais donc à l’arrière, les fesses tournées vers Jean et face à Kader, il me regarda dans les yeux et il me dit « vas-y empales toi sur ma queue ! ». Je sentais son membre proche de me pénétrer et je craignais de ressentir une forte douleur tant elle était imposante, je me décidais à la prendre en main pour la guider au bord de mon orifice « Oh Kader qu’elle est grosse ! tu vas me déchirer le derrière ! » « Et alors ce n’est pas ce que tu veux ?! » « J’ai envie que tu me donnes du plaisir, pas que tu me fasses mal » « Je plaisante, vas-y doucement et ton cul vas s’ouvrir et tu vas prendre ton pied ». Il avait raison, j’en avais envie et c’est donc avec soin que je commençai à descendre doucement sur sa queue, je peux dire que je l’ai sentie passer.
« Oh mon Dieu qu’elle est grosse ta queue Kader ! J’ai l’impression d’en avoir deux dans le cul ! » « Ne nous donne pas des idées » répondit Jean. « Oh non je ne pourrais pas Chéri » « Elle te plait sa grosse bite ? » « Oh oui Chéri elle est bonne ! ». Je faisais maintenant des vas et vient sur sa queue et je gémissais à tout va.
Jean ne perdait pas une goutte du spectacle qu’on lui offrait « Alors elle n’est pas bonne ma petite salope Kader ? Regarde-la comme elle jouit ! Une vraie chienne à disposition de son maître, j’adore la regarder prendre son pied.
Voilà le premier acte de mon aventure.

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