Ma Trop Jolie Nèce 3
Après l'avoir copieusement peloté, marjo m'a taillé la plus belle pipe de ma vie. elle me demanda ensuite de la déflorer...
Je mapercevais alors que je ne maîtrisait plus du tout la situation, mais que bien au contraire, cest elle qui dirigeait les opérations. En fait, cest moi qui me faisais baiser par cette petite putain. Mais devant une telle invite, quel homme aurait pu résister ? Pas moi en tout cas et sans plus attendre jallais lui donner satisfaction et je lallongeais en travers du lit,
Totalement impudique, Marjo écartait et relevait les cuisses au maximum, écartant les grandes lèvres de ses doigts et la vision de sa touffe blonde et de sa chatte grande ouverte me refit instantanément bander. Je posais ma bouche sur un sein au téton hyper tendu et dur comme du bois, puis sur lautre. Après avoir titiller quelques instants ses splendides nibards, je continuais mon exploration, descendant vers le nombril dans lequel ma langue se perdit un moment avant de continuer vers la touffe.
Mes lèvres embrassaient les rares poils blonds et bouclés de ma maîtresse. Je bouffais cette petite touffe à pleine bouche tandis que mes mains préparaient la vulve dégoulinante de Marjorie. Elles écartaient les grandes lèvres pourtant déjà bien ouvertes et titillaient les petites lèvres roses. Marjo poussait de petits cris de bonheur et lorsque ma langue prit le relais de mes mains et quelles fouillèrent ce con si largement offert, elle lâcha littéralement un râle de plaisir. Il faut dire que je venais de trouver son petit bouton bien dur et qui entrait lui aussi en érection. Son clito doubla en effet de volume et un nouveau jet de cyprine minonda la bouche. Elle mavait bien dit que son clitoris attendait mes caresses, mais je pensais pas que cétait à se point. Marjorie soulevait son cul pour que ma langue senfonce un plus encore dans son vagin. La position de ma belle et jeune amante me donna lidée de venir explorer une partie encore plus intime de son corps.
Ho que cest bon ! Oui, fouille mon cul ! Doigte-le, dilate le bien pour pouvoir menculer ! Baise-moi, encule-moi, fourre ta queue dans tous mes trous ! Je suis ta chienne, ta chose, ta salope ! Fais-moi jouir comme une vieille pute !
Vite ! Enfonce ton pieu dans mon con, fais sauter cette putain de pastille ! Ramone-moi la chatte !
Comment voulez-vous résister à un tel appel ! Jabandonnai donc son trou du cul et je lui écartais au maximum les cuisses avant de venir minstaller sur elle. Ma queue lui labourait la vulve et ny tenant plus, Marjorie vint la guider elle-même vers lentrée de son gouffre secret. Mon gland sinséra très facilement dans la chatte grande ouverte mais vint buter contre lhymen encore présent. Un coup de rein et la fleur de Marjo vola en éclat ! La jeune dépucelée poussa un petit cri bref quant sa pastille sauta, mais immédiatement elle souleva son bassin pour permettre à mon braquemart dentrer plus profondément.
Marjorie savérait être une partenaire formidable ! Tandis que mes coups de boutoirs emplissaient son petit con, elle balançait les hanches de droite à gauche et lançait son bassin en avant de telle sorte que ma queue venait taper contre le fond de son vagin.
Viens encore, plus profond, plus vite, baise-moi à fond, ho ouiii, je vais jouir! Vas-y lamine moi-moi bien! Ho que cest bon ta bite qui perfore mon ventre ! Continue ! Défonce ma chatte !
Je sentais que jallais lâcher ma purée aussi jai prévenu Marjorie que jallais me retirer pour juter sur son pubis et sur sa fente, mais elle men empêcha :
Non, éjacule dans ma chatte ! Je veux sentir ta liqueur dans mon vagin ! De toute façon je prend la pilule
Un long flot de sperme séchappa alors de ma tige et inonda son con.
Je me retirais enfin de cette fente si accueillante et je repris la succion de ses tétons pendant que mes mains remplaçaient ma queue dans sa chatte et sur son anus...
Mais Marjo visiblement en demandait encore plus. Après quelques courtes minutes de récupération passées à se caresser, Marjorie reprenait de lactivité et essayait de diriger ma queue à nouveau vers sa fente. Javais personnellement dautres idées en tête et je me laissais glisser à côté de ma jeune maîtresse. Elle cru un instant que jétais trop fatigué pour reprendre nos ébats et je vis une jolie moue se dessiner sur son visage. Je lui fis comprendre alors immédiatement que pour moi aussi on en était quau premier round et que la suite allait la combler.
Une fois installer sur le dos, ma queue triomphante pointée vers le plafond de la chambre, je linvitais à venir sur moi. Elle me chevaucha sans se faire prier et je sentais sa vulve toute mouillée contre mon ventre. Leffet fut immédiat et mon pieu pris encore quelques centimètres de plus. La tenant par les fesses que je pétrissais au passage, je linstallais au dessus de mon braquemart et elle neut plus que se laisser descendre pour venir sempaler.
Cette deuxième pénétration eut lair de lui plaire car elle gémit aussitôt et très vite elle se dandina. Elle avait très vite compris que cest elle qui dirigeait les opérations et qui prenait son pied comme elle lentendait.
Sa croupe remuait sans cesse de plus en plus vite. Elle masturbait elle même ma queue avec son con pourtant bien dilaté. ment, le déhanchement de plus en plus rapide quelle imposait à son bassin faisait également remuer ses seins et javais devant mes yeux le spectacle hallucinant de ces deux superbes mamelles qui ballottaient dans tous les sens.
Jaspirais goulûment cette splendide aréole rosée quune de mes mains faisait saillir davantage. Ce nichon maffolait totalement et je le tétais comme un nouveau né. Marjorie râlait de plaisir et en demandais encore plus. Je joignis alors les 2 bouts de ses mamelons et je les pris tous les 2 dans ma bouche avide. Marjo était aux anges... et moi aussi ! Elle accentuait encore le va et vient de son con sur ma queue et bientôt, je ne pu plus me retenir et pour la deuxième fois je balançais ma purée dans sa chatte.
Ah!!! Oui mon chéri, que cest bon! Jaime comme tu me baises! Ne tarrête pas mon amour. Fais moi encore jouir...
Je ne pensais plus alors quà donner du plaisir à cette petite salope de nièce, à cette gamine tout juste majeure qui venait de menvoûter. Je ne me contrôlais plus. Son corps me fascinait et je navais en tête que de la baiser encore et encore...
Pendant encore quelques longues minutes nous avons continuer à baiser, elle, empalée sur ma queue qui ne ramollissait toujours pas et moi qui donnait de furieux coups de boutoir pour bien envahir sa chatte tellement dilatée.
Marjorie se retira elle-même enfin et sallongea de tout son long sur moi. Je sentais ses seins écrasés contre mon torse, sa petite touffe contre mon ventre et sa fente appuyée contre ma queue redevenue enfin toute molle. Cest elle qui vint embrasser mes lèvres et en forcer le passage avec sa langue. Bientôt, nos 2 langues sentrelacèrent et nos salives séchangèrent. Sentir ce corps juvénile, ferme et doux à la fois contre le mien décuplait mes envies et mes mains se mirent a pétrir ce magnifique petit cul, ces jolies fesses roses rondes et dures comme de la pierre.
Sans vraiment m'en rendre compte, mes doigts se promenaient maintenant sur la raie des fesses et allaient de la fente aux reins, sans oublier de passer sur son anus.
Ny tenant plus, jôtais mes doigts de sa caverne plissée et approchait mon gland turgescent et monstrueux. Je lappuyais doucement contre lentrée de cette grotte puis lenlevais et lappuyais à nouveau. Ce manège la rendait littéralement folle. Elle simaginait à chaque pression que jallais la défoncer, et à chaque recul elle laissait échapper un gémissement de déception. Nen pouvant plus, elle essayait de sempaler elle-même le cul sur ma bite par des coups de cul, mais je la tenais fermement par ses merveilleuses hanches. Jécartais enfin ses fesses au maximum afin de bien dégager lentrée de son intimité et appuyais plus fermement ma queue. Un premier coup de boutoir et mon gland pénétrait dans son cul.
«Aieeeee !!!! Ça fait mal ! Mais jaime ça ! Ouiiiiiii, vas-y parrain, a fond défonce-moi le cul à fond!!! »
Un 2ème coup sec et me voilà, la queue presque totalement dans son cul. Cest Marjorie, dun coup de rein violent et inattendu qui termina la besogne. Mon madrier était maintenant entièrement dans loignon de ma jeune maîtresse qui hurlait de plaisir. Il fallait la voir se dandiner, remuer son cul pour bien sentir mon braquemart dans ses entrailles! Mes couilles frappaient contre ses miches. Dans le miroir accroché au mur, japercevais les magnifiques nibards de Marjo ballotter. Cette fille me rendait complètement fou. Je la pistonnais maintenant violemment. Chaque coup de boutoir arrachait à la petite salope un cri de bonheur. Je la maintenais fermement dune main tandis que lautre glissait vers sa fente que je pénétrais. Nouvel extase de ma petite pute.
Je ne pus pas me retenir plus longtemps et sans la prévenir, je lâchais une giclée de foutre dans son cul. Au même moment, elle jouit encore plus fort que quand je lai dépucelée.
« Haaaa, ouiiii, cest bon! Jaime ça! Encore parrain....Continue, encore plus fort! Rentre encore plus loin! Défonce mon cul! Ooouuuiiiii comme ça! Cest bonnn!!! Je taime mon chéri! Jaime ta queue, jaime ton foutre! Encule-moi encore! »
Une seconde rasade de foutre arrivait, mais je me retirais alors de ma filleule chérie pour la lâcher sur son cul. Dans la superbe raie du cul quelle moffrait. Ma liqueur descendait maintenant sur son trou du cul puis continuait vers sa chatte en feu.
Marjorie en voulait plus encore... Elle prit elle-même ma queue à pleine main et la ramena sur son petit trou. Viens, remet le couvert Parrain, mon cul nen a pas eu encore assez. ! Vous pourriez résister à une telle demande? Pas moi ! Aussi ma queue étant encore suffisamment raide, je lenfonçais à nouveau dans lanus dilaté de ma jeune maîtresse. Cette fois-ci, mon braquemart pénétra sans peine. Je pilonnais donc à nouveau le cul de cette chienne en rut. De grands coups de boutoirs bien appuyés. Je retirais totalement ma bite puis lenfonçais à nouveau à fonds. On entendait le bruit sec de mes couilles qui battaient contre les merveilleuses fesses bien rondes et potelées de la petite salope. A chaque coup de boutoir, je lui claquais le cul et ses miches commençaient à rougir. Elle avait mal mais elle en redemandait. Passant une main entre ses cuises, Marjo vint pétrir mes burnes ce qui eut pour effet de me faire à nouveau décharger le peu de foutre qui me restait dans lanus totalement dilaté.
A bout de force, je me retirais, à regret et mallongeais sur le dos, épuisé.
Marjorie devait aussi avoir laisser pas mal de force dans la bataille car elle ne protesta pas cette fois et vint sallonger à côté de moi, pantelante.
Reprenant enfin conscience, on se rendit compte que cela faisait bientôt une heure quon se tringlait et que les autres nallaient pas tarder à revenir.
Une bonne douche fût décidée. Je proposais à Marjo dy aller la première.
Elle se leva langoureusement et le spectacle de ce jeune corps repu damour, luisant de sueur et de foutre me fit instantanément rebander. Cest pourquoi je décidais de la suivre dans la salle de bains.
Je montais avec elle dans la baignoire et tandis quelle saspergeait deau avec la pomme de la douche, je me plaçais derrière elle, la queue contre la raie de ses fesses, les mains plaquées sur ses seins.
- »Non parrain, cest pas raisonnable, les autres vont revenir.... »
Elle mettait bien peu de conviction dans ces protestations et lorsque ma main vint se poser sur sa chatte, cest plus un petit gémissement de plaisir quune réprimande que jentendis....
Elle avait maintenant reposé la douche et elle guidait elle -même ma main dans son petit con. Lautre main pétrissait ses si jolis nichons dont les tétons étaient à nouveau durs et érigés. Ma queue ne restait pas inactive et je la frottais contre lanus de ma jeune maîtresse.
Cest Marjorie qui la première a craqué.
- »Hoooo mon chéri, tant pis si on se fait surprendre.... Mais jai trop envie.... défonce-moi encore... »
Je ne désobéi pas à un tel ordre et je la fis je pencher en avant, jambes écartées, mains contre le mur de la salle de bain. Dans cette position, les seins de marjo pendaient un peu et je malaxais généreusement. Jai pris un téton dans chaque main et je les étirais. La petite pute eut lair daimer ce traitement car elle se mit à lâcher un long râle de bonheur. Je ne pouvais plus la faire attendre plus longtemps et lâchant ses pointes de seins, je dirigeai mon madrier vers lentrée de sa fente déjà largement ouverte et dégoulinante de cyprine.
Il ne me fallu quun ou deux coups de boutoirs pour envahir entièrement à nouveau ce con qui était encore vierge il y a même pas une heure et qui subissait les assauts de mon pieu pour la troisième fois avec le même désir bestial. Je limais cette chatte impudiquement offerte à cadence de plus en plus soutenue, chaque coup de queue arrachant un nouveau gémissement.
Je sentais que je nallais pas tenir longtemps comme ça et que bientôt une nouvelle giclée de foutre allait prouver ma jouissance à cette gamine. Comme il faudrait quand même finir par mettre fin à cette orgie, je voulus terminer en beauté et je retirais prestement mon dard de sa chatte, non sans un cri de protestation de sa part, mais bien vite étouffé quand elle comprit que maintenant je mattaquais pour la deuxième fois à a rondelle intime.
Cette fois-ci, le chemin ayant déjà été peu de temps auparavant, je neus aucun mal à introduire da bite dans ce cul tellement accueillant. Marjorie avait dailleurs lâché le mur dun main afin décarter elle-même une fesse pour me faciliter le passage ! Décidément cette petite apprenait bien vite et je ne doutais pas quelle soit par la suite un sacré bon coup pour ses copains....Mais pour lheure cest moi qui en profitais et je ne boudais pas mon plaisir. Une fois mon gland facilement introduit, cest elle qui par deux coups de reins en arrière vint sempaler totalement sur ma queue. Jentrepris alors de la pistonner sauvagement. Je donnais de grands coups de boutoirs, mon membre démesuré senfonçait un plus chaque fois dans ce cul de rêve, mes couilles cognaient contre les fesses dodues et fermes et les cris que ne pouvaient pas maîtriser ma filleule étaient autant des cris de douleurs que de plaisir. Il faut dire que maintenant, je ne pensais plus du tout à lâge de ma partenaire mais je pensais uniquement à mon plaisir et je lenculais rageusement, ses cris mencourageant au contraire à la défoncer encore plus fort....
Mes mains avaient quitté ses hanches et pétrissaient, malaxaient, brutalisaient à nouveau ses seins. Jenfonçais mes ongles dans sa peau, étirais, pinçais ses tétons meurtris tout en continuant de limer sauvagement son étroit fourreau. Jembrassais, je mordillais son cou et je me rendis compte quinvolontairement je lui avais fait un énorme suçon sur lépaule !
Je nétais plus homme faisant lamour à une merveilleuse jeune femme, non jétais devenu une bête sauvage assouvissant ses besoins daccouplement.
Après quelques minutes de cette orgie, cest un nouveau long jet de foutre quelle recueillit au fond de ses entrailles.
Quand je suis enfin sorti de cet oignon rougi par le pistonnage furieux quil venait de subir je remarquais que Marjorie pleurait doucement. Je bus ses larmes et je retrouvais toute ma tendresse...
- »tu mas fait mal parrain..... Mais cétait si bon... Tu mas enfin prise comme toutes les salopes que tu sautes dhabitudes et non pas comme ta pauvre petite filleule qui voulait être déniaisée... merci de mavoir aimer comme ça... «
Elle interrompit sa phrase en plongeant sa langue dans ma bouche en un baiser passionné....
On a pris enfin notre douche et on sest vite rhabillé.
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