Ma Trop Jolie Nièce
Jai aujourdhui 58 ans, mais lhistoire se passe il y a sept ans. Je suis marié 2 fils. Pas de fille donc, mais une adorable petite nièce, cest-à-dire la fille du frère de ma femme. Elle sappelle Marjorie. Dès sa naissance, on a été attiré lun vers lautre. Cest pour cette raison quon ma demandé dêtre son parrain. Toute petite, quand elle venait à la maison, je men occupait comme des mes propres s, donnant le bain, lhabillant, etc... Très caline Marjorie adorait venir se blottir sur mes genoux et jen étais très fier. Quand elle a grandi, rien à changer, à 7 ou 8 ans, je lui donnait toujours son bain, se montrer nue devant moi ne la dérangeait pas le moins du monde ! Puis elle a eu 13 ans. Sa poitrine a commencé a poussé mais à cet age là, elle navait plus besoin de moi pour la baigner ! Pas plus pudique pour autant, elle se promenait aisément devant moi en petite culotte, ou même sans. Puis est venu le jour ou elle a dû porter son premier soutien-gorge. Elle était aller lacheter avec sa mère et quand elle est rentrée, jétais présent, et très fière elle ma annoncé quelle était une femme maintenant puisquelle allait mettre un soutien-gorge. Joignant le geste à la parole, elle sest déshabillée et jai pu admirer ses charmants petits bourgeons. Parrain, à toi lhonneur ma-t-elle dit, mets moi mon soutien-gorge. Jhésitais, mais encouragée par sa mère, je lui ai donc passé son soutifs. Je crois bien que cest la première fois que jai vu ma filleule autrement que dans une gamine. Je crois bien que jai un peu bandé.
Les années ont passé, et pendant 4 ans je nai plus revu ma nièce dénudée. Jai cependant pu voir son corps se transformer. Les petits bourgeons étaient à ne pas en douter devenus de jolis petits roberts, les fesses étaient plus rondes, plus fermes. Ca javais pu le constater au fil des ans, car Marjorie navait pas perdu son habitude de me faire des calins et je sentais les rondeurs de son corps sépanouir.
Les choses ont changé le jour où nous sommes allés voir un parent à lhôpital lété de ses 18 ans. Marjorie était assise quand je suis arrivé. Je me suis penché pour lembrasser et là jai pu constater quà coup sûr elle navait pas de soutien-gorge. Faute de siège, je suis resté debout, derrière ma jolie nièce et mon regard plongeait dans son décolleté. Quel charmant spectacle que la vision de la naissance de ses seins au galbe déjà bien plein. Comble de bonheur, elle sest penchée un peu pour parler avec notre malade et là jai pu admirer une belle aréole rose et la pointe dun téton.
Javais pris ma décision, je ferais tout pour amener Marjorie dans mon lit. Javais envie de faire lamour avec cette que javais vu grandir. Envie de baiser cette adolescente de 34 ans ma cadette.
Loccasion sest présentée 3 semaines plus tard. Nous passions le week-end chez mon beauf et déjà le samedi soir, quand Marjorie est venue nous embrasser avant daller coucher, elle était en pyjama, et pendant le câlin traditionnel, par léchancrure de la veste jai aperçu un sein, un merveilleux petit sein que jai eu envie de prendre dans ma main et de caresser, mais bien sûr je nai pas pu le faire...
Le lendemain, nos hôtes et ma femme sont allés au marché. Je suis resté à la maison prétextant un léger mal de crâne. Jétais assis dans le canapé devant la télé quand Marjorie sest levée. Elle est venue membrasser, jai passer ma main autour sa taille et je sentais son corps encore tout chaud. Comme à son habitude, jai eu le droit au câlin. Elle sest assise à coté de moi, la tête contre mon thorax et ma donné quelques petits bisous dans le cou et sur la joue.
Puis elle sest allongée, sa tête reposait sur mon bas ventre, presque sur mon sexe qui durcissait déjà. Comme à laccoutumée je lui ai caressé une hanche. Marjorie était blottie contre moi comme un chaton. Ma main est lentement remontée sur sa taille, sur ses cotes, puis sur la face externe du sein.
Prudemment, jai fait glissé ma main sur un nichon et je lai très doucement caressé. Marjorie na pas réagi. Jai alors poussé mon avantage et jai pressé un peu plus fort, emprisonnant son nibard au creux de ma paume. Marjorie a alors gémi doucement et a posé tendrement ses lèvres sur ma bouche. Ho un baiser léger, furtif, mais pour moi un encouragement.
Jai alors continué ma pression sur le doux globe chaud et ferme puis jai fait sauter un deuxième bouton de la veste de pyjama. Je voyais maintenant parfaitement la petite mamelle de Marjorie et mes doigts ont glissé dessus. Je tenais maintenant un sein dans la paume de ma main. Un doux sein, soyeux, chaud, une petite poire ferme avec une toute petite aréole rose terminée par un téton dur et charnu. Je lai un peu malaxé, craignant les réactions de ma filleule, mais loin de me repousser, elle appuya plus fortement ses lèvres sur les miennes et murmura à mon oreille : parrain.... cest agréable, ne tarrête pas.... caresse moi encore .
La suite plus tard...
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