Ma Trop Jolie Nièce 2
Après l'avoir longuement embrassée, marjorie me demanda d'aller plus loin....
Vous comprenez que fort de cette invitation je nallais pas en rester là. Jai pris la pointe déjà bien irisée entre mon pouce et lindex et je lai légèrement pincé avant de la rouler. Marjorie appréciait beaucoup et je sentais son corps tout chaud salanguir de plus en plus contre moi. Elle devait certainement sentir ma queue qui raidissait et qui appuyait sur une cuisse. Jai fini de déboutonner la veste et en ai écarté les pans. Je découvrais ainsi enfin les superbes nibards de ma nièce.
Deux beaux roberts arrogants, que je pétris sans plus aucune retenue, 2 beaux seins que je malaxais, compressais, étirais avec fougue. Marjorie râlait de bonheur et sa langue forçait maintenant mes lèvres. Je ne lui refusait bien sûr pas ce plaisir et lui roulait une pelle à pleine bouche. Nos langues sentremêlaient, nos salives se mélangeaient.
Ma main maintenant virevoltait des seins au ventre bien plat de ma trop jolie filleule, et, par dessus le pantalon du pyjama, également sur son pubis.
Je nosais pas pousser plus loin mon avantage, de peur quelle réagisse et ne se reprenne et finalement me repousse. Ma main revenait donc sur son petit ventre puis sur un sein que jemprisonnais avant de le pétrir. Puis ma main glissait sur lautre téton et lui faisait subir le même traitement.
De son côté Marjorie ne restait pas inactive : sa langue continuait à senrouler autour de la mienne et je maperçu au bout dun moment que sa main gauche avait remplacé la mienne sur son pubis et même plus bas entre ses cuisses. Dabord sur le pyjama, sa main a ensuite glissé dans la culotte et je me rendis alors compte que la petite chérie que je prenais pour une petite fille bien sage était tout simplement entrain de se masturber la chatte !
Maintenant elle haletait doucement et je ne savais pas si cétait mes caresses sur ses roberts ou sa masturbation qui en était la cause.
Ma main dabord enveloppa cette jeune vulve quelle navait plus effleurée depuis si longtemps, puis doucement je me mis à exercer une douce caresse, le long de sa fente, sans appuyer, sans pénétrer, pendant que lautre main roulait la pointe rose et charnue dun sein. Ce petit téton que mon pouce et mon index que javais enduits de salive travaillaient savamment grossissait à vue doeil, preuve du plaisir que je communiquais à Marjorie.
Continuant ma légère caresse sur sa chatte, ma bouche quitta la sienne et vint se poser sur une mamelle quelle recouvrit de petits baisers. Ma langue titillait la petite aréole rose, tournant autour excitant davantage la pointe qui sérigea encore un peu plus. Puis mes lèvres se refermèrent sur la petite tétine que ma main faisait ressortir par sa pression de plus en plus appuyée.
Pendant ce temps, lautre main continuait lexploration de cette chatte juvénile, lindex appuyait maintenant un peu plus fort sur la fente et sinsinua entre les grandes lèvres quelle flattait. Marjorie semblait apprécier ces caresses car son corps tout entier vibrait, elle se cambrait, facilitant ainsi s,ion dans son petit con et la succion de sa mamelle.
Doucement, ma bouche quitta, a regret, le sein de Marjorie et déposait de petits baisers bien humides sur son ventre, sur son nombril que ma langue explora puis le long de la frontière formée par lélastique de la culotte de pyjama.
Marjorie narrêtait pas de geindre et les oui encore parrain chéri, ho je taime mon chéri, continue embrasse moi partout ne pouvaient que mencourager à continuer.
Jarrêtais alors mon exploration et me dégageais du corps de Marjorie alangui contre moi.
Jétais impatient den découvrir davantage, mais en même temps javais peur de brûler les étapes et deffrayer cette adorable . Elle vint très vite à mon secours :
- Vas-y mon amour, enlève ma culotte, je veux être nue dans tes bras, je veux tappartenir .
Ainsi encouragé, je lâchais lélastique du pantalon de pyjama pour mieux lagripper de chaque côté des hanches et je commençais à le faire descendre. Japerçu alors lentrecuisse que Marjorie, impudique, me dévoilait. Ma queue à cet instant était tendue à lextrême, mais je résistais à lenvie de venir lécher cette fente quon moffrait et continuais de faire descendre la culotte le long des belles jambes galbées de Marjorie. Enfin elle fût nue et je remontais lentement en embrassant fougueusement ses petits pieds si charmants, puis ses mollets , ses genoux, lextérieur de ses cuisses à la peau si douce, puis une fois arrivé à mi-cuisse, ma bouche dévia vers lintérieur des cuisses, effleurant la peau au grain si soyeux.
Marjorie alors se redressa et je crus que mon beau rêve sarrêtait là. Elle venait de réagir et de se rendre compte de ce quon faisait. Elle me repoussait, ne voulant plus des caresses amoureuses de son oncle, cet homme qui avait près de 35 ans de plus quelle, Elle me refusait son corps que je mapprêtais à pénétrer.....
Il nen était rien et très vite Elle me rendit mon bonheur.
- Viens dans ma chambre Parrain chéri, on sera mieux pour saimer ! .
Je me relevais aussitôt et pris ce jeune corps tout chaud dans mes bras et nous sommes montés au premier étage, dans la chambre de jeune fille de celle qui je nen doutais plus maintenant allait devenir ma maîtresse.
Marjorie ouvrit la porte de sa chambre et nous y pénétrâmes. Le lit était encore défait et je voulus y déposer mon précieux fardeau. Marjorie men empêcha et me força à la poser sur la moquette. Je crus un instant à un revirement de dernière heure de sa part. Mais non, ma jolie filleule se dirigea vers son armoire et sorti une serviette de bain en éponge.
-Pour protéger les draps, me dit-elle, car tu sais ....je suis vierge !
Je nen croyais pas mes oreilles, cette splendide créature navait encore jamais fait lamour et cest à moi quelle offrait sa virginité. Cest moi qui allais la déflorer, faire sauter sa pastille !
Tu es sure de le vouloir ? Tu as vraiment envie dêtre dépuceler par moi ?
Oui, mon Parrain chéri, depuis que jai eu mes premières règles, jai toujours pensé que cest toi qui me perforerait. Je te réservais ma fleur, je commençais à trouver le temps long ! Je craignais que tu ne veuilles pas de moi !
Mon trésor, moi aussi il y a déjà un moment que jai envie de toi, tu es si belle, si attirante ! Mais javais peur que tu me repousses !
Assez parlé maintenant mon Tonton damour ! Occupe-toi de mon corps, il tattend ! .
Marjorie se pencha pour étaler la serviette sur le lit, offrant ainsi à mon regard son joli petit cul : deux magnifiques petites fesses rondes, bien fermes, séparées par un étroit sillon. Mes mains se posèrent immédiatement dessus, enveloppant le galbe parfait. Je caressais puis malaxais les miches de Marjorie, puis je me collais contre elles. Ma bite était sorti du pyjama par la braguette et venais frotter contre sa raie, arrachant à ma Belle quelques gémissements de plaisir. Je remontais mes mains le long de sa colonne vertébrale. Sa peau était douce et soyeuse. Ensuite, elles bifurquèrent vers les seins et tandis que ma queue glissait entre ses cuisses, le long de sa fente maintenant bien humide, sans toutefois la pénétrer. Collé ainsi à elle, jenveloppais ses mamelles et commençais à les étirer. Je pris les pointes entre pouces et index et je tirais dessus. Marjorie poussa un petit cri de douleur qui se transforma vite en cri de jouissance, Oui je crois bien que là, pour la première fois ma gentille nièce jouissait sous mes caresses et sur laction de plus en plus appuyée de ma tige. Cette impression fût dailleurs vite confirmée par le flot de cyprine qui séchappa de sa moule et lubrifia mon braquemart.
Marjorie avait maintenant terminé dinstaller la serviette et à regret, elle se retourna.
Je posais alors mes mains sur ses épaules, la forçant ainsi à sasseoir sur le bord du lit.
Enlève-moi mon pantalon de pyjama, ma chérie, lui dis-je... .
Sans se faire prier, Marjorie obéis et je me retrouvais ainsi à mon tour complètement nu devant cette ado vierge pour quelques instants encore....
ment, ma queue triomphante se trouvait à hauteur de sa bouche et je linvitais à lui dire bonjour. Marjorie approcha ses lèvres de mon gland quelle embrassa timidement. Puis senhardissant, elle le décalotta et le pris entre ses lèvres tandis que ses mains caressaient ma tige. Leffet fût instantané et bien que déjà terriblement gonflée et raide, ma bite durci encore et augmenta encore de volume. Je crois bien quelle navait jamais été aussi impressionnante.
Si Marjorie était vierge, elle avait dû déjà pratiquer la fellation, car visiblement elle nétait pas une débutante dans lart de tailler les pipes. En effet, ses mains expertes parcouraient ma tige tandis que ses lèvres et sa langue flattaient mon gland. Bientôt toute ma queue disparue dans sa bouche et ses doigts vinrent tripoter mes burnes. Ils commencèrent par les caresser, puis les malaxer doucement, plus violemment et enfin rageusement ses mains tiraient sur mes couilles, les écrasant lune contre lautre.
Marjorie lâcha alors un instant ma bite et ses lèvres vinrent lécher mes bourses puis elles se saisirent de lune delles quelles aspirèrent. Bientôt se furent mes 2 prunes qui étaient englouties dans la bouche de ma petite salope de nièce.
Jétais au bord de lextase, mais Marjo navait pas encore fini de samuser. Elle abandonna mes couilles et revint lécher mon braquemart au bord de lexplosion. Sa langue remontait ma queue des burnes jusquau gland quelle titilla avant de lavaler à nouveau.
Nen pouvant plus, je me retirais en prévenant Marjo que jallais jouir. Mais, plus rapide que moi, elle retint mon pieu dans sa bouche et me dit :
Non, reste ! Jouis dans ma bouche. Lâche ta liqueur au fond de ma gorge, je veux tout avaler !
Abasourdi, je neus même pas le temps de répliquer que toute ma purée giclait dans la bouche de Marjo. Trois longs flots de foutre bien épais que la petite salope avala goulûment.
Je nétais pas le seul à jouir à cet instant là, car Marjorie complètement en transe cherchait à aspirer la moindre goutte de sperme en gémissant et en se trémoussant. Visiblement elle avait le feu au cul et la cyprine qui coulait le long de sa chatte me le confirmait bien vite. Son langage inhabituel aussi me fît comprendre que ma jolie nièce était en plein orgasme :
Oui mon chéri ! Vas-y, encore une giclée de foutre, jaime ça, cest bon, cest chaud ! Ho! Je jouis moi aussi, je mouille comme une chienne. Une chienne que tu vas baiser. Tu vas me défoncer hein ? Tu vas faire sauter ma pastille ! Je veux sentir ta bite au fond de ma chatte.
Tandis quelle me sortait ces propos tout à fait inconvenant et qui pourtant mexcitait terriblement, jeus la surprise de sentir que lindex de ma filleule sétait posé sur mon anus et quil commençait un savant massage de mon oignon. Avant que jaie pu faire quoi que ce soit, elle me fouillait le cul comme jamais une femme me lavait encore fait !
Le résultat escompté par ma jeune partenaire ne se fit pas attendre et une nouvelle rasade de foutre inonda sa bouche.
Ho quel bonheur ! Merci parrain chéri. A toi maintenant, lèche-moi la chatte ! Elle est grande ouverte pour toi ! Fouille-moi bien, mon clitoris nattend que ça!
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