Gisèle 2

Après la première aventure à trois, nous reparlâmes de ce qui était arrivé, de la réalisation de ce fantasme commun et Gisèle me fit part du sentiment trouble qu'elle éprouvait, a savoir un mélange de honte de se mal conduire et d'un niveau d'excitation étrangement élevé. Elle finit par avouer qu'elle ne serait pas opposée à une nouvelle aventure de ce style si l'occasion s'en présentait car ni l'un ni l'autre ne souhaitions à l'époque tenter notre chance par annonce ou club de rencontre.
Depuis cette initiation, je remarquais avec plaisir que pas mal de choses avaient évolué chez Gisèle, ses jupes étaient un peu plus courtes ou un peu plus fendue, ses chemisiers un peu plus échancrés, un bouton supplémentaire défait, ses talons un peu plus hauts. Avec ravissement, je constatais également que les strings avait fait leur réapparition dans sa garde robe, ainsi que les bas et portes jarretelles. Son comportement s'était également modifié, lorsque nous étions seuls il lui arrivait parfois de rester nue ou d'enfiler uniquement une paire de bas auto fixant ou avec porte-jarretelles. Nous passions alors de merveilleux moments qui se terminaient en étreintes passionnées.
Nous avions l'habitude de fêter l'anniversaire de notre rencontre, quelques jours auparavant, Gisèle me demanda :
"Pour notre anniversaire, veux-tu que je me fasse sexy ?"
Bien évidemment, je répondis par l'affirmative,
"Bien, je ferais quelques courses, mais tu ne verras le résultat que samedi" ajouta-t-elle malicieusement.
Le jour dit, elle réquisitionna la salle de bain pendant un long moment. Avec curiosité je patientais dans une autre pièce. Cette patience fut récompensée par la vision de la superbe femme qui apparut. Une superbe silhouette tout de noir vêtu, talon haut, jupe courte de tailleur, savamment maquillée avec une bouche particulièrement bien dessinée. Lentement elle fit glisser la veste du tailleur puis pivota sur elle-même pour se faire admirer avant de me faire face à nouveau.

Au passage, comme elle le souhaitait sûrement j'avais pu constater que ses bas étaient à couture dont elle savait que je raffolais et dont j'adorais suivre le tracé en partant de la cheville vers des endroits prometteurs de jouissance. Le chemisier qu'elle portait était en nylon noir transparent et découvrait son orgueilleuse poitrine dévoilée presque jusqu'aux auréoles par un soutien gorge à balconnet noir également qui tenait plus de l'éventaire que du sous-vêtement.
Je tentais de l'approcher en la complimentant sur sa beauté et lui faisant valoir que nous n'étions pas si pressés mais elle me repoussa gentiment en disant qu'un peu d'attente ne ferait qu'augmenter notre plaisir. Bon gré, malgré je me rendis à l'argument et nous partîmes pour le restaurant retenu. Dans la voiture, elle ne fit rien pour cacher les jambes que la jupe dévoilait et je ne pus m'empêcher de poser une main exploratrice sur les cuisses dénudées. Ma main remontant arriva à la lisière du bas et je caressais du bout des doigts la peau nue sans pouvoir poursuivre plus haut mon avantage vu l'étroitesse de la jupe qu'il aurait fallu retrousser pour arriver à mes fins. Nous arrivâmes bientôt et je me garais et sur le parking du restaurant, et lui demandais :
"Tu veux me faire plaisir ?"
"C'est notre soirée, bien sûr que je veux te faire plaisir"
"Alors enlève ta culotte"
"D'accord" répondit-elle en souriant, et je savais que je geste lui coûtait un peu car elle me disait ne pas être une inconditionnelle "sans culotte".
Dans un geste très érotique elle retroussa difficilement sa jupe, glissa une main sous celle-ci pour attr le bord de cette encombrante culotte puis se soulevant légèrement dégagea son bassin de l'emprise du sous-vêtement puis le fit glisser le long de ses jambes. Elle me le tendit en disant ,
"C'est dommage quand même, regarde comme il était joli"
Effectivement j'empochais un ravissant string transparent acquis pour l'occasion et fit le tour de la voiture pour lui ouvrir la portière.
Elle prit, bien entendu tout son temps pour descendre en prenant bien soin d'écarter les jambes, marquant même un temps d'arrêt au moment ou elles étaient le plus ouvertes.
Nous prîmes place à la table réservée à notre attention et pendant que nous dégustions l'apéritif je lui demandais d'un air entendu :
"Tu ne trouves pas qu'il fait un peu chaud ici ?"
"Tu ne veux quand même pas que j'ôte ma veste" répondit-elle me voyant venir
"Et pourquoi pas, c'est bien toi qui voulais être sexy"
"Bon d'accord" consentit-elle
Après un temps d'hésitation elle déboutonna puis quitta le vêtement superflu. Dans l"éclairage diffus elle était magnifique. Ses lèvres bien dessinées étaient une invite constante et de temps en temps, elle passait dans une proposition muette le bout de sa langue sur sa lèvre supérieure, et surtout, j'avais un mal fou à détacher mes yeux de son buste presque à demi dénudé pensant qu'au premier mouvement brusque de sa part un sein jaillirai de son reposoir. Elle intercepta mon regard, et avec une lueur coquine, se mis a respirer de façon profonde faisant gonfler ses rondeurs au (presque) maximum.
Je me penchais vers elle pour lui faire part de l'émoi qu'elle provoquait en moi et qu'en fait elle me faisait terriblement bander. Elle ajouta :
"J'espère bien, je fais tout pour ça, je vais t'allumer jusqu'à temps que tu n'en puisses plus".
Effectivement elle continua un temps ses manœuvres de séduction qu'elle lisait couronnées de succès dans mes yeux.
Et puis, sous un prétexte quelconque, sel, feu …je ne sais plus trop, les voisins de la table située à côté de la notre engagèrent la conversation. Je remarquais bientôt qu'ils avaient tous deux, à mon goût, des regards assez enveloppant, voire insistant, à l'égard de mon épouse. Je remarquais également que celle-ci n'avait pas remarqué ce petit manège puisqu'elle continuait de temps en temps son petit jeu respiratoire. Je me demandais quand même, leurs regards étant somme toute assez peu discret, si elle ne l'avait pas remarqué et qu'elle ne cherchait pas à me rendre un peu jaloux de sorte d'augmenter mon désir.

Le repas touchant à sa fin, ils nous dirent connaître une boite sympa et demandèrent si nous voulions les accompagner. Nous échangeâmes, comme si le temps semblait s'arrêter, un regard dans lequel passa bien des expressions, étrangeté de cette proposition de la part d'inconnu, puis complicité, entrevoyant une issue pleine de sensualité, et encore désir et appréhension de peut être au début d'une nouvelle aventure… La complicité, avec une perspective d'aventure semblant l'emporter, nous acceptâmes. Gisèle se leva, et se dirigea vers les toilettes pour se remaquiller. Je surpris les deus hommes échanger un clin d'œil de connivence. Un peu interloqué, ne souhaitant pas être dépendant, je leur proposais de prendre ma voiture. Pendant le trajet qui dura trois quarts d'heure, nos nouvelles connaissances, Michel et Jean Luc rivalisèrent d'humour pour égayer ce temps de transport pendant lequel je me demandais avec à la fois inquiétude et impatience ce qui allait bien pourvoir se passer et de quelle façon. Nous arrivâmes à une boîte de nuit qui nous était inconnue, bien entendu, lumière tamisée, piste de danse entourée de petits box intimes. Michel et Jean Luc semblant bien connaître l'endroit nous guidèrent vers l'un d'eux. Michel alla commander les consommations et j'en profitais pour inviter Gisèle à danser.
Après quelques secondes silencieuses elle demanda
"Si j'ai bien compris, bien interprété ton regard et lut dans tes pensées, tu souhaiterais que je me fasse sauter par ces deux types, n'est ce pas ?"
"Je souhaite …je souhaite …et toi est-ce que tu veux"
"Je ne sais pas trop"
"Ils ne te plaisent pas ? Pourtant moi aussi j'ai cru lire ce qui ce passait dans ta petite tête …"
"Oh c'est n'est pas cela, ils ne sont pas mal …"
"Alors, tu n'as pas envie de faire l'amour, c'est cela ?"
"SI pour avoir envie, j'ai envie, tu m'as presque fait déshabiller devant tout le restaurant, tu pense bien qu'à moi aussi cela m'a fait de l'effet, je suis dans tous mes états.
Dis moi franchement, as-tu envie de me voir faire l'amour avec eux ?"
"Te voir avec eux, oui j'aimerais … j'avais adoré cela la première fois"
"Oui, mais là, ils sont deux, et il me paraissent être de drôle de fêtard"
"De toute façon, la décision t'appartient, c'est toi qui te feras prendre, c'est toi qui décide"
Elle se serra contre moi et répondit :
"Cela m'excite que tu dises que je vais me faire prendre, j'angoisse un peu c'est vrai mais bon, nous avions dit que nous recommencerions, après tout, c'est peut être l'occasion, mais peut être aussi qu'ils n'attendent pas cela de nous …"
"Oh alors la cela m'étonnerait, tu as bien vu de la façon dont ils te regardaient, je suis tranquille, et puis, tu peux toujours les séduire si tu vois qu'ils n'ont pas les réactions qu tu souhaiterais"
Nous regagnâmes nos places et trinquâmes avec Michel et Jean Luc qui portèrent un toast au charme de Gisèle.
Jean Luc invita ma compagne à danser et je restais seul avec Michel à regarder ce qui se passait sur la piste. Il me semblait que l'ambiance de la boite avait quelque peu changée. Des couples de danseurs évoluaient sur la piste, les hommes caressant ouvertement leurs cavalières, les femmes s'offrant à ces caresses et elles même en prodiguant certaines assez osées sur ou dans la braguette de leur partenaire. Une femme avait même laissé son cavalier ouvrir son chemisier et dansait maintenant seins nus.
Michel m'expliqua que la boite devenait de plus en plus chaude au fur et à mesure de la nuit et qu'elle était un lieu de rencontre pour échangiste, il ajouta même d'ébat pour échangiste en me montrant un rideau au fond de la salle. Puis, il me dit :
"Vous avez vraiment de la chance, Gisèle est une belle femme, vous ne devez pas vous ennuyer avec elle" et devant mon acquiescement il ajouta :
"Vous ne seriez pas là, nous aurions essayé de la séduire"
"Et en quoi ma présence vous gêne, vous paraissez être bien sûr de vous ?" répondis-je, à sa surprise, désirant un peu brusquer les choses.
"Ah vous …vous seriez complaisant et complice… et …Gisèle est d'accord…? Dits-moi, vous êtes des habitués de ce genre de choses ?"
"Habitué est un grand mot, cela ne nous est arrivé qu'une fois et je crois que ma femme avait assez aimé".
"Et vous aimeriez tenter une autre expérience ?"
"Je crois que oui, mais permettez moi un question, vous venez de ma dire que VOUS auriez tenté de la séduire, vous tentez toujours de draguer à deux".
" Oui, cela multiplie les possibilités et nous nous sommes aperçus que quand certaines femmes étaient bien parties, elles adoraient êtres prises par deux partenaires qui se relaient pour les faire jouir, si tu n'y vois pas d'inconvénient nous pourrions essayer avec Gisèle cela pourrait être très intéressant et puis, je te l'ai déjà dis, elle a tout pour plaire…Elle semble avoir ce qu'il faut là ou il faut " et il ajouta "et puis, je certain que tu aimerais voir ta femme s'offrir à nous comme une cochonne, si ut permets, on va te la dévergonder un peu…"
Je lui fit part de mon consentement tout en étant un peu hésitant sur les réactions de ma femme, objection qu'il balaya rapidement en disant "Ne t'inquiète pas je suis sûr qu'elle est très chaude et qu'elle va aimer…On va tout lui faire", et il reprit.
"Je vais annoncer cette bonne nouvelle à Jean Luc" me dit-il en se levant "et à Gisèle, bien sûr, qu'elle soit au courant de ce qu'il l'attend…, pas vrai ?" et il se dirigea vers le couple.
Pendant ce temps, Jean Luc n'était pas resté inactif. Bien entendu, il avait assez étroitement enlacé Gisèle, puis l'avait assez habilement baratiné en parfais séducteur, avec quelques caresses légèrement esquissées mais bien réelles. Ma femme se laissait faire sans regimber donnant un consentement muet à ses agissements. Puis ils virent Michel se diriger vers eux. Celui ci passa un bras autour de la taille de Gisèle et dit
"Je viens d'avoir une super conversation avec Philippe, mon vieux ! la soirée risque d'être animée, il paraît que Gisèle est depuis peu une adepte de la pluralité masculine, on pourrait peut être lui faire passer une soirée torride " lança t il en regardant Gisèle qui, troublée se sentit rougir.
Pendant un court moment ils restèrent ainsi, l'un la tenant dans ses bras et l'autre par la taille. Elle m'avoua plus tard s'être sentie à cet instant particulièrement vulnérable mais très excitée entre les deux hommes. Puis Michel ajouta,
"Tu me laisse faire connaissance avec Gisèle, changement de cavalier !"
Mon épouse changea donc de partenaire. Celui ci l'attira contre lui, lui relata notre conversation, plaisanta sur le fait que je l'avais mis au courant de notre précédente aventure, et la rassura en lui disant qu'ils feraient de leur mieux pour qu'elle passe une soirée inoubliable et qu'ils se relaieraient pour qu'elle atteigne une jouissance maximum. Il la sentit s'amollir contre lui, et se faisant elle ne pouvait plus rien ignorer de l'érection qu'elle déclenchait.
"Tu sens l'effet que tu me fait ?demanda t il
Elle répondit par l'affirmative et lui dit que si je n'avais pas été là il l'aurait entraînée dans les toilettes, fait appuyer sur la cuvette, troussée et prise de cette façon et qu'après lui Jean Luc lui aurait succédé.
"Tu te serais laissé faire"
"Peut être, je ne sais pas trop…" répondit-elle
Avisant la femme à la poitrine dénudée, il lui demanda si elle avait déjà fait la même chose dans un lieu public. Comme elle répondait négativement, tout en les caressant, posant la main sur l’un d’eux, il lui proposa sans vergogne de dénuder ses seins opulents. Elle refusa, et ils dansèrent un petit moment encore Michel l'embrassant dans le cou. Gisèle sentant qu'elle ne pourrait pas longtemps lui refuser ses lèvres, souhaita nous rejoindre Jean Luc et moi. Une main posée sur ses fesses il la raccompagna et lui fit prendre place entre eux deux.
Nous trinquâmes une nouvelle fois mais cette fois ci à la suite de la soirée. Puis une légère gêne s'installa, que dissipa Jean Luc en faisant renouveler les consommations et Michel proposant ensuite un jeu :
"Je vous propose un jeu"
"Un jeu ?" l'interrogeais-je
"Oui, par exemple deviner quelle est la couleur du slip de Gisèle"
"Le jeu va être vite fini, elle l'a ôté en entrant au restaurant" commentais-je fixant ma femme dans les yeux, et j'ajoutais aussitôt ayant conscience de précipiter les choses "vous pouvez vérifier…".
Michel me regarda en acquiesçant et demanda à Gisèle
"C'est vrai, je peux vérifier, tu veux bien ?"
Je la vis avaler sa salive, baisser les yeux et répondre affirmativement. Michel posa la main en haut du genou de Gisèle puis commença à la caresser la cuisse découverte par la jupe. Puis la main commença une lente remontée sous celle ci. Pour facilité la progression de son compère, Jean Luc parallèlement, remontait la jupe qui laissa apparaître la limite inférieure du bas.
Continuant son manège, il lui dit :
"Allez ne fais pas ta timide, écarte tes cuisses…"
La main de Michel glissa vers l'intérieur des cuisses qui désormais s'ouvraient pour la laisser progresser. Cette main avait maintenant atteint la limite supérieure du bas et s'attarda un moment à cette frontière, jouant avec l'attache de la jarretelle. Jean Luc retroussa encore la jupe et me demanda d'ordonner à Gisèle d'écarter davantages ses jambes pour tous profitent du spectacle. Elle obtempéra, appuyée contre le dossier, la respiration haletante, les yeux fermés elle ne semblait plus qu'attendre le contact final. Jean Luc la complimenta sur son goût.
"Hummm, très joli, j'adore les femmes qui mettent des bas, surtout sans culotte" dit-il
Pendant ce temps Michel caressait la peau nue au-dessus des bas, puis effleura les boucles soyeuses et ses doigts atteignirent leur cible. Gisèle eut à ce moment une légère crispation puis sembla s'abandonner complètement à la main qui prenait possession de son entrejambe. Michel nous dit alors :
"J'ai vérifié, c'est bien vrai, Gisèle ne porte pas de slip, des bas… pas de slip… humm, elle était prête pour l'aventure"
"Pas complètement" ajouta Jean Luc "elle avait mis un soutien gorge"
"Enlèves lui", lui proposais-je
Sans hésiter, il posa sa main sur buste qu'il caressa à travers le voile transparent, puis un à un fit céder les boutons du chemiser et en écarta les pans en lui disant :
"Je vais te les mettre à l'air, ce sera plus facile pour te les peloter"
Gisèle la tête renversée en arrière ne répondit rien et Jean Luc dégrafa les attaches des bonnets, puis passant une main dans son dos fit sauter l'attache du soutien gorge qu'il lui fut facile ensuite de retirer. Il déboutonna le corsage jusqu'à la jupe, écarta les pans de celui ci et pris un sein à pleine main. De son autre bras, il entoura ses épaules, attira son visage vers lui pour l'embrasser. Gisèle ne résistait pas le monde, et je contemplais mon épouse, jupe retroussée, cuisses écartées, chemisier ouvert, seins exposés, se faisant caresser par l'un, offrant goulûment sa bouche à l'autre qui et la pelotait en même temps sans retenue et le tout dans un lieu public …J'étais dans un état d'excitation incroyable. Puis ce fut au tour de Michel de prendre possession de ses lèvres pour, le mot juste est, un patin monstrueux qu'elle rendait à pleine langue. Puis elle passa d'une bouche à l'autre jusqu'au moment elle éprouva un premier orgasme sous l'effet des caresses intimes. Se tournant vers moi, Michel proposa
"Nous pourrions finir la soirée chez moi, nous y serions plus à l'aise pour profiter de Gisèle".
Je vis dans ses yeux aux lueurs perverses tout ce que pouvait signigier le mot "profiter", et dans ceux de ma femme un mélange de désir et d'inquiétude. Bien entendu tout le monde fut d'accord sur cette proposition. Il retira ses doigts du vagin trempés, les fit humer à Jean Luc qui eut l'air approbateur et qui s’exclama :
"Eh bien eh bien ! on ne va pas s'ennuyer"
Michel demanda ensuite à mon épouse de lui lécher les doigts, puis ils dégagèrent ensuite de sa jupe les pans du chemisier qu'ils réunirent et reboutonnèrent dans le dos laissant sa poitrine complètement nue en disant :
"Tu vois toi aussi, maintenant tu les fais voir.."
Pour aller rechercher sa veste c'est dans cette tenue qu'elle dû traverser la boite ou l'ambiance était maintenant totalement débridée. Jean Luc me précisa que la soirée finirait dans une incroyable partouze derrière le rideau, il me dit aussi que si Gisèle aimait cela, l'après midi, l'entrée était gratuite pour les femmes seules et les couples, et que celles qui y venaient n'avaient pas le temps de s'ennuyer, je notais cette information dans un coin de ma tête.
Arrivé à la voiture, je pris le volant, Michel à coté de moi, et Jean Luc et Gisèle à l'arrière ou il commença à l'entreprendre. Je vis dans le rétroviseur qu'il lui avait demandé de retirer sa veste qu'il embrassait ses seins, puis baisait sa bouche. Il avait également retroussé sa jupe et à son tour avait sûrement pris possession de son entre-cuisse. Michel s'était retourné pour profiter du spectacle offert et au bout de quelques centaines de mètres, protesta, disant que cela était injuste que seul Jean Luc profite de Gisèle et me demanda de m'arrêter le temps qu'il rejoigne la banquette arrière. Pour la forme, je demandais son accord à Gisèle
"Veux-tu que Michel vienne avec vous à l'arrière ?"
"Oui" répondit-elle dans un souffle.
Je me garais, Michel descendit, pris place à son coté et la séance de la boite repris de plus belle. Embrassée, léchée, masturbée, ils voulurent à un moment retrousser complètement sa jupe pour mettre ses fesses à nu. L'étroitesse du vêtement rendit impossible leur projet.
" On va te l'enlever complètement, mais tans pis pour toi tu es prévenue, si on l'enlève, il faudra que tu sortes cul nu dans la rue, d'accord ?" dit Michel.
"D'accord" entendis-je répondre Gisèle
Le bruit d'un zip et dans la glace je la vis se soulever complaisamment pour leur permettre de faire glisser le vêtement gênant leurs desseins.
"Voilà tu es plus à l'aise, vas y écarte les cuisses en grand, oui, comme cela, passes les par-dessus nos jambes, oh qu'elle est mouillée, deux doigts, comme dans du beurre, voilà, attends je vais t'en mettre un troisième pour que tu sentes mieux, voilà" s'exclama Jean Luc tendis que Michel lui pétrissait les seins en l'embrassant. Le voyage devenait éprouvant et j'accélérais. Sans se préoccuper de rien Gisèle se laissait faire en gémissant. Michel avait passé une main dans son dos et commençait vraisemblablement à se glisser dans la raie de ses fesses. Un majeur inquisiteur se positionna sur son anus, tentant de s'y introduire. Les cahots de la voiture et le traitement qu'ils lui infligeaient firent céder sans problème l'anneau qui s'offrit à la pénétration digitale.
"Eh bien ! de ce coté là ça rentre bien aussi, tu l'encule souvent ?"
"De temps en temps oui, surtout quand elle est bine chaude" répondis-je
"Et ce soir, tu est bien chaude ?" lui demanda-t-il. Elle admit que "Oui elle se sentait chaude" Ce à quoi il il laissa échapper un "Bien, bien !" lourd de sous entendu et de promesse. L'idée de voir mon épouse se faire sodomiser encore une fois par un (voire deux) inconnu me fit bander douloureusement. C'est ainsi que doublement masturbée, elle pris son plaisir à nouveau.
"Il va falloir que tu t'occupes de nous aussi" dit alors Michel "tiens, prends ma queue, après tu nous suceras"
"Et la mienne aussi tiens" ajouta Jean Luc "ah dommage on est arrivé !"
Je ma garais, arrêtais le moteur et me retournais pour contempler la scène de celle qui était mon épouse et qui s'offrait sans retenue, sans jupe, cuisses écartées ouvertes aux doigts qui la branlaient devant comme derrière, le chemisier complètement ouvert, les seins à l'air, décoiffée, manipulant un sexe dans chacune de ses mains. Nous sortîmes de la voiture, chose promise, chose due, fesse à l'air et dépoitraillée pour Gisèle que j'attirais enfin contre moi pour l'embrasser avec passion pendant que Michel ouvrait la porte de son pavillon.
Une fois entrés, je la débarrassais de son chemisier la laissant en porte-jarretelles bas et chaussure à talon et lui demandais :
"Tu passe une bonne soirée ma chérie"
"Pas mal, j'ai honte mais je suis dans tous mes états" me souffla-t-elle les yeux brillants d'excitation et d'inquiétude due à l'imminence du moment de vérité.
"N'aie pas d'inquiétude, pour en avoir, tu vas en avoir, regarde" prévint Jean Luc de déshabillant en un clin d'œil et exhibant une verge dressée de bonne taille. Il s'approcha et elle la prit dans sa main.
"On est pas là pour rigoler" lui dit il "Suce moi" ajouta t il en faisant pression sur son épaule. Elle s'agenouilla docilement et après m'avoir lancé un regard trouble emboucha le membre proposé. Michel et moi nous déshabillâmes à notre tour et firent cercle autour de Gisèle. Celle ci, entreprit une fellation tournante, suçant l’un et branlant les deux autres, intervertissant les membres dressés devant elle. Ceux de ses deux nouveaux partenaires étaient bien dotés par la nature et leurs sexes étaient, je dois le reconnaître avec dépit, bien plus gros que le mien ce qui semblait ne pas déplaire, bien au contraire, à ma chère et tendre petite femme qui ouvrait en grand la bouche pour pourvoir les recevoir et passer de l’un à l’autre. Ils la complimentèrent sur ses talents "de tailleuse de pipes" et ajoutant qu’avec un peu de pratique encore, "elle serait parfaite".
Puis Michel l'interrompit dans ses activités bucco manuelles pour l’entraîner vers la table du salon ou il la fit allonger sur le dos, lui releva les jambes qu’elle maintint ouverte, il pointa son sexe à l’entrée de celui de Gisèle et la pénétra à fond d’une seule poussée. Elle laissa échapper un râle de plaisir qui fut bien vite étouffé par la verge que Jean Luc lui enfourna aussitôt dans la bouche. Je me positionnais en face de lui de façon à ce que, tournant la tête à droite et à gauche, elle puisse nous prendre entre ses lèvres à tour de rôle pendant que Michel la pénétrait puissamment. Après quelques instant de cette possession Michel me dit :
"Tu veux peut être baiser ta p'tite femme ?
Je répondis par l'affirmative et il se retira pour me laisser la place rendue incroyablement accueillante du fait de l'excitation dans laquelle elle avait été maintenue toute la soirée et de la précédente pénétration. Michel avait pris ma place et je voyais ma femme masturber et aspirer les deux mandrins avec délectation pendant que ses deux amants lui pétrissaient les seins sans ménagement. Brusquement, je sentis son bassin pris de frénésie, le brûlant fourreau de son sexe se contracter autour de mon pénis et l'inonder de son flot de jouissance.
"Encore…encore,…encore… Ouiii" gémit-elle en jouissant.
Ses contractions eurent pour effet de hâter ma propre jouissance et à mon tour j'atteignis un plaisir intense. Jean Luc la fit descendre de la table, puis mettre à quatre pattes à même le sol, et la prit en levrette les mains agrippées à ses hanches. Michel avait quand à lui repris possession de sa bouche. Chaque coup de boutoir de Jean Luc la précipitait sur la queue tendue de Michel qui demanda à Jean Luc :
"Qu'est que tu préfère, la chatte ou la bouche ?"
"On reste comme on est, je me ferais sucer plus tard Ok "
"Ok alors ralenti un peu, je vais lui rincer la bouche"
Jean Luc maintint son sexe profondément enfoncé et stoppa son va et vient, Michel en profita pour goûter le savoir-faire de Gisèle qui le suçait avec application. Dans un grondement sourd, il annonça sa jouissance. Gisèle resserra ses lèvres autour du membre pour ne pas en laisser échapper une goutte, comme elle me le faisait souvent. Puis Michel se retira, elle commença à avaler lentement la semence qui lui remplissait la bouche. Elle ne pu achever sa dégustation car Jean Luc avait commencé à la pilonner avec violence, lui laissant échapper un cri, ce qui fit qu’un peu de sperme lui coula sur le menton. Les deux amants eurent presque simultanément un dernier orgasme qu’ils manifestèrent bruyamment. Sous l’excitation produite par la situation nous n’avions pas vraiment débandé et Michel proposa de « continuer la fête ». Il s’assit dans un fauteuil, convia Gisèle à s’empaler sur lui en lui tournant le dos. Elle l’enjamba, plaça son sexe à l’aplomb de celui de son partenaire, et lentement se laissa glisser autour de la pine dressées. Nous lui présentâmes avec Jean Luc nos membres à sucer une nouvelle fois. Michel ne restait pas inactif, tantôt la prenant par la taille pour accompagner ses montées et descentes, tantôt titillant son clitoris, mais, le plus souvent il empoignait ses seins, qu’il semblait particulièrement apprécier et auxquels il faisait subir un traitement qui me semblait assez viril mais que sa partenaire appréciait puisqu’elle ne s’en plaignait pas, parfois sa main disparaissait dans son dos et vu comment Gisèle se tortillait dans ces moments, il était évident qu’il lui introduisait un ou plusieurs doigts dans l’anus. Gisèle pendant ce temps nous offrait la douceur de sa bouche, tout en nous branlant ou nous caressant les couilles, alternativement elle nous pompait avec entrain, embrassant, suçant, léchant nos queues tendues les mettant bout à bout pour lécher l'ensemble, et même sur les injonctions de Jean Luc elle les rapprocha, les mit bien parallèles et se distendant les lèvres emboucha nos deux pines. Je pouvais lire dans son regard tout le plaisir qu'elle ressentait et suivre la progression de son plaisir qui la fit brusquement se cambrer, et se rejetant en arrière clama sa jouissance accompagnée en cela par Michel qui intensifia sa pénétration jusqu'à la fin de son éjaculation. La vision de cette jouissance torride déclencha mon propre plaisir et je répandis à mon tout mon foutre mi dans la bouche de mon épouse, mi sur son visage.
Jean Luc dont les forces étaient encore intactes, fit lever Gisèle puis lui demanda de s'agenouiller, un genou sur chacun des bras du fauteuil et de s'y accouder. Il la fit se cambrer, lui demanda de lever haut ses fesses et dans cette position obscène ou elle exposait sans vergogne sa croupe il commença à lui masser la raie et l'œillet bistre qui avait commencé d'être dilaté par son compère en annonçant son intention de l'enculer. Une fois l'orifice élargi, il y présenta son gland et entama un lent mais inexorable envahissement. N'ayant pas l'habitude du diamètre, Gisèle grimaça sous l'effet d'une brève douleur, puis une fois passée l'intromission du gland ses traits se détendirent et Jean Luc acheva de lui enfoncer son dard de toute sa longueur. Après un bref répit, il débuta un long va et vient dans les reins de sa partenaire. Je trouvais cette situation délicieusement dégradante de voir mon épouse ainsi disposée sur le fauteuil dans une position particulièrement obscène qui ne lui permettait que d'ouvrir ses cuisses dans leur plus grand écartement et supporter les assauts de son partenaire qui lui perforait la croupe et faisait ballotter ses seins au rythme de la pénétration. La bouche entre ouverte elle laissait échapper maintenant de petit gémissement, signes évident de son plaisir qu'elle finit par prendre ainsi que Jean Luc qui lui inonda les entrailles.
Michel et Jean Luc convoitant encore Gisèle n'étaient pas désireux de nous voir partir, nous nous accordâmes dont un temps de repos ou nous nous désaltérâmes tout en embrassant et caressant notre partenaire qui ne demandait que cela et nous rendait baisers et caresses. Les caresses devenant beaucoup plus appuyées et plus pénétrantes à nouveau nous recommencions à avoir une légère érection. Après avoir échangé un clin d'œil avec Jean Luc, Michel déclara sans trop se préoccuper de moi:
"Bon maintenant on va te prendre en sandwich"
Gisèle me lança un regard éperdu nous avions bien sûr vu cette situation dans des films X et pour elle cela représentait un des sommets de la perversion, et que dans l'absolu elle souhaitait, bien que la redoutant, tenter l'expérience. Mais là elle était au pied du mur et se récria :
"Ce n'est pas possible, je ne l'ai jamais fait et puis vous êtes trop gros, vous aller me déchirer"
"Mais non, tu vas voir, on le fait à toutes celles qu'on drague, elles ont adoré, et puis, je crois que tu a été un peu élargie, non ?"
"Oui c'est vrai, d'ailleurs, je l'ai sentie passer quand tu ma sodomisée, écoutez, je veux bien essayer, mais vous me promettez d'arrêter si j'ai trop mal, n'est ce pas Philippe, tu leur dira d'arrêter"
J'acquiesçais et Michel repris
"Ok, comme tu veux, je sûr qu'avec une baiseuse comme toi il n'y aura pas de problème, tu vas jouir comme jamais tu n'as jouis" et il ajouta à mon intention "elle sont toutes pareilles, tu vas voir, ta femme comme les autres, de vraies vicieuses"
Jean Luc s'allongea sur le dos, et pria Gisèle de venir sur lui. Elle l'enjamba et se laissa glisser sur son sexe, pendant ce temps, Michel s'était positionné à ses côtés et lui donnait le sien à sucer "afin qu'il soit bien raide". Michel la fit pencher en avant jusqu'à ce ses seins s'écrasent sur le thorax de Jean Luc qui la fit se cambrer et saisissant les globes charnus de ses fesses dans chaque main lui écarta afin de dégager l'anus déjà souillé et qui bééait encore un peu. Michel prit position guida sa pine à l'orée du rectum et commença à s'y introduire. Apparemment cela ne se faisait pas sans mal car Gisèle leur demanda :
"Doucement, doucement, ça brûle, arrêtez un peu que je souffle, oui comme cela, allez y recommencez doucement, vous êtes tellement gros".
Ce qu'ils firent en commentant
"Voilà tu vois bien qu'elles sont rentrées, tu les as jusqu'aux couilles, tu sens ?"
"Oh oui, je sens, elles sont énormes"
"Maintenant on va bouger, tu vas aimer"
Ils lui demandèrent de reprendre appui sur ses mains et ils commencèrent à se mettre en mouvement, alternativement, en accordant leurs rythmes, lorsque l'un s'enfonçait profondément dans elle, l'autre ressortait jusqu'au gland et le mouvement reprenait. J'avais l'impression d'assister à un film pornographique ou un rêve éveillé : devant mes yeux exorbités je pouvais voir ma femme, en porte jarretelle s'offrir à une double pénétration allant même au devant des queues qui la taraudaient. Très excité, je m'approchais et lui enfonçais ma verge dans la bouche. Sous les coups de bites elle relâchait souvent mon sexe, compréhensif, je n'insistais pas trop la laissant respirer me contentant pour l'instant de lui introduire quelques instant puis de lui en caresser le visage. Le plaisir qui avait fait place de puis longtemps à la légère douleur de l'intromission s'intensifiait progressivement, ses deux partenaires en profitaient pour accélérer leur rythme, leurs mains la parcourant entièrement, leurs bouches se posant sur son corps, Jean Luc avait saisi ses seins et les léchait ou les faisant saillir mordillait les tétons érigés. Gisèle, en sueur, ahanait sous le plaisir mêlant soupirs et gémissement :
"Regarde ce qu'ils me font, c'est terrible, oh ouiii, ils me remplissent complètement, aaah, je les sens glisser l'une contre l'autre, oh que c'est bon, regarde ils me baisent et ils m'enculent en même temps, c'est trop bon, ouiiii, je vais bientôt partir…, encore…, oui…, encore…, plus fort, aaaah oui défoncez-moi…"
Bien entendu, ils ne se firent pas prier pour répondre favorablement à la requête et dans une longue plainte Gisèle jouit bruyamment en offrant ses orifices aux queues qui la limaient. Les deux amants la laissèrent récupérer quelques instant puis reprirent leurs pénétrations. Rapidement Michel étroitement gainé annonça sa jouissance et éjacula dans le conduit annelé qu'il occupait. Tout en se dégageant, il me lança :
"A ton tour, vas y la place est chaude"
Tremblant d'excitation, je me positionnais, et introduit ma verge dans l'anus resté ouvert. La pénétration fut incroyablement aisée, facilité en cela par la précédente intromission et l'émission de la semence de Michel qui servait de lubrifiant. Quelle sensation ! A travers la fine paroi je pouvais sentir le sexe de Jean Luc glisser contre le mien et déclencher chez Gisèle des ondes de plaisir. Je prévins que je ne pourrais pas durer très longtemps et Jean Luc répondit :
"De toute façon, moi non plus, ça va partir"
Ils se dégagea du vagin détrempé de Gisèle, s'agenouilla devant elle et lui enfourna sa bite luisante dans la bouche. Elle n'eut pas longtemps le loisir de la sucer bien longtemps car il annonça :
"C'est y est, c'est bon, ouvre la bouche et sort ta langue"
Et il éjacula en longuement sur sa langue tendue et sur son visage. A mon tour les mains crispées sur ses hanches je laissais fuser mon plaisir dans les reins de mon épouse offerte.
Tout en trinquant une dernière fois Michel et Jean Luc complimentèrent Gisèle sur ses "talents de baiseuse", et après lui avoir prodigué quelques caresses et quelques baisers, nous prîmes congé en échangeant nos numéros de téléphone, Gisèle toujours vêtue de son seul chemiser mais cette fois le visage maculé l'entrejambe gluant de foutre.

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