Belle Vengeance
Belle vengeance
Je me prénomme François, jai 35 ans, je travaille dans une boîte comme commis travail sans véritable avenir. Célibataire depuis 2 ans, après une relation qui avait durée 4 ans. Je métais habitué à mon célibat qui avait été parsemé de quelques aventures basées plus souvent quautrement sur le sexe.
Ce soir là, un vendredi jétais seul au resto quand je vis passer ma patronne avec 2 de ses amies qui avaient choisis exactement le même restaurant que moi. Essayant de passer inaperçu le plus possible je ne me fis pas remarquer de tout le souper, et cest au dessert que ma patronne, se rendant à la salle de bain, me remarqua. Me saluant elle minvita à venir prendre le dessert avec eux, naturellement je déclinais loffre.
Elle me dit quelle trouvait ça triste de voir un gars seul un vendredi soir et que si cela me tentais, je pouvais aller avec eux dans un bar à 2 coins de rue du resto pour finir la soirée. Je ne déclinais pas loffre préférant y penser, et sur ce elle me quitta.
Ma patronne, une femme denviron 45 ans, corpulente, mais assez jolie, sous ses airs de gentille, elle est réellement une femme hypocrite qui aime humilier ses employés.
Après le resto je payais ma note et quittais, ma patronne était déjà partie depuis une bonne dizaines de minutes. Tout en marchant dans les rues du quartier, je sais pas pourquoi mais lenvie me pris daller dans ce bar où elle et ses 2 amies étaient parties finir la soirée. Faut dire quune de ses amies mavais tapé dans lil, elle était du même âge que moi et avait une forte poitrine, et cest ce qui mencouragea à aller faire un tour.
Donc je me retrouvai assis sur un tabouret dans ce bar à observer les 3 copines qui enfilaient verre par dessus verre, placotaient et avaient visiblement bien du plaisir. Je fus surpris de voir la fille qui mavait fait de leffet se lancer dans un baiser langoureux avec lautre copine, devant ma patronne qui avait lair de trouver ça normal.
Une heure plus tard jétais toujours assis sur mon tabouret à siroter ma bière quand les 3 comparses passèrent derrière moi, ma patronne me reconnue et me gronda de pas les avoir rejoint. Sur ce, les 2 autres copines se sentant fatiguées nous dirent aurevoir et elles me laissèrent là, seul avec ma patronne que jappréciais plus ou moins.
Elle me dit quelles étaient venues fêter le cinquième anniversaire de couple de ses 2 amies lesbiennes. Mais quelle, nétait pas une broute minou même si elle avait essayée une ou 2 fois. Ces confidences, venant de ma patronne piquèrent ma curiosité, même si je navais pas le goût de passer ma soirée avec elle je décidais de rester et de la faire parler. Lui payant un verre, elle qui en avait déjà pas mal pris se laissa aller à dautres confidences. Entre autres quelle aimerait que je la saute.
Javais pas prévu de finir avec cette grosse hypocrite mais javais le goût de me mettre, et vu lheure tardive je navais plus beaucoup dalternatives. Cest donc en laidant à marcher car elle titubait sérieusement que je me rendis à sa résidence.
En arrivant nous ne fîmes ni une ni deux et nous nous sommes retrouvés complètement à poil dans son salon. Javais ma patronne à poil devant moi et moi, gêné par une érection que je ne pouvais pas dissimuler. Quelle honte, je bandais sur ma patronne. Elle se mit à genoux prenant mon pénis dan sa bouche, ma gène se dissipa et je pris goût à ses caresses buccales. Nen pouvant plus, je la pris, la releva et lui demanda daller dans sa chambre.
Arrivés à la chambre, elle ma dit quelle me ferait la fellation de ma vie. Elle me coucha sur le dos, enleva son dentier, se coucha sur moi afin que je lui fasse un cunnilingus. Elle repris mon sexe dans sa bouche et se mis à me sucer violemment , moi javais son gros cul dans la figure, son odeur etait un mélange de parfum, durine et de sueur.
Humilié une fois de trop par cette femme qui venait de me pisser à la figure, je fis semblant davoir apprécié et lui proposais daller prendre une douche et de continuer nos ébats par la suite, chose quelle accepta, ne se doutant pas que jallais prendre ma revanche et lhumilier à son tour.
Après la douche et quelque verres plus tard elle repris mon pénis en bouche pour le faire rebander, ce qui arriva dans la minute. Je nosais plus lui faire de cunnilingus et me contentais de lui mettre 2 doigts dans le vagin et un dans son cul. À la voir sactiver sur ma verge je savais qu'elle appréciait que je lui passe le doigt dans ses deux trous. Elle eu un orgasme et cest à ce moment que je décidais à ses supplications de lui enfoncer mon pénis profondément dans le vagin. Au rythme de mes coups dengin elle sexcitait de plus en plus et jéjaculais en inonda son intérieur, elle eu un autre orgasme qui la fit sécrouler sur le lit.
Je me levais, pris une bouteille de boisson et lui en servit un grand verre, après un tel orgasme quelle avait eu, elle laccepta et le but assez rapidement, tous en bavardant je lui en resservit un autre. Nous étions affalés, nus cote à cote dans son lit à discuter sexe, morganisant pour que son verre soit toujours plein. Après 4 verres comme je lui avais servi elle sécroula, endormie dun sommeil lourd dune alcoolo.
Cest là que je décidais de mettre mon plan à exécution. Je la mis sur le ventre, relevais ses fesses à laide dun oreiller, puis en me masturbant je redevins en érection, et jen profitais pour la sodomiser dun seul coup, elle eu un léger sursaut mais resta endormie.
Je la pris, la mis sur le dos et pour terminer, je plaçais ma queue entre ses deux énormes seins et me fis une branlette. Lexcitation me fit éjaculer rapidement et mon sperme inonda son visage, par la suite je décidais de me soulager sur elle et me mis à pisser sur son visage et sur ses seins. Et cest maquillée comme ça, reluisante de sperme et durine, que je décidais de la laisser et de men aller.
Le lundi matin jarrivais au bureau de bonne humeur, ma patronne si distinguée nosait pas me regarder. Elle devint blanche quand elle me vit devant son bureau à lheure de la pause, jentrais et lui remis ma lettre de démission. Elle ne dit aucun mot, prit ma lettre, je ne pus retenir un fou rire, quand je vis la grimace quelle fit en sassoyant à son bureau. Sûrement dur souvenir du week end passé.
Sur ce, je quittais définitivement cette boîte espérant trouver un emploi où je serai heureux et de changer de vie pour le mieux.
-2006-
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!