Le Voltaire
LE VOLTAIRE
La pièce était vaste et longue. Il sagissait dune pièce aveugle qui ne comportait que trois portes. Pour sassurer dun confort et dune insonorisation impeccables, ces portes, toutes fermées, étaient matelassées avec un cuir épais et rouge carmin façon Chesterfield.
Tranquillement installés au sein de cette grande pièce, près de la première porte qui était double et imposante par sa hauteur, plusieurs couples dînaient aux chandelles autour de tables rondes. Affichant une certaine classe, les hommes étaient vêtus de smoking et les femmes portaient des robes de soirée. Ces dernières, particulièrement élégantes, laissaient deviner un pouvoir dachat certain et un niveau social élevé. Lintimité était parfaite et les invités, pour pimenter un peu la soirée, portaient tous un masque vénitien, conformément à lusage qui avait court dans cette salle. La seconde porte était placée à lautre bout de la pièce, en vis à vis, et donnait sur les servitudes. La dernière, assez proche de la précédente était placée dans un angle. Elle permettait daccéder aux appartements privés de la propriétaire. Le luxe était discret mais présent en chaque chose. Le sol était parqueté en style Versailles et recouvert en grande partie par un immense tapis dépoque médiévale. Les hauts murs étaient couverts de tentures représentant danciennes scènes de chasse et le plafond mouluré. Placée au centre, ouvrant son énorme foyer, une imposante cheminée vaste et très ancienne chauffait la pièce et léclairait faiblement. Les ombres des convives dansaient furtivement sur les murs. Seuls le crépitement des braises, le bruit des couverts et les conversations feutrées troublaient latmosphère. Assez proche des deux portes voisines et face à lantichambre, un fauteuil voltaire, recouvert de velours noir et piqueté de petites fleurs de lys dorées, trônait en évidence au centre de la pièce. A quelques centimètres du siège, on distinguait un petit guéridon sur lequel était posée une clochette.
Près de là, derrière la première porte, se trouvait une antichambre richement ornée ou un groupe dune vingtaine dhommes ayant à peu près tous entre trente et quarante ans attendait. Elégants, dallure sportive et soigneusement habillés, ils étaient confortablement assis sur des banquettes en velours rouge et faisaient connaissance en buvant quelques coupes de champagne. Le contenu de leurs conversations laissait penser quils appartenaient à un milieu aisé.
Placé juste à côté de la porte de service, Karl, le maître dhôtel, attendait, figé. La quarantaine, mince, son allure était stricte et il occupait cette fonction depuis de nombreuses années. Organisé et efficace, il préparait toujours avec soin les soirées et les divertissements de la propriétaire. Cette dernière était particulièrement exigeante, aussi bien sur lorganisation que sur le choix des personnes qui participaient à ses soirées et elle nhésitait pas à lui faire des remarques parfois cinglantes devant ses invités. Pour ce soir, madame avait choisi un de ses scénarios préférés et Karl savait exactement ce quil avait à faire. Respectant scrupuleusement les directives qui lui avaient été données, il avait sélectionné les invités avec un soin tout particulier. La variété, la puissance et le nombre des convives étaient les principaux critères de sélection pour ce soir. Pour quelques uns, il avait du la consulter. Elle en avait refusé très peu, mais comme à laccoutumé, elle lui avait fait remarquer sa vision trop restrictive dans le domaine et invité à faire preuve de plus dimagination et dinitiative.
Rompant lapparente tranquillité qui régnait dans cette pièce, la porte daccès aux appartements souvrit.
« Bonsoir messieurs. Madame vous souhaite la bienvenue en ces lieux. Avant dentrer dans la salle, je me dois de vous faire quelques recommandations spécialement demandées par la propriétaire des lieux. Madame vous rappelle que le silence est de rigueur et quil vous faudra obéir à toutes ses demandes sous peine dêtre exclu de la pièce. Il vous est de même strictement interdit de prendre une quelconque initiative ou de lui demander quoique ce soit. Madame déteste attendre et elle ne supporte pas quon lui résiste.
Karl attendit quelques instants pour laisser les invités réfléchir et éventuellement renoncer pendant quil en était encore temps. Scrutant lassemblée et constatant quil ny avait aucune objection, il reprit la parole.
«Parfait. Madame va donc vous recevoir. Si vous voulez bien vous déshabillez, cela permettrait à madame de faire rapidement son choix et de définir ses priorités dès que vous rentrerez dans la pièce. Madame vous attend et vous souhaite, par avance, une bonne soirée au château ».
Répondant par un sourire de politesse, parfois figé, aux recommandations du serviteur, ils se déshabillèrent en silence et posèrent leurs vêtements dans la penderie murale. Quand tout le monde fut nu, Karl ouvrit la porte et invita le groupe à entrer dans la salle. Gênés par le manque de lumière ils se massèrent le long du mur, face à la femme.
Les convives qui dînaient cessèrent leurs discussions et observèrent le groupe dhommes qui venait dentrer dans la salle. Rapidement quelques commentaires faits à voix basse se firent entendre.
Discrètement et dune voix posée, le majordome referma la porte derrière le dernier homme et se tourna vers la propriétaire qui lui fit un signe de la main. Habitué, Karl sadressa alors aux hommes :
« Madame insiste pour, quen aucun cas, vous ne cherchiez à savoir qui elle a invité pour dîner ».
Karl connaissait parfaitement les goûts de sa maîtresse et les choix quil avait opérés ce soir pour elle la satisfaisait.
Confortablement installée dans cette pièce silencieuse, close et éclairée par un feu de cheminé ainsi que quelques chandelles, elle dévisageait les hommes un par un. Tous ces hommes lui étaient complètement inconnus mais ils attendaient debout et alignés à quelques pas devant elle. Ils avaient tous été soigneusement sélectionnés sur des critères esthétiques et intellectuels drastiques et madame mettait toujours la barre assez haut. Elle détestait la médiocrité, partant du principe que pour apprécier ce quelle faisait, il fallait un niveau suffisant pour apprécier et comprendre. Elle savait par expérience que ce groupe dhommes athlétiques était impressionné et en même temps fasciné par la situation Le sentiment de puissance quelle éprouvait lexcitait et elle sentit le désir monter en elle. Sa poitrine, magnifique, affichait une certaine arrogance. Ses jambes, légèrement mais volontairement écartées depuis quelle les avait vu entrer, laissaient entrevoir son sexe.
Lovée dans son fauteuil, elle tendit le bras, saisit la clochette posée sur le guéridon et la fit tinter calmement à deux reprises.
Aux ordres, son maître dhôtel particulier, impassible, sapprocha delle.
« Madame désire ? »
Sans le regarder, tout en observant le groupe, elle lui commanda un verre de champagne.
« Apportez-moi une coupe et pas une flûte. Je naime pas, ce nest pas pratique », lui précisa-t-elle.
Le serviteur sabsenta quelques instants et revint avec sa coupe remplie. Arrivé à sa hauteur, il se pencha légèrement et lui présenta le verre posé sur un plateau.
« Madame na pas précisé si elle prenait avec ou sans liqueur »
« Avec, Karl. Et vous le savez très bien ! », lui répondit-elle plutôt sèchement.
Sans perdre des yeux le groupe dhommes nus, elle saisit délicatement la coupe et la plaça à quelques centimètres devant la braguette du maître dhôtel.
Sans dire un mot, Karl descendit sa fermeture éclair et sorti son sexe. Rapidement, sous les regards de lassemblé, il se masturba au-dessus du verre quelle lui tendait. Après quelques instants, le visage fermé, il pointa son gland dilaté vers le centre de la coupe et éjacula en silence, laissant son sperme se répandre en volutes dans le champagne. Une fois fait, il referma sa braguette, posa son plateau sur le guéridon et se tint à sa disposition dans lombre, au coin de la pièce. Sûre de son effet, elle regardait, sa coupe à la main, les hommes médusés par son audace et sa perversité. Elle aimait ça, être là, observée et désirée à nen plus pouvoir par ce groupe de mâles. Elle jouissait de sentir ces regards chargés de fantasmes, des fantasmes dont elle était lobjet et la maîtresse à la fois. Elle voulait les voir jouir, obsédés par son corps et soumis à ses moindres désirs. Croisant les jambes, elle porta la coupe à ses lèvres, en bu lentement le contenu par petites gorgées comme on déguste un bon vin et posa le verre vide sur le plateau.
Quelques hommes, excités par la scène, étaient en érection. Amusée par leur inconfort, elle écarta les jambes, se caressa les seins et le sexe puis, après les avoir longuement observé, elle désigna un homme avec son index et lui fit signe dapprocher
Grand, brun et dallure sportive, il savança vers elle. Alors quil arrivait à sa hauteur, elle larrêta net en pointant son pied encore chaussé vers son sexe en érection. Doucement, elle posa sa mule sur le sexe en érection et, appuyant dessus, elle le fit mettre à genoux à ses pieds. Là, calme et hautaine, elle sadressa à lui :
« Je ne te connais pas et dailleurs, peu mimporte qui tu es. Je vais te faire jouir pour le seul plaisir de te voir éjaculer en silence à mes pieds ».
Lentement, elle retira son pied droit de sa mule effilée, le passa sur les lèvres de linconnu, caressa son torse et son bas ventre avant de le poser à plat sur son sexe tendu. Cherchant lhomme du regard, elle fit aller et venir son pied sur toute la longueur de la verge. Le prépuce, quelle faisait rouler, dégageait régulièrement le gland sous son talon. Calmement, elle masturba linconnu immobile pendant quelques minutes. Sentant lhomme prêt à jouir, elle sarrêta de suite. Elle demanda alors à son maître dhôtel de sapprocher.
« Karl ? »
« Madame ?
« Retirez-moi mon bas »
Karl sexécuta et mit un genou au sol. Sans quitter son invité du regard, elle posa son pied sur la cuisse du maître dhôtel. Aussitôt, ce dernier fit rouler doucement le bas le long de la jambe, le retira en soulevant délicatement le pied et retourna près de la porte.
Silencieusement, les yeux fixés de façon provocante sur cet homme musclé, à genoux à ses pieds, elle repris, avec son pied désormais nu, la lente masturbation quelle avait entreprise auparavant. Les ongles vernis de ses orteils rendaient son geste plus visible sur la peau pâle du sexe. Comprenant quil allait jouir, elle continua calmement, appuya sur son sexe pour amener le gland au-dessus de sa mule et fit éjaculer lhomme sous son pied.
Emporté par la jouissance, lhomme ferma à moitié les yeux et laissa échapper un râle de plaisir. Elle ne modifia pas son rythme. Elle laissa simplement gicler le sperme sous son pied et sétaler de ses orteils à son talon. La semence tombait au sol et parfois dans sa mule.
Elle narrêta que lorsquelle vit que léjaculation était bien terminée et que le sexe ramollissait sous son pied. Satisfaite de cette première étape, elle enfila son pied enduit de semence dans sa mule et sadressa à lhomme.
«Vas, maintenant tu peux rejoindre les autres ».
Elle attendit quil rejoigne le groupe et observa la réaction de ses invités. Des commentaires à peine audibles se firent entendre mais le silence revint rapidement.
Elle désigna ensuite un deuxième homme et lui demanda dapprocher.
« Toi aussi, je vais tutiliser. Oui, cest bien cela, cest exactement le terme qui convient. Je vais tutiliser uniquement pour mon plaisir. Comme lautre, tu vas me servir pour exciter un peu plus les hommes qui regardent et attendent leur tour. Tu es un moyen darriver à mes fins, qui est, en loccurrence, mon simple plaisir. Enlève-moi mon bas ».
Lhomme retira doucement le deuxième bas et le tendit au maître dhôtel qui savança vers lui pour le récupérer. Debout, intimidé par cette maîtresse femme, il attendait que son sort soit fixé. Après lavoir longuement observé, elle rompit le silence et lui parla :
«Tu vas te mettre à genoux, je vais te caresser puis, quand je te le dirai, tu te masturberas sur mon pied. Enfin, et seulement si jen ai envie, je te ferai jouir ».
Alors, elle déchaussa son pied gauche et commença à caresser le gland de linconnu avec ses orteils. Immobile et impatient, lhomme attendait le probable dénouement sans savoir comment elle allait procéder. Au bout de quelques instants, comme elle lavait prévu, elle posa son pied sur le talon de sa mule et demanda à lhomme de se masturber sur ses orteils. Linconnu sexécuta, posa son gland sur les orteils vernis et commença à se masturber ainsi. Quand elle vit quil allait jouir, elle lui fit aussitôt signe de sarrêter, retira son pied mais lui demanda de laisser son gland sur le talon de sa mule. Elle posa ensuite son pied sur le sexe de linconnu et attendit quelques instants pour que le doute sinsinue dans lesprit de lhomme. Après un moment dobservation, impassible, elle masturba lentement le gland de lhomme, comprimé entre son pied et sa mule. Le prépuce roulait sur la semelle. Le visage crispé, linconnu éjacula sous ses orteils, laissant le sperme couler dans sa mule. Quand le sexe fut inerte et ramolli sous son pied, elle remit sa mule. Sans égard pour linconnu, estimant que la provocation était satisfaisante, elle le renvoya. A quelques pas, dans la pénombre, excités par ce spectacle, les autres hommes attendaient leur tour. Jouant du temps, elle les fit patienter pour mieux les surprendre. Maîtresse du jeu, elle imposait ses règles, choisissait qui elle voulait, la façon et le moment.
Après cette phase dobservation, elle appela son maître dhôtel. Elle lui demanda daller voir ses invités et de lui ramener deux hommes de son choix, dont un noir, mais tous les deux fortement membrés. Le serviteur sexécuta de suite et revint avec deux hommes. Calmement mais posément il leur expliqua les désirs de madame :
« Madame vous demande de vous mettre de part et dautre du voltaire, le sexe à hauteur de son visage pour quelle puisse vous masturber. Ensuite, elle vous fera une fellation, puis, elle vous fera jouir sur ses seins. Entre temps, elle utilisera vos sexes comme bon lui semblera ».
Sur ces mots, le serviteur retourna attendre près de sa porte.
Elle leur fit alors signe dapprocher et de se mettre de part et dautre du fauteuil, les sexes à hauteur de son visage et les glands placés devant sa bouche, au plus près de ses lèvres. Calmement, elle prit une verge dans chaque main et commença à les caresser très lentement.
Après quelques mouvements, elle regarda les hommes restés en face delle. Elle passa chacun de ses bras entre les cuisses des inconnus, posa ses mains sur leurs fesses et appuya sur leurs bassins pour sintroduire les sexes en érection dans sa bouche. Ensuite, imposant son rythme en appuyant régulièrement sur leurs reins, elle mit alternativement les deux verges dans sa bouche et entama une longue double fellation. Elle prit son temps. Bien que son visage soit en partie masqué par sa voilette, elle la releva légèrement pour que le reste du groupe voie ses lèvres aller et venir sur ces deux verges. Elle voulait quils ne perdent pas une miette du gonflement de ses joues sous la poussée successive des deux glands. Parfois, elle sarrêtait, ouvrait la bouche, posait le gland rose et turgescent de limposante verge noire sur sa langue quelle avait à peine sortie puis, comme pour donner le coup de grâce, elle le masturbait très vite, la bouche ouverte. Se jouant de lautre homme, elle lobligeait parfois à frotter son sexe sur ses lèvres fermées et à se masturber, le gland au contact de son visage. Les amenant au bord de la jouissance, elle pointa les deux verges vers ses superbes seins et mis leurs glands au contact de ses pointes. Rapidement, sans un mot, elle les masturba et les fit abondamment éjaculer sur ses seins. Afin dexciter davantage le groupe dhommes qui lobservait, elle se caressa les seins avec leurs glands pour étaler le sperme sur sa peau. La poitrine luisante de leur jouissance, elle lâcha les deux verges ramollies, renvoya les deux hommes et se leva.
Chaussée de ses mules, elle sapprocha au plus près du groupe dhommes, frôla leurs corps avec ses fesses pour mieux les exciter et leur montrer ses seins maculés de sperme
Quand elle se fut suffisamment exhibée et après avoir soigneusement passé en revue et caressé lensemble des sexes de ces inconnus elle porta son regard sur les couples qui étaient attablés.
Parmi les hommes qui dînaient, certains avaient reculé leur chaise et se masturbaient assis en la regardant pendant que quelques femmes se caressaient. Elle sen aperçu, sapprocha dun dentre eux, écarta ses jambes et se mit à genoux, la poitrine au niveau de son sexe. Là, elle regarda lhomme masqué, plongea son regard droit dans ses yeux et se caressa la poitrine en étalant le sperme des deux hommes qui avaient joui précédemment. Consciente de leffet quelle lui faisait, elle lui parla.
« Ca te plait de voir mes seins couverts de sperme ? Tu aimes ça nest ce pas ? Tu en as envie ? Alors regarde bien et ne dis rien ».
Excité, le visage caché derrière son masque, lhomme se masturbait en regardant ses seins luisants des précédentes éjaculations. Passant aux actes, elle mit le sexe de linconnu en smoking entre ses seins et commença à le masturber ainsi. Assis, le gland prisonnier de cette poitrine, lhomme sentit la jouissance venir rapidement. Observant les mouvements désordonnés de son bassin, elle devina que léjaculation était imminente et ne fit rien pour changer le cours des évènements. Elle approcha alors simplement son visage et ouvrit la bouche juste au-dessus du gland en regardant fixement lhomme derrière sa voilette. Tout en se léchant les lèvres, elle accéléra sa masturbation et le fit éjaculer entre ses seins. De nombreuses et abondantes giclées de sperme jaillissaient du gland quand il apparaissait, éclaboussant parfois son menton et sa bouche. Elle continua ainsi quelques instants et, quand la verge perdit de sa raideur, elle se lécha les lèvres se releva et sassit sur les genoux de son invité, la poitrine à hauteur de son visage. De longues coulées de sperme brillaient sur son corps et sétalaient de sa poitrine à son ventre. Sans dire un mot, elle prit la main de lhomme et passa ses doigts sur ses seins maculés de semence. Ensuite, méthodiquement, elle lécha les doigts de son invité. A lissue, sans une parole, elle retourna sasseoir sur le voltaire.
Décidée à soffrir un petit plaisir, elle leur tourna le dos et se mit à genoux sur le fauteuil. Pour mieux sexhiber, elle posa ses mains sur le dossier, se cambra et offrit ses fesses au regard des inconnus. Une fois en position, elle tourna la tête pour les voir, passa une main entre ses cuisses et commença à se caresser. Excitée, elle jeta son dévolu sur un des hommes et lui fit signe dapprocher. Elle lui demanda de sasseoir au pied du voltaire, face au groupe et de poser sa nuque sur lassise. Une fois lhomme installé, elle fit descendre son bassin sur la bouche de linconnu. Elle sadressa alors à lui :
« Ne bouge pas et lèche moi ».
Il savait quil ne devait pas bouger sil ne voulait pas être exclu de la pièce, mais seulement pointer sa langue vers le sexe entrouvert.
Dans cette position, elle pouvait se servir à sa guise de cette bouche en y frottant ses parties intimes comme bon lui semblait. Décidée à ne pas jouir de suite, elle arrêta, demanda à lhomme de se mettre debout au pied du fauteuil. Elle fit glisser son sexe et son bas ventre sur la verge tendue de lhomme en le regardant mais elle ne lautorisa pas à la pénétrer ni à jouir de suite. Sentant linconnu au bord de la jouissance, elle demanda aux autres hommes de sapprocher pour quils puissent voir la scène au plus près. Elle sassit ensuite sur le voltaire, avança son visage et sintroduisit rapidement la verge dans la bouche. Choisissant la méthode, elle prit aussitôt le bassin de linconnu entre ses mains aux ongles finement vernis et lui imprima elle-même un mouvement de va et vient frénétique. La tête immobile, elle faisait coulisser de plus en plus vite le sexe raide entre ses lèvres. Formant un cercle autour delle, les autres hommes se masturbaient. Le tressaillement du gland sur sa langue lui annonça limminence de léjaculation. Alors, les yeux mi clos et tournés vers lhomme, elle pencha légèrement la tête en arrière, releva complètement sa voilette, ouvrit la bouche et sorti sa langue. Afin que personne nen perde une goutte de vue, elle mit le gland à quelques centimètres de ses lèvres et masturba rapidement la verge. Elle lui dit alors :
« Allez, décharge moi tout ton foutre sur la langue que je puisse le boire jusquà la dernière goutte »
Le traitement impitoyable eu aussitôt raison de lhomme. Une première giclée de sperme sabattit sur sa langue, dautres jets, mal maîtrisés en raison de la masturbation quelle lui infligeait, éclaboussèrent ses lèvres, ses joues et son menton. Imperturbable, elle continua et se frotta le gland enduit de sperme sur le visage. Voyant que léjaculation était terminée, elle pressa la colonne de chair en tirant le prépuce vers elle, fit sortir quelques gouttes de semence qui s étirèrent en un mince filet et sintroduisit une dernière fois le gland dans la bouche. Quand la verge de linconnu fut inerte et molle, elle se lécha les lèvres, recueillit le sperme qui maculait son visage avec ses doigts en regardant les hommes autour delle puis, elle les lécha. Une fois fait, elle renvoya tout le monde au bout de la pièce. Satisfaite, elle fit signe à son maître dhôtel et lui demanda de lui ramener une petite serviette pour sessuyer le visage. Se dernier sexécuta. Il lui ramena la serviette, la lui tendit et se tint près delle pendant quelle sessuyait. Une fois fait elle remit la serviette humide de semence au maître dhôtel ainsi que son chapeau et sa voilette puis, elle le congédia.
Estimant que les jeux avaient assez duré, elle décida den finir avec un certain nombre de ceux qui restaient et de se satisfaire en même temps. Elle demanda à deux hommes de sapprocher. Elle fit asseoir le premier sur le voltaire et lui tourna le dos. Ensuite, posant son anus sur son gland elle se fit lentement sodomiser en descendant elle-même son bassin. Une fois prise, elle sallongea sur linconnu et demanda au second de la pénétrer. Lhomme sintroduisit au plus profond de son vagin. Là, prise en sandwich, elle fit venir quatre hommes, deux noirs et deux blancs. Quand ils approchèrent elle leur demanda de se placer par deux, de part et dautre du dossier du voltaire, à hauteur de son visage et de ses seins. Avant de commencer, elle fit venir les autres inconnus et leur demanda de masturber autour delle. Saisissant les deux sexes noirs, elle se caressa le visage avec et ordonna à ceux qui la prenaient en sandwich de commencer. Tous ses orifices étaient pris. Sa bouche sactivait sur les deux sexes noirs pendant quelle masturbait les deux autres restés pointés vers sa poitrine. Les glands, turgescents et imposants, se succédaient dans sa bouche. Les verges des deux noirs étaient dilatées à lextrême, annonçant une fin proche. Elle décida den finir tout de suite avec eux. Elle ouvrit les lèvres, sorti sa langue et y posa les deux glands circoncis lun contre lautre. Là, surexcitée, elle les masturba tous les deux pour les faire éjaculer en même temps. Les glands des deux noirs sentrechoquaient sur sa langue. La vitesse de ses mouvements saccéléra, elle pencha la tête légèrement en arrière et observa effrontément les deux inconnus en sadressant à eux :
« Je veux que vous jouissiez tous les deux en même temps, allez, envoyez moi tout votre foutre dans la bouche, jen ai envie ».
Les glands se dilatèrent, les giclés de sperme se télescopèrent et fusèrent sur sa langue. De longues coulées de semence tombaient dans sa bouche et coulaient sur ses lèvres. Totalement maître de la situation, elle absorba consciencieusement le sperme des deux hommes.
Elle aimait ça, sucer était un plaisir quelle ne se refusait jamais, surtout quand elle avait plusieurs sexes à sa disposition. Un de ses jeux favoris était de sasseoir sur un tabouret pivotant et de faire venir autant dhommes que possible autour delle. Quand elle mettait en oeuvre ce scénario, quelle affectionnait particulièrement, elle se faisait bander les yeux. Une fois prête, elle suçait alternativement tous les sexes qui se présentaient à sa bouche en demandant à Karl de faire régulièrement pivoter le tabouret. Pendant que sa langue sactivait avec ardeur et passion, elle masturbait deux autres sexes avec ses mains. Pour les hommes réunis en cercle autour delle, le contrat était simple, ils ne devaient pas la toucher, il navaient pas le doit de se masturber et ne pouvaient jouir que dans sa bouche. Cette situation lexcitait au plus haut point et elle ne sarrêtait que lorsque le dernier homme lui avait éjaculé dans la bouche.
Bien quelle ait fait jouir les deux noirs, elle fit durer le jeu, conserva les deux verges encore dures dans ses mains et se caressa le visage avec leurs glands étalant ainsi le sperme sur sa bouche et son visage. Vidés, les deux noirs se retirèrent. Voyant que les deux autres hommes qui se masturbaient près de ses seins étaient sur le point de jouir, elle sadressa à son maître dhôtel :
« Karl, amenez-moi tout de suite une coupe de champagne pour que je puisse faire jouir ces messieurs ».
Le serviteur en redingote obéit aussitôt et revint avec sa coupe remplie. A sa disposition, il lui présenta le plateau sur lequel il avait soigneusement posé la coupe ainsi quune bouteille.
« Madame est servie ».
Elle pris le verre, le mit à proximité des verges des deux inconnus qui se masturbaient, retira leurs mains de leurs sexes et les fit éjaculer elle-même en les masturbant lun après lautre au dessus du verre. Pointant les glands vers la coupe, elle laissa le sperme tomber et se répandre en grande quantité dans le verre. Là, entourée par une dizaine dinconnus qui se masturbaient autour delle, prise en sandwich, elle pris son temps et bu tout le contenu de la coupe. Quand le verre fut vide elle le redonna à son maître dhôtel. Elle se redressa ensuite, posa ses mains sur les accoudoirs et avec son bassin, imprima un rapide mouvement aux deux inconnus qui la prenaient en sandwich. La bouche et le visage luisants des précédentes éjaculations, elle chercha du regard lhomme qui la pénétrait. Ses yeux plongés dans les siens, elle lui dit :
« Je vais te faire jouir comme tu ne la jamais imaginé. Regarde, cet homme va se branler devant moi, et quand je lui dirai, il minondera le visage de son sperme. Regarde, tu vas être aux premières loges ».
Elle demanda alors à un des hommes qui se caressait à côté delle dapprocher et sadressa à lui :
« Toi, branle-toi et décharge tout ton foutre sur mon visage ».
Lhomme sexécuta, il approcha son gland à quelques centimètres de son visage et jouit ainsi sans quelle le touche. Imperturbable, elle continuait à regarder celui qui la pénétrait alors que les jets de sperme fusaient sur sa bouche et son visage. Surexcité par cette vision, lhomme jouit en elle pendant quelle le regardait en se léchant les lèvres. Satisfaite de son effet, elle le repoussa et sactiva sur celui qui la sodomisait. Juste avant quil ne jouisse, elle se retira, sassit sur ses cuisses au contact de ses testicules et le fit éjaculer en le masturbant sur ses fesses.
Proche de la jouissance, elle se leva et alla sallonger sur le tapis face aux couples qui dînaient tout en observant la scène. Elle demanda alors aux derniers hommes de se mettre à genoux de chaque côté de son corps. Elle appela son serviteur et lui fit signe damener le petit coussin bleu. Karl sapprocha et lui glissa le coussin sous la nuque. Lentement, elle commença à se masturber en regardant les couples et les hommes aux sexes tendus autours delle. Voyant que les hommes se masturbaient en observant son manège, elle saisit deux verges dans ses mains et approcha les glands de sa bouche. Pour un autre, elle lui demanda de la pénétrer puis, elle ordonna à deux autres de se mettre derrière sa tête et de se masturber au dessus de son visage.
Quant aux derniers elle leur demanda de se masturber sur ses seins, son ventre ou la partie de son corps qui les faisait fantasmer. Elle leur laissait, pour la fin uniquement, une liberté de choix quils nattendaient pas. Excités et impatients, les hommes se répartirent autour de son corps. Certains se plaçaient à hauteur de ses seins ou de son ventre. Dautres prirent ses pieds pour se masturber. Tout le monde était en place. Elle ordonna que la scène commence et chacun sactiva. Les couples étaient médusés et sapprochaient au plus près pour regarder cette femme insatiable qui orchestrait cette scène avec une lubricité hors du commun. Voyant les mains des inconnus accélérer leurs mouvements, elle serra ses seins lun contre lautre et avança sa bouche vers les sexes gonflés et tendus qui dansaient au dessus de son visage. Comprenant linvitation, plusieurs hommes approchèrent leurs glands et laissèrent jaillir leur sperme. Rapidement un déluge de semence sabattit sur ses seins et son visage. Ny tenant plus, elle demanda à linconnu qui la pénétrait de la prendre fort et elle se masturba en même temps. Chacun leur tour, les hommes se rapprochaient et se masturbaient au dessus de son visage ou de ses seins. Les éjaculations se succédèrent et de long filets de sperme lui tombaient parfois directement dans la bouche. Insatiable, elle léchait et suçait les verges enduites de sperme qui se présentait au dessus de sa bouche. Le dernier jouit en sintroduisant profondément en elle. Satisfaite, elle se releva, le corps et le visage inondés de sperme, elle observa quelques instants les couples devant elle et repartit sasseoir sur son voltaire. Le jeu étant terminé elle demanda à son maître dhôtel de raccompagner, dans lantichambre, les hommes et les couples qui avaient fini leur dîner. Le serviteur acquiesça et sexécuta :
« Madame désire continuer sa soirée dans un autre lieu et avec une autre compagnie. Si vous voulez bien vous retirer ».
Dès quil eut fermé la porte et que la pièce fut vide, elle lui fit signe dapprocher. Dune voix calme, elle lui demanda si tout ceci lavait excité :
« Dîtes-moi Karl, comment cest déroulée cette soirée ? »
« Madame a été parfaitement efficace de bout en bout si je puis dire »
« juste un petit reproche, Karl. La prochaine fois, sauf si je vous le demande ou si je vous y autorise au préalable, je ne veux pas que vous ayez eu de relations sexuelles avant mes soirées. Vous comprenez bien que si je vous demande ma liqueur pour mon apéritif, il est hors de question que votre éjaculation soit insuffisante. Il y va dabord de mon plaisir personnel et ensuite de celui de mes invités qui regardent.
Lemployé grommela quelques mots incompréhensibles en guise de réponse. Fixant avec insistance la bosse sous son pantalon, elle savança vers lui, lui montra son buste, ses lèvres et son visage maculés de sperme. Puis, dun regard appuyé et provocant, elle lui caressa le sexe à travers le pantalon. Debout face à lui, elle le regardait avec arrogance tout en lui disant quelle avait aimé le goût du sperme de ses invités et notamment des deux noirs qui, eux, lui avaient rempli la bouche de leur sperme crémeux et épais. Excité par son manège, le serviteur jouit en silence dans son pantalon. Sa besogne terminée, elle lui tourna le dos et demanda aux deux colosses noirs de la suivre.
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