Autobiographiquement Votre 01
DORIANN & LE REVE DICARE.
Note de lauteur :
Tout commence doucement comme ces trois premiers chapitres, mais tout va aller vite, très vite, trop peut-être. Jai voulu rendre la forme décriture de cette nouvelle
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Comme Icare sest brûlé les ailes en sapprochant du Soleil (Symbole de la vérité)
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Chapitre I : Prologue ou « Le décès de Dédale »
La vue de cette église si magnifique au demeurant, se trouvait pour moi en ce jour du 14 mars 2000 en berne. Jacques Dumontois mon père, venait de périr dans sa 53eme année dun banal accident de voiture. Comme il était tout pour un jeune garçon, moi en loccurrence, vous devinez le reste. Toute cette famille réunie ainsi que ses collègues de bureau, Dieu que ce fut triste mais beau à la fois, cest le cas de le dire.
Dans ce sombre cadre régnait Doriann, une superbe créature châtain clair, que dis-je, magnifiquement sculptée, une fille de 39 ans que mon défunt père avait épousé après son divorce. Au départ lentente cordiale entre elle et moi nétait pas au beau fixe, un peu normal pour un jeune homme qui voit une autre femme supplanter sa mère. Mais tant quelle rendait mon père heureux, ça me suffisait. Et puis, il faut dire que je faisais le fier quand elle venait me chercher soit à luniversité, soit à la répète du groupe de musique dont je faisais partie, je ne voulais pas lavouer. Cependant il y a 5 ans je me rappelle du tout début de cette histoire, malgré quelques vides dans ma tête, elle a débuté comme ça.
Toujours bien vêtue, Doriann ne laissait pas mes amis musiciens de glace. Avec ses longues jambes fuselées, sa taille cintrée, son 90C au minimum. Sans compter sur ses yeux, sa gentillesse, son respect de soi-même, et un large sourire telle une muse épanouie dans nimporte quelle circonstance, que demander de plus elle a tout pour elle. Je me suis toujours demandé où mon père avait trouvé une telle fille, mes émois de 19 ans étaient en pure folie.
Quel beau jour que celui de mes 20 ans, je lattendais sur le trottoir de la rue ou était la répétition, et je vois la voiture :
- Kevin, oh oh !! , je suis là.
La voyant de loin :
- Jarrive.
En arrivant au véhicule je vois une femme habillée en blanc sexy, jupe plissée soleil légèrement dessous de genoux, chemisier cintrée par un genre de stretch à la taille, le tout avec une lavallière au cou pour cacher sa gorge.
- Ca va, ça sest bien passé.
- Pas de problème, comme dhabitude.
- Attends, je vais taider a mettre ta guitare dans la malle.
- Pas besoin, il y a la banquette.
- Elle sera mieux dans la malle.
- Ok, si tu y tiens.
Là, dans ce cas de force majeure Messieurs, cest à vous que je madresse !!!. Mettez vous à la place dun jeune garçon de 20 ans qui voit léquivalent de Victoria Sylvstedt, mettre votre guitare basse dans la malle, quest-ce que vous faite ?
Eh bien vous faites comme moi, c'est-à-dire rien et vous restez bouche bée devant cette beauté si belle et si fragile, presque intouchable, vous la laissez faire ce quelle veut. Résultat de lopération : vous avez lair dun con, un point cest tout !
Sur le retour, son chemisier cachant 2 superbes formes arrondies dans un délicieux cocon de soie, tressaillant à chaque bond de la voiture me rendait dingue. De plus, elle lavait vu et jouait de cette situation. Dun sourire aux commissures des lèvres, Doriann me déclare tout de go
- Je sais que tu dois savoir ce quest femme, en tout cas. Si je ne le savais pas, Maintenant oui et jen suis heureuse pour ton amie. Au fait, tu as une copine, jespère ? un si beau gosse comme toi, tu dois faire des ravages ?
- Oui, bien sûr, bien sûr
.
- Oh là là, je naime pas ce genre de réponse, que se passe-t-il raconte moi çà.
- Disons quelle est sympa, quoi.
- Oui, je vois, on va en ville et parler de ça devant un bon café, daccord ?
- Si tu veux
Il faut vous dire quelle mavait donné avec cette offre, loccasion de mieux savoir qui est Doriann Leroy épouse Dumontois, ma superbe belle-mère ainsi que dessayer den savoir un peu plus sur elle, puisque enfin de compte, on croit puisque enfin quelquun a fond et on nest pas au bout des surprises.
Chapitre II : Kevin
La discussion avec sa manière dêtre assise en prenant le café symbolisant déjà toute la féminité jusquaux bouts des ongles, commença :
- Raconte moi ce qui se passe un peu.
- Ce que je cherche, ce nest pas une intellectuelle, enfin tu vois ce que je veux dire.
- Il y a une chose qui me rend heureuse, et je ten glissais un mot, tu te rappelles, dans la voiture tout à lheure ?
- Quoi encore ?
- Que tu es vraiment un homme, maintenant jen suis sûre. Mais tu ne sais pas arriver à tes fins avec les filles.
- Faire lamour comme un gosse de 15 ans, et le faire a 20 ans ! Cest deux choses différentes, je sais. Mais si je pouvais essayer davantage avec elle, je serai très heureux
- Il y a combien de temps que tu connais cette fille ?
- 3 mois.
- Lui as tu donnée envie de toi, de lui faire de tendres caresses, de lui caresser ses seins, de la faire vibrer quoi !!! , tu vois ce que je veux dire. Moi, quand je me donne à ton père cest parce quil connaît mes réactions quand il cherche à me faire jouir, et là, il me rend folle de désir.
Dun seul coup, se sentant toute chose, elle sen sortit dune pirouette du style.
- Il y a deux trucs terribles. Dune part, je parle de choses intimes avec un jeune de 15 ans mon cadet, et qui pourrait être mon fils en plus
- Calme toi, je ne veux pas te mettre dans lembarras.
- Moi je te dis, vas-y fonce, essaye et surtout dépasse toi. Timide va, si tu aimes le sexe comme je le pense, vas-y prends les devants.
Ce qui mit fin à mes investications den savoir plus sur elle, mais montant le ton je lui dis après tout, la vérité :
- Laure est mignonne, belle, de beaux yeux, de beaux seins, daccord. Mais elle na pas de fantasmes, elle est FRIGIDE. Jai tout essayé, mais rien à faire.
- Ah les mecs, toujours les seins, enfin ! Elle a quel age ?
- 19, pourquoi ?
- Autant que faire se peut, je pourrais essayer de lui parler si tu veux.
- Cest pas idiot, essaie tu verras !!
Cest bien plus tard que jai compris le pourquoi du comment, sur le coup elle ne me lavait pas dit. Mais Dieu que jaurai voulu être là !!!
Nous sommes désormais le lendemain, Samedi, 14h15 Laure frappe à la porte, Doriann ouvre dans un chemisier jaune avec jean serré. Une gamine gentiment habillée entre, elle est belle pense Doriann, sentiments dailleurs partagés puisquelle nhésite pas a se dire honteusement « cette gamine est une bombe, son charme, ses yeux, sa manière de se tenir et son charme. Seigneur elle me rend humide cette gamine, heureusement que Jacques nest pas là mais je ne manquerai pas de lui en parler, et pourquoi Kevin ny arrive pas ». Retenant ses émotions et le thé et un café pour eux deux, elle-même engage la conversation
- On peut se tutoyer, daccord ?
- Si vous le voulez, madame je ny vois pas dinconvénient.
- Appelle moi Doriann
Revenant avec le café et le thé, la conversation sengage.
- Je présume que vous allez me parler de Kevin.
- Je tai dit que tu pouvais me tutoyer, je ny vois aucun problème tu sais (lui dit-elle en osant poser sa main sur ses genoux, presque avec un certain désir).
La rassurant le plus possible, elles se mirent à discuter de choses diverses malgré le regard insistant de Laure sur la gorge naissante de Doriann. Ce qui met notre amie dans un émoi apparent. Malgré cette gène concevable, celle-ci entame une forme dentrée en matière à la discutions.
- (Retenant ses émotions) Je vois que tu as une belle poitrine aussi, ce qui ne doit pas déplaire à Kévin.
- Au sujet de Kévin, je my attendais un peu, je sens quil désire aller plus loin avec moi (passant du coq à lâne). Mais vous aussi dites donc, la vôtre est superbe.
- Qui ça ?
- Tu es très charmante.
- Merci, là nest point le problème. Il se pose des questions sur lui, Il narrête pas de me parler de toi, jai discuté hier dans un café avec lui, mais
- Oui je sais, je ne veux pas lui faire du mal, je ne veux pas. Je sais que cest un brave gars mais (avec un certain regard insistant sur sa consoeur) Je lui dirai au moment voulu.
- Oui mais attends pas de trop car lui, il se fait du mouron tu sais.
- Je sais, mais jai un problème avec lui, je vous lexpliquerai si nous sommes appelées à devenir amies.
- Que se passe-t-il ?
- Voilà, je prends mon courage à deux mains. Jaimerais te demander quelle est la marque de ton soutien-gorge pour avoir une aussi belle poitrine.
- (Surprise, mais avec une certaine envie non dissimulée) Cest un Aubade série music-hall en balconnet. Tu aimes la belle lingerie !
- Cest mon point faible, mais mes moyens ne suivent pas, je suis étudiante.
- A peu de choses près nous avons la même taille de soutien-gorge 95C ?
- 90C Madame.
- Le dessous de poitrine nest pas trop grave sil y a peu de différence, vient voir si tu veux.
Il fallait lappâter avec ce que Laure préfère, afin den savoir plus.
- Je reviens de suite, (puis sarrêtant au milieu du chemin) jai rangé ma chambre et je nai point dinconvénient à ce que tu la vois. Viens
- Jarrive madame. (pas à pas elle monte, ébahie le rêve commence.)
- Cest magnifique, elle est rien belle votre chambre.
- (Tirant le 2eme tiroir de sa commode) Tiens regarde cet ensemble, cest un Bahia de chez Aubade, tu vois la torsade située entre les bonnets ici.
Elle tâtait le soutien-gorge avec désir et passion, voyant tant de désir dans les yeux de cette gamine, Doriann lui dit :
- Si tu veux, tu passes a côté et mets le pour voir sil te va.
- Nous sommes deux femmes donc, pourquoi nous cacher.
Et commence le déshabillage de Laure, ce spectacle divin fait revenir lémotion de la belle-mère de Kevin. Doucement elle déboutonne puis retire son chemisier, le désir monte chez Doriann, elle est belle cette fille avec le galbe de sa poitrine bien serré dans ce soutien-gorge, acheté je ne sais où dailleurs, puis lessayant, avec du mal à retirer le sien , elle lui demande gentiment :
- Si josais, je vous demanderais si vous voulez bien me le dégrafer, je ny suis jamais arrivée comme ça. Je le tourne et le retire devant.
- (Doriann sexécute malgré son grand émoi) Dit donc, je crois que jai compris quelque chose.
- Oui je vous écoute.
Se plaçant derrière, elle lui déclipe son soutien-gorge et le reprend dans ses mains, sous ses seins lourds. Elle ne peut sempêcher de bien tâter son dessous de poitrine avec de si larges et belles aréoles quelle aperçoit légèrement. Tout cela avec ses yeux pétillant de désir, et sans que Laure nait à redire MAIS. MAIS elle na que 19 ans et elle ne peut pas, pas parce que si cela ne tenait que de Kevin, elle sarrangerait pour que ça passe sans trop de casse. Et encore, peut être quelle se donnerait à cette fille de 19 ans dont elle sentait quelle y était prête. Mais parce quelle navait que 19 ans, et là, est la source de tous les ennuis qui vont venir
- Doriann que désirais- tu me dire tout a lheure ?
- (la sentence tombait, mais elle allait avoir le retour de manivelle)
- Oui je voulais te dire Laure (En sassoyant sur le rebord de son lit), que je sais ce qui ne va pas entre toi et Kevin. (Un froid se glisse). Cela fait combien de temps ?
- Combien de temps, je ne vois pas.
- Ok, cela fait combien de temps que tu es lesbienne, cest pour ça que tu ne peux pas donner à Kévin de fausses idées, cest ça, oui ou non ?
Chapitre III : La naissance du désir
Laure croisant ses bras sur sa poitrine dit :
- Vous le saviez !
- Pour deux raisons : une, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Et de deux, je lai été, et à ta manière de te comporter, jai reconnu que tu devais lêtre !
- Oui
- Ce qui ma permis de voir la raison du pourquoi, cest tout simple. Mais tu ne lui as pas fait comprendre quentre vous deux, les conclusions seraient impossible.
- (Nosant quoi faire par timidité, Laure cherche à éviter cette situation qui la ronge, par le culot et revenant vers Doriann, libre de ses mains sur sa poitrine) Vous savez, quand vous vous faites traiter de gouinassse devant tout le monde à luniversité. Parce quil ne faut pas se leurrer, on crie partout la liberté par ci, la liberté par là, la liberté est là. LIBERTÉ, MON CUL OUI. Pardon madame pardon de vous avoir insulter mais quand vous trouvez un ami qui est sympa et qui peut marranger une histoire, quitte à en laisser des plumes. Que faites-vous, hein ? QUE FAITES VOUS ?
- Je sais Laure, Je sais. Viens, viens près de moi
- Je ny peux rien moi si jaffectionne les femmes dun certain âge.
Et la tentation de Doriann pourtant, est en train de refaire surface. Mettez vous à sa place, cette fille au charme ravageur dune part, avec un physique de top model dautre part. Comment une femme plus âgée, anciennement bi voir lesbienne de surcroît, peut résister. La vue des pointes turgescentes trahissait Laure, Doriann se sent de plus en plus rouge de honte, nose pas mais lenvie la tenaille. Tellement quelle ne se voit même pas prendre le dessous de poitrine en prenant entre le pouce et lindex, le téton du sein droit de Laure si belle et ainsi offerte en poussant un petit soupir de désir, qui soudain révèle :
- Doriann, jai envie de toi, embrasse moi.
- (très gênée, ne voulant pas céder mais
) Et puis merde.
Doriann relève doucement le menton de Laure et lembrasse à pleine bouche, tout en redescendant sa main sur les seins en les caressant avec un désir fou, le petit cri de Laure simmiscent entre leurs lèvres. Celle-ci prend un sein dans la paume de sa main et en saisit laréole, la peau de celle-ci glisse due à une pression légère de cette partie intime féminine mais est retenue par le téton par deux doigts. Elle le tiens bien et glisse la paume totale comme un soutien-gorge pour bien sentir cette poitrine lourde mais galbée.
Doriann retire sa bouche de celle de Laure
- Doriann je nen peux plus, je suis bien trempée, aime-moi, rend moi heureuse jai tellement envie de toi.
- Vraiment !
Laure glisse sa main entre les cuisses de sa nouvelle amie. Doriann ne peut plus résister tellement elle est trempée, mais feignant lignorance :
- Laure
- Oui
- Déboutonne mon chemisier !
Cette poitrine magique que possède Doriann nest cachée que par un petit outil vestimentaire très utile pour le maintien des femmes. Laure regarde cette chose (inventée par Philippe Brassière, mais qui na pas déposé le brevet je crois) avec une passion hors du commun. Il est magnifique sur elle, cest presque un complet à lui tout seul.
- Dégrafe le moi, si tu veux
Passant juste devant Doriann, Laure avec sa poitrine fière et bien sculptée, se trouve happée par sa maitresse, qui veut lui lécher le bout de ses seins, les saisissant avec sa bouche pour mieux les embrasser et saisit le téton doucement entre les dents en le chatouillant du bout de la langue.
- Retire mon pantalon, vite jen peux plus.
- Doucement ma puce, dégrafe mon soutien-gorge.
- Tu me rends folle Doriann
- Toi aussi (en ne pensant certainement pas la même chose, cela dit le soutien-gorge tombe)
Mais de voir cette fille se donner a elle corps et âme, la rendait émotionnellement fragile. Que faire ? Doriann se leve, et torse nu retire son pantalon.
- Tiens
, Tu rases totalement ton minou Doriann
- Oui cest plus sain et, jaime mieux, cest plus mignon quen penses tu !
- Regarde
Le pantalon de Laure tombe, Doriann voit le ticket de métro dessiné sur son sexe
- Il est beau ton sexe.
- Viens me le prendre, il est à toi.
Doriann vient vers Laure, lui saisit ses seins et lembrasse à pleine bouche. Dieu quelles sont belles a voir se rouler une pelle toutes deux à lunisson. Tout en se serrant la taille, elle fait reculer Laure vers le lit et saffale en se laissant tomber dun trait. Avec ses cuisses légèrement entrouvertes, elle se donne totalement aux jeux futurs de son amante qui ne rate pas loccasion. Elle arrive doucement, rempante sur le lit au dessus de celle quelle va aimer malgré tout, puis dépose doucement de tendres baisers sur ses lèvres et partout sur son corps pour finir au niveau de laine. Cette fente luisante de cyprine si impudique, trahit cette fille dans son envie detre aimée. Elle les écarte totalement afin de laisser un meilleur passage à son amante. La voyant de face celle-ci sacroupit et glisse entre la fente de son sexe, un bout de langue qui provoque un brusque redressement du cou, symbole de son bonheur, elle lui est soumise, offerte, et ne peut plus revenir en arrière. Tout en malmenant sa poitrine, Laure dit :
- Ooooouuuuuiiiiii, Prends moi, fait de moi ce que tu veux, mais PRENDS MOI. (Tout en se pinçant le bout des tétons)
- (Dans le feu de laction, une réaction normale est émise)Tu nes pas vierge ma puce !
- Nooonn.
Après une petite vérification avec sa langue faisant bondir de plaisir, cette gamine qui ne demande que detre heureuse dans ses bras
- Tu es Aphrodite, tu es lesbos continue, Continue, CONTINUE.
- Attends, je vais chercher mon sex-toy.
Doriann va et tire sur le 4eme tiroir de sa commode pour prendre un god de belle taille et revient sallonger près de son amante. Se plaçant à califourchon sur Laure, celle-ci presque implorant son amante en lui prenant le bout de ses seins.
- Prends-moi mon amour, je suis a toi.
Les filles, têtes bêches toutes deux offrant à leurs visages un sexe suintant de désir, lune comme lautre. La maîtresse de maison si lon peut dire, dirigeait le sex-toy vers lorifice prévu à cet effet. Mais Laure devenait de plus en plus sensuelle avec Doriann. Comme pour la remercier du plaisir quelle recevait de cette femme experte qui allait la pénétrer de son sex-toy, elle sépara les lèvres vaginales de son amante le plus délicatement pour lui pratiquer un cunnilingus de première classe. Lamante ne sy attendait pas du tout, elle savait quelle allait être aimée, désirée et peut-être pénétrée, si et seulement si, tout se passait bien. Mais posant la tête sur laine de cette fille, elle nosa pas lui dire que son sexe trempé ne demandait que sa langue. De plus en plus, cette femme du monde se sentit dépassée par les événements. Elle devient presque lélève de cette gamine de 19 ans bientôt 20.
Lui offrant son sexe bien rasé en face de sa bouche afin quelle se régale de sa cyprin tant fournie par lexcitation, sa nouvelle amie nhésite pas à prendre ses seins pour jouer avec ces lobes mammaires. Mais, prête à la pénétrer du god de tout son long
.
- Haaaahaaaa, oooouuuuuiiiiiii
Tellement heureuse de recevoir en elle lobjet désiré, elle tourna sa tête pour en mordiller loreiller et saisir en même temps le bord du lit en le serrant très fort. Et, malgré le léger bruit provoqué par le god et de multiples va et vient dans sa chatte, Laure se mit à jouir en hurlant.
Une demi-heure après, quand leurs excitations respectives furent retombées, toutes deux allongées, savouent leur bonheur davoir appartenu à lautre etc etc. La plus âgée tout en se rhabillant avec une jupe à la place dun pantalon, lui avoua
- Honnêtement je suis surprise, pour une jeune fille tu es une grande amante. De plus, quand tu te donnes ce nest pas à moitié.
- Que vais-je dire Kévin !
- Laisse moi faire, il ne va pas tarder à rentrer. Je te raccompagne. Au faite, tu as pris le soutien-gorge que je tai fait voir ?
- Non je nai pas osé.
- Vas le chercher, tu le mettras en pensant à moi !
- Merci Doriann, merci beaucoup. Veux tu me faire un infini plaisir.
- Lequel, dit le moi ma puce
- Donne moi ta culotte, celle que tu portes là.
- (Surprise autant quinterloquée) Ma culotte, pourquoi justement ma culotte
- Je veux être prêt de toi, toi qui mas tant et si bien aimée.
- Et cest ma culotte qui
- En général je nen mets presque jamais, tu verras. Cette impression de frais sous ta jupe mélangé au sentiment dêtre totalement nue, rien nest plus excitant.
- Je suis daccord mais tu mets en danger ton intimité, ainsi ton intimité propre.
Mais avec cette allure de chien battu, elle mit ses mains sous sa jupe, attrapa sa culotte et la fit descendre pour finalement lui donner.
- Tiens, et vas y car jen connais un qui ne va pas tarder a revenir.
La prenant dans sa main, Laure la glisse dans sa poche après lavoir sentie légèrement.
Trouvant cette réaction complètement idiote, Doriann ne put sempêcher de dire :
- Plus il y a de fous, plus on rit !
Mais où sarrête la folie ?
Suite chapitre IV, la prochaine fois si vous le voulez.
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