Deuxieme Rencontre
Depuis ma première rencontre avec Pierre je suis encore plus tendu quavant. Trois jours se sont écoulés et depuis, quotidiennement, je reçois mails et appels téléphoniques . Je mimagine quil tient à me faire partager chaque nouvelle idée afin de me préparer . Jai aussi découvert quil désirait autant jouer cérébralement que physiquement et cest pour cette raison quil mappelle, par exemple, quand il sait que je suis dans la rue ou au travail afin de me donner quelques directives que je retrouverai dans ma messagerie en rentrant chez moi . Ses derniers messages écrits ont surtout été très matériels et interrogatifs : mes horaires précis, la liste de mes sous-vêtements, mes tailles et autres détails
Cest à la suite de son dernier mail que jai reçu un colis de sa part . Linventaire en a été rapide et ne ma pas étonné : parure rose, bas noirs à couture, chemisier en dentelle, différentes culottes, chaussures à talons et quelques accessoires que je mattendais à trouver chez moi un jour depuis notre rencontre : un plug, un vibromasseur qui me fait peur par sa taille, une paire de menottes, une laisse, un collier de cuir et une chaîne .Tout cela minquiète mais je regarde, touche, inspecte et range chaque article comme si javais déjà accepté un nouvel environnement qui serait aussi le sien ! Je ressens à cet instant, comme à chacun de nos contacts, la pression quil met sur moi en cherchant à connaître mes limites dans cette relation.
Nous sommes vendredi. Il est 18heures quand son message me parvient:
« Je te veux à portée de mains à 21heures . Cela te laisse largement le temps de te préparer : douche et quelques soins intimes mais pas de robe ce soir ! Je te laisse le choix des sous-vêtements sur lesquels je tolèrerai cependant que tu portes ton kimono rose. En attendant, et le plus rapidement possible, je te conseille de tenfiler le plug que tu as dû recevoir. Tu ne lôteras que lorsque je tappellerai mais en attendant nessaie surtout pas de ty soustraire car il me sera facile de vérifier si tu mas obéi ! Mon appel sera également le signal douverture de ta porte et aussi celui daller tallonger sur ton lit de la façon la plus agréable à mes yeux.
La première chose qui ma marqué est le fait quil ait abandonné le vouvoiement et cela rend son ton plus dur. Comme à chacun de ses messages un trouble menvahit et je me sers un whisky afin de reprendre mon contrôle. Le temps de réflexion est court mais ma préparation est rapide et soignée : douche, crème à certains endroits, adoucissant, une goutte deau de toilette, rasage pendant lequel je suis toujours étonné de voir ma moustache
Je choisis ma tenue : soutien-gorge, porte-jarretelles blanc en dentelle, bas noirs et je m habille. Inconsciemment ou presque jai reculé le moment de mettre une culotte mais, pour être honnête, je dirai que cest à cause du plug que je vais devoir utiliser. Je me décide quand même, après mêtre soigneusement lubrifiée, à procéder à lopération. La position accroupie me paraît la meilleure et lintroduction se fait sans trop de problème ni douleur. A partir de cet instant je me sens totalement autre et jai du mal à croire que cela est uniquement dû à lacte que je viens deffec. Jenfile une culotte qui, si elle ne fait pas partie de ma tenue de ce soir, a lavantage dêtre très couvrante et de maintenir en place lobjet que jai entre les fesses. Jhésite avant de savoir si je dois mettre des chaussures car il ne ma rien précisé à ce sujet et je ne veux en aucun cas le contrarier. Après réflexion je me dis quil ne sera jamais trop tard pour les ôter et jopte pour les talons. Je sais quils vont me donner une démarche particulière et me faire souffrir au niveau de mon petit cul mais je dois my habi. Quand je me présente une dernière fois devant la glace murale il est 20 heures.
Je ne sais si cest la crainte de déplaire ou simplement le plaisir mais je fais le maximum pour entrer totalement dans mon personnage de femme.
Vingt et une heures plus trois minutes. Les trois minutes mont paru une éternité avant que mon portable ne sonne :
« Bonsoir. Jespère que ma chérie ma obéi et quelle est prête. Je te laisse trente secondes pour ouvrir ta porte et mattendre comme prévu ! »
Il nattend pas de réponse et le ton quil a employé ne mincite pas à traîner. Je commence par libérer mon anus et remplacer la culotte par le tanga déjà préparé. Mon dernier geste, le plus stressant, est daller déverrouiller ma porte
avant de courir mallonger sur mon lit en réfléchissant à la position à adopter.
Le bruit du verrou puis le silence qui suit me rendent fébrile. Je devine cependant les gestes de Pierre : déshabillage et ouverture de la mallette qui ne le quitte jamais. Jai enfin trouvé ma position quand il arrive.
« Je pense que tu as compris ce que tu devais être pour moi et jen suis satisfait
et toi ?
- Je suis comme vous le désirez monsieur Pierre.
- Cest bien ! Alors fais-moi plaisir avant que je ne décide moi-même de la suite des évènements .»
Je nai pas à réfléchir longtemps à la façon de lui faire plaisir et jentreprends de lui caresser le sexe à travers létoffe de son slip. Son manque de réaction me pousse à aller plus loin et, après mêtre redressée, j introduis une main sous le vêtement à partir de son entrejambe.. Mes doigts saffairent sur son membre et ses couilles tandis que ma bouche se pose sur sa poitrine. Je ne suis pas experte mais je mefforce de sucer un téton puis lautre.
« Ton approche nest pas mauvaise mais jaimerais maintenant que tu nous rapproches plus intimement ma chérie
-
- Nen as-tu pas envie ?
- Bien sûr monsieur Pierre mais je ne savais pas que vous étiez si impatient.
- Pourquoi tai-je demandé dêtre totalement et rapidement disponible ?
- Je nattendais que vos ordres.
- Tu as de la chance car je naurai sans doute pas besoin ce soir de préparation trop sophistiquée. Commence par môter mon slip qui me gêne de plus en plus
»
Mes deux mains saffairent aussitôt sur la ceinture et Pierre se redresse afin de me faciliter la tache...Le membre qui se présente à moi est déjà bien rigide et mes doigts en prennent possession immédiatement. Pendant ce temps une main sest infiltrée entre mes cuisses, écartant mon string, et un doigt que jappellerai majeur se présente sur ma rondelle. Il ne sy attarde pas et force lentrée sans que jéprouve une douleur réelle malgré ma crispation.
« Je suis satisfait que tu aies suivi mes instructions et cela te sera sans doute bénéfique ! » Le doigt ne reste pas inactif et commence un va-et-vient qui mirrite légèrement. Quand les trois phalanges se courbent et entament des rotations en moi je ne sais plus où est la frontière entre plaisir et souffrance. Je connais cependant le but de lopération et je my soumets du mieux que je peux en attendant son terme. Le doigt sort enfin de mon anus et, nos regards se croisant, je vois dans ses yeux un regard plein dironie : « Mon doigt ta appréciée et tu vas maintenant apprécier mon doigt ! » Je nai pas à répondre mais juste à ouvrir la bouche pour prendre entre mes lèvres le majeur qui leur fait face. Je connaissais déjà, littérairement parlant, le geste et le goût mais javoue que jai une certaine répulsion à accepter ce cadeau venant de mon intimité. Je mapplique cependant à sucer de mon mieux jusquà ce quil marrête. Je linterroge du regard tentant dy déceler une appréciation ou un reproche mais rien ne transparaît sur son visage.
« Les préludes sont terminés chérie ! Je te sens prête à passer à la suite. Nous allons cesser nos jeux dadolescents et nous comporter en adultes car jai hâte de faire de toi une vraie femme
Mets-toi sur le ventre rapidement ! »
Les mots et le ton me font peur mais je me retourne immédiatement comme il me la commandé. Je sens immédiatement ses lèvres sur mon cou. Il reste à genoux mais cette fois-ci entre mes jambes quil a écartées sans ménagement. Ses doigts se promènent sur mes cuisses et mes fesses puis font descendre la petite protection qui masquait ma raie. Je suis mal à laise mais je sais que je nai plus le choix. Quand il me saisit aux hanches et me tire en arrière en relevant mes fesses je laide de mon mieux en prenant appui sur mes coudes tout en gardant mon postérieur le plus haut possible. Les mains passent rapidement entre mes cuisses et me les écartent encore. Quelques secondes sécoulent et je me demande sil nen est pas déjà à savourer sa victoire avec les yeux : Ne suis-je pas dans la position idéale face à un mâle ayant envie de soumettre quelquun ? Deux claques sur chacune de mes fesses me font sursauter.
« Juste pour te décontracter et mettre ta peau à la même température que ton intérieur ! »
Deux fessées encore et le contact appréhendé survient. Bien que ce soit la première fois je reconnais le gland qui se colle à ma rondelle. La pression quil exerce est forte et il franchit rapidement le seuil. Il reste immobile quelques secondes avant de reprendre sa progression à petits coups réguliers. Je me sens de plus en plus pleine mais je ne souffre pas autant que je my attendais. Ses couilles sont maintenant au contact de mes fesses et ses mouvements cessent. Simple pause ? Trêve ou fin ? Je ne le sais pas encore mais la réponse survient rapidement. Ses mains ont repris leurs caresses : ventre, dos
tout y passe.
« Te voilà dorénavant femelle réelle et plus encore : ma femelle. Nest-ce pas ?
- Oui monsieur Pierre
- Et tu es heureuse de ce sort ?
- Oui bien sûr.
- Il vaut mieux quil en soit ainsi car tu es mes maintenant attachée autant que je le désirerai tout comme ma queue est liée à ton cul en ce moment. Redresse-toi un peu sil te plait. Je veux que tu me sentes au maximum même si cela te fait un peu mal. » Je rapproche mes mains de mes genoux me collant encore plus à lui et ses mains me reprennent fermement mais cette fois en haut de cuisses. Sa prise se resserre quand son sexe repart à lassaut. Ce ne sont plus des petits coups quil utilise mais au contraire de longues et puissantes incursions qui me chauffent lanus.
« Bouge ton postérieur ! Je veux que tes muqueuses s usent sur ma queue. »
Jobéis et accompagne ses mouvements comme je le peux. Je suis maintenant en appui sur les mains et ma tête plonge dans loreiller à chaque nouveau coup avant quil ne me ramène à lui. Quand il me fait redresser encore plus en me prenant aux épaules son pieu me semble plus énorme et je souffre.
« Je sais que tu as mal dans cette position mais cela est nécessaire pour que tu te souviennes de ces instants ! »
Le pilonnage de mon intérieur est, je pense, à son amplitude maximum et je ne sais qui, de plaisir ou de douleur, est le plus grand. Je suis heureuse quand ses mains me lâchent pour se poser sur mon dos. Sa respiration est forte et sa queue immobilisée. Je nose bouger en attendant quil se retire. Quand cela se produit je suis soulagée mais je ressens comme un grand vide et me demande quelle taille peut bien faire mon rectum à cet instant.
« Sur le dos ma chérie et vite ! Je ne vais pas pouvoir attendre très longtemps . »
Je me retourne et lui de place de nouveau à genoux de part et dautre de mes hanches. Le sexe turgescent qui me fait face est un élément de réponse à la question que je me posais au sujet de la taille actuelle de mon anus.
« Prends dans tes petits doigts ce joujou que tu admires et fais-le cracher. Débrouille-toi mais je veux voir mon sperme sur la moindre parcelle de ta peau et sans exception ! »
Jai compris le message : la partie de mon corps située au-dessous du nombril ne sera pas touchée puisque Pierre y est presque assis mais je sais que ma face ne sera pas épargnée. Des deux mains il baisse les bonnets de mon soutien-gorge puis me regarde de façon sarcastique. Je me redresse légèrement, tend le bras avant de saisir délicatement sa queue. Jentame la masturbation, seule pratique que javais usitée auparavant. Il ne faut que quelques instants avant que le membre ne se mette à frémir dans ma main. Je sais que cest le signal de léjaculation et je surveille avec appréhension son méat. Jai envie de fermer les yeux mais il ne me le pardonnerait car il tient à cette humiliation . Le premier jet retombe sur mon visage et Pierre dirige lui-même les suivants : mon visage encore, ma poitrine et mon ventre jusquau nombril .
« Remercie moi puis étale ma semence sur ta peau comme sil sagissait dune crème de massage. Allez ! » Après un rapide « Merci monsieur Pierre » je lance mes doigts à la rencontre du liquide gluant . Le premier contact me procure du dégoût mais je masque ma réaction et me masse comme il me la dit : visage, poitrine, ventre
jusqu à ce tout soit étalé. Il remonte alors le long de mes flancs, toujours à genoux. Il cesse sa progression quand sa bite nest plus quà quelques centimètres de ma bouche et je devine déjà la suite.
« Jai cru déceler une certaine répulsion lors de ce petit massage. Répond !
- Non Pierre, juste de lappréhension mais jai aimé.
- Tant mieux et jespère quil en sera de même pour ta petite langue. Nettoie-moi correctement. »
Il nattend pas de réponse de ma part et son sexe est déjà au contact de mes lèvres. Je ferme les yeux et me mets à lécher la hampe de bas en haut et tout autour. Je redresse légèrement la tête afin de mieux officier sur le gland. Celui-ci est gluant et je procède par petits coups jusquau méat où mattend, je le sais, une goutte de sperme. Mon amant me repousse quand jai terminé mon uvre et menjambe pour quitter le lit. Il se dirige vers les toilettes où je lentend uriner tout en sadressant à moi :
« Tu prendras une douche plus tard. Rajuste-toi et vas nous servir à boire à côté. »
Je me lève aussitôt , remonte string et soutien-gorge, enfile le peignoir puis vais exécuter le service demandé. Les talons, que je nai pas quittés pendant tout lexercice, sont encore un souci pour ma démarche mais ce nest rien en comparaison de mon anus qui commence à me faire mal. Je pose verres et glaçons sur la table basse quand il apparaît, presque rhabillé, et sassoit sur le canapé.
« Je tavais demandé de te rajuster et non pas de thabiller . En ma présence, et sauf autres directives, ta tenue ne sera composée que de sous-vêtements et de chaussures. Compris ?
- Oui monsieur Pierre
- Et sache que, même en mon absence, il marrivera souvent de te faire habiller ainsi. Pose ce peignoir et prends ton verre ! »
Je défais le vêtement, le pose au sol, me saisis du verre et mapprête à masseoir mais il stoppe mon geste :
« Non. Reste debout et plus près de moi sil-te plaît. Tu as déjà oublié mon mail ? Javais écrit : à portée de mains
»
Je fais le petit pas demandé et me retrouve soudain totalement fragilisée devant cet homme me toisant et jouant avec une de mes jarretelles ou la ficelle de mon string dune main désinvolte tout en sirotant son whisky. Je ne sais quelle attitude prendre avant qu il n interrompe mes pensées :
« Si je te veux ainsi cest pour tavoir toujours à ma disposition et sans effort de ma part. Ceci pour mamuser comme en ce moment ou encore comme cela .»
Tout en parlant il mempoigne brutalement verge et bourses quil compresse à me faire crier.
« Jaime assez tentendre crier. Ce moyen me paraît parfait pour y arriver et il me permettra aussi davoir le contrôle entier de ton corps avec mes cinq doigts. Comme mes mains aiment bien ta peau, elles seront souvent sur elle, pas toujours pour des caresses dailleurs, mais ce nest pas pour ce soir. Pour résumer je dirai quil faudra que tu thabitues à me recevoir ainsi : disponible et même devancière. A lavenir, pour te baiser, je ne prononcerai plus une parole : me préparer, te mettre en position, bouger ton cul devront être des actes naturels pour toi. Il en sera de même pour recevoir ma semence, te masser avec et me nettoyer. Ces gestes constituent un rite que tu devras observer sans aucune parole de ma part ! Cest bien compris ?
- Parfaitement monsieur Pierre. Je mefforcerai de vous satisfaire.
- Cela me paraît un minimum. Ce sera tout pour ce soir. Jaimerais que tu me rechausses. »
Je nattend pas une seconde avant daller chercher ses boots et me mets à genoux pour lui enfiler. Je sais que ce geste est uniquement destiné à me rabaisser une dernière fois mais je laccomplis.
« Merci. Va chercher ton portable et reprend la position que tu avais prise la dernière fois ! Bonne nuit. » Il se lève immédiatement et je vais illico récupérer mon portable avant de me mettre à quatre pattes en fixant le parquet . Jentends ses pas, le bruit dun paquet qui tombe devant moi puis la porte qui claque. Ce moment me paraît une éternité mais je sais que je n ai dautre choix que dattendre et je my soumets. La sonnerie me libère : « Tu es libre jusquà nouvel ordre. Ouvre quand même ton petit cadeau avant d aller te coucher. Bye . »
Exténuée mais curieuse je me redresse et ouvre le paquet long et fin posé près de ma tête. Je mattendais à ce genre de cadeau un jour mais pas encore. Je ne peux mempêcher de le prendre en main en pensant à celui qui lutilisera
sur moi. » ,
Depuis ma première rencontre avec Pierre je suis encore plus tendu quavant. Trois jours se sont écoulés et depuis, quotidiennement, je reçois mails et appels téléphoniques . Je mimagine quil tient à me faire partager chaque nouvelle idée afin de me préparer . Jai aussi découvert quil désirait autant jouer cérébralement que physiquement et cest pour cette raison quil mappelle, par exemple, quand il sait que je suis dans la rue ou au travail afin de me donner quelques directives que je retrouverai dans ma messagerie en rentrant chez moi . Ses derniers messages écrits ont surtout été très matériels et interrogatifs : mes horaires précis, la liste de mes sous-vêtements, mes tailles et autres détails
Cest à la suite de son dernier mail que jai reçu un colis de sa part . Linventaire en a été rapide et ne ma pas étonné : parure rose, bas noirs à couture, chemisier en dentelle, différentes culottes, chaussures à talons et quelques accessoires que je mattendais à trouver chez moi un jour depuis notre rencontre : un plug, un vibromasseur qui me fait peur par sa taille, une paire de menottes, une laisse, un collier de cuir et une chaîne .Tout cela minquiète mais je regarde, touche, inspecte et range chaque article comme si javais déjà accepté un nouvel environnement qui serait aussi le sien ! Je ressens à cet instant, comme à chacun de nos contacts, la pression quil met sur moi en cherchant à connaître mes limites dans cette relation.
Nous sommes vendredi. Il est 18heures quand son message me parvient:
« Je te veux à portée de mains à 21heures . Cela te laisse largement le temps de te préparer : douche et quelques soins intimes mais pas de robe ce soir ! Je te laisse le choix des sous-vêtements sur lesquels je tolèrerai cependant que tu portes ton kimono rose. En attendant, et le plus rapidement possible, je te conseille de tenfiler le plug que tu as dû recevoir. Tu ne lôteras que lorsque je tappellerai mais en attendant nessaie surtout pas de ty soustraire car il me sera facile de vérifier si tu mas obéi ! Mon appel sera également le signal douverture de ta porte et aussi celui daller tallonger sur ton lit de la façon la plus agréable à mes yeux. Sache que tu ne me recevras pas ce soir pour te présenter à moi comme cétait le cas lors de ma première visite mais pour te donner comme une amante attentionnée et obéissante ! »
La première chose qui ma marqué est le fait quil ait abandonné le vouvoiement et cela rend son ton plus dur. Comme à chacun de ses messages un trouble menvahit et je me sers un whisky afin de reprendre mon contrôle. Le temps de réflexion est court mais ma préparation est rapide et soignée : douche, crème à certains endroits, adoucissant, une goutte deau de toilette, rasage pendant lequel je suis toujours étonné de voir ma moustache
Je choisis ma tenue : soutien-gorge, porte-jarretelles blanc en dentelle, bas noirs et je m habille. Inconsciemment ou presque jai reculé le moment de mettre une culotte mais, pour être honnête, je dirai que cest à cause du plug que je vais devoir utiliser. Je me décide quand même, après mêtre soigneusement lubrifiée, à procéder à lopération. La position accroupie me paraît la meilleure et lintroduction se fait sans trop de problème ni douleur. A partir de cet instant je me sens totalement autre et jai du mal à croire que cela est uniquement dû à lacte que je viens deffec. Jenfile une culotte qui, si elle ne fait pas partie de ma tenue de ce soir, a lavantage dêtre très couvrante et de maintenir en place lobjet que jai entre les fesses. Jhésite avant de savoir si je dois mettre des chaussures car il ne ma rien précisé à ce sujet et je ne veux en aucun cas le contrarier. Après réflexion je me dis quil ne sera jamais trop tard pour les ôter et jopte pour les talons. Je sais quils vont me donner une démarche particulière et me faire souffrir au niveau de mon petit cul mais je dois my habi. Quand je me présente une dernière fois devant la glace murale il est 20 heures.
Je ne sais si cest la crainte de déplaire ou simplement le plaisir mais je fais le maximum pour entrer totalement dans mon personnage de femme. Après avoir enfilé mon kimono rose et noué la ceinture je vais et je viens dans lappartement afin dentrer au maximum dans ma nouvelle peau et découvrir de nouvelles sensations. Jeffectue ainsi quelques banales taches ménagères telles que vaisselle et préparation du lit. Mon fondement semble même shabi à la présence étrangère bien que chaque pas me rappelle son existence et que je sois parfois obligée de le faire regagner sa place. Il ne me reste quun quart dheure à attendre et afin de retrouver mon calme jai sorti la bouteille de Scotch et en use à petites doses tout en arpentant la pièce. Je me sens maintenant totalement en situation et chaque détail est repassé dans ma tête. Pour la dernière fois jai retouché le lit en décidant de louvrir au maximum en rabattant le drap vers le pied et en y posant le string rose que je mettrai au dernier moment pour remplacer la culotte prude que je porte actuellement par obligation. Le petit bout de chiffon rose me paraît bien léger comme protection et jhésite un instant à ne pas en changer. Jy renonce après un éclair de lucidité : combien de temps Pierre supportera til ce morceau de dentelle à sa place initiale ?
Vingt et une heures plus trois minutes. Les trois minutes mont paru une éternité avant que mon portable ne sonne :
« Bonsoir. Jespère que ma chérie ma obéi et quelle est prête. Je te laisse trente secondes pour ouvrir ta porte et mattendre comme prévu ! »
Il nattend pas de réponse et le ton quil a employé ne mincite pas à traîner. Je commence par libérer mon anus et remplacer la culotte par le tanga déjà préparé. Mon dernier geste, le plus stressant, est daller déverrouiller ma porte
avant de courir mallonger sur mon lit en réfléchissant à la position à adopter.
Le bruit du verrou puis le silence qui suit me rendent fébrile. Je devine cependant les gestes de Pierre : déshabillage et ouverture de la mallette qui ne le quitte jamais. Jai enfin trouvé ma position quand il arrive. Je suis sur le dos, une jambe repliée, kimono découvrant une cuisse, et yeux semi-fermés. La bougie ne me laisse voir quune silhouette me surplombant . Comme je my attendais, avant de me rejoindre, il a abandonné ses vêtements à lexception dun boxer noir. Je nai pas le temps de poursuivre mon examen car son premier geste est de dénouer ma ceinture et décarter largement les pans de mon peignoir. Ses yeux dévorent ce quil vient de mettre à nu mais cest son corps entier qui vient sécraser sur moi immédiatement après . Le premier contact qui me marque est celui de sa poitrine : sa pilosité agace ma peau fragile et presque vierge de poils. Sa bouche vient immédiatement se coller à la mienne et jécartes mes lèvres afin de laisser le passage à sa langue qui s amuse un moment avec la mienne. Je le sens impatient quand, se mettant à genoux et encadrant mes hanches, il ouvre enfin la bouche:
« Je pense que tu as compris ce que tu devais être pour moi et jen suis satisfait
et toi ?
- Je suis comme vous le désirez monsieur Pierre.
- Cest bien ! Alors fais-moi plaisir avant que je ne décide moi-même de la suite des évènements .»
Je nai pas à réfléchir longtemps à la façon de lui faire plaisir et jentreprends de lui caresser le sexe à travers létoffe de son slip. Son manque de réaction me pousse à aller plus loin et, après mêtre redressée, j introduis une main sous le vêtement à partir de son entrejambe.. Mes doigts saffairent sur son membre et ses couilles tandis que ma bouche se pose sur sa poitrine. Je ne suis pas experte mais je mefforce de sucer un téton puis lautre.
« Ton approche nest pas mauvaise mais jaimerais maintenant que tu nous rapproches plus intimement ma chérie
-
- Nen as-tu pas envie ?
- Bien sûr monsieur Pierre mais je ne savais pas que vous étiez si impatient.
- Pourquoi tai-je demandé dêtre totalement et rapidement disponible ?
- Je nattendais que vos ordres.
- Tu as de la chance car je naurai sans doute pas besoin ce soir de préparation trop sophistiquée. Commence par môter mon slip qui me gêne de plus en plus
»
Mes deux mains saffairent aussitôt sur la ceinture et Pierre se redresse afin de me faciliter la tache...Le membre qui se présente à moi est déjà bien rigide et mes doigts en prennent possession immédiatement. Pendant ce temps une main sest infiltrée entre mes cuisses, écartant mon string, et un doigt que jappellerai majeur se présente sur ma rondelle. Il ne sy attarde pas et force lentrée sans que jéprouve une douleur réelle malgré ma crispation.
« Je suis satisfait que tu aies suivi mes instructions et cela te sera sans doute bénéfique ! » Le doigt ne reste pas inactif et commence un va-et-vient qui mirrite légèrement. Quand les trois phalanges se courbent et entament des rotations en moi je ne sais plus où est la frontière entre plaisir et souffrance. Je connais cependant le but de lopération et je my soumets du mieux que je peux en attendant son terme. Le doigt sort enfin de mon anus et, nos regards se croisant, je vois dans ses yeux un regard plein dironie : « Mon doigt ta appréciée et tu vas maintenant apprécier mon doigt ! » Je nai pas à répondre mais juste à ouvrir la bouche pour prendre entre mes lèvres le majeur qui leur fait face. Je connaissais déjà, littérairement parlant, le geste et le goût mais javoue que jai une certaine répulsion à accepter ce cadeau venant de mon intimité. Je mapplique cependant à sucer de mon mieux jusquà ce quil marrête. Je linterroge du regard tentant dy déceler une appréciation ou un reproche mais rien ne transparaît sur son visage.
« Les préludes sont terminés chérie ! Je te sens prête à passer à la suite. Nous allons cesser nos jeux dadolescents et nous comporter en adultes car jai hâte de faire de toi une vraie femme
Mets-toi sur le ventre rapidement ! »
Les mots et le ton me font peur mais je me retourne immédiatement comme il me la commandé. Je sens immédiatement ses lèvres sur mon cou. Il reste à genoux mais cette fois-ci entre mes jambes quil a écartées sans ménagement. Ses doigts se promènent sur mes cuisses et mes fesses puis font descendre la petite protection qui masquait ma raie. Je suis mal à laise mais je sais que je nai plus le choix. Quand il me saisit aux hanches et me tire en arrière en relevant mes fesses je laide de mon mieux en prenant appui sur mes coudes tout en gardant mon postérieur le plus haut possible. Les mains passent rapidement entre mes cuisses et me les écartent encore. Quelques secondes sécoulent et je me demande sil nen est pas déjà à savourer sa victoire avec les yeux : Ne suis-je pas dans la position idéale face à un mâle ayant envie de soumettre quelquun ? Deux claques sur chacune de mes fesses me font sursauter.
« Juste pour te décontracter et mettre ta peau à la même température que ton intérieur ! »
Deux fessées encore et le contact appréhendé survient. Bien que ce soit la première fois je reconnais le gland qui se colle à ma rondelle. La pression quil exerce est forte et il franchit rapidement le seuil. Il reste immobile quelques secondes avant de reprendre sa progression à petits coups réguliers. Je me sens de plus en plus pleine mais je ne souffre pas autant que je my attendais. Ses couilles sont maintenant au contact de mes fesses et ses mouvements cessent. Simple pause ? Trêve ou fin ? Je ne le sais pas encore mais la réponse survient rapidement. Ses mains ont repris leurs caresses : ventre, dos
tout y passe.
« Te voilà dorénavant femelle réelle et plus encore : ma femelle. Nest-ce pas ?
- Oui monsieur Pierre
- Et tu es heureuse de ce sort ?
- Oui bien sûr.
- Il vaut mieux quil en soit ainsi car tu es mes maintenant attachée autant que je le désirerai tout comme ma queue est liée à ton cul en ce moment. Redresse-toi un peu sil te plait. Je veux que tu me sentes au maximum même si cela te fait un peu mal. » Je rapproche mes mains de mes genoux me collant encore plus à lui et ses mains me reprennent fermement mais cette fois en haut de cuisses. Sa prise se resserre quand son sexe repart à lassaut. Ce ne sont plus des petits coups quil utilise mais au contraire de longues et puissantes incursions qui me chauffent lanus.
« Bouge ton postérieur ! Je veux que tes muqueuses s usent sur ma queue. »
Jobéis et accompagne ses mouvements comme je le peux. Je suis maintenant en appui sur les mains et ma tête plonge dans loreiller à chaque nouveau coup avant quil ne me ramène à lui. Quand il me fait redresser encore plus en me prenant aux épaules son pieu me semble plus énorme et je souffre.
« Je sais que tu as mal dans cette position mais cela est nécessaire pour que tu te souviennes de ces instants ! »
Le pilonnage de mon intérieur est, je pense, à son amplitude maximum et je ne sais qui, de plaisir ou de douleur, est le plus grand. Je suis heureuse quand ses mains me lâchent pour se poser sur mon dos. Sa respiration est forte et sa queue immobilisée. Je nose bouger en attendant quil se retire. Quand cela se produit je suis soulagée mais je ressens comme un grand vide et me demande quelle taille peut bien faire mon rectum à cet instant.
« Sur le dos ma chérie et vite ! Je ne vais pas pouvoir attendre très longtemps . »
Je me retourne et lui de place de nouveau à genoux de part et dautre de mes hanches. Le sexe turgescent qui me fait face est un élément de réponse à la question que je me posais au sujet de la taille actuelle de mon anus.
« Prends dans tes petits doigts ce joujou que tu admires et fais-le cracher. Débrouille-toi mais je veux voir mon sperme sur la moindre parcelle de ta peau et sans exception ! »
Jai compris le message : la partie de mon corps située au-dessous du nombril ne sera pas touchée puisque Pierre y est presque assis mais je sais que ma face ne sera pas épargnée. Des deux mains il baisse les bonnets de mon soutien-gorge puis me regarde de façon sarcastique. Je me redresse légèrement, tend le bras avant de saisir délicatement sa queue. Jentame la masturbation, seule pratique que javais usitée auparavant. Il ne faut que quelques instants avant que le membre ne se mette à frémir dans ma main. Je sais que cest le signal de léjaculation et je surveille avec appréhension son méat. Jai envie de fermer les yeux mais il ne me le pardonnerait car il tient à cette humiliation . Le premier jet retombe sur mon visage et Pierre dirige lui-même les suivants : mon visage encore, ma poitrine et mon ventre jusquau nombril .
« Remercie moi puis étale ma semence sur ta peau comme sil sagissait dune crème de massage. Allez ! » Après un rapide « Merci monsieur Pierre » je lance mes doigts à la rencontre du liquide gluant . Le premier contact me procure du dégoût mais je masque ma réaction et me masse comme il me la dit : visage, poitrine, ventre
jusqu à ce tout soit étalé. Il remonte alors le long de mes flancs, toujours à genoux. Il cesse sa progression quand sa bite nest plus quà quelques centimètres de ma bouche et je devine déjà la suite.
« Jai cru déceler une certaine répulsion lors de ce petit massage. Répond !
- Non Pierre, juste de lappréhension mais jai aimé.
- Tant mieux et jespère quil en sera de même pour ta petite langue. Nettoie-moi correctement. »
Il nattend pas de réponse de ma part et son sexe est déjà au contact de mes lèvres. Je ferme les yeux et me mets à lécher la hampe de bas en haut et tout autour. Je redresse légèrement la tête afin de mieux officier sur le gland. Celui-ci est gluant et je procède par petits coups jusquau méat où mattend, je le sais, une goutte de sperme. Mon amant me repousse quand jai terminé mon uvre et menjambe pour quitter le lit. Il se dirige vers les toilettes où je lentend uriner tout en sadressant à moi :
« Tu prendras une douche plus tard. Rajuste-toi et vas nous servir à boire à côté. »
Je me lève aussitôt , remonte string et soutien-gorge, enfile le peignoir puis vais exécuter le service demandé. Les talons, que je nai pas quittés pendant tout lexercice, sont encore un souci pour ma démarche mais ce nest rien en comparaison de mon anus qui commence à me faire mal. Je pose verres et glaçons sur la table basse quand il apparaît, presque rhabillé, et sassoit sur le canapé.
« Je tavais demandé de te rajuster et non pas de thabiller . En ma présence, et sauf autres directives, ta tenue ne sera composée que de sous-vêtements et de chaussures. Compris ?
- Oui monsieur Pierre
- Et sache que, même en mon absence, il marrivera souvent de te faire habiller ainsi. Pose ce peignoir et prends ton verre ! »
Je défais le vêtement, le pose au sol, me saisis du verre et mapprête à masseoir mais il stoppe mon geste :
« Non. Reste debout et plus près de moi sil-te plaît. Tu as déjà oublié mon mail ? Javais écrit : à portée de mains
»
Je fais le petit pas demandé et me retrouve soudain totalement fragilisée devant cet homme me toisant et jouant avec une de mes jarretelles ou la ficelle de mon string dune main désinvolte tout en sirotant son whisky. Je ne sais quelle attitude prendre avant qu il n interrompe mes pensées :
« Si je te veux ainsi cest pour tavoir toujours à ma disposition et sans effort de ma part. Ceci pour mamuser comme en ce moment ou encore comme cela .»
Tout en parlant il mempoigne brutalement verge et bourses quil compresse à me faire crier.
« Jaime assez tentendre crier. Ce moyen me paraît parfait pour y arriver et il me permettra aussi davoir le contrôle entier de ton corps avec mes cinq doigts. Comme mes mains aiment bien ta peau, elles seront souvent sur elle, pas toujours pour des caresses dailleurs, mais ce nest pas pour ce soir. Pour résumer je dirai quil faudra que tu thabitues à me recevoir ainsi : disponible et même devancière. A lavenir, pour te baiser, je ne prononcerai plus une parole : me préparer, te mettre en position, bouger ton cul devront être des actes naturels pour toi. Il en sera de même pour recevoir ma semence, te masser avec et me nettoyer. Ces gestes constituent un rite que tu devras observer sans aucune parole de ma part ! Cest bien compris ?
- Parfaitement monsieur Pierre. Je mefforcerai de vous satisfaire.
- Cela me paraît un minimum. Ce sera tout pour ce soir. Jaimerais que tu me rechausses. »
Je nattend pas une seconde avant daller chercher ses boots et me mets à genoux pour lui enfiler. Je sais que ce geste est uniquement destiné à me rabaisser une dernière fois mais je laccomplis.
« Merci. Va chercher ton portable et reprend la position que tu avais prise la dernière fois ! Bonne nuit. » Il se lève immédiatement et je vais illico récupérer mon portable avant de me mettre à quatre pattes en fixant le parquet . Jentends ses pas, le bruit dun paquet qui tombe devant moi puis la porte qui claque. Ce moment me paraît une éternité mais je sais que je n ai dautre choix que dattendre et je my soumets. La sonnerie me libère : « Tu es libre jusquà nouvel ordre. Ouvre quand même ton petit cadeau avant d aller te coucher. Bye . »
Exténuée mais curieuse je me redresse et ouvre le paquet long et fin posé près de ma tête. Je mattendais à ce genre de cadeau un jour mais pas encore. Je ne peux mempêcher de le prendre en main en pensant à celui qui lutilisera
sur moi. » ,
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