Nuit Initiatique
Javais 18ans. Mon parrain, il en avait 30, me proposa un soir de memmener dans une soirée de son club chez des amis à lui histoire de me changer un peu les idées. Ma situation de famille fait que durant plusieurs années je nai pas pu le voir. Le hasard fait quil ma rencontré un soir en rentrant du travail. Ma mère mobligea dattendre mes 18ans pour de nouveau le fréquenter. Il a donc entreprit de « commencer ma formation ». Depuis plusieurs mois, il me fait visiter Paris, les coins sympas de la capitale nont pas lair davoir trop de secret pour lui. Il aime dire « le jour où je me poserai je pourrai dire, jai bien vécu ».
Depuis plusieurs mois jai un peu vidé mon sac grâce à lui. Je me suis confié. Il a été ladulte qui sait écouté et comprendre sans jamais juger.
Un soir de mois de juin, me voilà donc embarqué dans une soirée où je ne connais personne. Il vient me chercher à coté de chez moi, il ma demandé dindiquer à ma mère que ce soir je ne dormirai par chez moi. La seule indication que jai eu « prend un maillot de bain, il y aura une piscine, de quoi te changer si tu vas à leau et affaires de toilettes ». Nous roulons déjà depuis ¾ heures, la discutions porte sur un peu de tout. Une fois de plus il me demande si jai des nouvelles de mon père. Mais pour la première fois il me parle de lui, de ces aventures féminines, il dit quil y a des choses qui sont racontables et dautres non. « Tu verras un jour tu parleras comme moi ». Mon expérience sexuelle est à peu pré égal à zéro. Quelques petites copines au collège, mais ma timidité me bloque régulièrement. Il me charrie souvent sur le fait que je sois célibataire. Mais je laisse dire, il a raison à 18ans il serait peut être temps mais bon
..Nous arrivons enfin. Avant de descendre il me choppe par le bras et me dit « Tiens cest pour toi, ce soir il y aura plein de personnes, environ 200. La force est en toi jeune padawan, en cas de besoin nhésite pas » et il me tend 5 capotes.
Nous sortons nos affaires, tout est superbement prévu. Ambiance de fête, il y a de lalcool, on dort sur place, en effet je remarque quil y a plein de monde. Thierry, mon parrain, fait de tour de la soirée en saluant, déconnant avec une multitude de personnes. Assez timide, je reste un peu dans mon coin. Il vient me chercher à un moment pour rejoindre la fête. Dans ce parc il y a une piscine où déjà pas mal de monde se baigne. Je serai bien tenté mais où se changer ? Lheure tourne et les vers dalcool senchaînent au rythme des plats , je commence réellement à me faire chier. Thierry ma un peu laissé tomber pour aller avec ses potes de son club. De mon coté je décide daller faire un tour dans le parc qui borde cette grande maison.
Je me balade la chemise ouverte, lair décontracté avec un verre à la main. Je regarde autour de moi tous ces gens que je ne connais pas et qui vont et viennent dun endroit à un autre. Mon regard se pose tout à coup sur une jolie demoiselle que jai vu embrassé mon parrain sur les joues tout à lheure. Dailleurs Thierry revient à la charge, je commence à mapercevoir quil est lun des responsables du club et en plus cest lui qui a organisé la fête. Il parle, commente les résultats de la saison etc.
je ne lécoute pas, mais je aperçois de nouveau cette jolie fille. Après son mini discours je vais vers lui et lui demande de mindiquer qui est cette personne que je trouve charmante. Dun coup sec il ma prend par le bras et se dirige avec moi vers elle.
« Alexandra, je te présente Thomas mon jeune filleul »
« Thomas voici Alexandra un combattante du club qui a fait les championnat de France cette année. Elle a 20 ans et elle représente un atout pour notre club. »
Après les présentations, il me laisse en plan avec en face cette fille qui me fait quasiment rougir.
« Tout à lheure je tai vu dans le parc, toi aussi tu nas pas lair daimer trop danser ».
« Ba en fait, je ne connais personne sauf Thierry donc je me baladai pour passer le temps. »
« On continue la balade » me proposa-t-elle ? Je répondis par laffirmatif et nous partîmes dans le parc loin de la fête et du bruit.
Elle commença à me parler delle, elle avait un frère de 15 ans qui était, selon ses propres dires, « dans lâge con », elle pratiquait ce sport depuis 12 ans. Coté étude elle rentrait en 2ème année de BTS compta où elle se faisait bien chier. Nous avançâmes durant ¾ heures pour nous retrouver au fond du parc. Elle connaissait les lieux. Je le suivait et je commençais à mimaginer comment elle était sans son pantalon blanc ample et se tee-shirt qui par ailleurs lui allait à merveille. On sarrêta et on sassit. Elle continuait de me parler et moi à lécouter. Elle pris ma main tout en continuant à me parler. Jétais un peu gêné de ce geste car finalement je ne la connaissais pas. Elle voulu sallonger et me demanda de poser sa tête sur mes jambes. Jacceptai, elle se coucha et sa tête vient se poser sur mes cuises. Jamais je métais trouvé dans une telle situation. Machinalement main commença à caresser sa tête, elle se tu, le silence régnait et nous étions bien. De mon côté je sentais une légère excitation montée en moi. Mon sexe devenait un peu moins mou. Je continuai à caresser ses cheveux. Cétait pour moi quasiment magique. Elle se laisse aller je la sent qui se détend, je commence à me dire que cest peut-être un moment où je pourrai tenter quelque chose. Thierry est loin, si elle me gifle personne nen saura rien. Rien que dy penser, ma verge commence à se tendre un peu plus. Je ne voudrai pas quelle saperçoive de mon état. Cet instant aurait pu durer bien plus longtemps si la pluie nétait venue troubler notre tranquillité. En lespace dun instant un orage violent nous tira de notre léthargie.
A mon regard elle vu que jétais étonné de lendroit où désormais nous étions. Elle me répondit :
« Cest moi qui reçoit ce soir, ici cest la maison de campagne de mes parents ».
Bien que notre course poursuite na duré que quelques minutes , nous étions trempés, elle avait froid, il faisait nuit depuis pas mal de temps et malgré la météo clémente de la journée passée, la nuit était fraîche.
« Jai froid me dit-elle je suis trempée, aide moi on va faire un peu de feu il y a du bois ici »
En deux temps trois mouvements elle trouve tous les accessoires pour faire du feu , la flambée part rapidement, je commence à découvrir les lieux : une grande pièce avec au fond un lit, deux chaises et un table.
« Cest en fait une chambre damis, quand de la famille vient nous rejoindre quelques jours, ils dorment ici comme cela ils sont indépendant de nous ».
« Ha ok » dis-je.
« Va dans larmoire là bas sur ta gauche il doit y avoir de quoi se sécher je suis trempée jai pas envie de choper la crève avant de partir en vacances. »
Je mexécuta et pris une serviette que je lui tendis ,
« On va faire sécher nos vêtements et si cela se calme on rentrera au bâtiment principal » ,
Elle commença a se défaire de son tee-shirt blanc qui laissait transparaître ces sous vêtement et en me tournant le dos elle défit son pantalon qui la collait. Elle se retrouva rapidement en sous vêtement. Pris en se retournant elle me dit :
« Hé bien, enlève moi tout cela, tu a chopper la mort, allez ne soit pas si pudique on en fait rien de mal ».
Sur son injonction jenlevai ma chemise, qui effectivement était trempée, et mon pantalon et je lui tendis. Je me rapprochai du feu qui commença à nous réchauffer.
Je me sentais gêné, jétais en boxer dans une pièce éclairée à la seule lueur du feu de la cheminée.
« Vient tasseoir me dit-elle, nous serions mieux sur le lit. »
Je mexécutait, assis sur le lit je contemplai le feu, un lourd silence régnait, jespérais quavec le peu de lumière qui régnait dans la pièce elle ne sapercevrait pas de mon état. Je ne voulais pas me taper la honte en passant pour un gros obsédé. Au bout de quelques minutes elle posa de nouveau sa tête sur mes genoux et je commençai alors à caresser ces cheveux. La tension montait, je le sentais , je concentrais mon esprit sur dautres préoccupations, le prochain devoir de maths à rendre. Elle se laissait aller puis elle pris ma main et me caressa de nouveau. Jétais bien, serein et je naurai voulu pour rien au monde échangeait ma situation.
Dun seul coup nos yeux se croisaient et je vis un changement dans son regard. Elle commença à se redresser en avança sa bouche ver la mienne, je me laissait faire, elle posa tendrement un baiser sur mes lèvres. Elle se retourna pour être plus à laise et recommença, je me laissais guider par une vague de chaleur qui montait de plus en plus en mois.
Maintenant la tension au niveau du boxer était à son maximum. Alexandra pris linitiative de glisser sa langue dans ma bouche je fit de même, elle se mis contre mois et nous nous allongeâmes sur le lit lun à coté de lautre. Maintenant mon sexe était droit comme un piquet, je pris linitiative de caresser un peu le bas de son dos. Je me rapprochais delle, mais pas suffisamment pour qu e mon sexe frôle son corps. Elle commença à me caresser le torse, alors imberbe cela faisait un peu drôle. De mon coté pour ne pas être en reste je lui caressais les cheveux, la fougue de ma jeunesse et de mon inexpérience augmenta mon ardeur. Je prenais de plus en plus confiance en moi. Dun seul coup elle sarrêta et défit son soutien gorge et jeta un regard sur moi et ses yeux tombèrent sur mon membre qui dressé comme un tronc darbre déformait mon boxer. Je me sentais gène, à première vue je nétais pas le premier mec avec qui elle ferait cela, quallait-elle penser ? Allait-elle se rendre compte de ma gaucherie et de état de méconnaissance si nous devions aller plus loin ? Et puis jai jamais fait de plan avec des potes, je nai jamais compare mon sexe en érection avec dautres potes, si cela se trouve elle me trouverait pas assez membré ?
« Après, alors Thomas, ça va bien, tu as lair tout pâle ».
Je trouvai la force de bredouiller un « oui, pas de problème » Ma réponse ne fut certainement pas convaincante car elle lâcha.
« Tu as quel âge ? 18ans ? «
« Oui » ai-je répondu
Elle regarda sur mon ventre et dit « joli morceau » elle commença avec sa main à caresser les contours de ce membre gonflé à bloc. Puis elle glissa deux doigts qui soulevèrent lélastique. Sa deuxième main vient au secours de la première, je sentait que jallais de me retrouvai nu, que pour la première fois une personne autre que moi allait me voir en train de bander. Je fus pris dun tremblement.
« Apprenti, compagnon ou maître ? » lâcha-t-elle
Un silence lui fit comprendre que je navais rien compris à ces propose.
« Je pensai que Thierry ne tenait le langage quil nous tient, car jai limpression que tu es un jeune padawan sans aucune expérience ».
De honte, je baissais les yeux. Quaurais je pu dire ?
« Tinquiète pas tu vas effec les trois voyages ce soir ».
Je ne comprenais rien à son discours, mais elle continua à jouer avec les contours de mon boxer et tout doucement mon membre se découvrit à la lueur de la cheminée. Elle descendit mon caleçon sur les jambes puis finit par me lôter.
Le 1er voyage.
Elle pris linitiative, de toute façon jétais un peu tétanisé par ce quil se passait. Allongé sur le dos jallais subir, sans le savoir, les assauts dAlexandra. Déjà une petite goûte de liquide séchappait de mon membre. Alexandra commença par me caresser les cheveux, elle me couvrait de petits baisers sur mes lèvres, mes joues, mon coup, puis sa bouche descendit sur mes tétons, elle en lécha un, puis le deuxième. Jétais enfoncé dans le lit, je ne bougeai plus, je mabandonnai à elle de plus en plus. Elle se colla à moi, mon sexe sentit la chaleur de sa peau lenvelopper. Elle ne bougeait pas elle restait parfois immobile, elle ne disait rien. Un moment jeu peur quelle voulu tout arrêter en me disant « Sorry les puceaux cest pas pour moi », je nosai imaginais telle fin. Elle se mit à coté de moi, me pris dans ses bras, me fit un câlin, comme les mères font à leurs s. Mais quallait-il se passer. Elle attendait peut-être de moi que je pris, enfin, une initiative. De toute façon jen était incapable, javais beau avoir vu quelques films X ma seule expérience sarrêtait à lagitation de ma main droite régulièrement le soir, de préférence, quand lenvie était trop forte. Les petites copines que javais eues au lycée ne mavaient jamais laissé le temps daller plus loin, de plus elles nétaient pas nombreuses.
« Il faut un peu te calmer, sinon jai bien peur que tu lâche la sauce un peu trop rapidement » me dit-elle.
Nous restâmes dans cette position quelques instants, en effet lexcitation en moi commençait à se stabiliser, elle commença progressivement à de nouveau me caresser le dos, puis le haut des reins. Elle se retourna vers moi et me roula une superbe pelle qui eut pour effet de redonner de la vigueur à mon excitation. Non pas que jeu commencé à débander mais lintensité en moi était un peu plus calme. Je sentis une vigueur en elle de plus en plus forte. De nouveau je me retrouvai sur le dos. Nos poitrines lune sur lautre, je commençais à sentir ses seins devenir de plus en plus ferme. Un copain mavait raconté que lexcitation des femmes se manifestait de cette manière. Nous nous continuâmes à nous embrasser, cétait divin. Jétais eu ange.
Progressivement Alexandra, commença à membrasser sur dautres parties du corps comme elle lavait fait quelques minutes auparavant. Sa bouche ouverte descendit le long de mon visage, elle sattarda un peu sur ma poitrine, comme je suis assez musclé je pense quelle apprécia mon corps certes encore un peu juvénile mais bien formé par ailleurs. Son visage descendait encore vers le bas, dun seul coup je compris où sarrêterait cette course poursuite. Mon objectif fut de résister, je me mis à réciter mes tables de multiplications. Lorsque je fus à la table de 3, une main, pris mon membre, doucement délicatement, avec deux doigts elle découvrit le gland.
Une onde de fraîcheur vient du bas de mon peni jusquà son extrémité. Sa langue remontait ma tige. Cétait merveilleux.
Puis dun coup je sentis ses lèvres se refermer sur mon membre. Jétais en train du subir ma première fellation. Alexandra était désormais entres mes jambes, je pris le courage douvrir les yeux et je la vit en train de me sucer. Elle me caressait les testicules et remontait jusquà mon anus. Jétais en supplice , supplice de bonheur absolu. Avec sa langue elle me léchait par petit à-coup mon frein, chaque coup de langue provoquait une jouissance terrible. Je sentais ma bite se raidir de plus en plus, elle était sur le point déclater.
Une sensation de vide commençait à venir au plus profond de moi, je compris que jallais bientôt atteindre lorgasme et surtout que jallais éjaculer. Alexandra toujours attelé à sa tache me suçait et en plus une main effectuait des va et viens sur ma tige. La sauce montait, jallais lâcher ma semence.
« Alexandra, attention je vais
.. » je ne put finir ma phrase quun long jet avec dinnombrables spasmes vient me foudroyer.
Elle referma mon prépuce sur mon gland et dune main experte pris un mouchoir en papier et déversa mon sperme dedans. Jétais allongé, javais limpression que je navais plus de force. Elle se leva enleva sa culotte et me dit.
« Hé Thomas ne tendort pas, il te reste encore deux voyages à faire
»
Le 2ème Voyage
A peine remis de ce je venais de vivre. Alexandra entrepris de réveiller en moi mon courage et mon ardeur. Elle aussi avait envie de prendre son pied. Mais une question me traversa lesprit « Comment fait-t-on ? »
Mon sexe était devenu mou. Il pendait sur mes testicules et je me demandais si un jour il arriverait de nouveau à bander après ce quil venait de subir.
Elle sallongea sur le dos et avec un bras mentraîna sur elle. Cétait la première fois de ma vie que je me retrouvai dans cette position. Les mains dans ces cheveux je commençais à lui caresser la tête. Jentrepris, timidement, de lui faire, comme je lavais subit avant dans la soirée, quelques bisous dans le coup. Je ne sais pas trop quoi faire, je suis un peu gauche. Encore un fois Alexandra va me guider. Elle prend mes mains et les dirige sur elle. Je commence à la caresser. Dabord les épaules puis je descend sur ces flancs. Je sens le début du globe de ses seins. Elle se repositionne de telle sorte que je me retrouve entre ses jambes. Jamais dans mes rêves les plus fou je naurai imaginer une telle chose. Timidement je commence à lui caresser un sein. Puis je descends ma bouche à la rencontre de mes doigts. Je commence à lécher avec ma langue la pointe de son téton. Ses seins sont fermes quasiment aussi dur que ma bite tout à lheure. Elle prend ma tête dans ses mains et la dirige sur lautre, je me laisse guider. Ne suis-je pas lapprenti comme elle me lindiquait avant son premier voyage ? Son corps commence à onduler légèrement. Elle a les yeux fermés. Elle att une de mes mains et la dirige vers son intimité. Je commence à être saisi de peur. En effet on ma raconté quil fallait faire cela avec douceur sinon on risquait de faire mal à sa partenaire. Jentreprends donc doucement de faire glisser mes doigts ver lendroit où elle désire quils se rendent. Je commence à toucher sa toison. Drôle de sensation, je caresse avec ma main ses poils. Je frotte avec ma main cette intimité que je nose pas pour linstant explorer. Mais lenvie devient de plus en plus forte. Dailleurs je maperçois que mon sexe commence de nouveau à sagrandir. Je caresse avec mon majeur cette fente. La leur de la cheminée me fait entrevoir un peu où mes doigts saventurent. Je la caresse, jessaie de trouver ce chemin que je nai jamais emprunté.
Dun seul coup je sens un vide sous mes doigts, je décide de continue sur ce chemin. Au moment où mon doigt rencontre la fente tant désirée je maperçois que sest surtout une fontaine que jai rencontrée. Alexandra mouille comme une folle. Jentreprend dy mettre un doigt et je commence un léger va et vient. Ma main collé sur son sexe et commence à remonter dessus. Je suis entre ses jambes le sexe de nouveau tendu sur son ventre et une main qui va et viens dans ce sexe humide. Mon doigt est au chaud, je ne pensais pas que jaurais eu autant de place. Je prends le risque et linitiative de faire venir à sa rencontre un deuxième doigt. A linstant où mon index vient à la rencontre de mon majeur le corps dAlexandra se raidit. Un frisson sembla traverser son corps.
« Ca va bien » lui demandai-je ?
Elle me sourit. Je commençais donc à la masturber avec deux doigts , elle avait lair dapprécier. Sa tête était en arrière et le désir semblait la posséder. Jentrepris à ce moment là de lui rouler une pelle. Mais alors que nos langues sentremêlaient elle attrapa ma tête et appuya sur celle-ci pour me faire descendre le visage. Dans cette descente je marrêtai un moment sur ses seins. Je pensai quelle voulait que je luis suce de nouveau les tétons. Mais elle insista et je compris quaprès avoir subit ma première fellation jallais devoir effec mon premier cuni. Jôtai mes doigts de lendroit où ils se trouvaient. Ma langue lécha son nombril puis rencontra ses premiers poils. Jeu le souvenir dun film x que javais vu quelques semaines auparavant. Délicatement jécartai la fente. Je commençai à glisser tout doucement ma langue. Elle me cola mon visage avec ses mains sur cet endroit magique. Je sentis un petit bouton tout gonflé. Jentrepris de le sucer comme une glace à la vanille. Ma langue donnait de petits coups. Je sentais son corps de plus en plus se crisper. Ses mains attrapaient de plus en plus fort mes cheveux. Je mis de plus en plus de lardeur à mon ouvrage. Un râle commença à jaillir de sa bouche. Jaccélérai le mouvement sentant que jallais à mon tour délivrer Alexandra de son désir. Dun seul coup elle poussa un cri plus violent que les autres et je sentis une fontaine jaillir en elle. Son corps retomba aussi brutalement quil sétait cambré au moment où elle avait joui.
Je restai là allonger ma tête entre ces jambes. Elle passa ses mains dans mes cheveux me les caressa un long moment. Puis elle me fit comprendre de monter vers elle. Mon visage était humide, mon sexe était tendu contre son ventre. Moi aussi jétais calme bien quune érection de plus en plus forte se faisait sentir.
Elle ne dit rien. Elle ne fit rien. Je navais pas du tout envie de dormir. Je me disais que le moment que jattendais depuis toutes ces années était peut-être sur le point de se réaliser.
Elle rompu le silence :
« Thomas, je peut te donner ce que tu envie et ce quon ton corps réclame. Mais as-tu léquipement nécessaire pour cela. Car je nai pas de contraception. »
Je répondis par laffirmatif de la tête.
Je me décollai delle, me dirigeai vers mon pantalon et sortir les capotes que mon parrain mavaient donné au début de soirée.
Dans ma tête je me disais que je garderai un souvenir mémorable de cette soirée.
3ème Voyage.
Debout dans la peine ombre je cherchai lobjet qui me permettrait darriver au désir tant espérer. Incliné en train de fouiller dans les poches de mon jean, le sexe en érection, le tout dans la lumière dune cheminée qui perdait petit à petit de sa vaillance, la vision que je donnai à ce moment là à Alexandra ne devait être anachronique. Jamais je ne métais balader nu devant une femme depuis que mon corps avait entreprise sa transformation du à ladolescence.
Ça y est jai extrait de la poche de mon jean les capotes que javais. Je me rapproche du lit. Je commence à prendre linitiative douvrir un paquet. Mes gestes sont maladroits. Je nai jamais mis une capote sur ma bite , jy ai souvent pensé mais le manque doccasion ne ma pas permis de mexercer. Je pense que jai exprimé avec mon visage une angoisse. Alexandra pris, une fois de plus, linitiative. Elle me dit :
« Donne jai lhabitude »,
Je lui tends le paquet elle déchire la séparation entre deux préservatifs. Tout doucement elle ouvre la poche qui le renferme, lextrait et me regarde. Je suis confus, je ne sais pas quoi faire. Dans un geste tendre Alexandra me rapproche delle, elle prend mon sexe délicatement dans sa main, me guide, me faits asseoir sur le lit. Jobserve tous ces gestes. Elle commence par me caresser le sexe puis elle posa le plus délicatement le préservatif quelle fit dérouler sur ma tige. Drôle de vision de voir sa bite recouverte dun capuchon avec un réservoir qui flotte au dessus. Elle me regarde, me sourit et me dit :
« Te voilà équipé pour le plus beau des voyages, viens tallonger ».
Je mexécute, je me mets sur le dos, la tête bien collée sur loreiller. Alexandre sallonge sur moi, mon sexe est contre son ventre. Elle membrasse avec fureur, mon envie commence à monter, jai envie de la prendre, jai envie de la posséder. Tout doucement ses jambes viennent se coller sur mes cotes de part et dautres de mon corps. Elle commence à poser son basin sur mon sexe. Est-moi qui va être posséder ou linverse. Jaimerai bien prendre un peu dinitiative, certes je suis puceau mais il y a des limites. Elle se redresse, je vois ses seins devant mon visage, deux globes que je commence à caresser avec mes mains. Mes pouces sattardent sur ces tétons, je les caresse de plus ne plus fort. Dailleurs mon érection est elle aussi de plus en plus forte. La main droite dAlexandre caresse mon ventre. Elle commence à descendre sur mon engin qui est gonflé à bloc. Elle le saisis de sa main experte et commence à le faire glisser sous elle. Je sens mon sexe longer sa fente, elle sarrête sur ses lèvres et le frottes à elles. Puis doucement, je sens mon sexe senfoncer dans un tunnel. Il est pris entre les parois dune caverne qui me semble sans fond. Alexandra sempale doucement le long de ma bite. Je regarde à la jonction de nos deux corps, ma vite a disparu, elle semble avoir été engloutie. Je réalise que pour la première fois de ma vie je commence à posséder une femme. Jai envie dhurler ma joie et ma satisfaction. Alexandra se positionne sur ma bite. Elle prend une position qui lui convient de plus en plus. Je commence un va et vient, jai du mal à me concentrer que ce qui a pour effet de faire sortir ma bite de son vagin. Elle se penche sur moi
« Doucement mon jeune étalon, il faut que je mhabitue car la nature ta doté dune bel engin, et puis il faut quasiment pas bouger le bassin. »
Elle sempale de nouveau sur moi, je sens que la situation méchappe un peu, elle a pris les commandes dacte, je subis, je suis un peu déçu. Elle positionne ses mains sur mon ventre, puis matt avec lune delle la tête quelle plaque sur sens seins. Je passe ma langue sur le premier téton qui passe. Elle tient ma tête entre ses mains. Elle me commande, je suis tout à elle. Doucement elle mallonge de nouveau puis commence avec son basin un petit mouvement dondulation. Je sens sa respiration prend un autre rythme. Elle a de nouveau un regard qui change. Son visage change de forme en fonction de la puissance des ondulations de son corps. Elle prend une de mes mains et la dirige vers le bas de ma tige , à lentrée de son vagin. Je commence à faire glisser le long de ma bite un doigt pour lui caresser les poils pubiens de son sexe. Celui-ci est tout mouillé. Alexandra ondule de plus en plus sur mon ventre. Jessaie de temps en temps de donner un petit coup de rein pour prendre un peu dinitiative car jai peu limpression que je ne faits rien. Elle se couche sur moi, ses seins sont collés à ma poitrine. Jai envie de la retourner. Doucement jallonge ses jambes à laide de mes mains. Elle est maintenant allongée tout contre moi. Je la serre dans mes bras et la renverse sur le coté. Durant lopération ma bite sest une fois de plus enlevée de son vagin. Je commence à prendre les choses en main. Dans ma tête il nest pas concevable que pour mon premier rapport sexuel je ne sois pas actif. Maintenant elle est sur le dos. Je suis à genoux face à elle. Je prend ma tige dans une main et la dirige doucement vers sa grotte vaginale tout humide. Ca y est jy suis enfin. Les genoux collés au sol, en appuis sur mes mains je contemple ma position. Je commence à faire des va-et-vient avec mon bassin. A mon tour je donne le rythme de notre rapport sexuel. Ses jambes sont relevées, ses genoux touchent mes épaules. Je suis en extase dans cette position. Je continue mon rythme. Elle grimace de temps en temps. Je donne, sans men rendre compte, des coups de reins de plus en plus forts. Jentends des petits cris qui séchappent de sa bouche. Serais-ce du plaisir ? Elle mattrapa la tête et me couva de baiser je me concentrai sur mon coït. Je voulais être au moins à la hauteur sur cet aspect de la soirée. Son vagin commençait à se resserrer. De mon coté un vide commença à partir au plus profond de moi. Ma jouissance était en train de se mettre en place. Je me surpris à gémir un peu. La sauce commençait à monter. Je narrivai plus à me contrôler. De son coté Alexandra avait fermé les yeux. Jaccélérai de plus en plus. Je sentais le vide envahir mon corps. Le moment de la délivrance était tout proche. Un spasme dune rare violence vient me secouer les reins de telle sorte que je sentis mon corps bougé de lui-même , javais des crampes. Voyant cela Alexandra avait descendu une main le long de mon anus. Je sentit ma bite envoyé plusieurs jets de sperme dans la capote , au même moment elle effleurait avec son doigt mon anus.
Je retombai sur elle après avoir éjaculé. Jétais anéanti. Elles mis une base sur la base de mon membre pour retenir la capote. Et me dit tout doucement.
« Thomas il faut te retirer maintenant. »
Je mexécutai, elle tenait mon membre je sortait ma bite de son vagin. Tout comme pour la fellation elle pris un mouchoir et y déposa la capote pleine. Elle se lova dans mes bras, nous recouvrit avec le drap.
Jétais au ange pour la première fois de ma vie je venait de faire lamour. Je ne réalisai pas encore. Elle posa un petit baiser sur mes lèvres et me dit.
« Bonne nuit mon petit homme, tu as été super »
Cette phrase menvoya doucement rejoindre dautres bras : ceux de Morphée.
Je me demandai quand même comment jallais expliquer à mon parrain mon absence de toute cette soirée.
Un rayon de soleil vient éclairer mon visage. Ceci me réveilla. La pièce était à demi éclairée par le jour qui était déjà levé depuis un bon moment. Je fouillais dans mon pantalon pour prendre mon portable. Je vis lheure, il était 09h00 passé. Deux SMS mavaient été envoyé. Les deux venait de Thierry. Dans le premier il été écrit : « Où es tu viens me rejoindre la fête bat on plein », dans le deuxième une simple « Et alors ?? » était écrit.
Je tournai la tête en direction du lit, japercevais Alexandra qui dormait, son corps étalé dans le lit était quasiment-nu. Le drap ne recouvrant que le bas de ses jambes. De mon coté jétais à poil. Je ne savais que faire. Devais-je partir maintenant, ce qui faisait « jai bien tiré mon coup tchao ma belle » ou bien devais je attendre quelle se réveille et bonjour lexplication que je devrais donné lorsque tout le monde nous verrait arriver ensemble.
Comme ci des ondes avaient transpercées son esprit je la vit sétirer en se réveillant. Elle me cherchait du regard. Machinalement je mis mes mains devant mon sexe et me dépêchait de remettre mon boxer sur mes fesses. Elle me sourit et me dit :
« Alors bien dormi jeune apprenti ? Tu nas pas trop rêvé à la soirée dhier soir ?? Viens on va se laver et se rendre au petit déjeuner car jai un faim de loup, pas toi ?»
Je répondis par laffirmatif.
Elle se leva se dirigea vers la salle deau qui jouxtait cette unique pièce. Elle sy rendit nu et je vis la courbe de ces hanches ce qui me provoqua une petite envie. Elle rentra dans la pièce et jentendis le jet de la douche. Je massis sur le lit, jattendrai patiemment quAlexandra eu finis sa toilette. Au bout de quelques minutes elle mappelle.
« Thomas, tu ne vient pas te laver, après ce genre de nuit cela fait du bien ».
« Si, si jattends que tu ai fini »
« Allez ne soit pas si timide, tu ne létais pas cette nuit ».
A ses paroles je me sentis rougir.
Je me dirigeai vers le cabinet de toilettes. Alexandra était nue sous la douche.
Je la regardai elle me fit signe de venir. Je décidai de mexécuter. Je me retournai et me défit de mon boxer. Les mains devant mon sexe je me dirigeai vers la douche, jouvris la porte et rentra dans la cabine. Celle-ci était assez grande et on avait de la place pour deux. En me voyant avec mes deux mains elle me sourit. Elle les pris et y mit le gel de douche, elle se retourna et me demanda de lui frotter le dos. Dans ma tête je me demandai si jallais pas me réveiller chez moi bien au sec. Je pris le gel en versa dans mes mains et commença à lui masser le dos avec les mains. A ma grande surprise je ne fut pas pris, à ce moment là, dune quelconque excitation. Mais Alexandra commença un léger mouvement avec le bassin, je lui massai le bas du dos. Elle se retourna et me dit.
« Toi tu es un petit malin, tu es bien plus fort que tu ne crois, tu nes pas le filleul de Thierry pour rien. »
A ces mots je ne comprenait pas ce quelle voulait me dire, quel message avait-elle envie de me faire passer ? Elle me pris le gel des mains et commença également à me frotter le torse, me fit signe de me tourner ce que je fit-, puis me massa le dos avec douceur et profondeur. Ses mains allaient sur mon corps, ceci me redonne une petite excitation mais qui ne se manifestait pas encore sur mon pénis. Les mains dAlexandra commençaient à faire des mouvements sur lavant de mon corps, et je compris assez vite où elle voulait en venir. Une des ses mains alla attr mon pénis qui pendait entre mes jambes.
Cette douce sensation eu vite fait de mettre mon membre dans son état érectile. Doucement Alexandra commença à me masturber. Je me tournai vers elle et je lembrassais. Doucement je commençais à lui caresser le dos. Puis mes mains allaient vers son sexe. Je mis ma main sur sa toison et je commençai à lui caresser les lèvres. Je sentis sa tête tomber sur moi !!! Je sentit sa fente et y introduisit un doigt. A ce moment là surgit de sa bouche un petit gémissement. Jintroduisis un deuxième puis un troisième doigt. Alexandra avait les yeux fermés, son corps était pris dans un mouvement aléatoire. Le plaisir semblait lenvahir. De mon coté mon sexe était tendu et gonflé à son maximum. Je pris linitiative de faire un léger va et viens avec un doigt. Puis un deuxième vint rejoindre le premier. Alexandra était pendu à mon coup, je sentais son corps vibrer au rythme de mes allers-retours. Dans lélan elle commença à passer ses jambes autour de mon buste. Mon sexe tout dressé commençait à trouver le chemin qui mène au plaisir et mon gland chatouillait un peu le clitoris de ma partenaire. Je pris linitiative de lui demander :
-« dois je aller chercher un préservatif ?
Elle me répondit par laffirmatif avec la tête.
Le temps daller chercher dans mon jean le préservatif, je reviens vers Alexandra qui mattend sous la douche.
Depuis hier soir jai pris de lassurance, jouvre le sachet et je déroule le capuchon sur mon membre. Dun pas vif je rentre dans la douche. Alexandra mattend, je prends dune main sa jambe droite. Et je me mets en position prêt à la pénétrer. Doucement je mintroduis en elle, elle passe ses bras autour de mon coup. Sous le jet de la douche je commence à bouger en elle. Elle me caresse le dos, puis les fesses. Je sens ses mains qui parcourent mon corps. Elle commence, comme hier soir, caresse mon anus. Je ne prête aucune attention à cela. Elle prend mes mains et les disposes sur ses propres fesses. Alors moi aussi je descends mes mains sur ses fesses. Mais je ne sais pas pourquoi je glisse une main dans la raie de ses fesses. Elle en prend une et la fait glisser de telle manière quun de mes doigts se trouve désormais sur son anus. Alors que nous sommes en plein étreint. Elle commence à me chatouiller avec son majeur mon anus. Je ressens limpression quelle essaie de me doigté. Je la regarde et à travers mon regard elle devine mon interrogation. Elle me glisse tout doucement dans loreille.
« Jai trop envie de ton corps, tu me fait kiffer
. Toi aussi vas-y !!! »
Doucement je commence à maventurer sur son anus. A ce moment là Alexandra commença à me doigter en enfonçant son majeur dans mon anus.
Je me demande où tout cela va nous mener.
Tout en continuant mon va et viens avec force et vigueur et application je commençais moi aussi à lui effleurer avec de plus en plus dinsistance son anus. Je suis concentré pour me retenir , je nai pas envie de partir trop vite. Dans ma tête tout va très vite. Je me demande si Alexandra na pas envie daller plus loin ? Prenant de plus en plus dassurance je commence à lui introduire un doigt dans lanus. Au moment où mon majeur force sa rondelle un soupir sort de sa bouche. Son visage change daspect. Elle semble avoir, avec ce petit geste si simple, avoir augmenté son degré de désir. La scène, vu de loin, pouvait paraître assez irréaliste. Deux personnes faisaient lamour dans une douche-là rien dextraordinaire mais là en plus elles étaient en train de se doigter. Je me rappelle dun seul coup que certaines femmes aiment aussi la sodomie. Je pense quil est préférable dessayer dassurer pleinement par lendroit avant de ma lancer à lassaut de larrière
.
Alexandra semblait avoir une idée précise derrière la tête. Alors que jétais en pleine action, elle me glissa ces quelques mots dans loreille « Prend moi les fesses Thomas, jai trop envie ». Ne voulant pas passer pour un peureux- alors que jai super la trouille- je sortis de son vagin. Elle se retourna. Javais à présent devant moi ses fesses. Mon sexe est gorgé comme jamais. Je ne sais pas trop comment my prendre. Je me souviens que dans lun des films X que jai eu loccasion de visionner avec lun de mes potes , lors dune scène de sodomie il mavait expliqué quil fallait lubrifié lanus soit avec du gel ou alors avec de la salive. Je me surprends à demander à Alexandra si elle a quelque chose pour son anus. Elle me répond que ma salive fera laffaire. Je crache alors dans ma main et pose le résidu de mon crachat sur son anus. Alexandra a les mains posées sur le mur. Son bassin est légèrement en arrière. Je me rapproche delle. Ma bite est dressée. Elle touche ses fesses. Je la prends de ma main droite et la fait glisser dans la raie des fesses dAlexandra. Naturellement je marrête sur sa rondelle. Je commence à forcer le passage dans ses entrailles. Alexandra grimace un peu, elle me dit :
« Vas-y doucement Thomas, jai beau lavoir déjà fait tu es bien monté ».
Suivant ses conseils je mintroduis doucement. Dun seul coup je sens une barrière souvrir. Je ressens souvrir à moi un nouveau monde. Mon sexe sintroduit en elle. Elle semble prendre son pied. Avant daller plus loin je commence à faire quelque petit vas et viens sans beaucoup dampleur. Le liquide du vagin de ma partenaire semble faire aussi office de lubrifiant. Je commence à bouger avec un peu plus dinsistance. Je comprends bien que létroitesse des lieux ne me permettra pas dintroduire mon sexe dans son entier. Je suis en elle. Je suis bien et je ressens bien quelle a besoin dautre chose. Laissant une main sur son corps pour tandis que lautre main glissé vers son sexe. Sans trop de précaution jintroduis un doigt puis deux et je joue avec mon pouce avec ce que je crois être un bouton et qui est en fait son clitoris. Alexandra est toute humide. Je la regarde, sa tête sur ses mains qui elles mêmes sont sur le murs. Elle semble ailleurs. Sa jouissance semble totale. Elle gémit. Je messaye à introduire en elle un troisième doigt. Elle bouge de plus en plus. De mon coté je commence à ressentir les signes de jouissance qui commencent à faire leur apparition. Debout dans la douche mes jambes commencent à se durcir. Le vide commence à sinstaller également depuis mon bas ventre. De son coté je sent les cloisons du vagin commencent à se contracter. Je devine- comme hier soir- quAlexandra ne va pas tarder à jouir. Mon excitation ne fait que redoubler. Je redouble de ce fait mes vas et viens et mon sexe aller de plus en plus loin dans lanus de ma partenaire. Le vide se fait de plus en plus présent. Alexandra remue de plus en plus fort. Nous sommes sur le point de jouir. Lexcitation est sur le point déclater. Ma jouissance est là, je la sens. Nen pouvant plus jaccélère de nouveau mon coït et lagitation des mes mains. La délivrance arrive à son terme et un spasme encore plus violent peut-être que celui de la veille- de son coté Alexandra lâchait son orgasme. Au moment où mon sperme allait sécraser dans la capote je maccrochais à elle avec mes deux mains sur ses épaules. Je semble chavirer. Jai limpression que le sol de la douche se dérobe sous mes jambes. Je mets ma main à la base de mon pénis pour éviter que la capote reste dans les entrailles de celle qui vient -une fois de plus me faire grimper au 7ème ciel. Délicatement je pose un baiser sur les épaules dAlexandra. Je sorts de la douche et vais poser la capote dans un mouchoir pour ensuite la mettre à la poubelle. Lorsque je reviens Alexandra se lave ses parties les plus intimes. Je retourne la rejoindre sous la douche et je faits de même. Je mets du gel de douche dans ma main et me lave le sexe qui na pas encore complètement débandé. Je ne ressens contrairement à ce que javais pu craindre- plus aucune pudeur à être nu dans la même douche quune fille.
En sortant de la douche je dit à Alexandra qui est en train de se sécher avec les serviettes. Je me surprends à lui dire :
« Avec tout ça jai super faim et toi ? »
« Moi aussi » me répond Alexandra
Elle poursuit en me disant « on y va ensemble au petit déj ou séparément ? »
« Ensemble » ai-je répondu avec affirmation.
Nous rassemblons nos affaires éparpillées un peu partout dans la chambre. Nous nous rhabillons et nous nous rendons vers la maison où nous avons quitté le reste de la troupe hier soir.
Durant le trajet japerçois au loin mon parrain déjà attablé avec des copains à lui en train de manger à pleine dent des brioches. Je commence à me demander comment vais-je répondre à ses questions concernant mon absence et mon retour avec Alexandra.
Nous arrivons avec alexandra au petit déjeuner. Contrairement à ce que je pensai personne ne fait attention au fait que nous soyons ensemble. Enfin presque personne. Je croise le regard de Thierry, il me sourit, aurait-il compris ?
Le buffet du petit déjeuner est copieux. Je prends une tasse de café, quelques brioches et je viens masseoir sur lune des tables.
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