Collection Escorte - Girl. La Jolie Petite Japonaise. Saison Ii (5/6)

Mes intérêts avances, Tonton voulait faire de moi sa récompense pour certains de ses clients avec qui il fait de grosses affaires bien juteuses.
Financièrement tout est au top, car tout l’est payé et les grosses sommes d’argent que je touche, net d’impôt doivent représenter à peine une misère de ce qu’il empoche.

Mais revenons à ma chambre alors que je viens d’être pour la première fois baiser en double vaginal par deux yakusas que j’ai invités dans mon lit.

• Hami, c’est bien, tu as été à la hauteur, va m’attendre dans la voiture.

Code d’honneur en restant toujours tous deux ensemble en opération, mais Fuyumi que je masturbe négligemment me mettant plein de sperme sur la main après que leurs deux verges aient déchargé en moi.
En bon soldat qu’il est déjà, ce jeune homme loin d’avoir vingt ans, plutôt dix-huit, se lève s’habille et sort.
Tout le temps qu’on a baisé depuis son entrée, sa bouche est restée close.
Je me penche, je retrouve le gout du sperme que j’avale régulièrement retrouvant aussi celui de ma cyprine.
Dans mes positions favorites, il y en a une que je préfère, pourtant avec la position du missionnaire, la levrette est certainement l’une des plus pratiquées, car je sens les bites des hommes bien plus profondément enfoncés en moi.
Fuyumi apprécie aussi quand il me prend par mes hanches et me bourre me faisant d’entrée hurler de plaisir.
Lorsqu’il a déchargé avec Hami dans ma chatte, ça lui a vidé une bonne partie de son sperme.
Il me tient fermement, entre et sort tellement vite, que j’ai peur qu’il parte avant moi.
C’était mal le connaitre, Hami devra attendre un bon moment, car l’heure sur mon radio-réveil me montre qu’il me pilonne depuis plus d’une demi-heure.
Pendant ce temps, je jouis deux fois finissant par un bel orgasme au moment où son sperme mouille ma grotte.

Je m’écroule sur ma couche.
Dans un dernier effort, je me retourne, il est déjà presque habillé.



• Fuyumi, veux-tu que je me trompe de touche pour que tu reviennes me voir.
• Appelez, nous serons là.
• À une condition, dis-moi combien tu as d’hommes pour me défendre ?
• Douze avec moi, tous triés sur le volet et tous prêts à mourir pour moi et donc toi.
• Je compte plus de place dans notre organisation, peux-tu me jurer fidélité.
• Je te le jure, je suis prêt à me plonger cette lame dans le ventre si je trahis mon serment à ta fidélité.
• Bien, tu peux aller, je saurais t’appeler.

À peine est-il parti, un message arrive sur mon portable.

« Hanabi, je t’attends à Tokyo immédiatement, vole à 14 heures retenues à Roissy. »

C’est la première fois qu’il me convoque en urgence, ça doit être important.
J’arrive à l’heure pour mon vol, le taxi me conduisant chez mes clients en temps normal a été prévenu comme il se doit.
Vol sans encombre à part un vieux bedonnant qui était passionné par la civilisation japonaise et a passé son temps à me parler des yakusas.
Il était intarissable et il en profitait pour me caresser.
J’étais à deux doigts de l’emmener dans les toilettes pour enlever mes bas noirs et lui montrer mon dernier tatouage sur ma cuisse gauche, mais il a fini par s’endormir.

• Si vous le voulez charmante mademoiselle, je peux vous faire découvrir Tokyo, j’y viens tous les ans en vacances.

Ouf sauvé, Hoshi est là.
Hoshi est la secrétaire de Tonton.
À mon dernier voyage, nous avons été à deux doigts de nous retrouver dans les bras l’une de l’autre.
Hélas, Tonton est entré dans le bureau cassant l’atmosphère.

• Bonjour Hoshi, j’avais hâte de te revoir.

Dans l’aéroport, une femme en tailleur, enlaçant une femme en kimono, ça peut paraître bizarre et c’est bizarre.
Surtout quand les deux femmes se roulent un magistral baiser avec la langue bien sûr.

• Mon cher monsieur, merci pour votre compagnie, grâce à vous je sais tous sur les yakusas, mais Hoshi va me piloter le temps de mon séjour.


Nous plantons là le monsieur bedonnant, bras dessous, bras dessous avec Hoshi.

• Madame, je vous emmènerais bien chez moi, je rêve de vous depuis votre dernière venue, mais le maître Fujiko nous attend dans sa villa du bord de mer.
La situation est grave.

Nous sommes dans un taxi de la même compagnie de celle à Paris.
Ma main est sur le siège, elle pose la sienne dessus.
Une forme de courant passe.

• Ou allons-nous Hoshi.
• Le maître s’est retiré sur son île Izu.
Nous allons au port prendre une vedette rapide.

Quand nous nous arrêtons, je vois qu’un autre taxi nous suivait.
Nul doute que les trois hommes qui en descendent font partie la même organisation que nous.
Ils sortent de leur coffre mes bagages qu’ils ont récupérés.

Nous montons tous à bord de cette vedette.
Un autre yakusa est là prêt à nous conduire.

• Viens dans la petite cabine à l’avant Hanabi, le vent va te décoiffer.

Une cabine, très étroite, mais avec un matelas qui semble très confortable.
J’ai oublié de signaler que Hoshi parle seulement anglais et japonais et que c’est dans ma langue natale que nous parlons.
C’est elle qui m’enlace, nos bouches se retrouvent.
Je suis à deux doigts de demander au pilote de me faire retourner à l’aéroport retrouver mon voisin de voyage pour le remercier de m’avoir emmerdé tout le voyage avec des choses que je savais déjà.
Depuis que Tonton a fait de moi une pute, les découvertes se succèdent.
Rapport saphique, j’ignorais que je pouvais être tenté.
Le regard à mon dernier voyage avec mon étoile japonaise et le baiser impromptu pour échapper à ce gros emmerdeur montre que cette envie était en moi.

Je sais défaire les kimonos plus des hommes que des femmes, mais c’est exactement pareil.
Savait-elle que nous aurions ce rapprochement, car elle est nue en dessous ou est-ce une salope rarement vu dans le pays du soleil levant ?
Ma main se pose sur son mont de vénus qui frissonne.

C’est la première fois que ma bouche vient aspirer le clito d’une congénère même si j’ai été élevé en France.
Une couchette sommaire se trouve dans cette petite cabine, une vague plus forte fait tanguer l’embarcation lancée à pleine vitesse.
Hoshi chute en arrière.
Mes doigts venaient de pénétrer sa fente.
Je suis entraînée sur elle qui semble me recevoir avec délice.
Mes doigts trouvent son clitoris, très développé pour une si frêle femme.
J’ai de la chance d’être restée accrochée à son corps, car si je mouille facilement, c’est un véritable déluge qui inonde mes doigts.
Je me sers fréquemment de l’ordinateur quand je suis seule surtout pour les traductions que je fais à intervalles réguliers.
Je regarde même des films cochons, Tonton a bien fait les choses, j’ai toutes les , chaînes de cinéma dont des pornos.
À y bien y réfléchir alors que j’embrasse ma nouvelle amie à pleine bouche, je suis attiré par les femmes bien que j’aime des belles bites.
Exemple celle de Fuyumi qui a contourné le code d’honneur des yakusas en virant son jeune collège, ce qui est contraire à leur tradition pour mien me faire grimper aux rideaux.
Je sais que la traversée va être assez courte.
Le pilote nous l’a dit quand il nous a enfermé dans cette cabine qui est censée nous protéger des embruns et les vagues dus à la vitesse que j’entends frapper sur la coque.
Hoshi doit le savoir, car souplement elle se place entre mes jambes me donnant son abricot à venir déguster.
Il est facile d’attr son clito, car il ressemble à la bite d’un petit garçon à sa naissance.
Dans un ensemble parfait, nos chattes éclatent de plaisir dans un orgasme commun.
Ma première expérience gouine, est une parfaite réussite.
Aussi souplement qu’elle s’est mise en position de 69, elle se retourne nos seins venant en contact.
Elle reprend son souffle et une nouvelle fois m’embrasse tendrement.

• Tu sais ce qu’est la signification d’Hoshi !
• Étoile, tu dois savoir que je suis traductrice !
• Je vois que tout ton corps est presque entièrement tatoué comparé à moi qui en a un au-dessus du sein.

Il représente une colombe.
Pour te souvenir de ce moment, j’aimerais que sur tes seins tu te fasses tatouer une étoile, traduction de mon nom.

On tambourine sur la porte de la cabine.

• On arrive sur l’île dans cinq minutes mesdames.

Nous relevons avec un peu de mal, mais l’embarcation ralentie.

• Je te promets dès que je le peux le faire.

Nous accostons, le pilote nous libère de ce qui aurait pu être un trou à rats, mais qui s’est avéré être un trou à plaisir.
Tonton est sur le quai entouré de quatre gardes du corps la main sur leurs pistolets.

• Viens Hanabi, je vais t’expliquer la situation...

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