L'Auberge Des Confessions (Judith)
- Si vous me le permettait je serais heureuse à mon tour de vous conter mon histoire. A fait Judith
- Avec bonheur ma chère. Ai-je fais. Ce serait avec plaisir découter ce que tu as nous exposer. Pour moi et les personnes autour de cette table. Enfin je le pense ?
- Puisque personne na daigné vouloir quitté lauberge. Cest que nous sommes impatient que cela se prolonge nest-ce les amis ? A répondu Yves. On técoute à présent, avec impatience.
- Après le restaurant, a fait Judith, on aime bien avec mon mari ce retrouvé devant un bon film. Ce soir nous avions bu plus que nécessaire. Les effluves de lalcool que javais consommés me tournait la tête, avec Thierry nous avions pris place dans la salle. Une fois le film terminé, à notre sortie nous avions eu la même idée en observant laffiche qui annonçait la séance suivante. Il sagissait dun film porno.
« Cela te dit ? Ma fait Thierry ». « Pourquoi pas ! Me suis-je entendu lui dire » comme dans un brouillard. Jai mis sur le compte de lalcool que je navais toujours pas absorber. Peu de monde au guichet. Il est vrai quil se faisait très tard. « Deux places, sil vous plaît ! A fait Thierry à la femme qui se trouvait au guichet. Il sest retourné et ma souri ». « Jétais dhumeur joueuse. La salle était dans la pénombre. Peu de monde. Tous affalés dans leur confortable fauteuil. Sur lécran une belle brune aux formes généreuses se faisait prendre en levrette par un beau gosse. Sur la droite de lécran, dans un fauteuil, jupe retroussé, une femme se caressait en regardant la brune gigoter sous les coups de boutoirs de létalon. Nous profitions pour nous installé dans un coin de la salle ».
« Pris par la scène, aucun spectateur na remarqué notre venue. Je me suis blotti contre mon mari. Qui a entouré mon épaule de son bras. Le coquin na pas tenu longtemps avant de glisser Après une main furtive dans mon décolleté. Javais oublié de vous précisez que pour la sortie je métais fait elle.
« Et surprise, un homme dun certain âge vint prendre place à mes côtés. Et tout de suite il a porté son regard sur la main qui déformer ma robe. Dont elle était légèrement remontée, laissant apparaître le haut de mes cuisses voir un peu plus. Ce nétait pas lécran qui intéressait ce monsieur. Mais bien le spectacle qui se déroulait devant ses yeux. Et après plusieurs coups dil furtifs du côté de mon mari, il sest enhardi et a posé sa main là où lenvie lui est venu. Soit sur mon genou. Combien de fois ai-je fantasmé lors de mes séances solitaires pour vivre une telle situation ! ».
« Pourtant une angoisse métreignait. Comment va réagir mon époux si cela aller plus loin quune simple caresse ? Par pur réflexe jai dérobé le genou de la main fureteuse qui venait de sy établir. Jai glissé un mot à loreille de Thierry. Cela la fait bien rire. Et il ma encouragé de me laisser faire. Enfin si cela me tentait. Et comment je le désirais ! Surtout que linconnu nétait pas désagréable à regarder ».
« Comme pour le remercier je me suis empressé de coller ma bouche à la sienne. Avec fougue et passion. À en oublier linconnu, qui en profiter pour revenir à la charge. Jai senti de nouveau sa main se poser à nouveau sur mon genou. Et centimètre après centimètre, progressait lentement, tout en senfouissant sous la robe. Mon inaction lencouragea. Mon mari de son côté, a plongé lui aussi sa main sous la robe. Javais alors deux mains masculines à lintérieur de mes cuisses. Le salaud a guidé celle de linconnu vers la dentelle de ma culotte. Que je sentais très humide. La main de linconnu ma caressé de haut en bas. En seulement quelques allées et retours, jétais en eau. Ma respiration trahissait le plaisir que je prenais plaisir à être caresser de la sorte ».
« Jai fermé les yeux et jai posé ma tête sur lépaule de Thierry. La main furtive est remontée et a glissé dans ma culotte. Cétait avec tact quil ma effleuré mon bouton. Jétais aux anges. Jen espérais pas moins ! Sans doute excité par ce quil voyait, mon mari a dégrafé son pantalon. Mettant à lair un sexe bandé. Saisissant une de mes mains, il me la posa sur sa queue dure comme du bois. Jai entouré son membre et jai commencé un lent mouvement de va-et-vient qui me firent tout de suite monter la tension. Encouragé, linconnu se débarrassa à son tour de son pantalon. Et comme mon mari plus tôt, il sest saisi de ma main et la posé sur sa verge. Tout de suite je me suis activé à le branler. Il nen est pas fallu de plus pour faire éjaculer mon bonhomme. Jen avais plein les doigts de sa crème. Il ma regardé et ma souris. Il ma glissé à loreille quil devait se rendre aux toilettes. Sans attendre ma réponse, il ma laissé seule avec mon inconnu ».
« Qui a poussé son avantage. Il a continué à me branler, et a passé son autre bras autour de mes épaules. Il en a profité pour dégrafer le haut de ma robe. Prenant linitiative dy sortir un sein. Puis il sest penché pour en sucer le téton qui sest tout de suite érigé. Jai pris un pied pas possible. La bouche est remontée pour venir se placer sur mes lèvres. Jai léché sa langue, avant quelle vienne chahuter la mienne. Je me suis livré sans retenue. Laissant sa main me pétrir mon sein sans aménagement. Jétais aux anges. À en oublier mon mari. Linconnu a approché sa bouche de mon oreille et ma délicatement inviter de le prendre en bouche. Je lui devais bien ça. Tout naturellement je me suis agenouillé dans lallée et jai penché ma bouche jusquà atteindre son sexe gorgé de sang ».
« Je me suis donné à lui. Lèvres ouvertes, jai happé sa verge. Jai fait avec ma bouche le travail que jaccomplissais quelques minutes plus tôt avec ma main. Jamais je nai pris autant de plaisir à pomper une queue.
« Son autre main alla se glisser dans ma culotte. A suivi la raie des fesses et est entré doucement dans mon anus. Jai tendu mon cul vers lui. Un autre doigt sest enfoncé dans ma chatte et alla agacer mon bouton. Les deux mains accrochées aux accoudoirs, linconnu sest crispé et a joui. Un flot de foutre a envahi ma bouche ».
« Jai souris à mon mari, et jai repris ma place. Heureuse dêtre arrivé à faire jouir un homme que je naimais pas. Mon mari ma tendu sa bouche. Jai partagé avec lui le goût fade du sperme. Jai alors demandé à Thierry de maccompagné jusquaux toilettes. Linconnu nous a filé le train ».
« Nous voilà tous trois debout en direction des toilettes. Sur le chemin jai avoué à Thierry de navoir jamais autant joui. Je suis entrée avec mon mari dans un chiotte. Jai retiré ma culotte et jai pissé, alors que lui membrassait et me peloter les seins. Une fois ma vidange finit je me suis relevée, et il sest serré contre moi. Il ma caressé les fesses avant de faire remonter le bas de ma robe ». « Linconnu qui était resté dehors sest mit à tapoter à la porte contre laquelle je suis adossé. Sans en demander lordre à mon époux, jai pris linitiative de lui donner laccès. Je lui ai fait un peu de place pour quil puisse entrer. Je suis à présent prise en sandwich entre les deux hommes. Pendant que mon mari membrassait, linconnu ma massé les fesses. Il a descendu sa main dans la raie et la fait courir sur toute la longueur. Il sest même autorisé à y enfoncer un doigt dans mon anus.
« Pendant ce temps, linconnu ma saisit par les hanches pour me fourrer. Dinstinct jai écarté les jambes. Jai sentis quil me la mettait et très vite il ma bourré de grands coups de reins. Si rudes que jen es lâchée la queue. Mon mari sest saisi de mes seins pour les serrer et pincer les tétons. Je suis honteuse davouer que jai joui. Et une autre fois quand il sest épanché en moi. Sitôt libre mon mari ma retourné pour me prendre à son tour. Il ma fait me pencher et il ma prise. Il sest enfoncé comme dans du beurre. Il a entreprit à son tour un va-et-vient, mais en douceur, tandis que linconnu a porté sa verge avec une nouvelle capote à mes lèvres. Jai ouvert ma bouche et il a entré sa queue. Derrière mon mari a accéléré son rythme. Il sest seulement arrêté quand il a joui ».
« Jai remis de lordre dans ma tenue, puis je me suis lavée les mains. Je me suis rincée la bouche. Avant de prendre congé, mon mari a serré la main à linconnu en lui disant que peut-être à une fois prochaine ».
« La suite vaut dêtre narrée. Mais ce sera pour une autre fois. De vous conter cela ma fait mouiller ma culotte. Il va falloir remédier à cela ! ».
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