Ma Femme Me Fait Cocu
Je m'appelle Stéphane, 37 ans. Agnès, ma femme 36 ans, mère dun garçon et mariée depuis 10 ans. Mon mari est un « chaud lapin », je l'aime et, en retour... il m'offre toujours beaucoup de plaisir.
Nous vivions dans cet équilibre, et j'étais heureux, comblé et serein. Il y a 6 mois, Jai voulu pousser notre complicité. Rien de bien méchant, juste en paroles. Je lui faisait dire des choses qui l'excitaient, je lui inventais un rôle de coquine, avec de faux aveux, de faux fantasmes. Je guidait dans ce quelle pouvais dire, j'imaginais quelques détails, quelques scénarios croustillants et cela nous a beaucoup excités. C'est lui qui nous a fait découvrir ce site, et lire le témoignage d'épouses s'acoquinant pour exciter leurs maris.
La différence fut que si, moi, je savais jouer un rôle pour l'exciter à peu de frais, ma femme, quant à elle se piqua à y croire et me fit alors des aveux qui m'étonnèrent. Ce furent d'abord des remarques persistantes quand je lui racontais mes liaisons imaginaires, puis des propos qu'il me tint en dehors de la fièvre de nos jeux, durant la journée, par téléphone ou par sms. Il semblait être en dehors du jeu et finit par me convaincre que c'était pour elle un désir aussi réel qu'ardent : je sus alors que ma femme, la mère de mon fils, s'excitait violemment à l'idée de me tromper réellement, davoir un amant, plusieurs même, de se livrer à la débauche pour lui et... de me le raconter. Si je reprends ces mots à elle, elle désirait me faire « cocu », souvent, avec beaucoup d'hommes et surtout que je le sache.
Fidèle et amoureux, j'essayai de m'imaginer, mais j'avais du mal... J'aimais de temps en temps lui mexciter avec ces histoires, ces tromperies imaginaires, mais de là, à le faire réellement !
Ma femme me surpris à regarder les hommes différemment, dans la rue, au bureau. Je vis qu'on la regardait, ce que je ne voyais pas ou refusais de voir auparavant. Elle pris confiance en elle, je la sentais désirable et désirée, et cela m'excita.
Sa transformation fut lente, je ne m'y attendais pas, mais elle se fit.
Il y a quatre mois, tout a définitivement basculé, non pas avec un de ses collègues proches qui pourrait r de la situation, mais avec un nouveau d'un autre service, un beau garçon de vingt ans à peine, à la fois sûr de lui et pour cela attendrissant, et qui la couvait des yeux depuis quelque temps, bien quelle ai douze ans de plus que lui ! Auparavant, il la saluait, sans plus, à la photocopie, au bureau du courrier ou à la cafétéria. Mon épouse avait bien vu qu'il cherchait à lui plaire, et je lui ai laissé l'occasion de le faire en lui conseillant de sattarder pour discuter avec lui. Bien vite, il a voulu lui faire visiter son studio... Une fin d'après-midi volée, chez lui, deux rapports sexuels d'affilée qui l'ont éreintée, puis son retour chez nous.
Je remarquais tout de suite qu'il s'était passé quelque chose. Jétais si impatient quelle a du insister pour embrasser son fils avant que je ne la pousse dans notre chambre et nous y enferme. Elle ma juste dit :
- Je t'ai fait cocu.
Jai immédiatement passé ma main sous sa jupe, l'ai introduite dans sa culotte et jai senti comme elle était trempée. Son sexe, ses poils étaient encore inondés de sperme, bien que le plus gros ait été absorbé par la culotte et je passais un temps fou à caresser son sexe, à le regarder, à le sentir. Puis je la troussai littéralement, la pris avec fougue, toute habillée, la traitant de salope, et j'ai joui violemment. Mes insultes, une nouveauté, l'avaient fouettée, je ne lavais jamais traitée ainsi. Je les redoublai quand je sus que son amant n'avait que vingt ans. Jamais je n'avais eu trois rapports en moins de deux heures.
Sa liaison avec Fabrice, c'est ainsi qu'il s'appelait, la libéra de ses derniers freins. Elle était grisée, excitée en permanence. Il pouvait lui demander beaucoup et s'en rendit compte. Il adorait les blondes, disait-il et ne cacha pas que le fait quelle soit mariée et mère de famille l'excitait encore plus, surtout que, d'après lui, elle avait l'air très sage et surtout timide. Il ne se gêna pas, la prenant parfois dans son petit bureau à l'heure de midi, ou lentraînant dans les archives où il la possédait à quatre pattes, quelquefois debout, elle, la mère de famille fidèle qui, il n'y avait pas si longtemps, jugeait mal les quelques femmes du bureau que l'on voyait y disparaître avec tel ou tel collègue masculin... Elle y fit l'amour souvent, c'était rapide, mais ardent. Elle a même dû recourir au protège-slip, elle qui n'aime pas ces trucs gênants, car son sexe était inondé et ses culottes à tordre. Quand elle rentrait, Je la fêtais comme toujours, j'étais aux anges. Je la traitais de salope, ce qui l'excitait. Elle en retour me susurrait dans loreille, comme une petite musique, « Tu es cocu, tu es cocu... » Je dois reconnaître que ce mot qui, auparavant elle et moi nous aurait choqué, nous excitait. Je commençai à vouer une sorte de culte à son sexe souillé, cela me rendait fou de le voir et le toucher totalement englué.
Quand Fabrice sut que jétais permissif, il l'invita le soir, chez lui. Célibataire, il était libre et, comme j'offrais sa liberté à ma femme, elle s'en est servie, y retrouvant deux fois par semaine durant six semaines. Elle na jamais sacrifié ni un mercredi dédié notre , ni le week-end. Elle est restée raisonnablement.
Dans son appartement, Fabrice la surprit un soir, il y a un mois et demi, en la recevant accompagné par un ami à lui. Elle mavoua avoir été très gênée, un peu bloquée même, mais il a su par ses caresses lui faire accepter son ami Rachid, un jeune beur athlétique et beau comme un dieu et, pour la première fois de ma vie, sest retrouvée nue au lit entre deux hommes. Ils l'ont prise tour à tour, chacun deux fois, et elle a eu des orgasmes à répétition. Si Fabrice était honnêtement actif, Rachid se montrait très viril, avec un sexe encore plus gros qui la remplissait totalement. Plus ils la prenaient, plus elle en avait envie. Je crois que dans le feu de l'action, ils auraient pu lui faire faire n'importe quoi tant elle était animale. Avec le recul, le pire aurait pu m'arriver, mais elle était électrisée, véritablement en chaleur, une salope, comme elle me le disait en revenant sagement à la maison, bien habillée, avec son petit gilet. Mais sous le gilet, sur seins du sperme séché, entre ses cuisses la semence de ses amants quelle laissait pour men faire profiter comme nous en avions convenu !
Jétais fou tellement, sue quand elle est arrivée, si excité, je lai prise à mon tour deux fois.
Maintenant, elle a prit de lassurance et elle veut linviter à la maison. Je ne sais plus trop comment réagit, tant il semble évident quelle a prit le dessus et joui maintenant de me savoir cocu cocu cocu !!!
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