Une Soirée Au Bureau
Je travaille depuis maintenant quelques années dans une boite de comptabilité installée dans les quartiers chics de Paris. Jai des collègues charmants et des collègues charmantes.
Il y a quelques années maintenant, nous avons dû changer notre système informatique et cela a nécessité de gros efforts des collaborateurs pendant une période de plusieurs mois.
Nous étions rémunérés en conséquence, mais les heures supplémentaires saccumulaient en même temps que la fatigue.
Bref, nous étions très souvent amenés à travailler tard le soir après notre journée normale. Nous restions souvent à 5 ou 6 personnes penchées sur un même problème auquel nous devions trouver une solution. Il y avait des femmes et des hommes, répartis à peu près équitablement. Mais un soir, nous nous sommes retrouvés deux hommes et deux femmes.
Il devait être 22 heures 30 23 heures, lorsque lautre homme a déclaré forfait et est rentré chez lui, suivi de très près par lune des deux femmes.
Nous nétions maintenant quune collègue et moi, dans un grand bureau à travailler sur des listings. Nous recherchions une différence de quelques centaines de Francs et nous ne trouvions rien. Ceci avait le don de ménerver, mais ma collègue savait comment me calmer : elle passait derrière moi et me massait les épaules. Elle le faisait en temps normal même lorsque les autres collègues étaient présents et leur appliquait le même traitement si besoin.
Cependant, cette fois-ci, nous nétions que tous les deux et cela change beaucoup de choses car ce genre de massage prodigué par une si belle femme a de quoi réveiller mes sens, si tant est quils soient endormis. En effet, cette jolie brune avait un corps auquel javais pensé à maintes reprises dans des situations érotiques. En clair, elle me plaisait énormément.
Aujourdhui, ses mains sur mes épaules me procurent une sensation étrange, qui ne me dérange pas et qui est plutôt très agréable. Cela se devine tout de suite en voyant mon pantalon qui gonfle à vue dil.
- « je te fais tant deffet que cela ? ».
- « Si tu savais, je me demande si tu oserais continuer. »
- « Ah bon ? Raconte-moi alors ! » dit-elle en continuant ses massages.
- « Tout dabord, je dois admettre que tu es vraiment canon ! »
- « merci »
- «
et que tu me plais énormément »
- « cest gentil »
- « et que je te ferai bien des choses
»
- « Ah bon ! Et quoi donc ? »
- « Je ne sais pas si je peux te le dire. Si je ten parle, tu jure de ne pas men vouloir ? »
- « Mais bien sur que non, voyons. Nous travaillons ensemble depuis tellement longtemps »
- « Justement. Je ne voudrais pas gâcher cette belle amitié, mais
»
- « Mais quoi ? »
- « Eh bien voilà : jai très envie de toi ! » Silence. Plus personne ne parle pendant quelques instants. Les massages continuent. Les mains descendent vers mes pectoraux et me les massent fermement.
- « Et
??? » demande-t-elle tout en continuant à me masser.
- « Et
je te ferais bien lamour ici et maintenant ».
De nouveau un blanc. Ces massages ressemblent plus à des caresses maintenant.
- « Et tu penses que je vais être daccord ? » me demande-t-elle.
- « Je ne sais pas. Est-ce que je te plais au moins ? »
- « Vérifie toi même. »
Elle vient se mettre à côté de moi tout en continuant à me caresser. Elle fixe toujours la bosse de mon pantalon qui ne cesse de grandir.
Elle écarte un peu les jambes et je crois deviner quelle souhaite que je vérifie si elle mouille. Javance prudemment une main vers elle. Je la dirige vers son entrejambes, quelque peu hésitant. Voyant cela, elle écarte encore un peu plus les jambes, ce que je prends pour être un accord de sa part. Je commence à la caresser au niveau du genou et je remonte doucement. Je nétais pas encore arrivé à son minou que je sentais quelque chose de liquide me couler sur la main. Oh oui, elle mouillait ! Et même beaucoup.
Je retire ma main et je la lèche. Ceci lexcite énormément. Je décide alors de relever sa jupe et je maperçois quelle navait pas mis de culotte. Elle me demande :
- « Surpris quil ny ait rien dessous ? »
- « Oui.. heu, non, en fait je ne sais pas ! »
Elle mavoue alors que quelques heures auparavant, elle était allée aux toilettes et quelle avait retiré sa culotte « au cas où ». Ce geste signifiait quelle avait prémédité cette situation, ce qui nétait pas pour me déplaire.
Je plonge ma tête en direction de sexe qui était épilé et cela faisait transparaitre encore plus lhumidité de cet endroit : la lumière éclairait sa chatte et la mouille reluisait comme une gelée pendant une nuit de pleine lune en hiver.
Elle prend ma nuque et colle ma bouche sur son sexe. Je passe ma langue entre ses lèvres en partant du bas et en remontant vers son clitoris. Elle gémit. Mais lorsque je mattaque à son petit bouton, ce ne sont plus des gémissements qui sortent de sa bouche, mais de râles et des cris. Je mordille son clitoris délicatement, et je passe et repasse ma langue sur la partie qui se trouve à lintérieur sans desserrer pour autant mon étreinte.
Mes mains ne sont pas en reste : elles palpent ses fesses, les malaxent. Puis un doigt (le majeur) saventure dans la raie, descend puis remonte, en prenant soin de ne pas toucher au passage son petit trou.
Elle est super excitée. Son bassin commence à onduler et jai un peu de mal à conserver son clitoris entre mes dents (je ne veux pas lui faire de mal). Je relâche la pression sur le clitoris et je maventure à pousser ma langue bien au fond de son vagin. Simultanément, mon doigt qui soccupait de la partie face entreprit de fouiller son anus, comme une double pénétration, mais tout en douceur
pour commencer !
Je sens le gout de la cyprine dans ma bouche et cela mexcite encore plus. Je retire mon doigt de son petit trou et jen positionne deux à lentrée. Elle sent que quelque chose se prépare.
Mes deux doigts pénètrent dun seul coup son petit cul. Cela dit, je nai pas eu à forcer beaucoup. Elle ma semblé très dilatée sur le moment.
Quelques vas et viens, puis elle lâche un cri. Heureusement quil ny avait plus personne à cette heure là.
Elle me prit la tête et la repoussa pour que jarrête de la lécher. Jai compris quelle voulait maintenant me faire la même chose.
En effet, elle me relève en me tirant par la main, et sassied à ma place. Je me trouve debout à côté delle, tout comme elle létait au préalable. Elle baisse la fermeture éclair de ma braguette, déboutonne mon pantalon, descend le slip et le pantalon sur mes chevilles. Elle commence alors une fellation dont je me souviens encore. Oh quelle sy prenait bien cette cochonne ! Elle savait mettre son bout de langue là où ça faisait vraiment du bien. Elle malaxait mes testicules avec une douceur extrême. Je nen pouvais plus. Jessayais de me retenir, mais je sentais que je nallais pas tenir très longtemps. Je lui fais remarquer et quand je commence à sentir que je vais tout décharger, je tente un retrait pour ne pas lui jouir dans la bouche car cela ne plait pas à toutes les partenaires. Mais au contraire, elle me tient fermement et je finis par me lâcher dans sa bouche.
Nous restons un moment sans bouger, elle, toujours le sexe en bouche et moi la main sur ses cheveux. Elle suce bien mon sexe, comme pour le nettoyer, se lève et pose ses fesses sur le bureau en écartant bien les jambes. Jai compris quelle voulait que je la prenne. Mon sexe na pas vraiment eu le temps de débander, il fallait que je la prenne : elle en avait envie et moi aussi.
Je dégage ce qui se trouve sur le bureau pour pouvoir lallonger et être plus à laise. Je présente mon sexe à lentrée de sa chatte. Elle est lubrifiée au possible, si bien que, lorsque je pousse pour la pénétrer, je nai pas beaucoup defforts à faire.
Cependant, jai quand même encore une envie, et je ne sais pas si elle acceptera. Je voudrais lui prendre son petit cul. Jessaie de la relever après une dizaine de vas et viens, je la retourne. Là, je suis surpris car elle me présente delle-même son cul pour se faire sodomiser. Elle précise toutefois que cest une première pour elle et me demande dy aller doucement.
Je présente donc mon gland à lentrée de son orifice, je le rentre délicatement. Je sens une petite contraction. Je lui palpe les seins dune main pendant que lautre soccupe de sa chatte. Ceci aidant, elle se détend un petit peu et jen profite pour donner un coup de rein sec et la pénétrer ainsi entièrement. Après un petit cri (je nai jamais su si cétait la douleur ou le plaisir), je pouvais aller et venir dans son petit trou. Je nai pas tenu longtemps et jai vite joui avec le peu de sperme qui me restait.
Cette soirée là, nous navons pas trouvé notre différence de quelques centaines de Francs, et nos collègues nous ont demandé le lendemain ce que nous avions fait pendant ce temps-là. Elle a répondu sur le ton de la plaisanterie que nous avions baisé. Personne ne semblait lavoir cru, mais peut être y avait il encore quelquun dans les locaux ce soir là, car
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