Troisieme Rencontre
La deuxième visite de Pierre a laissé en moi beaucoup de traces. Je parle ici de marques physiques en pensant à mon petit cul qui navait jamais connu la visite dun sexe réel mais aussi de traces cérébrales. Il est vrai que notre contrat prévoyait cette relation mais je me demande maintenant si je ne suis pas allée trop loin dans mon acceptation. Je me souviens encore du moment où jai dû lui lire au téléphone le texte que je lui avais déjà fait parvenir par écrit. Ce texte nétait pas sorti spontanément de mon esprit mais il mavait été fortement inspiré par les questions de monsieur Pierre. De nombreux échanges téléphoniques avaient eu lieu avant la rédaction finale afin de fixer une base à notre relation et ensuite den définir lapplication. Je dois avouer que le document est sorti de son cerveau plus que du mien puisque que je navais eu quà le mettre en forme et lui renvoyer après lavoir signé. Il mavait répondu immédiatement :
« Jai lu votre déclaration dobéissance et je laccepte. Sachez que vous devez prendre cela comme un honneur et un bonheur.
- Oui monsieur Pierre.
- Jaimerais maintenant que vous confirmiez oralement vos écrits car je me délecterai à entendre certaines paroles sorties de votre bouche. Préparez-vous à me la lire, à genoux près de votre téléphone. Vous naurez quà décrocher quand il sonnera puis reposer le combiné devant vous et lire suffisamment fort afin que je puisse jouir de vos paroles. Je vous interdis de modifier, remplacer, supprimer ou ajouter un seul mot au texte initial. Je quitte ma messagerie. » Il ne faisait aucun doute quil avait lintention denregistrer ma déclaration afin de satisfaire son esprit dominateur mais je my étais cependant résolue. Cest donc dans la position demandée que javais attendu la sonnerie en tremblant. Au moment crucial de parler javais cru un instant ne pas pouvoir ouvrir la bouche mais ce ne fut pas le cas :
« Par la présente lettre je viens vous donner mon accord à une relation telle que vous la désirez.
- De me tenir à votre entière disposition à tout moment.
- Dêtre appelée Claudy par vous et ceux que vous choisirez.
- De me comporter en permanence en passif obéissant.
Jaccepte également que vous usiez de mon corps comme vous lentendez afin de méduquer, de me réprimander ou de mhumilier tout en sachant quaucune conséquence ne sera perceptible de lextérieur. Je sais que vous êtes très demandeur en terme de sexe et je devrai concentrer mes efforts sur ce point afin de vous satisfaire par tous les moyens dont je dispose. Jai donc bien retenu que :
- Je recevrai votre visite sous 48 heures afin que je me présente à vous.
- Vous désirez me posséder, au sens sexuel du mot, dans la semaine qui suivra cette visite et je devrai à la suite de cette visite me comporter comme votre entière propriété.( Je nose écrire le mot que vous avez utilisé) Je devrai donc parler de moi au féminin et nutiliser uniquement en parlant de moi que les mots de seins, chatte et clitoris.
- Je naurai plus droit, à partir de ce moment, à des relations sexuelles autres quavec vous, sauf si elles étaient imposées par vous
mais en aucun cas en tant que mâle.
- Je subirai humiliations physiques et morales suivant votre humeur. Vous mavez dit que cela était votre plaisir le plus prisé et que vous en useriez de manière permanente mais je les accepte cependant.
- Je serai parfois punie et jaccepte ici vos sanctions futures en sachant que je pourrai être attachée ou frappée.
Je sais aussi que :
- Je devrai vous aviser de tout déplacement hors de mon quartier et obtenir votre aval avant de réaliser une telle sortie.
- Je ne devrai communiquer à personne ladresse de messagerie que vous mavez fait créer et quelle sera réservée à votre seul usage.
- Je devrai vous communiquer mes autres adresses afin que vous puissiez consulter mes différentes boites.
- Je serai tenu de vous soumettre tout message que je souhaiterais envoyer ainsi que les éventuelles réponses .
Pour conclure et être cohérente, je mengage à ne vous mentir en aucun cas, même quand je serai persuadée que la vérité risque de mêtre dommageable. Je sais quune simple omission est considérée par vous comme un mensonge. »
Claudy
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Aujourdhui deux étapes ont été franchies : Notre première rencontre, baptisée par lui « présentation », et qui avait consisté en une sorte dévaluation, mavait beaucoup impressionnée. La seconde fut plus concrète puisquelle consista à le recevoir sur moi, lui offrant ainsi la maîtrise de mon corps. Ce dernier acte a eu lieu il y a trois jours et depuis je reçois messages et appels téléphoniques. Le but est en général de me donner de nouvelles consignes ou bien de me questionner sur la façon dont je ressens ma nouvelle personnalité. Il me semble quil ressent beaucoup de plaisir lors de certains dialogues :
« Comment va ta petite chatte ?
- Je nai plus de douleurs monsieur.
- Tant mieux pour toi mais tu dois savoir que les femmes doivent parfois connaître des douleurs.
- Je le sais monsieur
- Et celle qui mappartient en connaît encore plus et surtout plus variées.
- Vous me lavez dit.
- Et te sens-tu bien dans ta nouvelle peau ?
- Je my habitue très bien grâce à vos conseils monsieur et il me serait difficile doublier mon nouvel état quand japplique vos directives.
- Pourquoi précisément ?
- Je dois dire vivre chez moi en portant certaines couleurs, comme le rose ou le blanc, et des matières tout autres que celles dun pantalon masculin.
- Ce nest quun début madame. Continue.
- Quand je vaque à quelques occupations ménagères en ayant mon anus rempli par un plug ou bien quand jurine comme une femme je me sens tout autre.
- Et encore ?
- Quand vous mintimez de me caresser les seins ou lanus ou bien quand jadoucis mes lèvres et mes fesses avec une crème
il me paraît impossible de me voir en homme.
- Je suis satisfait de ces premiers résultats mais le reste sera sans doute plus dur. Au revoir »
Pour linstant jouvre le colis que lon vient de me livrer. Connaissant lexpéditeur je ne risque pas dêtre étonnée. Je découvre de quoi me vêtir mais cette fois il ne sagit pas de lingerie fine. Le matériau noir me semble être ce quon appelle du latex. Je sors dabord une culotte qui serait tout à fait normale si elle nétait fendue derrière. La suit e ressemble à un bustier muni de jarretelles. Enfin deux paires de fins bas noirs, opaques et légèrement brillants, mais pas en latex tout comme les bretelles et les jarretelles du bustier. Un petit mot accompagne lensemble :
« Je ne sais à quelle heure tu recevras ce colis mais je te conseille dessayer lensemble très rapidement. Tu prendras ensuite deux photos au minimum. Il ne me paraît pas indispensable de te dire pourquoi car tu le devineras toi-même. Tu me les enverras ensuite et je les veux pour 18H. quand je rentrerai. Je tembrasse. Pierre »
Je regarde lheure et constate quil est plus de 17H. et que je nai pas de temps à perdre. Jôte le peu que jai sur moi et vais prendre une douche expéditive. Après un séchage minutieux je me saisis de la culotte et commence à lenfiler. Le contact me surprend car je navais jamais eu loccasion de porter ou toucher du latex. Le matériau ne glisse pas sur la peau et il faut létirer pour le faire monter sur mes cuisses. Cest quand le slip est en place que je comprend sa particularité : Je suis très fortement comprimée au niveau des testicules et cela en est douloureux.
Je pense dabord me déshabiller car je commence à avoir très chaud aux endroits où je suis couverte mais je décide de boire un whisky auparavant. Je minstalle sur le canapé pour déguster. Je nai pas le temps de finir mon verre quun message mest signalé :
« Jai reçu tes photos avec retard. Elles me paraissent assez bâclées répond moi.
- Jai fait de mon mieux monsieur .
- Il faudra améliorer cela et y mettre de la bonne volonté. Dans limmédiat tu vas compléter ta tenue et il me paraîtrait normal que tu mettes collier de cuir et talons.
- Je vais me préparer.
- Dernier point : Tu fais disparaître ton sexe de mâle entre tes cuisses et la culotte est prévue pour cela.
- Je fais le faire.
- Tu as 10 minutes pour menvoyer deux photos en pied et deux photos où tu seras à quatre pattes et bouche ouverte. Je ne répète pas le principe : recto et verso ! A plus tard »
Il ne me faut pas longtemps pour mettre le collier et enfiler les chaussures. Je fais quelques pas ainsi devant la glace en me remémorant les détails quil ma demandés : Les chaussures, collier et bouche ouverte. Les premières ne sont plus un vrai souci mais elles continuent à me rendre instable donc fragile. La parure de cou quil faut bien appeler par son nom, collier de chien ou mieux collier de chienne, nest pas une gêne par lui-même car je ne lai pas serré mais il est un symbole fort dappartenance à quelquun. Je nose parler de bouche ouverte et préfère ne pas penser à ce quelle représente
Les deux photos debout sont rapides mais les autres nécessitent une prise de position rapide . J ai honte du résultat de ces deux dernières. Recto et verso sont pareillement humiliants à cause dun anus offert ou de lèvres largement béantes. Je nai toutefois pas le choix et jenvoie.
La réponse nest pas longue à me parvenir :
« Nettement mieux et plus réelles. Je te vois là comme tu dois être nest ce pas ?
-
Comme vous désirez que je sois monsieur et je suis heureuse que vous appréciiez !
- Pour linstant cela nest que du virtuel ma chérie et, bien que le résultat soit saisissant sur un écran de 21 pouces, je ne saurai men contenter.
- Je vous comprends monsieur.
- Je lespère pour toi. Dans limmédiat conserve cette tenue dans laquelle jaimerais que tu me reçoives. Il se peut que jaie un quart dheure à te consacrer dans la soirée. Cela te fait plaisir ?
- Bien sur
- Même si cette visite risque dêtre courte mais douloureuse ?
- Cela fait partie de notre contrat et je my soumet .
- Je serai pressé et il convient que tu sois totalement prête à maccueillir à nimporte quelle heure. Est-ce bien compris ?
- Oui monsieur je vais me préparer à votre visite.
- Ta tenue est idéale mais noublie pas ton intimité ma chérie. Il me semble que ton plug aurait parfaitement sa place dans cette culotte. Quen penses-tu ?
- Je pense comme vous et vais faire le nécessaire.
- Cela me paraît la moindre des choses mais cette fois tu ne lôteras que sur mon ordre.
- Bien monsieur.
- Pense également à l'ambiance. Jaime assez que mon hôtesse crée un climat favorable à une bonne réception.
- Une ambiance ?
- Je pensais à quelque boisson, bougies et aussi à quelques accessoires envoyés il y a quelques jours et qui pourraient très bien coller avec ta tenue.
- Je tiendrai tout cela à votre disposition.
- Je préfère et noublie pas de me rappeler que je devrai te punir pour ton retard dans lenvoi des photos. A plus tard je lespère et, en attendant, tu peux relire ta déclaration dobéissance et ten imprégner ! »
Cet échange de messages ma quelque peu perturbée et je sais plus bien que penser et faire. Lattente dune éventuelle visite ne me permet pas denvisager le moment de détente que je prévoyais. Javais eu une certaine chance en nôtant pas mes vêtements de latex après les premières photos mais maintenant je nai plus le choix. Je vais devoir conserver la même tenue pendant une durée que je ne connais pas et peut être même jusquà demain matin. Ce nest pas que cela me gène énormément, à part la pression sur mes organes, mais je sens que le latex commence à me coller à la peau en quelques endroits. Mes bourses et mon entrejambe me paraissent même humides. Cela me rappelle une de ses consignes et je me dirige vers la salle de bain. Je commence par une sérieuse lubrification puis me mets en position. Louverture de la culotte mévite un déshabillage et je mintroduis facilement la bite artificielle. Je fais quelques pas puis ajuste sa position afin de la garder en moi sans problèmes.
Mon inquiétude est encore plus grande quand je pense aux accessoires quil ma demandé de prévoir. De crainte de me faire surprendre sans avoir obéi je vais chercher les objets que javais soigneusement rangés dans un tiroir. Je cherche lendroit où les disposer afin quils soient visibles mais pas exposés ostensiblement . Jopte pour une dissémination savante : les menottes près du canapé, le vibromasseur à côté de la pile de livres sur le parquet et enfin la laisse et la chaîne suspendues au portemanteau entre veste et chemise. Tout cela fait maintenant partie du décor tout en restant très discrets. Allumer deux bougies et sortir une bouteille de scotch nest pas pour moi une contrainte et je le fais sans aucune retenue. Sachant que je vais devoir attendre ainsi pendant un temps indéterminé je me sers un verre et fais quelques pas en buvant. Jessaie de me mettre dans la peau du mâle qui a exigé cette tenue et dans quels buts. Limage que me renvoie ma pensée me ramène à certaines lectures passées : cuir, exhibition du corps, coups, souffrance
mais je me persuade que le fétichisme est essentiellement virtuel ou au plus visuel. Pour men persuader encore plus je mets une cassette dans mon magnétoscope : « Histoire dO ». Je massois en me désaltérant au whisky.
Il ny a pas trois minutes que je me relaxe avant que mon portable sonne :
« Bonsoir monsieur Pierre
- Abandonne le Monsieur et contente-toi de Pierre. Ne crois surtout pas quil sagisse dun changement de comportement de ma part et bien au contraire. Je préfère des réponses rapides de ta part et cela y contribuera.
- Oui
Pierre.
- Es-tu comme je te lai demandé ?
- Bien sur Pierre.
- Aucun oubli jespère ?
- Jai suivi vos directives.
- Parfait. Je cherche à me garer en face chez toi. Ouvre ta porte et prend la position dans laquelle je tai laissée lors dune précédente visite.
- Mais
si vous mettez plus de temps
- Je nai pas le temps de discuter. Exécute. De toute manière ton cul mérite dêtre vu ! »
Lappel ma surprise mais je ne peux attendre et je vais ouvrir la porte puis place un coussin derrière celle-ci afin quelle reste juste entrouverte. Je rejoins le centre de la pièce et me mets à genoux puis à quatre pattes. Cest à ce moment que je saisis lhumiliation quil me fait subir en mimposant cette position : Dos à la porte et culotte ouverte sur un plug bien enfoncé. Les pas qui sapprochent de moi me rassurent presque mais ses premières paroles pas du tout :
« Qui ta dit de mettre ce coussin ici ?
- Personne Pierre.
- Cela se paiera que car je naime pas que tu prennes dinitiatives de la sorte.
- Bien Pierre.
- Navais-tu rien à me rappeler ?
- Si Pierre. Vous devez me punir de ne pas avoir respecter le délai pour vous envoyer les photos.
- Exact mais je ne vois pas dans ce décor trop discret l outil de ta punition. » Un flash me fait souvenir du cadeau quil mavait laissé en me quittant alors que jétais dans cette même position : la cravache que jai volontairement omise
« Je navais pas prévu son utilisation Pierre. Pardonnez-moi.
- Où est-elle vite ?
- Sous mon lit. » Les pas qui suivent me paraissent nerveux et je le suis aussi.
« Je naime pas perdre de temps et tu paieras pour ces fautes. Relève tes fesses pour recevoir ta punition.
- Oui Pierre. »
Les premiers coups sabattent sur ma culotte mais je les supporte assez bien. Ceux qui suivent sont plus douloureux car ils visent mes reins et ma peau nue.
« Ecarte les cuisses salope. Je vais te faire rentrer ce sexe synthétique en entier dans le cul ! »
Dès que jai modifié ma position suivant ses désirs les coups reprennent mais parfaitement ciblés
Chaque impact me fait avancer cul et épaules en me procurant des sensations non désagréables. Je sais toutefois que le plug ne rentrera pas plus loin à cause de sa base assez large. Je ne peux mempêcher cependant de pousser des cris étouffés traduisant à la fois douleur et plaisir. Cest ce dernier point qui le pousse sans doute à cesser la fustigation.
« Tu vas pouvoir relever la tête chérie. Repense à la dernière photo que tu mas envoyée. » Je nai pas le temps de penser ou bien je le fais trop tard : de face bouche ouverte
Le plug quitte mon anus aussitôt et apparaît devant ma bouche. Je croyais quil allait me le mettre dans la bouche mais il se contente de le promener sur mes lèvres.
« Assied toi sur tes talons pour que je te voie mieux sous cet angle. » Je mexécute tandis quil va se servir un verre avant darpenter la pièce en tournant autour de moi. Il a saisi au passage les menottes et il n a pas abandonné la cravache qui est toujours suspendue à son poignet. Ces deux détails ne me rassurent pas mais je fais tout pour rester sereine et confiante. Quand, derrière moi, il ouvre la bouche je reste impassible mais craintive.
« Ton petit trou est vraiment admirable quand il a été bien préparé. A lavenir je te ferai porter plus souvent des plugs afin de te maintenir ouverte. Dans ton prochain mail tu men feras la demande.
- Je le ferai Pierre. »
Je nai besoin daucun autre mot pour obéir. Comme je my attendais mes poignets sont vite réunis par les bracelets métalliques. Puis, saisissant mon collier, il me fait remettre à genoux et relever la tête. Il a entre temps trouvé la chaîne que javais pourtant exposée très discrètement et il la fait à présent balancer devant mon visage.
« Il me semble quune ceinture te conviendrait à merveille. »Ma taille se trouve aussitôt ceinturée par un métal froid et, après plusieurs serrages croissants, les maillons sont au contact de ma peau tandis que dautres pendent entre mes jambes. « Parfait. Ne te trouves-tu pas dans la position idéale pour recevoir quelques coups ?
- Je suis comme vous le pensez Pierre.
- Je veux tentendre dire que tu es prête à recevoir la cravache sur cette face de ton anatomie.
- Je suis prête à recevoir les coups de cravache que vous désirez appliquer sur cette face de mon corps.
- Merci. Expose-toi davantage sil te plait.
- Que puis-je faire de plus ?
- Simplement te pencher en arrière en allant poser tes mains au sol le plus loin possible derrière toi pour que voie mieux.
- Comme cela ?
- Je pense que la peau fragile de ton ventre et de tes cuisses va apprécier le contact du cuir. Ouvre la bouche sil te plaît ! »
Le godemiché pénètre immédiatement entre mes lèvres et la cravache est déjà sur mon ventre dénudé. Il insiste ensuite sur lintérieur de mes cuisses qui me cuisent. Les coups sont espacés mais précis et mon sexe, pourtant protégé par le latex, souffre cependant. La troisième cible nest pas moins douloureuse : les quelques centimètres carrés de poitrine offerts par le corset semblent plaire à mon amant et mes tétons durcissent. Ses jambes encadrent mon corps et jai sur lui une vue que les photographes appellent contre plongée. Quand les coups cessent je le vois ouvrir sa ceinture puis sa braguette. Il me fixe dans les yeux en baissant son boxer et en exhibant une verge bien dressée. Me saisissant par mon collier il me fait ensuite redresser.
« Je ne sais pas si tu attends cela depuis longtemps mais moi oui . Tu vas pouvoir mhonorer comme tu le dois et me montrer ta servilité ! » Le membre synthétique mest extirpé de la bouche sans ménagement et mes lèvres se retrouvent ouvertes face à une bite bien vivante. Une simple pression sur ma nuque me fait prendre le sexe et men occuper.
« Ta langue me paraît bonne et japprécie. Je nai pas ce soir le temps den accepter plus et je le regrette. Va te mettre en position sur la table basse pendant que je me déshydrate. Je te prend, je me vide, tu me nettoies et me rhabilles. » Lordre a été ferme et, tandis quil sabreuve, je me relève. Je lui présente mon dos afin quil me libère les poignets. Il se contente douvrir un des bracelets puis de me ramener les mains devant et me les joindre à nouveau La montée sur la table nest pas aisée en raison des talons et des menottes mais je fais de mon mieux afin déviter toute nouvelle punition. Jécarte les genoux au maximum que me le permet la table et me mets en appui sur les coudes. Je sais maintenant lefficacité visuelle de la culotte ouverte et nai aucune peine à imaginer ce que ses yeux fixent en ce moment. Mon attente nest pas longue et un gland déjà humide vient se coller à ma rondelle.
« Bouge le cul et ouvre toi !
- Oui Pierre.
- Quand tu seras prête, tu minviteras à te baiser en te désignant par le mot que tu nas pas voulu utiliser lors de ta déclaration
» Il ne faut pas longtemps pour améliorez ma position en reculant mon cul et prononcer les mots quil attend :
« Pierre, je suis votre putain et je vous offre mon cul afin que vous y pénétriez.
- Merci chérie. Jattendais que tu prononces ces paroles et il convient que tu saches de façon claire ce que tu es pour moi. Je vais tenculer illico mais et il faut que tu sois prête à cela en permanence. »
Le gland franchit ma rondelle immédiatement après le dernier mot mais la raideur de son membre me fait mal. Je le sens envahir mon intérieur sans aucun ménagement et chaque poussée est une nouvelle souffrance. Quand ses couilles arrivent au contact de mes fesses il marque une pause. Il sait que jai souffert mais veut lignorer :
« Je nen peux plus et je ne vais pas résister longtemps. Je vais cracher en toi et veux que tu reçoives ma semence comme un cadeau.
- Jaccepte de le recevoir ainsi.
- Quand je dis cadeau, jentends par là le petit remerciement que le client offre à une prostituée après quelle lait satisfait. Mais, étant donné que tu es ma propriété, mon sperme suffira comme offrande. Jespère que tu ny vois rien à redire et que tu apprécies ?
- Jai bien compris que votre liqueur sera ma récompense.
- Alors pour te faire plaisir je te la ferai apprécier de maintes manières. Dans limmédiat prend cela
»
Deux ou trois mouvements de reins, une contraction de ses muscles et je sens mon cul qui se remplit de son liquide tiède. Il sort immédiatement de moi et me contemple narquoisement. Ayant retenu la leçon faite il y a quelques minutes seulement je quitte difficilement ma position pour me mettre çà genoux devant lui. Ma langue saffaire immédiatement sur le gland humide que je lèche jusquà ce quil soit totalement vierge de toutes traces
Sans attendre, je lui présente mes mains toujours emprisonnées et il men libère sans rien dire. Il est temps pour moi de passer à la dernière étape. Je remonte délicatement le slip puis referme braguette et pantalon en prenant beaucoup de soins à cause du sexe encore enflé. Je ne métais jamais comportée ainsi devant un homme et je me sens encore plus femme soumise après lavoir rhabillé.
« Noublie pas la ceinture ! Nai aucune crainte elle ne te mordra pas lépiderme ce soir. Tu y goûteras sans doute car cest un de mes instruments préférés et toujours à portée de main. Si je te demande un jour de me lôter, tu pourras te mettre en position sans attendre afin de lui offrir ta peau. Je manie assez bien et choisis avec beaucoup de soins cet accessoire polyvalent : il doit être souple et pas trop large pour que son efficacité soit maximale. »
Cest les mains tremblantes que je termine mon ouvrage et je nose plus bouger.
« Relève-toi et regarde moi. Ta prestation a été acceptable bien que jaie remarqué certaines tendances, très discrètes il est vrai, à te rebiffer à certaines occasions. Quas-tu à dire ?
- Simples réflexes sans doute Pierre.
- Je ne supporte pas ces réactions et, à lavenir, je memploierai à tassouplir, cérébralement et physiquement, afin que tu acceptes tout de moi sans aucun signe de refus. Est-ce compris ?
- Jai bien compris que vous désiriez me rendre plus docile et plus offerte.
- Je le souhaite pour toi. Dans limmédiat notre soirée est terminée. Sers-moi un verre. »
Cet ordre est un soulagement pour moi car mes yeux peuvent enfin quitter les siens. Whisky et glaçons sont rapidement sur la table et, après que lai servi, il me fait signe de prendre un verre également. Je nhésite pas un instant avant dobéir
Cest en trinquant quil me dit :
« Je pense que tu commences à sentir les effets du latex sur ton corps
- Compression, chaleur, humidité
- Exact mais de ce dernier point que nous allons parler avant que je ne parte. Tu ne sais pas encore dans quel état est lintérieur de ton slip en ce moment et tu vas le vérifier maintenant. Ote le sil te plaît ! Prend le temps de déguster ton verre en même temps. »
Exceptionnellement, en fonction de cette tenue, javais enfilé la culotte de latex avant le corset et, de ce fait, je dois défaire les jarretelles pour lôter. Je suis maintenant plus relaxée et jaccomplis chaque geste de façon presque naturelle. Une fois les quatre attaches ouvertes je fais descendre le slip à mi-cuisses en notant que le latex sest pratiquement collé à ma peau comme une ventouse. Je prends le temps de remonter mes bas et de les fixer à nouveau avant de faire descendre totalement le vêtement et de lenjamber. Je suis maintenant en corset, bas, chaussures
et slip à la main. Pierre tend la main pour sen saisir. Des mains expertes retournent leffet sur lui-même et men présentent lintérieur
blanchâtre.
« Ceci a ton odeur et ton goût chérie. Finissons nos verres avant que je te la fasse porter à nouveau, mais cette fois
sur la tête. Cela taidera à te connaître plus intimement comme tu vas apprendre à le faire progressivement. »
Nous trinquons de nouveau puis, reposant son verre, il met en application ses paroles et me cagoule. Il rectifie plusieurs fois la position du slip sur mon visage. Je deviens à demi aveugle mais je sais que jai sur la bouche la partie qui était sur mon entrejambe il y a peu de temps. Lodeur et le goût me surprennent mais ne me déplaisent pas.
« Lèche bien et attend que je tappelle ou que je revienne avant dôter ce masque. Si tu y mets de la bonne volonté, dans dix minutes il devrait être propre
Bonsoir. »
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