Le Corbeau Ou Le Renard ? 11 Fin
Ravie, Chantal accueille avec humour et curiosité la réponse du jeune homme.
Un nouveau clin dil discret vers le miroir, qui néchappe pas à Alexandre et le réjouit car lui aussi a compris le sens du message : elle prévient quelle est décidée à en profiter. Je ne peux mempêcher de lui répondre bêtement « compris » car, évidemment, elle ne me voit pas !
Sans doute rassurée de jouer franc jeu, du moins je le suppose, elle lattire à elle, effrontée, et lui prend ses lèvres dont elle sempresse de goûter fougueusement la saveur.
Cest reparti !
Sécartant légèrement de lui, dun mouvement tout emprunt dérotisme, elle fait glisser la fermeture éclair de sa jupe qui tombe à ses pieds. Dun geste précis, elle la fait voler sur un fauteuil avant de se rapprocher de son cavalier. Son effeuillage terminé, ne conservant que sa culotte noire, ses bas et ses escarpins, elle se presse contre lui, et entreprend une danse chargée de sensualité.
Quelle est belle et désirable !
Alexandre, surpris par la conduite soudaine de la jeune femme reste scotché, accompagnant les ondulations du corps de sa cavalière. Cette fois encore, elle enlace de ses deux mains la nuque de lhomme et lui offre à nouveau sa bouche déjà entrouverte. Dans une étreinte brûlante, leurs langues se mêlent dans un baiser dont elle a pris goût désormais.
Soudés, ils ignorent totalement le pauvre René et le pauvre mari. Le doute menvahit brutalement et jappréhende un dénouement tragique pour notre couple.
Alexandre, tout en balançant son corps sur cette musique lancinante, abandonne la taille de sa cavalière et se déshabille à son tour. Quand il ne lui reste que son caleçon, il vient coller son pubis contre celui de la jeune femme, presque nue, pour lui faire sentir son désir.
René, les yeux baissés sur la moquette, humilié, assiste silencieusement à la scène.
Chantal, la tête enfouie dans le cou de son cavalier, ondule du bassin dans le but affiché de frotter son sexe contre celui de lhomme.
- Waouh, sécrit Chantal. Mieux que Pierre ! Mon pauvre René.
Je suis meurtri dans mon égo de ne pas participer à la compétition ! Cest bêtement évident, jai une petite queue !
Et sans autre forme de procès, sans même un petit regard vers le miroir, ma chérie saccroupit, se débarrasse du caleçon encombrant et embouche le membre viril. La pipe, son péché mignon.
Les bruits de succion qui suivent me rendent fou. Elle lèche, aspire, suce comme elle adore le faire avec moi. Ses mains ne restent pas inactives, elle caressent, pétrissent, effleurent, les organes du mâle. Jai sorti ma bite et je me branle avec furie. Depuis le temps que jattends de voir ma femme soffrir pour assouvir mon fantasme !
Après dix minutes, elle se dégage pour entraîner Alexandre vers le divan où René toujours nu sous la ceinture, est avachis. Ultime humiliation pour lui, elle se penche sur ses cuisses et par petits coups de langue, lèche en souriant, son sexe obstinément mou et perdu au milieu des poils. En appuis sur ses coudes, elle offre, et ce nest pas fortuit, sa croupe au jeune étalon.
La tension est à son maximum. Dans cette situation déjà vécue, elle avait résisté et repoussé la saillie. Mais maintenant, les données ne sont plus les mêmes. On le sait tous.
Bien sûr, Alexandre, ne se fait pas prier car le message est évident qui linvite à prendre la femme qui soffre devant lui.
Il sagenouille devant les fesses encore cachées par la culotte. Il caresse dabord les rondeurs quil masse avec douceur. Chantal ondule du bassin et tend son cul en arrière à la recherche du contact. Puis lhomme abaisse le fin tissu dévoilant la vulve et le petit bouton, si sensible, tout humide et gorgé de sang. Avec une infinie prudence, il en approche ses lèvres et lui délivre cette caresse tant estimée.
Chantal gémit, elle aime. Elle pousse un long soupir alors quAlexandre la libère complètement de sa culotte noire. Immédiatement il sempare du sexe féminin quil pénètre dun puis de deux doigts, avant de les mobiliser, dabord lentement, puis de plus en plus vite, dans une masturbation qui soutire à la jeune femme des gémissements de plus en plus bruyants.
Doù je suis, je contemple la vulve ruisselante des humeurs féminines et jentends ses manifestations bruyantes qui sont dhabitude si timides, si retenues.
Quand Alexandre se redresse, abandonnant le sexe féminin en feu au grand désarroi de la jeune femme, cest pour présenter sa queue à lentrée de son ventre. Il veut conclure le malin, fort de lexpérience de ses camarades.
Debout, il me cache le corps quil sapprête à posséder. Sen rend-t-il compte ? En tous cas, il sempare dune jambe féminine, lécarte, lui met son pied en appui sur le divan, ouvrant alors son sexe à ma vue. Entre ses cuisses musclées, le membre viril dressé, ses deux couilles fièrement suspendues, il est déjà prêt pour lassaut. Rien ne méchappe. Gentil garçon !
Son gland décalotté ressemble à la tête dun champignon. Il est rouge, gavé de sang. Il saisit sa queue entre ses doigts et promène cette protubérance impudique le long des grandes lèvres juste en dessous du triangle pubien, habillé dun fin duvet soigné. Elles sécartent comme tout à lheure et apparaissent celles, écarlates et brûlantes de désir, qui gardent lentrée de sa plus profonde intimité. Celle qui donne la vie.
Je crois que je vais mévanouir quand je le vois forcer les lippes prêtes à exploser, puis senfoncer lentement et disparaître totalement écartelant le sexe conquis.
Il est gros, très gros et je garde les yeux fixés sur cette colonne de chaire qui distend, étire, cette vulve quil possède virilement.
La femme pousse un cri, témoignage de cette pénétration brutale, puis se met à geindre sans discontinuer.
Enfoncé, Alexandre marque une pause, sans doute pour laisser Chantal accepter son mandrin, peu habituée à de tels calibres, mais aussi, je le sais, pour signifier son pouvoir à la femelle et son emprise sur ce corps. Cest un macho.
Elle doit avoir pris conscience que cette fois, elle a laissé une autre bite la pénétrer. Me savoir témoin, suffit-il à la déculpabiliser ?
Pendant ce temps, le jeune homme commence lentement à agiter son sexe.
- Allez jeune homme, je vous attends ! dit-elle entre deux souffles.
Le ton ne laisse aucune place à la discussion.
Mon épouse cette inconnue
Je nen reviens pas de tant de liberté dans son langage, ni de son abandon. Et que dire de sa maîtrise du moment ! Profiterait-elle de notre vengeance pour libérer sa propre sexualité ? Que ressent-elle en cet instant ? Je vois bien lexpression de son plaisir, mais pour quel état dâme ? Il faudra quelle sen explique.
Un peu décontenancé, Alexandre se décide à travailler le sexe de la belle par de longues séquences de va et vient, lents puis rapides. Il la tient solidement aux hanches pour assurer sa prise. Bien vite la jeune femme affiche de nouveaux signes manifestes de jouissance que je ne lui connais pas. Il ralentit, marque une pause puis reprend de plus belle. Cela dure de longues minutes sous le regard de René. Petit à petit les gémissements de Chantal se font plus nets et plus forts pour devenir des grognements délicieusement érotiques.
Ses seins ballottent devant le visage cramoisi de René, immobile, qui nose même pas les toucher de peur de se faire gronder. Chantal passe une main entre ses cuisses et, comme elle en a lhabitude de le faire avec moi, elle flatte les couilles de son étalon.
Ma jalousie est à peine étouffée par le plaisir candauliste que me propose le couple qui copule.
Puis soudain Chantal se crispe, saffale sur René et crie comme je ne lai jamais entendue.
- Ouiiiii !
Je nen crois ni mes yeux ni mes oreilles. Ma Chantal si peu expressive avec moi !
Ce cri déclenche, je limagine, léjaculation du mâle qui se répand en longues giclées dans son ventre, imprégnant pour toujours toutes ses cellules. Ce moment dure plusieurs secondes et semble ne jamais sarrêter.
Pierre avait raison, cest une bête de sexe, avec une bite hors normes mais surtout une endurance si propice à provoquer lorgasme de ces dames.
Repus les deux amants mettent plusieurs minutes à récupérer, la jeune femme enserrée entre les deux hommes. René qui a assisté de près à lorgasme reste muet, figé dans une attitude dhumilité, la tête de Chantal enfouie dans son cou.
Ma femme vient de découvrir lorgasme et le plaisir charnel que bien malheureusement je nai jamais vraiment su lui offrir. Cest dur à admettre ! Pour me rassurer, je me dis que lAmour ne se résume pas quà cela
Maintenant, Alexandre est devenu plus doux. Toujours en elle, il lui caresse le dos, les cheveux dans une attitude emprunte de reconnaissance pour la belle quil a honorée.
Avec infiniment de délicatesse, il désengage son sexe toujours droit. Il soulève la jeune femme par les hanches, laide à se retourner et la fait asseoir entre les cuisses dénudées et écartées de son boss. Je comprends son geste. Il tente en cela linitiative de réveiller la vigueur de ce sexe resté obstinément flasque. Mais rien ny fait.
Timidement René, à demi allongé sur le divan, enserre Chantal entre ses bras. Il empoigne ses seins et lappuie tout contre lui comme pour confier lobjet de son désir à son étalon reproducteur.
Juste face à lui, Chantal lui jette un regard plein désir et de sollicitude, avant de constater, flattée, que le mâle bande toujours.
Alexandre entame des préliminaires tardifs, lui caressant les cuisses, le ventre et le sexe dans des gestes très doux. Très vite Chantal perd toute notion du présent et sabandonne une nouvelle fois dans ses bras. Jimagine quelle se prépare à un nouvel assaut.
- Tu me veux encore, jeune homme ? dit-elle dans un souffle.
Il ne répond pas mais lui saisit les jambes aux chevilles quil écarte pour souvrir laccès au sexe encore béant dégoulinant de foutre quil vient tout juste de déverser.
Il se couche sur elle en appui sur ses bras, pour ne pas lui faire subir le poids de son corps et lembrasse pleine bouche. Elle lui rend son baiser sans hésiter maintenant, enserrant son visage de ses deux mains. Je vois précisément leurs langues se mêler. Lui abandonnant les lèvres, il sempare des tétons dressés de la jeune femme que René lui propose entre ses mains et les fait rouler entre ses lèvres. Chantal qui adore, gémit de plus belle, les yeux cherchant ceux de son amant.
Puis brutalement, Alexandre plante sa bite de nouveau dans lantre brûlant. Quand elle le reçoit, dans cette nouvelle position, Chantal pousse un cri de plaisir. Plaçant ses mains sur les fesses musclées, je comprends, spectateur, quelle lincite à senfoncer encore plus profondément en elle.
Le mâle entreprend un nouveau cycle de va et vient, lents, rapides, arrachant des gémissements continus à la jeune femme. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, Chantal est prise de tremblements et semble perdre conscience, tant elle est envahie, débordée par lorgasme. En vainqueur, Alexandre pousse un râle, alors que ses fesses se crispent, signe quil déverse une seconde fois sa semence dans le ventre de ma chérie.
Quand elle reprend conscience quelques secondes après, son premier geste est de prendre une nouvelle fois, la bouche de son amant pour un baiser tendre, avant de lui avouer :
- Cétait bien, Alexandre, merci. Et, merci à toi René. Ce fût pour moi la jouissance révélée.
Souriant, le garçon se redresse, sextirpe du sexe béant laissant séchapper un flot de foutre. Galant, René lui propose un mouchoir quelle utilise pour sessuyer avant de se relever, souriante, heureuse, épanouie.
Et moi dans tout ça ? Je viens dassister à labandon de ma chérie dans les bras dun étalon avec lequel je ne souffre pas la comparaison. Quel peut être notre avenir amoureux ?
Elle est debout ; nue devant les deux hommes. Lentement, alors que le doute mhabite, elle se tourne, sapproche du miroir et pose ses lèvres dessus pour madresser un baiser. Et je lentends distinctement me souffler :
- Je taime, tu peux venir ? Je taime.
Je suis comblé, rassuré. Jai joui moi aussi deux fois, rien quen la regardant jouir.
Je les rejoins dans le salon, ému. Alexandre maintient Chantal nue tendrement dans ses bras, sans aucune autre exigence. René tente de sauver les apparences dun sourire las et crispé. Il est vraiment choqué de ce qui vient de se passer sous ses yeux.
Je lui rends son sourire par gentillesse, car jai pitié de lui.
A ce moment la porte du salon souvre brutalement sur un Pierre fou de rage.
- Cest quoi ce bordel ?
Il regarde Chantal nue, puis maperçoit. Il est effaré et ne comprend pas tout de suite. Puis réalisant, il sécrie :
- Et moi dans tout ça ? Cest moi qui ai conçu ce plan ! Cest moi qui devait la sauter non ? Et cest toi René qui la saute dans mon dos et la fait apparemment baiser par Alexandre. Je suis dégoûté, trahi !
Il a perdu de sa superbe. Puis se tournant vers Chantal, nous négligeant totalement, il linterpelle vertement, sans aucun respect pour elle.
- Cest mon tour maintenant. Tu dois être chaude non ? Tu te souviens de la taille de ma queue. Allez, vient !
Il sapproche pour la prendre dans ses bras.
Chantal, un pas en arrière toujours enlacée à Alexandre, le regarde en souriant. Dun ton faussement agréable, elle lui lance, avec gentillesse mais fermeté :
- Non Pierre, je suis déjà comblée. Désolée, René et Alexandre sont des amants exceptionnels. Je men contenterai. Une autre fois peut-être, mais franchement ça métonnerait.
Sonné, il lui faut quelques instants pour comprendre le sens de ces mots qui lhumilient profondément. La mine déconfite, il quitte le salon, fou de rage. Il a juste le temps de mentendre lui dire :
- Perdu, Pierre.
Je jubile. Ma victoire est complète ! Et la vengeance de Chantal consommée. Alexandre qui naime pas Pierre est tout sourire. Il la toujours considéré avec mépris comme « un domestique ». Jaurais aimé quil voie comment elle avait joui sous ses assauts.
Épilogue
Quelles on été les et conséquences de ces événements ?
Nous lapprenons petit à petit.
Pierre, rentré plutôt que prévu a été mis au courant de mon appel pour massurer de son absence. Il a immédiatement deviné quil devait se passer quelque choses à Versailles sans lui. Il a donc décidé de venir voir. Pire, son épouse qui a eu vent de sa conduite, la viré de son foyer, mais aussi de son poste de Directeur général de la maison d'édition, dont elle est l'actionnaire principale. Cest dur, mais nous ne ressentons aucune pitié pour lui, ce manipulateur pervers.
Quand René lui a cafté ma présence derrière le miroir, Chantal a caché sa surprise. Mais tout de suite elle y a vu un avantage pour nous. Elle devenait maîtresse du jeu qui a pu vraiment débuter. Elle lui a consenti un baiser et autorisé ses mains baladeuses sur ses seins. Elle ma avoué que ma présence lavait rassurée et encouragée à sabandonner plus facilement.
Comme je lui demandais comment elle avait ressenti lentrée dAlexandre dans le jeu de René, elle ma confié, sans me ménager, en toute transparence et sincérité. :
« Je lai trouvé tout de suite beau garçon. Il portait en lui la puissance de son sexe, la force du mâle. Je ne sais pas pourquoi mais la première idée qui mest venue à lesprit le concernant, cest quil nétait du genre à éjaculer sur le visage de sa maîtresse. Amusant non ? Et à fortiori sur le mien. Jai eu spontanément confiance et envie de lui ».
- Tu men veux, me demande-t-elle ?
- Non, pas du tout !
- Tant mieux, car je ne veux pas te faire de mal !
Elle accompagne ces paroles dun petit rire canaille !
Je lui demande ensuite, curieux :
- Et quand il ta touchée ?
« Il ma embrassée avec douceur. Jen ai été la première surprise. Cest un jeune homme charmant ! »
Là, je me garde bien de lui révéler la teneur de ses paroles et réflexions quand nous étions tous les deux dans le noir. Elle poursuit.
« Et je te savais à regarder, complice, alors je me suis dit : « pourquoi pas ! ». Quand il a été en moi, jai senti une onde de plaisir envahir comme jamais, toutes les cellules de mon corps.
Tu ne mas, excuse ma franchise, jamais remplie de cette manière, ni fait ressentir un tel plaisir. Je crois que jai perdu connaissance.
Quand il ma prise la seconde fois, par devant, jai pu avoir la confirmation que jétais clitoridienne car cette position favorise lexcitation du clitoris.
Mais par derrière, en levrette, alors que jai toujours pensé et dit que je ne ressentais rien, ma jouissance est venue de me sentir étroitement remplie. Je suis donc aussi vaginale ! Pardon, mon chéri, mais il est beaucoup plus gros que toi. Quand on dit que la taille na pas dimportance
Mais toi je taime, ajoute-t-elle.
Cest aussi de me sentir possédée, sous lemprise dun homme viril qui ma amené à jouir.
Tu ne men veux pas ? Je veux être sincère. Cest indispensable pour prendre ensemble un nouveau départ, entreprendre une nouvelle vie sans mensonge ni trahison.
Jai découvert le plaisir sexuel avec Alexandre, je ne regrette pas et jen suis même ravie, mais je veux tourner la page, ne me demande jamais de renouveler lexpérience. »
Quelque peu abasourdi par ces révélations, qui confirment ce que jai constaté de visu, je lui avoue ma présence derrière le miroir sans tain dès la première fois. Je ne lui cache pas non plus ma complicité pour la mettre entre les griffes des deux prédateurs. Sa réaction me surprend.
- Je réalise que je nai pas pris la mesure de ton fantasme. Je comprends mieux maintenant. Mais sil te plait, on nen parle plus ?
- Bien sûr ma chérie.
Elle me gronde pour la forme et ne men fera plus jamais le reproche.
Sûr de moi et confiant dans notre amour, je lui conseille de poursuivre les visites chez René à Versailles pour alimenter
leur passion pour les plantes et les oiseaux. Bien sûr cette idée la tenaillait.
- Pas de bêtises, hein, lui dis-je en riant ?
Elle est ravie, car elle a vraiment soif de beaucoup apprendre de lui. Jai su bien plus tard, quelle avait enfin visité sa serre aux milles espèces de plantes et quil lavait même autorisée à venir voir sa volière, même en son absence. Plus jamais il na été fait référence à cette aventure. René se comporte en homme responsable même si Chantal le soupçonne dêtre amoureux de son
élève. Son admiration pour lui nest rien dautre quune estime pour ses connaissances et ses qualités de pédagogue.
Pierre est sorti de nos préoccupations et Alexandre quant il la voit, lui sourit simplement en guise de respect.
Jai vaincu mon fantasme, et, considérant que ma femme et son amour me sont beaucoup plus chers, je décide de me consacrer à au bonheur de cette femme merveilleuse.
En tous cas, je névoquerai jamais la pipe quelle a dispensée chez nous, à mon collègue. Je ne sais toujours pas qui il est. Dailleurs je men fous !
La vie reprend son cours. La mémoire fragile dordinaire, conserve obstinément les images de ces moments si forts pour nous deux ! Nous avons compris la leçon, une complicité amoureuse et de respect mutuel est née, de cette aventure particulière.
En fin de compte Chantal et moi lavons vécue comme une épreuve pour notre couple, rongé par des non-dits qui auraient pu brise notre couple.
« Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. "
Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus. »
Jean de La Fontaine
Jai appris, certes
mais heureusement, pas trop tard !
FIN
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