Premières Vacances Avec Nos Amis
Après nos deux premières rencontres, avec Domi et Philippe, nous avons décidé de
passer une partie de nos vacances ensembles. Nous avons donc loué un bungalow
dans le camp de naturistes où nous avons fait connaissance.
L'après-midi, baignade et bronzage. Et dès le premier soir, c'est bien parti. Le repas
fini nous passons au salon. Domi attaque très vite en me disant:
- Philippe m'a avoué qu'il t'avait fait l'amour, en même temps que Bernard, cela
m'a beaucoup excitée. Et le fait de me le rappeler m'inonde le minou.
En même temps qu'elle dit cela, elle attire la main de Philippe sur son sexe.
- Mais, c'est vrai, elle est toute mouillée.
Et il commence à la caresser. Elle se laisse faire complaisamment, en écartant les
cuisses.
Ce spectacle est aussi excitant pour Bernard et moi, je caresse son sexe qui devient
vite raide.
Philippe s'agenouille devant Domi pour lui faire un cunnilingus, tout en la pénétrant
de ses doigts. Elle devait avoir pensé à ça depuis quelque temps, car elle jouit
rapidement. Puis, elle entraîne Philippe sur le tapis et lui demande de s'allonger sur
le dos, elle l'enjambe, se met à genoux et dirige le chibre de Philippe dans son puits
d'amour, qui m'a l'air bien lubrifié.
Évidemment, nous ne sommes pas resté inactif, la vue de nos deux amis en plein
ébat et les caresses de Bernard me procure du plaisir. Pour continuer à jouer la
voyeuse, je m'assois sur mon homme, le dos contre son torse en dirigeant son
chibre dans mon jardin secret. Il me caresse les seins d'une main, l'autre s'occupe
de mon clito.
Philippe est en train de caresser les fesses de Domi, un doigt descend dans son
sillon et s'arrête sur son petit trou. Quand son doigt la pénètre, elle jouit presque
immédiatement. Puis elle se lève et va dans la salle de bain.
aussitôt qu'elle a une capote dans les mains, je comprends tout de suite ce qu'elle
veut. Elle retourne s'empaler sur Philippe. Je me relève, afin de pouvoir aider mon
homme à enfiler le préservatif, car il a l'air un peu éberlué. Je lui dis d'aller s'occuper
de Domi.
Bernard s'agenouille derrière elle, il mouille ses doigts, il en introduit un, puis deux.
Il les ressort et présente son chibre devant l'illet de Domi. Elle recule et le sexe de
Bernard pénètre sans coup férir l'arrière-train de notre amie. Je vois le chibre de
mon homme aller et venir dans ce cul qui ne demande que cela. Domi est vraiment
une fervente amatrice de l'amour anal, car elle arrive au septième ciel en émettant
des petits cris très excitants. Bernard la rejoint dans la jouissance. Il se lève et vient
s'asseoir sur un sofa.
Ce spectacle m'a grandement émoustillée et moi aussi j'ai bien envie de ma part de
jouissance. Aussi, je vais demander à Domi si elle veut bien me laisser son petit
mari. Elle est d'accord. Nous allons chercher un préservatif, que je reviens vite
enfiler sur le sexe de Philippe. Puis je l'entraîne sur le tapis devant Bernard, je veux
qu'il me voie me faire pénétrer par un autre homme, c'est un de ses désirs les plus
grands. Je me mets à quatre pattes, Philippe s'installe derrière moi, il me caresse le
minou, mais c'est inutile, je suis tellement excitée que je suis prête à tous les
outrages. Surtout que la levrette est une de mes positions préférées. Philippe se
contente de pénétrer ma grotte d'amour, mais il rentre d'un seul coup et fait tout de
suite des mouvements amples et rapides qui, rapidement, m'emmènent au sommet
du plaisir. Je sens Philippe qui crispe ses mains sur mes hanches en se calant au
fond de mon vagin. Je jouis à nouveau.
Philippe va s'asseoir aux côtés de Domi, et moi de Bernard, pour nous reposer un
peu.
Domi se lève pour aller nous chercher à boire.
Quand elle revient, elle me demande ce que cela m'avait fait de m'épiler le pubis
pour Philippe et quelles sensations j'avais eu de me balader toute nue comme cela.
Je lui explique que c'était une proposition de Bernard et bien que je le fasse
régulièrement, j'avais un peu hésité à le faire ici , car les gens que nous
connaissons ne m'avaient jamais vue complètement épilée. Mais l'envie d'exciter
Philippe avait été plus grande. Ensuite, sentir la caresse du vent, la chaleur du soleil
et certaine fois le regard des gens, c'est vraiment super.
Je lui dis que maintenant, quand je suis épilée, j'aime encore plus être nue sous une
robe. Savoir que seul mon homme le sait m'amuse beaucoup. C'est une tenue que
j'utilise souvent. Quand nous allons sur des plages naturistes, je ne mets jamais de
culotte et je suis toujours en robe ou en jupe.
Domi nous dit que malgré la fréquentation des clubs libertins et des camps de
naturistes, elle ne s'est jamais épilée totalement et ne s'est jamais mise nue sous
une robe. Demain elle essaiera, mais maintenant c'est l'heure du dodo.
Au petit déjeuner, Domi soulève le T-shirt qu'elle porte pour nous montrer qu'elle
s'est épilé le minou. Du coup je décide de faire la même chose avant que nous
allions faire des courses.
Dans la salle de bain,assise sur le bord de la baignoire, je demande à Bernard
d'étaler la crème épilatoire sur mon pubis. Bernard va se raser. La porte est restée
ouverte, Philippe passe devant et jette un regard sur moi, il est nu. Je lui propose de
m'enlever la crème, ce qu'il s'empresse de faire. Avec la spatule, il découvre
lentement ma peau débarrassée de toute pilosité. Je m'aperçois qu'il bande.
Bernard appelle Domi. Quand elle rentre, elle le traite gentiment de cochon et se
dirige vers Bernard et se met contre lui face à nous.
Je me rince, puis prends le sexe de Philippe dans ma bouche. Il est bien raide et je
sens que si je continue, il ne va pas tarder à éjaculer dans ma bouche. Aussi,
j'enjambe le bord de la baignoire, je prends Philippe par le sexe et l'entraîne vers le
placard à malice où il y a les préservatifs. Philippe en met un sur son chibre. Je me
positionne fesses contre le meuble qui supporte le lavabo. Philippe s'approche de
moi, présente son membre viril à l'entrée de mon minou tout nu et tout mouillé. Il
est tellement excité qu'il me pénètre d'un seul coup. Il fait des mouvements
rapides en me pénétrant profondément. Son excitation est telle, qu'il me la
communique, mais il jouit assez vite,et, si cela me procure du plaisir, il n'est pas à
la hauteur de mes attentes.
Domi a les mains appuyées sur le meuble, Bernard la pénètre par derrière et eux
aussi doivent être très excités, car ils jouissent peu de temps après nous.
Après une douche rapide, retour dans nos chambres pour nous habiller avant d'aller
faire nos courses. Je mets une robe plutôt courte, fluide, du genre qui s'envole au
moindre coup de vent. Ni soutien-gorge, ni culotte. Bernard met un polo et un
bermuda.
Nous rejoignons Phil et Domi. Phil aussi a mis un bermuda, Domi porte une robe
jaune flashy avec des bretelles très fines.
Je lui demande si elle a mis une culotte, elle me dit qu'elle a mis un string. Je
soulève ma robe pour lui montrer que je n'ai rien dessous. Je lui propose de
l'enlever pour avoir cette sensation fantastique de nudité cachée, que seuls nos
hommes connaîtront, ce qui ne manquera pas de les exciter, j'en suis sûre. Du coup,
elle enlève son minuscule string.
Nous partons faire nos emplettes. Mais cet intermède érotique m'a mise dans un
état d'envie à la limite de l'insatiabilité.
plaisir à ce rapport, cela ne m'a pas totalement satisfaite.
Aussi, lorsque je monte à l'arrière de notre voiture (un monospace, donc haute) je
m'empresse de montrer mes trésors à mon trésor. Je sais qu'il aime ça. Philippe
s'assied devant, à côté de mon époux.
Nous discutons de ce que nous devons acheter. Une fois énumérer les victuailles
essentielles, je propose de racheter des préservatifs. Domi dit que, de leur côté, ils
sont surs de ne pas avoir de problèmes, car, hormis avec nous, ils n'ont pas eu
d'autres partenaires. Bernard enchérit, car nous non plus, n'avons pas eu d'autres
relations, depuis le début de notre vie commune, qui date de 12 ans. Question close
: nous nous passerons de capote, ce qui n'est pas un mal.
Pendant que nous évoquions ce sujet, Philippe s'est retourné vers Domi et moi. J'en
ai profité pour lui exposer mon anatomie : j'ai posé mon pied gauche sur l'assise du
siège, il ne peut pas rater le spectacle. A un feu rouge, Bernard, intrigué, se
retourne, vers moi. La vision que je lui offre le fait sourire, il dit à Philippe que je
suis une petite dévergondée.
En premier, nous allons au marché pour acheter fruits et légumes. Chaque fois que
je peux, je m'accroupis pour ranger nos achats dans le panier. Evidemment, pour
continuer le spectacle, je le fais les genoux écartés et face à Philippe. Ensuite, dans
une supérette, je change de tactique, je me penche en avant, sans plier les genoux,
pour charger le chariot. Je m'arrange pour que Philippe soit derrière moi. D'ailleurs,
je ne suis pas sûre qu'il soit le seul spectateur. Mais je m'en moque.
Nous ramenons une deuxième fois nos achats à la voiture, avant d'aller boire un
coup dans un café. Nous allons sur la terrasse, il y a des chaises confortables. Je me
débrouille pour me placer face à Philippe. Je ne sais pourquoi, mais j'ai envie de le
mettre dans un état tel, qu'il s"en souvienne longtemps, je vais lui faire "payer",
gentiment, son empressement de tout à l'heure.
Dès que je suis assise, je me remets dans une position similaire à celle que j'ai prise
dans la voiture. J'ai pris la précaution de mettre ma chaise dans une position où il ne
peut que voir ce que je veux lui dévoiler à nouveau. Notre table est située près de
l'entrée du bar, et moi, je suis face au trottoir, je pense qu'il va falloir que je fasse
attention à ceux qui vont à l'intérieur.
Quoique ? Je n'entends pas arriver le serveur, je n'ai pas le temps de rabaisser ma
robe et il ne manque pas le spectacle. Plutôt que le faire à retardement, je reste
dans cette position, je sais bien qu'il doit se rincer l'il, tant pis, ou tant mieux pour
lui. Il prend nos commandes et rentre dans le bar.
Philippe dit à Bernard, que non seulement, je fais tout pour me dévoiler à lui, ce qui
n'est pas gênant, vu nos relations, mais en plus je ne fais rien pour me cacher du
regard des autres.
D'ailleurs, juste à ce moment, deux hommes entrent dans le troquet et comme
j'étais à l'écoute de Philippe, je n'ai pas bougé. De ce fait, celui qui est le plus
proche de moi donne un coup de coude à son voisin, preuve qu'il a tout vu.
Cette situation, un peu nouvelle pour moi, commence à me donner des frissons de
plaisir. Quand j'ai marché toute nue, toute épilée, dans le camp de naturistes, j'ai
découvert le plaisir de m'exhiber. Etre nue toute la journée, au milieu de gens nus
ne m'a jamais fait quoi que ce soit. Au début, quand Bernard m'a épilée pour
"allumer" Philippe, j'ai été un peu gênée et petit à petit, cette gêne s'est transformée
en plaisir. Ce qui, pour moi, était naturel : se promener nue, est devenu une source
d'excitation, il y avait peu de femmes sans poil, et malgré la légendaire ouverture
d'esprit des naturistes, j'ai bien vu que les regards se dirigeaient plus souvent vers
moi qu'avant.
Ensuite, sur les plages dites naturistes (il y a toujours des "textiles") j'ai découvert le
regard des mateurs. Les amateurs, en général discrets, ils se mettent nus, avec ou
sans leur compagne, les pros qui ne font même pas ça discrètement et certaines
fois restent en maillot. Mais tous ces endroits sont prévus pour les adeptes de la
nudité. Désormais, je franchis une étape supplémentaire : l'exhibition en public.
Le garçon vient nous servir, il ne dit rien, mais visiblement, ce n'est pas l'envie qui
lui manque. D'autres clients entrent, certains ne voient rien, d'autres sont vivement
intéressés. Il y a même une femme qui me fait un grand sourire, une pratiquante
peut-être ?
Bernard, assis à mes côtés, fait le jaloux. Il dit à Domi que lui ne profite pas du
spectacle, que ce n'est pas juste. Aussi, elle se met dans la même position, elle va
même plus loin, elle pose ses deux pieds sur la chaise, en glissant le bassin sur
l'avant.
Cette fois-ci-ci, non seulement, les clients qui entrent ont un spectacle, mais aussi
ceux qui sortent. Philippe nous dit que la majorité a l'air d'apprécier, mais que
certains font de drôle de tête. Avant de déclencher un esclandre, nous réglons nos
consommations et partons.
Le retour en voiture me donne l'occasion de me mettre en valeur : j'ai relevé
complètement ma robe pour m'asseoir directement sur le siége, de cette façon, je
peux remonter mon vêtement au-dessus de mon nombril. Philippe continue à
profiter de la vue que je lui offre.
Arrivés au camp, Domi part en premier, je laisse les deux hommes se charger des
courses en leur disant que je fermerai le hayon. Quand ils sont devant moi, j'enlève
ma robe et accélère le pas pour les doubler. Au moment où je les dépasse, je jette
ma robe sur la tête de Philippe, puis je prends une démarche lascive, du genre de
celle que les mannequins prennent, qui oblige à se déhancher. J'entends Philippe
qui dit à mon mari :
- J'ai l'impression que, depuis ce matin, ta femme n'arrête pas de m'allumer. Si
cela continue, elle va, encore une fois, passer à la casserole.
- Ouh là ! Débrouille toi avec elle, c'est ton problème, je ne sais pas ce que tu lui
as fait et je ne veux pas d'ennuis. Tout ça d'un air rigolard.
Dans le bungalow, ils posent les courses sur la table du coin cuisine , je m'empresse
de ranger les produit frais dans le frigo. Evidemment, je m'arrange pour me baisser
les fesses dans la direction de Philippe.
Je sens une main qui passe entre mes cuisses et remonte vers mon sexe tout trempé
d'excitation. Je ne me retourne pas et profite de cette caresse douce et agréable , un
doigt écarte mes nymphes et se dirige vers mon bouton. Je m'appuie sur le frigo
pour me concentrer sur le plaisir que je sens monter en moi.
Puis, la main quitte mon bas-ventre et deux m'aident à me relever. C'est Philippe. Il
m'entraîne vers un canapé, m'aide à prendre place et se met à genoux devant moi. Il
me caresse le pubis, il écarte mes lèvres pour prendre mon clito entre ses doigts.
Ensuite, il commence à le lécher. A ce moment, Domi revient dans la pièce. Elle s'est
déshabillée, sans nous avoir vu, elle nous propose :
- On va se baigner ?
- Je ne crois pas qu'ils soient prêts à ça, lui répond Bernard
- Eh bien! Depuis ce matin, ils ne s'en font pas. Allez ! Viens, nous aussi on va
s'occuper.
Bernard se dirige vers elle, en quittant son polo. Elle l'aide à enlever son bermuda, il
bande déjà.
Philippe continue ses caresses buccales, il m'attire vers lui. J'ai les fesses juste au
bord canapé. Des doigts entrent dans mon vagin, un autre vient tournoyer autour de
mon petit trou qu'il finit par pénétrer. Une triple caresse qui se prolonge jusqu'à me
transporter au septième ciel. Philippe me demande de me mettre à genoux, la
poitrine appuyée sur le canapé. J'exécute "l'ordre". Je tourne la tête vers l'autre
canapé qui est perpendiculaire au nôtre.
Domi s'est allongée dessus, Bernard caresse ses cuisses et embrasse ses seins. Elle
me regarde, visiblement, comme elle nous l'a dit hier soir, elle prend plaisir à voir
son homme s'occuper d'une autre femme.
Philippe est en train de présenter son sexe à l'entrée du mien, cette fois-ci-ci-ci, il
me pénètre doucement, commence des va-et-vient lents. Petit à petit, sa
pénétration est plus profonde. Quand son ventre touche mes fesses, il accélère le
mouvement. A nouveau, je sens le plaisir monter en moi.
Domi et Bernard changent de position, il s'assied sur le canapé, elle vient au-dessus
de lui, face à moi, et s'enfile sur sa queue. Je vois bien son minou tout nu, ses lèvres
qui enserrent le pénis de mon homme.
En même temps que je jouis, Philippe me caresse la rosette avec un doigt, cela
augmente encore mon plaisir. Et me donne une idée qui va plaire à mon homme : je
passe une main derrière mon dos, je prends le chibre de Philippe, le sors de mon
sexe et le présente devant mon anus. La jouissance m'a détendue, il franchit sans
effort la porte de mes reins. Il fait des mouvements très doux, lents et courts, pour
m'habi à la présence de son chibre dans mes fesses. Une de ses mains passe
sous mon ventre, un doigt titille mon clito, puis pénètre mon sexe, puis reviens sur
mon clito., etc. Je ne sais pas combien de temps cela dure, mais je sens venir un
nouvel orgasme. Sa pénétration est maintenant beaucoup plus profonde. A chaque
pénétration, je sens son ventre qui touche mes fesses et ses boules qui touchent
mes lèvres intimes. Il accélère le mouvement graduellement, mais il se relève pour
s'agripper à mes hanches, en laissant mon clito et mon sexe esseulés. Je le remplace
avec ma main, je regarde mon homme qui semble très excité de me voir pénétré
analement. En fait, cela me plait de me montrer, de voir Domi et Bernard qui me
regardent pendant que je me fais sodomiser. Je crois que c'est plus cette exhibition
qui déclenche mon orgasme, que les mouvements de Philippe dans mon corps. Je
me sens jouir comme rarement et quand Philippe déverse sa semence au fond de
moi, c'est vraiment fantastique.
Philippe se retire lentement de mon corps, je reste dans la même position, abattue
par la jouissance que je viens de ressentir. Philippe se dirige vers nos conjoints. En
fait, je m'aperçois que, pendant mon voyage au septième ciel, ils ont changé de
position, Bernard s'est allongé sur le sofa et Domi s'est mise sur lui. Elle s'agite sur
le sexe de mon homme le visage extatique. Philippe caresse le dos de sa femme et
descend vers son postérieur, il atteint sa rosette, puis la pénètre avec un doigt, il
agite son doigt dans sa femme. Elle gémit et ferme les yeux quand la jouissance la
submerge. Elle reste, quelques instants, complètement détendue sur Bernard. Puis
elle se lève dans sa nudité rayonnante de bonheur et se dirige vers la salle de bain.
`
Le reste de la journée est plutôt calme, nous allons un peu à la piscine avant le
déjeuner. Malgré la discrétion des naturistes, j'aperçois quand même des regards
dirigés sur Domi et moi, il est vrai que la veille, ni elle, ni moi, n'étions épilées.
J'avoue que ces regards me plaisent énormément. L'après-midi, bain de soleil et
baignade au bord de la rivière, à l'endroit de nos premières rencontres avec
Philippe. Après une soirée tranquille à jouer au scrabble, nous allons nous coucher.
Dans le secret de notre chambre, Bernard m'avoue qu'il a beaucoup aimé notre
début de séjour : la veille, il a vu le sexe de Philippe me pénétrer ce qui lui a
beaucoup plu , en plus, aujourd'hui, il m'a vu me faire sodomiser. Il ne pensait pas
que cela arriverait de cette façon et aussi vite, il est d'autant plus satisfait. Surtout
que lui aussi en a profité avec Domi. Cette confession l'a remis en forme, il bande
ferme, je reconnais bien là son côté voyeur qui ressort. Je caresse son sexe qui se
tend comme un arc. Je n'ai pas trop envie de faire l'amour, mais je n'ai pas le cur à
le laisser dans cet état, aussi, je le prends dans ma bouche pour lui faire une pipe.
Même s'il a la trique, lui non plus n'a pas trop envie, je me tourne sur le côté, il se
met derrière moi, me pénètre (cette discussion m'a un peu émoustillée) et nous
nous endormons dans cette position où je me sens bien, calée contre son corps, un
de ses bras sur ma poitrine.
Le lendemain matin, dès que je suis réveillée, Bernard, qui est plus matinal,
m'embrasse, tout en me caressant, il me dit :
- Tu sais, pour moi, c'est un début de séjour qui dépasse toutes mes
espérances.
- Ah ! Oui ! Et qu'est ce que tu espérais ?
- Je n'avais d'idée particulière, mais je m'imaginais que, vu nos relations avec
Philippe et leur fréquentation de club échangiste, on arriverait bien à aller plus loin,
mais pas aussi tôt, quand même.
- Et cela t'a plu apparemment, parce que rien que d'en parler, je sens ton engin
qui gonfle.
- Oui, j'ai beaucoup aimé.
- D'accord, mais qu'est ce qui t'a plu le plus ?
- Tout d'abord, j'ai bien apprécié de prendre Domi en sandwich avec Philippe,
ensuite j'ai vu Philippe te pénétrer devant moi, ce dont je rêvais depuis quelque
temps, même s'il l'avait déjà fait, je n'avais rien vu, du fait de ma position.
Rappel : La première fois que Philippe m'a pénétrée, c'était en me sodomisant, alors
que je chevauchais Bernard.
- Si je comprends bien, tu aimes bien me voir prise par un autre.
- Oui, j'adore ça, mais je pense que toi aussi tu aimes bien te faire voir.
En même temps, il a continué ses caresses : il a relevé ma nuisette, s'est redressé et
maintenant il caresse ma poitrine et mon petit chat tout nu. Mes seins se durcissent
de plaisir et je sens mon minou s'humidifier. J'aime beaucoup quand on fait l'amour
au réveil, je suis toujours très réceptive, surtout quand j'ai passé une bonne nuit, ce
qui est le cas.
- En fait, oui, j'aime quand on me regarde, et cela depuis notre première
rencontre avec Philippe, savoir que j'attire le regard des autres est très agréable. Et
cet été-là, j'ai été gâtée , d'abord Philippe, puis tous ceux qui m'ont reluqué avec
mon sexe épilé : le bonheur.
- Et moi, qu'est ce que cela te fait que je te regarde ?
- C'est à un autre niveau, toi, je sais que tu me mates, tu m'épies même. Chaque
fois que je sors sans culotte avec toi, je m'aperçois bien que tu cherches à voir sous
mes jupes, même si tu me connais par cur.
J'ouvre les cuisses pour qu'il puisse me caresser plus facilement, il prend ça pour
une invitation spéciale. Il repousse la couette et descend sa tête vers mon bas-
ventre. Il me lèche les nymphes, je sens sa langue qui s'insinue entre elles pour
atteindre mon bouton d'amour. L'excitation me gagne, j'ai envie de son sexe en moi,
je le prends par les aisselles, pour qu'il remonte à mon niveau. Son membre viril
trouve mon coquillage bien ouvert et s'enfonce doucement en moi. Il reste un
moment immobile, puis se lève en appui sur ses mains pour lui permettre d'aller et
venir en moi.
Mais j'ai encore envie de savoir ce qu'il pense des deux jours passés :
- Et qu'as-tu encore aimé ?
- A vrai dire, j'ai vraiment aimé quand tu t'es exhibée en public, puis quand
Philippe t'as dirigée vers le divan pour te prendre en levrette, et j'ai adoré quand tu
as pris son chibre dans ta main pour le diriger entre tes fesses.
Je lève les genoux vers ma poitrine. Dans cette position, je sens bien la pénétration,
je ne sais pas si c'est le fameux point G qui est touché, en tout cas, la jouissance est
toujours rapide.
- Ça, j'étais sûre de te faire plaisir.
- Ah oui ! Voir un sexe entrer dans ton petit cul, c'était particulièrement excitant.
J'ai beaucoup aimé, et toi ? Tu n'es pourtant pas une fana !
- Non, mais là j'avais vraiment envie de m'exhiber totalement, un peu pour te
faire plaisir, un peu pour moi, et en plus, j'ai beaucoup joui.
A ce moment, j'ai envie d'être triviale, je lui demande :
- Cela doit te plaire que je te dise que j'ai pris du plaisir à me faire enculer. Tu
aimerais bien entrer dans mon petit cul, hein ? Eh bien vas-y !
- Tu te retournes ?
- Non, comme ça !
Je prends son sexe d'une main, pour l'enlever de mon vagin et le pointe à l'entrée de
mon petit trou. Puis à l'aide de mes mains, j'écarte mes fesses. La tige de mon
homme entre doucement dans mes entrailles. Il change légèrement de position pour
me permettre d'appuyer mes cuisses sur ses épaules, ce qui facilite la pénétration.
Quand il est bien profond, je relâche mes fesses et, d'une main, je me caresse le
clito et le minou. Il fait des mouvements lents pour ne pas me faire mal. Ma main
glisse sur sa tige de chair qui est bien ferme, puis je pénètre mon sexe avec mon
majeur. Je sens l'étroitesse de mon vagin causée par cette présence dans mon anus.
A la réflexion, je me demande comment deux sexes ont pu entrer dans mon corps,
l'excitation devait être importante.
Là, ce n'est pas le cas, j'aime me voir dans cette position assez particulière. Je vois
le chibre de mon homme entrer et sortir de mes fesses, je sais que cela lui plaît et
mes caresses me procure du plaisir, mais pas autant que ce que j'ai éprouvé hier,
lorsque Domi et Bernard me regardaient.
Bernard accélère le rythme, sans brusquerie. Puis il jouit au fond de mon corps.
Nous changeons rapidement de position, car, bien que je sois très souple, elle n'est
pas très confortable.
Après quelque temps de repos, nous allons dans la salle de bain pour prendre une
douche bien méritée. Je remets ma nuisette et nous rejoignons nos amis qui sont en
train de déjeuner. Domi et Philippe nous disent bonjour, ils sont nus. Philippe
renchérit :
- Alors les amoureux, vous avez fini votre gymnastique matinale ?
- Nous avons été bruyants ?
- Non, mais ce genre de gémissements ne laisse pas de doute sur ce que vous
faites. Tiens, tu as gardé ta nuisette, Nanou ! C'est pour être plus érotique ?
- Non, c'est machinal, je l'enlève. Mais pour le bruit je plaide non coupable,
c'est de la faute de Bernard.
- Ah bon ! Pourquoi ?
- Je crois qu'il était un peu jaloux du traitement que tu m'as fait subir hier soir,
enfin façon de parler, parce que j'ai bien aimé.
- Et pourquoi il était jaloux ? Il pouvait faire la même chose à Domi.
- Eh ! Dis donc toi ! Qui t'as permis de disposer de mon corps comme cela ?
- Oh! Fait pas la fine bouche, je suis sûr que tu aurais apprécié.
En fait, Domi dit cela en souriant. Nous déjeunons avant de commencer une
nouvelle journée qui s'annonce sous les meilleurs auspices.
A suivre.
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