Le Fils De Mon Patron
Je viens d'avoir 30ans et au dire de mes amies je suis un assez jolie femme noire. J'ai la tête sur les epaules, je sais ce que je veux et je ne me laisse pas embeter facilement.
Cette histoire m'est arrivée il y a pas mal de temps déjà, j'avais 16 ou 17 ans je crois bien. j'étais en stage dans une société de pret à porter de luxe dans le 10eme arrondissement à Paris. J'effectuais un stage de 3 semaines comme assistante styliste.
Mon patron étais un homme d'une cinquentaine d'années, un turc assez bel homme, il m'aimait beaucoup et me laissait faire un peu ce que je voulais. Il dirrigeait la société avec son fils, 30ans environ, laid comme un poux, sale, les dents jaunies et detruites par le tabac et je ne sais quoi d'autre. De petits yeux, mi-clos, noisette , pervers.
Ce jeune homme passait ses journée, la tete penchée sur mon épaule et il ne cessait de me dire " tu es vraiment tres belle, tres belle", quand il souriait et me montrait ses dents sale, j'en avaisun haut le coeur. Je priais chaque jour pour ne jamais me retrouver seule avec lui. A chaque fois qu'il venait me tourner autour il y avait toujours une collegue pour m'en debarasser.
Mon dernier jour tombait le jour d'une fete turc, et j'etais contente parce que je pouvais partir plutot. Mais ce petit salopard a convaincu son pere de me garder dans la boite jusqu'à 18h, parce que disait-il s'il m'arrivait un accident c'est eux qui le payerait( ce qui n'etait pas faux).
Donc j'ai vue tout le monde partir joyeusement, et ce con adossé à la porte me faire un grand sourire.
voilà nous étions seuls.
Je restais dans mon coin et attendais l'heure du depart. Mais j'avais mon dossier de stage à remplir et à faire signé, par lui, le papa etant parti. J'ai donc pris mon courage à deux mains et suis allé dans son bureau. je l'ai trouvée assis à son bureau, il se roulait un ennorme joint.
Quand il m'a vue il c'est levée brusquement etest venu vers moi, j'ai pris peur et suis partie en courant m'enfermer dans les toilettes.
Il était deja dans mon dos quand j'ai tentée de fermer la porte, il m'a poussé à l'interieur, et pour me rattr j'ai posée les deux pommes de main sur le rebord de la cuvette. Il a appuyé une main sur mon dos afin que je ne me redresse pas, a écarté mes jambes avec son pied, soulevé ma jupe jusqu'à ma tete et dechiré mon string. Il avait dejà la queue dehors, parce que j'ai été penetrée violemment et sechement. Il n'avait pas lâché son joint qui empestait dans les toilettes. j'étais degoutée mais plus il faisait de va et vient dans ma chatte plus je me rendait compte, avec horreur, que je mouillais. Je l'entendais souffler comme un porc derriere moi:
" putain ce que tu es bonne, t'aime ça ma petite chienne hein ?!"
Moi je ne faisais aucun bruit, je ne voulais pas qu'il sache que ça me plaisait, mais c'est vrai je mouillais tellement qu'une flaque c'etait formée parterre:
" tu mouilles ma petite cochonne, je savais que tu aimais la bite, apres tu vas me sucer à fond garage à bites"
Je ne tenais plus j'avais les jambes qui tremblaient, je me suis mise à hurler:
" oui, ouiiiiiii, vas y defonce moi, defonce moi la chatte, bourre moi bien, comme je le merite"
Je n'aime pas la vulgarité mais là c'est sorti tout seul !
"Ne t'en fais pas petite pute, tu en veux tu vas en avoir, bouge ton gros cul poufiasse"
J'ai bougée mon cul, j'etais comme folle, je me masturbais, maltraitais mon clitoris, j'ai enfoncée 2 doigts dans ma chatte avec sa bite. La cendre et la sueur tombaient sur mon dos. Pendant que je m'appliquais à faire des va et vient rapides et brutaux, il c'etait penché et attrapait mes seins, il tirait sur mes tetons et les pressait entre son pouce et son index tres fort, ce qui me faisait assez mal, mais ce que j'avais dans la chatte me le faisait oublier. il respirait tres fort dans mon oreille, en me traitant de salope, de chatte à foutre, chienne de rue. Il m'a pris par le ventre et m'a mise à quatre pattes. Il a ecarté mes fesses et a efoncé sa queue dans mon petit trou sechement, mais heureusement sa bitte était lubrifié de ma mouille.
"ta gueule petite pute, je veux te bourrer le cul, alors je vais te bourrer le cul"
Et plus il mettait de coups dans mon anus, plus je devenais folle, il disait
"oh putain, oh putain, je suis tombée sur la plus grosse salope de Paris, oh putain, oh putain"
J'ai attrapée le balai à chiot et me suis masturbée avec le manche, puis me le suis enfoncé dans le con. J'etais sur le point de jouir, alors j'ai serrée le manche à balai entre mes cuisses et j'ai jouie, j'ai crié, j'ai un peu pleurée je crois. il a tiré tres fort sur mes cheveux:
"oh putain je vais jouir, je vais jouir, vite ta bouche"
il est tres vite passé devant moi, d'un coup sec a calé sa bite dans ma bouche et j'ai senti le liquide chaud coulé le long de ma gorge. Il a mantenu ma tete un long moment, continuant encore à faire des va et vients dans ma bouche.
Il a repousseé ma tête, presque à ce qu'elle cogne contre le mur, c'est relevé, est sorti sans dire un mot.
Je me suis rhabillée dans les toilettes et suis allée le rejoindre dans son bureau.
Il remplissait mon dossier de stage, et sur une page il y avait la question : Le stagiaire compend t-il tout ce qu'on lui demande ?
Ce con a écrit: Oui, mais pas tres vite.
Il a rajouté un 18/20 en me disant:
" Tu vois quand tu es gentille?!"
Il était 18h30, j'ai pris mon sac et sans dire aurevoir je suis parti en claquant la porte.
Voilà, je me regal de vos histoire tous les jours, alors je voulais à mon tour vous regaler.
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