Une Grosse Cochonne
Je m'appelle jean Bernard, je travaille dans une petite entreprise dont je tairai le nom pour éviter tous rapprochements
lannée dernière, suite a un remaniement de cette entreprise, de nouveaux collègues sont arrivés
jai tout de suite remarqué audrey. Il faut dire quelle se démarquait bien des autres par sa surcharge pondérale. Audrey nétait pas une beauté mais elle faisait tout pour se mettre en valeur au point de, quelquefois, friser le ridicule. Cest dailleurs la réflexion que je me suis faite la première fois ou je lai vue traverser la cour. Sur quon ne pouvait pas la rater ! On dirait, vulgairement (je sais que cela va en choquer plus dun) quelle était aussi grande que large, habillée de vêtements moulants très colorés et maquillée à outrance. Une vulgarité extrême
une collègue qui se trouvait avec moi na pas pu sempêcher de pouffer en la voyant
moi aussi, jai rigolé. Jai rigolé mais, je ne pouvais détacher mon regard de cette femme
certes, elle était ridicule mais, curieusement, jétais excité
bon, là, il faut que je parle de moi : jai 37 ans, un physique plutot agréable. Je pense être un libertin, papillonnant de conquêtes en conquêtes sans trop chercher à me poser. Jai toujours été très attiré par les femmes fortes, je trouve quelles représentent limage même de la femme (certains diront que cest plutôt une représentation de la femme mère, de la maman, que les amateurs de formes recherchent
cest possible
tout comme les filles qui recherchent limage de leur père selon la présence quil a eu, a leurs yeux, lors de lenfance
enfin, bon, tout le monde nest pas daccord la dessus
cest un grand tabou de la sexualité que ce rapport aux parents, et pourtant
).
Audrey nous a salués, très a laise
nous, hypocritement, on a fait en sorte de paraître sympathiques avec elle
sen est resté là. Moi, jétais tout retourné par cette femme. Elle mattirait, je ne sais pourquoi
Je marrangeais, par la suite, dêtre présent a son arrivée au travail.
Dailleurs, plus ça allait, plus nous sympathisions
je voyais, dans son regard, quelle mappréciait. Je ne savais pas encore quelle était le sens réel de cette sympathie
le fait quelle soit mariée a un gars de la boite me freinait un peu, me questionnait quand a ses réelles intentions envers moi. De mon coté, javais de plus en plus de mal a me moquer delle lorsque a la pause, mes collègues ricanaient en évoquant « jumbo » (ben oui, cest comme ça quon la surnommait, je sais, cest nul
)
Il marrivait daller discuter avec elle dans son bureau, de temps a autre sans que cela naboutisse jusqu'à ce jour ou, alors que je cherchais un dossier je lai entendu me dire : « tu cherches quoi, au juste ?
_la même chose que toi
». coup de bluff ! je me suis retourné, assise a son bureau, Audrey me regardais
je lai, moi aussi, regardé
je me suis approché
tout de suite, elle a dégraffé mon jean et a extirpé mon sexe de mon boxer
« hummmm, jolie bite » murmura telle en commençant a me masturber. Mon sexe se raidissait entre ses doigts boudinés. Je nen revenais pas
Alors, tout en me branlant, Audrey sest mise à donner des coups de langues sur mon gland en me regardant dans les yeux. Jai cru défaillir quand elle a avalé mon sexe, pratiquement jusqu'à la garde, réprimant un haut le cur quand mon penis lui a chatouillé la luette.
_haaaaa
salaud
tu mexcites
huuuummmm
je
j
.je jouis
hooo
oui ! je
jouiiiiiiiiissssssss ». Elle sest subitement crispée, emprisonnant mon sexe au fond de ses fesses. Cest ce qui a eu raison de moi
je me suis vidé en elle en couinant de façon grotesque
« hoooooo ouiiiiiii
ton jus
je sens ton juuuuuuus ».Jen suis tombé à genoux sur le sol, complètement vidé, essoufflé
je voyais lanus dAudrey, tout boursouflé, souillé, se refermant en petits spasmes. Elle a envoyé ses doigts tâter son petit trou en disant « ha putain, quest ce que tu mas mis
».Mon sexe était dans un état immonde, couvert de ses matières fécales, grasses, collantes
je me suis nettoyé avec des mouchoirs en papiers alors quAudrey, elle, se reculottait sans même sessuyer. Jimaginais létat de sa culotte par la suite. Cette fille était vraiment dégueulasse mais javoue que cela mexcitait de penser quelle allait garde ces souillures une bonne partie de la journée, quelle allait parler aux autres, a son mari avec lanus tout merdeux, mon foutre dans les entrailles
Audrey me souriait, je lai prise dans mes bras. « Tes un sacré cochon, toi » ma telle dit.
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