Un Mari Pervers (Fiction Violente)
Valentine tourna la clé dans la serrure, entra et referma derrière elle. Puis poussa un cri.
Trois hommes lattendaient, assis à sa table.
- Qui êtes-vous ? balbutia-t-elle.
- Cest pas important, répondit lun deux en souriant méchamment.
- Ton mari nous envoie, expliqua un autre.
Les yeux de Valentine sagrandirent de terreur. Affolée, elle recula jusquà la porte. Les trois hommes se levèrent et la rejoignirent en quelques pas.
- Top top, on part pas, fit lun deux en saisissant la poignée.
Il arracha les clés de la main de Valentine et fit un tour de plus dans la serrure. Puis il jeta le trousseau sur le sol.
- Maintenant on va pouvoir samuser.
Ils commencèrent par détailler Valentine avec force commentaires.
- Une jeune, dis donc, on a de la chance.
- Et bien roulée, en plus.
A vingt-deux ans, Valentine portait très bien sa longue chevelure de jais, qui faisait ressortir ses pétillants yeux verts. 1 m 67 pour 49 kg, son tour de taille très mince faisait paraître encore plus énorme sa poitrine, qui mesurait un bon 85D. Lun des hommes, grand, blond et baraqué, plaça ses deux mains autour de sa taille.
- Regarde, je fais le tour de cette salope avec mes mains.
- Essaie plus haut, conseilla un autre.
Ils se mirent à ricaner. Valentine tenta de négocier.
- Je vous donnerai de largent, tout ce que vous voulez. Mais laissez-moi, je vous en prie.
- Tout ce quon veut ? Cest pas compatible avec le fait de te laisser tranquille.
Elle avait jusqualors refusé de comprendre, mais la phrase était on ne peut plus claire. Alors Valentine se mit à pleurer.
- Je vous en prie
Sil vous plaît, laissez-moi tranquille. Je vous jure que je ne dirai rien, je ne ferai rien, mais laissez-moi, sil vous plaît, sil vous plaît
- Tais-toi, sale pute.
Ils se faisaient plus menaçants.
- On était de bonne humeur en arrivant, tu vas pas nous faire changer davis ?
- On peut être violents quand on veut, tu sais.
- De toute façon, cest pour ça quon est payés.
- Et le fric, ton mari en a plus que toi, alors arrête den parler, ok ?
- Arrête de parler tout court !
- Tu fais chier, là.
- On va te la bourrer, ta gueule, si tu veux pas la fermer !
- Tauras du mal à parler avec ce quon va te foutre dedans, tu verras !
Lun deux, brun à la peau mate, arracha son pantalon et frappa Valentine pour la mettre à genoux.
- Allez, bouffe-moi ça !
Il lui enfourna violemment son engin dans la bouche. Valentine faillit s, mais il lui maintenait la tête par les cheveux.
- Occupez-vous du reste, intima-t-il à ses complices.
Comme sils navaient attendu que cette phrase, les deux autres déshabillèrent Valentine avec rudesse, déchirant ses vêtements en en profitant pour la tripoter un peu partout.
- Elle mouille, cette salope, constata celui qui était le plus grand, brun aux yeux bleus.
- On va remédier à ça, déclara lautre en se déshabillant à son tour.
Leurs trois bites étaient à présent sorties devant Valentine totalement nue.
- Branle-moi un peu, chiennasse, ordonna le blond en lui plaçant sa bite entre les seins.
Tout à coup, Valentine voulut pousser un cri de douleur qui ne put sortir à cause de la magistrale fellation que lui infligeait le brun. Celui aux yeux bleus, qui était le plus excité des trois, venait de la pénétrer pas en douceur et sans aucun préliminaire.
Il continua à la baiser de plus en plus violemment, ses couilles venant frapper le clitoris de Valentine à chaque coup de butoir quil lui infligeait. Pendant ce temps, le blond avait éjaculé sur son visage, la bite de son compère et les cheveux de Valentine.
Il la retourna et plaça son gland à lorée de son cul.
- Quel mignon petit fion, constata-t-il. Je parie que tes vierge de ce côté-là, pas vrai, poupée ?
Les grands yeux verts de Valentine, fixés sur le brun qui lui défonçait la bouche, disaient toute son horreur et son dégoût de la situation, ainsi que sa douleur et son humiliation, mais aucun des trois salauds nen avait cure.
- Regarde-moi ça. Elle a mal, la pauvre petite pute.
Le brun lui cracha dessus.
- Jadore humilier les bourgeoises, surtout quand elles sont aussi bonnes que toi, salope.
- Et puis, faut pas exagérer. Taimes ça, en fait, non ? Quand on voit comme tu mouilles
Le blond cracha sur son anus et le frotta avec son doigt.
- Pourquoi tu la prépares ? demanda celui qui ramonait sa chatte. Une pute comme ça, cest fait pour souffrir. Et ça lui plaît, regarde, elle est trempée.
- Tas raison.
Il lenfonça dun coup.
Valentine aurait vomi sil elle lavait pu. Au lieu de cela, elle fut obligée de rester immobile, plaquée contre ces trois corps de salauds qui la dégoûtaient et lexcitaient à la fois. Car le brun avait raison, elle était trempée et ne pouvait se retenir déprouver un certain plaisir à être ainsi humiliée, surtout par des inconnus.
Cependant, les assauts répétés dans sa chatte et son cul quelle se trouvait obligée de subir lui causaient une réelle douleur. Mais cétait, après tout, et elle le savait, le but recherché à la fois par les trois salauds, et également par son mari qui les avait payés.
Il lavait pourtant prévenue. « Je veux te voir humiliée, Valentine. Je veux que tu souffres. » Elle avait refusé. Elle aurait bien dû se douter quil mettrait sa menace à exécution.
Elle ne pouvait cependant pas se douter quil suivait toute la scène en direct de son bureau, grâce à une caméra minuscule quil avait cachée dans lentrée là où il avait demandé aux trois mecs de ravager sa femme.
Ni que, ce soir, dès le retour de son connard de mari, lui et quelques collègues allaient se faire un plaisir de recommencer la fête pour son plus grand plaisir.
Je vous raconterai cela une prochaine fois
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