Ma Cousine Amandine 07.
MARION
Et nous voilà réunis dans ma chambre, tous les invités pour accueillir Amandine sont là sauf un, le plus près, et lheure tourne nous navons plus quune demi-heure.
- Théo, va voir ce que fout Hugo, dis-je avec malice, ses parents ne sont pas là, il est seul.
Car il est toujours tout nu et cest lui que jai choisi pour passer dans la rue et cheminer quelques mètres comme cela avant datteindre la maison de notre petit voisin. De toute façon je peux vous en faire la confidence, ce jour là, Théo est resté à poil ( malgré quil nen ai plus ) du matin au soir.
- Oh non pas moi ! me rectorque-t-il.
- et bien si justement toi, cest ça qui est rigolo, lui ordonné-je.
Sa remarque me paraît de pure forme, je suis convaincue quau fond il est excité par laventure que je lui propose.
THÉO
Quand Marion me demande de sortir dans la rue tout nu, jai un peu peur et ma première réaction me conduit à refuser car trop risqué, à cette heure là il y a des voitures et aussi des personnes qui passent à pied et ce sont souvent des gens du quartier qui pourraient me reconnaître. Mais dans un deuxième temps, ce chalenge me plaît bien, jaime être nu, ma bite aussi qui sanime dès que quelquun me regarde. Alors je ne veux pas laisser ma place à un autre et rapidement je me dirige vers la porte et louvre doucement pour étudier la situation, devant la maison il y a un terrain assez dégagé dune vingtaine de mètres avec juste deux arbres sur la pelouse et un buisson. Un mur dun petit mètre sépare la rue de notre propriété, doù une parfaite visibilité si une personne dans la rue regarde en direction de notre maison.
Pour linstant, je ne vois personne, mais mon champ de vision est rétréci, juste la largeur de notre terrain, une palissade dun côté et une haie darbustes de lautre môtent toute perspective dappréhender lapproche dun piéton.
Je me lance pour atteindre le premier arbre et me dissimuler légèrement derrière car je dépasse de chaque côté, et ce défi a donné un nouvel élan à ma queue, et comme elle nest pas à son maximum mais tout de même à lhorizontal cela augmente la surface à cacher.
Je me retourne, et je vois une bande pliée en deux derrière la vitre de la salle à manger, le rideau tiré pour mieux contempler la scène et attirer éventuellement des passants.
Je me mets de profil pour les faire marrer encore plus, car si mon corps est caché par le tronc, par contre, dun côté ma queue et de lautre un bon tiers de mes fesses dépassent.
Par un deuxième saut je me précipite vers le buisson mais avant de latteindre une jeune fille promenant son chien apparaît sur le trottoir den face, du mieux que je peux je mallonge par terre en plantant ma queue dans le sol mou car ce buisson est dune hauteur minime de 50 cm.
A-t-elle vu quelque chose ? Je pense que oui, car avant de me camoufler, son regard sest tourné dans ma direction et elle sest arrêtée net. Je lobserve à travers le feuillage, finalement elle reprend sa route et je suis soulagé de la voir séloigner.
Quelques minutes plus tard après avoir épousseter ma bite, dun nouveau saut je suis derrière le portail dentrée, je louvre lentement et passe juste la tête pour estimer le danger dans la rue. Personne pour le moment. Pour avoir le plus de chances de passer inaperçu, je pense que je dois courir du plus vite que je peux à la grille du voisin en espérant quelle ne soit pas fermé à clé. À la une, à la deux, à la trois je mélance, aïe ça fait mal ces cailloux sous mes pieds nus, mais en moins de trois secondes je suis devant le portillon qui par miracle souvre et je rentre et referme derrière moi. Ouf je suis à labri !
Chez Hugo, facile de se cacher, il y a des bambous, des thuyas partout et jarrive sous le porche dentrée sans problème et je sonne.
Hugo ne tarde pas à ouvrir, il a un large sourire en me voyant, car évidemment ma nudité ne passe pas inaperçue.
- quest-ce que tu fabriques ? Interrogé-je, il est lheure.
- je suis prêt, me fait-il, on peut y aller je termine juste à linstant, je ne pensais pas que ce serait si long.
De retour à son portail, je lui demande de vérifier quil ny a personne.
Il me fait signe davancer, je suis juste derrière lui, et je ne vois pas tout de suite que Mademoiselle Paris une ancienne prof de français est à quelques mètres devant nous. Lenflure ! Il lavait sans doute aperçu, et nous allons la croiser, pas moyende faire autrement, essayons de rester digne ma bite et moi.
- Bonjour mademoiselle, fait Hugo.
- Bonjour Mademoiselle Paris, fais-je à mon tour comme si de rien nétait.
- Bonjour Théo, bonjour Hugo, nous répond-elle.
Je vois bien à ses yeux écarquillés quelle est soufflée, moi qui étais timide avec elle, elle doit se demander ce qui marrive, mais elle séloigne finalement sans sarrêter, sauf quelle se retourne en même tant que moi, peut-être pour vérifier quelle ne rêve pas, je baisse instantanément les yeux pendant quelle dévisage mon derrière jusquà ce que nous arrivions et rentrions chez moi.
Cette fois je passe devant Hugo pour que de la rue on ne puisse pas voir que je suis tout nu. Derrière la fenêtre, je ne vous dis pas lécroulement général, tous ont eu Mademoiselle Paris comme prof et ils ont vu la scène aux premières loges.
- Trop drôle, me fait Marion quand nous entrons dans la maison.
- Alors on montre son zizi à Mademoiselle Paris, renchérit Camille.
A suivre.
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