Fantaisies Érotiques

Fantaisies érotiques



Je rencontre Barbara régulièrement et c’est toujours avec impatience que j’attends sa visite.
Nous aimons la lingerie et adorons nous travestir pour mettre en scène nos fantasmes.
C’est une merveilleuse maîtresse qui n’a aucun tabou et adore les jeux de rôles.
Elle s’abandonne totalement quand elle se trouve en confiance et affiche une exceptionnelle féminité tant physique que mentale.
- Je porte un lingerie craquante qui va te plaire, me dit-elle d’un air coquin.
Impatiente, je dégrafe un bouton de son corsage et m’aperçoit qu’elle a utilisé tous les artifices de la féminité pour se rendre plus belle et désirable.
J’admire un instant sa jupe courte qui est déjà en soit un appel au viol d’autant qu’elle laisse dépasser ses jarretelles qui tendent ses bas à coutures.
Elle porte des bottes de lit à talons aiguilles d’où sortent deux cuisses fermes et fuselées.
A genoux devant elle, je remonte lentement mes mains le long de ses jambes et lui retire son string.
Sa queue plaquée vers l’arrière jaillit d’un coup devant mes yeux.
Je lui enfile une culotte fendue très sexy qui expose opportunément son oeillet et accroît mon désir.
La tête sous sa jupe, je lubrifie généreusement son fourreau.
- Ecarte tes cuisses ma chérie, je vais t’assouplir l’anneau, lui dis-je.
Elle me sourie et ouvre ses jambes avec grâce pour m’aider à lui enfiler un plug.
Je l’enfonce avec douceur dans sa grotte et l’entends un soupir de plaisir.
Assise devant la glace, elle fait crisser ses bas avec volupté et frotte lascivement ses cuisses l’une contre l’autre.
Les yeux fermés, elle contracte ses fesses pour sentir vivre l’objet dans son intimité.
Je ne résiste pas au plaisir de fouiller dans sa lingerie et sent ma queue se durcir quand je palpe ses seins sublimes.
Soulevant à nouveau sa jupe, ma main se glisse dans la fente de sa culotte et saisit son sexe rigide qui me fait découvrir ses attentes.


Elle frissonne de plaisir quand j’embrasse sa peau à la limite de ses bas et que je tiraille avec mes dents le jouet enfoncé dans son ventre.
Prise d’une pulsion subite, elle se lève très excitée et se place devant moi, un gode surgi de nulle part à la main.
Elle admire à son tour ma guêpière bleue et noire sur laquelle sont accrochés très haut sur mes cuisses des bas à coutures de même couleur.
Elle contemple un instant ma verge tendue par le désir qui jaillit de mon slip ouvert.
Elle se place derrière moi, puis enroule tendrement son bras sous mes seins avant de me chuchoter à l’oreille :
- Je vais moi aussi t’élargir ton petit trou ma belle.
Elle pose le pieu contre ma rosette en me serrant contre elle.
Peu assurée sur mes talons aiguilles, elle me déséquilibre facilement en basculant mon buste vers l’arrière.
Sans que je puisse réagir, elle utilise mon poids pour m’embrocher sur le gode qu’elle visse activement dans mes reins.
Je ressens une douleur vive quand mes chairs s’écartent brutalement devant cette intrusion.
La grande expérience de Barbara me fait vite oublier cet instant.
Elle tourne lentement le pal de droite à gauche et exerce de petites pressions successives pour stimuler ma glande intime.
Elle progresse peu à peu et finit par m’enfoncer le gode jusqu’au ras des fesses en le poussant avec sa paume de main.
- Ton cul est toujours aussi accueillant mais tu attendras encore un peu pour jouir, me dit-elle en le retirant.
Sa libido un peu calmée, elle s’assoit devant la coiffeuse pour faire une retouche à son maquillage avant de se déshabiller.
Je reste sous le charme quand elle retire ses vêtements et me fait découvrir ses dessous.
Harnachée comme une courtisane pour nos joutes amoureuses, elle est sûre de sa féminité et une lueur d’excitation brille dans son regard quand elle se rend compte de l’effet qu’elle produit.
Je l’admire un moment, ses yeux et lèvres maquillés, son visage poudré, et sa longue perruque blonde qui lui va à ravir.

Elle porte un corset et une culotte fendue de satin noir et rose, des bas noirs fixés par dix jarretelles excitantes qui stabilisent les coutures pour qu’elles restent droites en toute occasion.
Campée sur ses bottes satinées à talons aiguilles, je la sens prête à céder à mes moindres caprices.
La taille bien prise dans son corset qui met sa croupe en valeur, elle virevolte et se frotte très chatte contre moi.
J’enlace et embrasse à pleine bouche cette merveilleuse salope qui devine si bien mes envies.
Je bande comme un fou quand elle presse sournoisement son genou contre mon ventre.
Elle sourit devant mon affolement et m’entraîne vers le lit en me tenant la queue.
Allongée sur le dos, provocante elle ouvre lentement ses cuisses en me fixant d’un regard de braise.
Impudique, elle écarte malicieusement la fente de sa culotte pour s’offrir à moi.
Je retire le plug et contemple son anneau qui palpite d’impatience en s’ouvrant comme une fleur.
Sa queue dressée tremble d’excitation à quelques centimètres de mon visage.
- Baise moi, et profites en bien, car après se sera mon tour, me dit-elle.
Avec surprise, elle me laisse lui bander les yeux. Je souhaite qu’elle se concentre sur ses plaisirs avenirs sans anticiper sur ce que je lui réserve.
Je la sens s’abandonner et ne résiste pas à l’envie de lui mordiller tendrement le sexe à travers sa culotte en dentelles.
Je lui attache les chevilles et les poignets aux quatre angles du lit avant de m’occuper plus sérieusement d’elle.
Sans défense, elle attend en souriant la suite des événements.
Je la laisse patienter pour qu’elle fantasme sur ce qui va lui arriver.
C’est donc avec un plaisir mêlé de craintes qu’elle reste immobile dans le silence…
Saisissant un vibromasseur, je stimule son gland et surtout son frein jusqu’à ce que je recueille sur mes doigts quelques gouttes de sève que je dépose sur ses lèvres.

Puis, ma main, recouverte d’un gant lubrifié introduit progressivement un, deux, puis trois doigts dans son ventre à la recherche de sa glande intime.
Je la trouve rapidement et la masse avec application.
Elle tressaille de plaisir et je l’entends gémir quand je la fouille avec insistance.
La queue gonflée de désir, elle cambre les reins pour m’aider à mieux l’explorer.
Avec opportunité, je lui glisse un anneau pénien pour garantir durablement sa rigidité.
Excitée par sa forte érection, j’ai une envie irrésistible de m’empaler sur son pieu.
A genoux face à elle, puis assise sur son ventre, je guide sa queue pour l’enfoncer dans mes fesses.
Je creuse mon dos au maximum pour m’embrocher à fond en sentant ses bourses me cogner l’intérieur des cuisses.
Je reste un moment immobile pour éviter qu’elle ne décharge trop vite.
Les mains posées sur sa magnifique poitrine, j’entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière en la laissant au bord de l’orgasme.
En alternance, je contracte fortement mon muscle anal et fais tourner mon bassin sur sa queue. Le souffle court, Barbara m’implore d’une voix suppliante :
- Arrête toi un peu ma chérie, ne me fais pas jouir trop vite. Je voudrais tellement prolonger ces instants de plaisir.
Je lui laisse un peu de répit en lubrifiant un gode qu’elle ne peut pas voir.
Barbara est toujours en moi quand je presse le pieu fermement à l’entrée de sa grotte.
Après une courte résistance, il disparaît d’un coup dans son cul.
Elle savoure à son tour ce moment de plénitude féminine, totalement possédée par ce membre généreux.
Je masse sa queue avec mon bassin et remue avec habilité le gode dans ses fesses jusqu’à ce que je la sente prête à défaillir.
Je ne la quitte plus du regard en voyant monter son orgasme.
Elle s’agite de plus en plus et je sais qu’elle va bientôt décharger sa semence.
Je pousse le gode au maximum en le vrillant dans son cul pour la faire exploser.

Une vague de plaisir l’emporte, et je sens fuser son sperme en jets puissants dans mes fesses.
Je prends mon temps pour la vider et contracte puissamment mes sphincters pour pomper ses dernières forces.
Puis, avec impatience, j’introduis mon sexe brûlant dans sa bouche.
Elle l’avale goulûment, gobe au passage mes bourses avant de buter contre mon ventre.
Elle me lèche le gland et creuse ses joues pour mieux m’aspirer.
La queue tendue, je ne résiste pas longtemps et ma sève fuse en giclées lourdes et épaisses dans sa gorge.
Complètement vidée, je peux à mon tour me concentrer sur elle.
Une idée me vient à l’esprit et je sors du tiroir de la table de nuit un jouet très efficace.
Je lui enfile un plug avec douceur et le gonfle en comprimant sa glande d’amour.
Très réactive, elle se défend et laisse échapper un mince filet de sperme sur mon bas.
- Ton clito coule trop tôt ma belle, essaye de te retenir, lui dis je en souriant.
En alternance, j’amplifie le volume du ballonnet puis le dégonfle dés qu’elle laisse échapper une plainte.
Elle ouvre davantage ses cuisses et me réclame des tensions plus fortes.
Lors de ces manoeuvres successives, elle laisse le plug lui envahir le ventre et ressent des sensations nouvelles lorsque ses chairs s’écrasent sous sa pression.
Puis, elle gémit de plaisir lorsqu’elle contracte ses muscles intimes pour résister à ces dilatations successives.
Ce massage interne associé aux vibrations, lui déclenche une forte érection.
Très excitée, elle s’agite et tire sur ses liens.
Ses contractions anales se rapprochent et deviennent plus fortes.
Les yeux toujours bandés, elle ne me voit pas prendre le vibromasseur.
Allongée entre ses jambes, je l’applique sur sa verge.
Dans un premier temps, je contrôle la lente coulée de sa sève et arrête de faire vibrer son frein dés qu’une goutte de sperme perle sur son gland.
Puis, je l’applique à nouveau jusqu’à ce que sorte la suivante.
La sentant au bord de l’orgasme, je la laisse souffler un instant avant de gonfler le plug aux limites extrêmes.
Barbara résiste jusqu’au dernier moment et mobilise ses muscles intimes pour contenir la pression.
Soudain, elle pousse un cri et se relâche d’un seul coup, car elle ne peut plus s’opposer à cette force phénoménale qui envahit son ventre, écrase sa prostate et comprime ses chairs.
Je diminue alors la tension du ballonnet et lui dis.
- Contracte maintenant tes muscles sur le plug et tu jouiras du cul ma chérie.
Suivant mes conseils, je vois ses fesses s’activer en cadence et l’entends gémir lorsque que son sperme s’écoule en un jet continu et régulier sur son corset.
- Je vais prolonger ton plaisir ma belle, lui dis-je d’une voix douce.
Je continue à la vider lentement en effleurant son frein avec mon doigt jusqu’à l’épuisement de ses réserves.
Barbara reprend ses esprits. Je détache rapidement ses liens et enlève son bandeau en ayant une envie folle de la baiser.
La laissant allongée sur le dos, je me mets debout face à elle en posant ses talons aiguilles sur mes épaules.
La pression de mon sexe efface peu à peu les plis de sa rosette qui cède rapidement à mon ardeur.
Aspirée par son cul sublime, ma queue s’engouffre entièrement dans ses fesses.
Je contemple son anneau qui se déroule sur ma hampe quand je me retire lentement et s’enroule à nouveau dessus quand je m’enfonce en elle.
Elle m’adresse un sourire de courtisane expérimentée qui sait que je ne vais pas pouvoir lui résister longtemps.
Elle ondule du bassin et contracte son muscle entraîné qui me serre puissamment le sexe.
Au moment crucial, elle m’enfonce sournoisement un doigt dans l’anus qui me fait décharger convulsivement toute ma semence dans ses reins.
Je me retire doucement de ce nid d’amour et abandonne quelques gouttes de sperme sur la dentelle de son slip ouvert.
Quelques instants plus tard, avec un regard lourd Barbara prend ma queue et la frotte voluptueusement contre ses cuisses gainées de nylon.
Ce contact des fibres sur mon gland m’électrise et je m’abandonne un long moment à ses caresses pour retrouver mes forces.
Quand elle sent mon corps vibrer à nouveau sous ses doigts, elle remonte sa main vers le triangle de mes cuisses qui s’ouvrent tremblantes de désir.
Elle me masturbe lentement en mordillant mes bourses.
Elle les tire tendrement pendant que ses ongles égratignent mon frein.
Puis, elle brandit un gode imposant pourvu de veines saillantes et le pointe sur mon anneau en exerçant de petites pressions successives qui m’excitent l’anus.
- Tu vas sentir chacune de ses sculptures te rôder la pastille, me souffle-elle à l’oreille avec perversité.
Elle écarte mes fesses et s’aide de tout son poids pour forcer mon passage.
Avec un grand sourire de satisfaction, elle visse le gode dans mon oeillet qui s’élargit démesurément.
J’éprouve du plaisir quand ce membre rugueux progresse en moi.
Experte, elle l’enfonce lentement sans me lâcher des yeux en le tournant pour que je sente toutes ses aspérités.
Quand elle voit mon regard se voiler, elle me comprime la racine du sexe pour m’empêcher d’éjaculer trop vite.
Je resserre les jambes et les frotte l’une contre l’autre pour jouir au mieux de la situation.
J’emprisonne ainsi le gode et sa main qui fouillent les moindres replis de ma muqueuse.
- Pas si vite ma chérie, écarte tes cuisses car il reste encore plusieurs centimètres à t’enfiler, me dit-elle en pilonnant mon anneau.
Elle se trouble quand elle voit les premières gouttes de sperme perler à la surface de mon gland.
Elle redouble alors d’efficacité et voit s’enfoncer dans mes fesses ce sexe infernal.
Elle colle ses lèvres sur les miennes pour mes plaintes et m’encule à fond en poussant le gode d’une main assurée.
Avec un frisson d’excitation, elle me voit m’agiter et finir de m’empaler malgré moi sur ce membre monstrueux.
J’ouvre les jambes et m’abandonne totalement à ses désirs.
Appréciant ce geste de soumission, elle me dit :
- Ne bouge plus ma belle et laisse moi faire.
Elle me chevauche en me tournant le dos et s’embroche lentement sur ma queue.
Puis, à deux mains, elle saisit le pieu qui me transperce pour mieux me fourrager le cul.
Elle voit mon anneau se contracter de plus en plus rapidement et sait que je vais bientôt perdre mon contrôle.
Il lui reste peu de temps pour agir. Elle appuie fortement sur le gode en décrivant de larges mouvements circulaires pour me fouiller les entrailles.
En même temps, elle me caresse les bourses et ondule du bassin en serrant puissamment ma queue avec ses sphincters.
Mes cuisses se mettent à trembler et j’essaie vainement de retenir mon sperme avant d’exploser en lui inondant le cul.
Barbara gémit de plaisir quand elle sent fuser ma semence et continue à s’activer pour prolonger mes contractions anales.
Ne me laissant aucun repos, elle me retourne sur le ventre et relève ma nuisette sur ma taille pour contempler ma guêpière.
Sa main s’attarde sur mes cuisses gainées de bas ornés de jarretières.
Son désir monte quand elle voit toujours planté profondément dans mes fesses le pal imposant qui tressaute par la fente de mon slip ouvert.
Impatiente de jouir en moi, elle le retire en exposant mon petit trou déjà très dilaté à ses instincts lubriques.
- J’ai maintenant une envie folle de te baiser, me dit-elle.
Stimulée par cette vue, la queue bien dure, elle me pénètre progressivement.
Barbara s’arrête dés que la couronne de son gland passe mon anneau et me dit :
- Cambre toi bien mon ange pour que je puisse t’enfiler le plus loin possible.
La tête dans l’oreiller, encore toute chavirée par l’orgasme précédent, je fais ressortir ma croupe en contractant mon oeillet pour la serrer et lui donner un plaisir total.
Je n’offre plus de résistance et elle peut plonger lentement son pieu jusqu’à la garde.
Le souffle court, je sens qu’elle écarte mes fesses pour s’enfoncer toujours plus profondément en moi en m’achevant de puissants coups de rein.
- Te voilà bien prise, je veux te voir tortiller du cul pour mieux t’empaler sur ma queue ma belle.
Avec ardeur, elle me laboure les reins en me pelotant les seins.
Totalement comblée par ce pieu qui me fouille, je vis pleinement ma féminité.
Je comprends mieux l’excitation d’une maîtresse qui sait qu’à tout moment elle peut dominer et terrasser la queue qui lui donne du plaisir et la faisant décharger en elle.
J’éprouve ce sentiment de toute puissance quand je pompe avec mes sphincters le sexe de Barbara sans qu’elle puisse me résister. Au moment voulu, elle s’effondre sur mon dos et se vide abondamment en moi.
Prenant notre temps, nous remettons notre lingerie en place et je tire sur mes bas pour aligner les coutures.
Nous restons allongées face à face en évoquant la manière la plus rapide pour jouir.
C’est l’association plug gonflable et vibromasseur qui à de loin notre préférence.
L’ensemble est une véritable pompe à sperme à laquelle personne ne résiste bien longtemps. Tête bêche, nous nous excitons mutuellement avec un vibro avant de poursuivre nos jeux érotiques.
Connaissant bien ce qui nous fait vibrer l’une et l’autre nous nous donnons du plaisir sans aucune retenue.
Je la masturbe et lui pompe le sexe pendant qu’elle m’applique les mêmes gâteries sur un autre registre.
Je saisis un gode de taille moyenne pour la pénétrer, alors qu’elle me plante dans les fesses un calibre nettement plus imposant.
Je l’encule avec douceur en recherchant ses points faibles tandis qu’elle m’empale d’une manière plus virile en fouillant mes entrailles avec une telle virtuosité qu’elle m’arrache rapidement les premiers cris de plaisir.
J’essaye de garder ma lucidité pour me concentrer sur son orgasme, mais je vois qu’elle se pique au jeu en désirant me faire jouir la première.
On s’engode ainsi longuement en sentant nos queues se durcir.
Lorsqu’elle me fouille les reins, je sens qu’elle s’enfonce plus loin que d’habitude et devant mon regard étonné, elle me dit :
- Je ne t’ai jamais enfilée avec un tel calibre ma belle, tu vas prendre ton pied.
Devant cette surenchère, nos corps ne font plus qu’un, et nos queues tremblent de désir en perdent un peu de sève à chaque stimulation.
Barbara sait que j’adore l’orgasme anal. Elle préfère également sentir ma semence couler lentement dans sa gorge.
Elle œuvre en ce sens et m’enfonce un peu plus le gode en le tournant habilement dans mon fourreau pour me faire jouir du cul.
Enfin, elle stimule la couronne de mon gland avec son ongle jusqu’à ce que je décharge lentement et longuement dans sa bouche.
Peu de temps après, je sens Barbara tressaillir avant que sa liqueur ne jaillisse en jets épais sur mes seins, ne pouvant plus résister au vibromasseur que j’applique sournoisement sur son frein.
Toujours dans la position soixante- neuf, j’écarte ses cuisses pour lui enlever le gode. Il me résiste sans doute retenu par ses contractions anales, mais je finis par le retirer d’un coup sec en lui arrachant une plainte.
Elle me regarde en souriant éponger succinctement son sperme qui inonde ma guêpière.
A mon tour, je retire le mandrin que j’ai toujours en moi et qui me colle aux entrailles du fait de son immobilisation prolongée.
Barbara me regarde d’un air coquin quand elle me voit avec surprise sortir peu à peu de mes fesses ce pieu qui n’en finit pas.
Tu aurais pu prendre une taille en dessous, lui dis je en regardant l’énorme pal qu’elle a osé utiliser.
Je rumine ma revanche et l’embrasse fougueusement pour distraire son attention.
Puis, j’écarte ses cuisses avec douceur et place sournoisement le gode géant contre mon genou en le poussant de quelques centimètres dans son fourreau.
Les seins dressés, elle cambre ses reins pour tenter d’amortir le choc.
Je contemple son visage qui exprime tour à tour la douleur et le plaisir quand j’appuie fortement et de manière continue mon genou sur le gode et le fais disparaître progressivement dans la fente de son slip ouvert.
Longuement, je fouille son ventre et lui caresse la queue mais l’envie de me baiser la reprenne.
En pleine érection, elle retire le gode, bien décidée à reprendre l’initiative.
- Après ce que tu viens de me faire subir, je vais te violer sans scrupule me dit-elle en me plaquant avec autorité sur le lit.
Je ne lui résiste plus quand elle me lèche et gobe mes bourses en alternance pendant que l’un de ses doigts me pénètre perfidement l’anus.
De son autre main, elle me masturbe sur des rythmes lent et rapide.
Au bout d’un moment, me voyant suffisamment excitée, elle me dit d’une voix rauque:
- Donne moi tes fesses maintenant ma chérie.
Je les écarte à deux mains et lui offre mon anneau encore bien ouvert par la pénétration précédente.
Elle m’empale avec facilité du premier coup.
Soumise, je relève mes jambes afin qu’elle saisisse mes chevilles pour mieux me fouiller le ventre.
Ainsi, à sa guise, elle ouvre mes cuisses, plie mes genoux, place mes talons aiguilles à la hauteur de mon visage pour me prendre de toutes les façons en cherchant surtout à me pénétrer le profondément possible.
Martelant mon oeillet, elle me fixe du regard pour suivre la montée de mon orgasme.
Totalement empalée, je vois mon sexe se durcir et s’allonger et je gémis de plaisir. J’accompagne chacun de ses coups de boutoir et cambre mes reins pour mieux me donner. Barbara me sourie, satisfaite d’avoir enfin trouvé mon point sensible qu’elle pilonne avec précision en accélérant la cadence.
Simultanément, elle me masturbe jusqu’à ce que j’éclabousse son corset de longues giclées de sperme.
Lors de mes derniers spasmes, elle s’effondre sur mes seins en vidant sa liqueur brûlante dans mes reins.
Je croise alors mes jambes dans son dos pour la garder en moi et sentir ses ultimes contractions. Sandra.

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