Dix Huit Ans
Dix huit ans
« Joyeux anniiiiversaireeeeee, joyeux anniiiiversaireeeee
»
La lumière de la salle cest éteinte. Une lueur tremblotante arrive du couloir.
« Joyeux anniiiversaireee
. Cécile
. joyeux anniiiiversaireeeeee
. »
Dans les cris et les applaudissements, un magnifique gâteau est déposé sur la table. Dix huit petites bougies, disposées en forme de cur, font briller les yeux de mes amis et scintiller leurs verres de champagne. Je prend une grande inspiration et
« Pfffffffffffffffffffffffff !!!!!!! »
souffle toutes les flammes dun coup. Les applaudissements reprennent, la lumière revient et la musique recommence à jouer. Je suis couverte de cadeaux et de bisous. Une cinquantaine de personnes sont présentent, mais je nen connais que la moitié. Les autres, sont des amis de mes amis. Plus on est de fou
Mes parents sont partis pour le week-end et mont donnée carte blanche pour organiser ma petite fête, dans le petit pavillon de banlieue. Mon grand frère est là aussi. Ca me fait plaisir, car ayant quitté la maison, je le vois moins souvent.
Jentame la découpe de limmense gâteau, remplissant un nombre incalculable dassiettes. Une main saisie mon poignet.
« Viens, on vas se refaire une beauté. »
Cest Valérie. Une magnifique plante de quarante ans, que jaime beaucoup et qui compte énormément dans ma vie. Elle mentraîne dans la salle de bain du premier, en riant. Devant le miroir, nous retouchons mutuellement nos maquillages, débitant des âneries qui ne peuvent faire rire que nous. Je recoiffe ses longs cheveux noirs. Ils sont lisses, fins et soyeux. Elle me donne un bisou sur la bouche et voyant ma surprise, recommence à rire aux éclats.
« Aller ! Viens danser ma belle. »
Me reprenant la main, elle me tire et nous sortons en sautillant dans le couloir, comme deux s. Nous passons devant ma chambre, mais au moment où nous atteignons lescalier, Valérie sarrête et me regarde dune façon étrange.
« Viens. »
Nous entrons, elle referme promptement la porte et sy adosse. Tout vas si vite, que je manque de tomber et me retrouvant face à elle, je me retiens à son épaule tout en riant.
« Tu es folle ? Quest ce que tu fabrique ? »
Mais Valérie ne rie plus. Ses grands yeux sombres me dévisagent avec tendresse. Elle me tient toujours la main. De lautre, elle replace délicatement une mèche de mes cheveux, derrière mon oreille. Puis ses longs doigts sattardent sur ma joue, la caressant, la frôlant. Je suis bouleversée par tant de tendresse, mais, comme pour rajouter encore à mon émoi, son pouce maintenant, glisse sur mes lèvres.
« Je ne pense pas que ce soit une bonne idée ! »
« Chuuuuuuuuuttttttt ! »
Le léger souffle que produit sa bouche me fait fermer les yeux. Je sens sa poitrine frôler la mienne, au rythme de nos respirations. Bien que dans un trouble immense, je perçois les pointes des mes seins se durcir et se dressées, ce qui ne fait quaugmenter mon désarroi. Mes jambes sont molles et ont bien du mal à me soutenir. Ses longs doigts fins glissent vers ma nuque, se perdent dans mes cheveux et poussent doucement ma tête pour mettre en contact nos deux bouches. Je ne peux que céder à ce moment si voluptueux. Sa langue fouille délicatement entre mes lèvres ouvertes. Elle me serre, à présent, tout contre elle. Je sens son ventre se soulever, se contracter contre le mien. Une de ses cuisses monte et descend sur la mienne. Nos lèvres parfois, se détachent, mais restent reliées par des fils dargents. Je suis emportée dans un tourbillon de sensations. Sa respiration, bruyante, résonne dans ma bouche et la mienne dans la sienne. Ma chaleur est sa chaleur, mon corps est son corps. Nous ne sommes plus quune.
Elle se détache lentement de la porte et, tout en continuant à me donner de fabuleux baisers, elle me pousse doucement, me faisant reculer, reculer et encore reculer, jusqu'à atteindre le bord du lit.
« Tu a chaud ? ». Me dit elle dune voix douce.
« Non, ça vas. Merci ». Je sens bien que je ne suis pas très convaincante.
« Allons ! Je ne suis pas née de la dernière pluie. Je vois bien que tu es gênée. Il ne faut pas. ». Un grand sourire illumine son visage. Un sourire qui se veut rassurant, accompagné par de longues et douces caresses sur mon visage. Jacquiesce timidement, essayant de lui faire croire que je vais mieux.
« Tu semble tellement fragile, ma petite Cécile. Tu sais je nen suis pas à ma première expérience avec une femme. Tu es entre de bonnes mains. Tu aimes ce que je te fais au moins ? ». Me dit elle en riant.
« Ho oui, Val. Beaucoup. Ce nest pas ça. Mais cest si soudain, si inattendue. Et puis
»
« Et puis quoi ? »
« Tu es ma tante tout de même. ». Je baisse les yeux.
« Quelle importance que je soit ceci ou cela. Fabrique toi un beau souvenir pour tes dix huit ans. Apprend, grandie et goutte aux plaisirs que je te donne. Ils te serviront peut être plus tard. Et je suis fière dêtre celle qui téduque à ce genre de choses. Se sera notre secret, rien quà nous. Daccord ? »
Elle relève ma tête pour que je croise son regard. Il y a tellement de tendresse et damour dans ses yeux. Je craque et cest moi qui lattire pour lembrasser. Notre corps à cur reprend de plus belle à la différence que maintenant je participe. Les jouissances senchaînent. Les baisers, les caresses, les coups de langues ne se comptent plus et cest naturellement que nos minous se recherchent. Cest ainsi que nous nous retrouvons face à face, les jambes entrelacées, cherchant la meilleure position pour mettre nos sexes en contact. En appuies sur nos avant bras, nous tendons nos chattes bouillantes, lune vers lautre. Nos chairs se touchent enfin. Nous partageons notre chaleur, notre humidité. Nos clitos gonflés se frottent, tentent de pénétrer lautre.
Brusquement la porte souvre et Guillaume, mon frère, fait irruption dans la chambre. Nous restons pétrifiées et honteuses de se faire surprendre ainsi. Ce grand gaillard de vingt trois ans, na jamais su frapper à une porte. Mais, cette fois ci, il doit se dire quil aurait peut être dut. Nous nous asseyons sur le bord du lit, cachant maladroitement nos poitrines de nos mains. Sa réaction me glace, tant elle est violente.
« Salope ! Tu navais pas le droit de faire ça ! Elle était pour moi ! Tu navais pas le droit ! »
Et il sort en claquant la porte.
Je meffondre en larmes. Comment aurais je pus imaginer quil avait des vues sur notre tante. Je suis perdue et jai peur pour la suite. Je me rhabille en pleurant. Valérie fait de même, puis elle me prend dans ses bras, mais je la repousse, trouvant que jai suffisamment faite de bêtises pour aujourdhui.
« Ma pauvre Cécile. Je suis confuse, jaurais due vérifier que la porte était bien fermée. Ne soit pas fâchée après moi, je ne voulais pas te mettre dans lembarras. Je vais aller lui parler et essayer darranger les choses. Daccord ? »
« Je ne suis pas en colère après toi. Jassume ce qui vient de se passer, et je te remercie pour cette fantastique expérience. Mais je crois quil est préférable que se sois moi qui lui parle. Il vaut mieux que tu disparaisses pour ce soir. Je te téléphone demain. »
Elle essuie mes larmes de ses doigts.
«Comme tu veux. Ne pleure plus, tout cela nest pas si grave, crois moi. »
Elle me donne un dernier baiser et sort de la chambre. Jy reste encore un moment afin de retrouver mon calme et de sécher mes larmes.
Je descends lescalier, scrutant les visages qui samusent et qui rient. Mais, je ne le vois pas. Un ami me renseigne.
« Ton frère ? Oui, je lai vus sortir dans le jardin. »
Je laperçois par la fenêtre. Il est au bout du jardin, les mains dans les poches, tête baissée, appuyé contre la remise. Je prend mon courage à deux mains et vais le rejoindre.
« Tu dois être très déçu de ma conduite. »
« Moins que de la sienne. »
« Pardonne moi Guillaume. Jai été faible. Peut être lalcool. Il ne faut pas men vouloir. »
« Ce nest pas à toi que jen veut, mais à elle. Cest une belle salope. »
« Tu dis cela parce que tu est en colère .elle est très gentille. »
« Elle navait pas le droit de faire ça ! »
« Jignorais quelle te plaisais autant !? »
Il me regarde dun air déconcerté et éclate de rire.
« Quoi ? Quest ce que jai dis ? »
« Ma pauvre Cécile, tu na rien compris. Ha ! Ha ! Ha ! »
Puis il sen vas, remontant vers la maison et la fête, en riant aux éclats. Je le ratt et me plante devant lui.
« Bon ! Maintenant ça suffit. Explique moi ce qui te rend si euphorique ! »
Son visage reprend un air sérieux.
« Ce nest pas de Valérie dont il sagit. »
« Désolée, Guillaume, je ne comprend toujours pas !? »
« Valérie est ma maîtresse depuis déjà un bon bout de temps »
« Quoi ? »
Secouée par cette révélation, je dois précipitamment masseoir dans un fauteuil de jardin, pour ne pas tomber. Mais je ne comprends toujours pas.
« Mais quand tu es entré dans la chambre, tu ma dis que je navais pas le droit, quelle était pour toi ? »
« Ce nétait pas à toi que je parlais. »
Le disque dur de mon cerveau tourne en rond, cherche, et disjoncte. De grosses larmes remontent à mes yeux et cest dune voix chevrotante que lui demande de sexpliquer, une bonne fois pour toute.
« Ca fait quatre ans que je te regarde grandir. Quatre ans que je te regarde prendre des formes. Jai vus ta poitrine se développer, tes fesses se dessiner, tes reins se creuser. Quatre ans que je te désire comme un fou en secret, que je me masturbe le soir dans ma chambre, imaginant te serrer dans mes bras. Quatre ans, que je souffre quand je te vois avec dautres types. Quand Valérie est devenue ma maîtresse, je lui ai avoué, lui demandant de garder le secret. Et cette salope
»
Il pousse un cri de rage et disparaît dans la maison, en me laissant plantée là, à décrypter seule, les aveux que je viens dentendre.
Des tas dimages remontent à mon esprit et prennent une tout autre signification. Je vois mon frère, rentrant dans ma chambre sans frapper, ou trafiquant la serrure de la salle de bain, pour me surprendre sous la douche, ou encore, insistant pour entrer avec moi dans les cabines dessayage, sous prétexte de maider à enfiler les robes que jessayais. Moi, pauvre idiote, qui ne croyais que se nétait quun jeu. Je comprend également, pourquoi tout mes petits amis étaient cons et débiles à ses yeux. Est il amoureux de moi, ou désire til juste mon corps ? Pense til vraiment, quun jour, jaurais pu accepter de coucher avec lui ? Et cette chère tata. A-t-elle fait ça pour rendre jaloux Guillaume, ou parce que ça lexcitait de se faire la nièce, après de sêtre tapée le neveu ?
Je reste encore une heure dehors, à tourner milles questions dans ma pauvre caboche. Quand je décide enfin de réapparaître à la fête, je constate que grand nombre de mes amis sont déjà partis. Il reste encore beaucoup de monde, mais je ne les connais pratiquement pas. Jatt une bouteille de champagne et je bois au goulot.
« Hé ! Arrête, tu vas être bourrée. Viens plutôt danser ! »
Cest un type dune vingtaine dannée qui viens de me retirer doucement la bouteille des mains et qui saccroche à mes hanches pour me faire danser un slow langoureux. Jétais prête à lenvoyer promener, quand, dans un coin de la pièce japerçois mon frangin, affalé dans un canapé, en compagnie dune « Barbie pouffiasse » qui lui mange les lèvres. Tout en embrassant goulûment la fille, il me dévisage, épiant tout mes gestes. Son regard est provocateur, voir haineux ou peut être tout simplement envieux. Que dois je faire ? Cesser de danser pour ne pas le faire souffrir ? Ne plus mamuser ? Rentrer au couvent ?
En fait, je suis très énervée et décide de le rendre jaloux pour de bon, pour me venger de ses mauvaises pensées. Je passe mes bras autour du cou de mon cavalier et me laisse porter par la musique. A chaque passage, je le vois me regarder. Il a maintenant attrapé la poitrine de la fille et la malaxe sans ménagement. Au tour suivant, sa main est passée sous le tee-shirt moulant, et elle, lui caresse lentre cuisse au travers de son pantalon, que je vois gonflé par lenvie. Encore un tour et à la lumière tremblotantes des bougies, je vois la fille penchée sur lui, lui pratiquant une fellation gourmande, sans gêne, devant tout le monde. Mon frère, les bras en croix sur le dossier du canapé, rythme laction en se soulevant à chaque succion. Son regard plonge dans le mien. Il veut me rendre jalouse ou est ce moi qui lexcite ? Ce qui est sur, cest quil me provoque. Intérieurement, je me dis « tu veux jouer à ça, frangin ? Ok ! Jouons ! ». Je regarde mon partenaire et lui souri. Puis, je me serre un peu plus à lui. Je sens son sexe se coller à mon bas ventre. Jaugmente le mouvement de mon bassin. Désormais, je me frotte comme une salope contre le type. Le résultat ne se fait pas attendre et une chose énorme est désormais entre nous. Mon frère nen perd pas une miette et semble très en forme. Je descends ma main et tout en embrassant le type. Je défais sa braguette, sort son sexe et le glisse sous ma jupe contre mon string. Je danse maintenant, avec une bonne queue qui glisse entre les jambes. La sensation est terriblement enivrante. Mon string est trempé de moi et de lui. Guillaume surenchéri. La « petite pute » est maintenant assise sur lui, empalée sur son sexe. Il continu à me dévisager par-dessus son épaule. Lardeur avec laquelle il pénètre cette fille, est à la hauteur de la fièvre que je dois lui transmettre. Je prends conscience que je commence à aimer cette situation. Plus question de le rendre jaloux, plus question de me venger. Je perd pied et me jette corps et âme dans la luxure. Je tombe à genoux devant mon cavalier et aspire sa queue entre mes lèvres. Je le suce avec ferveur, excitée à la pensée que mon frère mobserve. Dans ce tourbillon de folie, jen ai oubliée où jétais. A cette pensée et sans interrompe ma fellation, je jette un oeil aux alentours. Six hommes mentourent, sexe à la main. Derrière une fille se fait prendre en levrette tout en suçant la chatte dune autre. Une fièvre sexuelle sest emparée du groupe et mon anniversaire sest transformé en une gigantesque partie de jambes en lair. Peut être nest til pas trop tard pour faire machine arrière. Mon honneur est encore sauf. Je ne suis pas encore souillée. Je me relève et me dirige vers le champ de ruines du buffet. Javale une coupe de champagne. La tête me tourne, mais quimporte. Jen prends une seconde, mais avant que davoir le temps de la porter à mes lèvres, une avalanche de mains sabat sur moi. Mes seins, ma chatte, mon cul, mon ventre, mes jambes, tout est touché, malaxé, caressé. En moins dune minute, je suis mise nue et couchée sur la table au milieu des restes de petits fours. Un homme se présente face à moi et me pénètre sans ménagement. Cest le début dune longue série dorgasmes qui commence. Je sombre dans une espèce de douce folie, qui me pousse à en vouloir toujours plus. Chaque jet de sperme en moi, provoque une intense jouissance et je veux être de nouveau remplie tout de suite, sans attendre. Le plaisir est si fort, que jen pleure et cest dans une vision troublée par mes larmes, que japerçois Guillaume jouir sur le visage de sa « poupée », le regard toujours tourné vers moi. Je le vois remonter son pantalon, avaler un verre et sortir de la maison, me laissant à mon hystérie et à mes hommes en ruts.
Le soleil me réveille en traversant les rideaux mal fermés. Je suis au sol, sur la moquette, nue, enroulée dans une nappe dégueulasse et ma jupe me sert doreiller. Jai très mal à la tête et jai beaucoup de mal à retrouver une vision normale, tant mes yeux sont gonflés. Ma bouche est sèche et salée. Mes cheveux sont poisseux et de grandes traces blanches sur mon corps, me laisse à penser que jai du être copieusement arrosée, mais pas par du jus dorange, ça
cest sur. Ma petite chatte aussi est poisseuse et plutôt mal odorante. Le constat est clair. Je nai aucun souvenir de ce qui a put se passer, après le départ de mon frère. Cest le trou noir. Je me lève, lentement, maidant de la table. Ma tête tourne encore. Lalcool na pas encore totalement disparu de mon organisme. Je suis seule au milieu dun champ de bataille. Il va pourtant falloir que je range tout, avant le retour de mes parents ce soir. Mais une priorité simpose
la douche.
La douce chaleur de leau sur mon corps me réveille, peu à peu. Je fais mousser le gel douche et me caresse doucement le corps, faisant glisser mes mains sur mes courbes.
« Cécile !....Cécile, tu es là, »
Cest la voix de ma tante Valérie.
Apres lui avoir crié ou je me trouvais, elle viens me rejoindre.
« Il est plus de midi, et tu ne ma pas téléphonée. Jétais inquiète. »
Je sors de la cabine. Elle prend une grande serviette et me frotte délicatement le dos. Sans attendre plus longtemps, je linonde dun flot de questions.
« Pourquoi ne pas mavoir dis que tu étais la maîtresse de Guillaume ? Pourquoi, mavoir cachée quil me désirait à sen rendre malade ? Pourquoi a tu couchée avec moi ? »
Je me retourne face à elle. Ses yeux caressent mon corps de haut en bas et de bas en haut. Un frisson me parcoure. Jenfile un peignoir, afin de me cacher delle. Je massoie face à un grand miroir. Elle prend ma brosse et tout en me coiffant, commence à me donner quelques explications.
« Oui, Guillaume est mon amant. Et alors ? Il est jeune, beau et pas farouche. Il ne me fut pas difficile de le mettre dans mon lit. De plus, cest un excellent baiseur, alors pourquoi men priver ? Tu sais, je suis ce quon pourrait appeler une grosse coquine. Jaime les hommes, le sexe et je nai pas de tabou particulier et le fait quil soit mon neveu ne ma pas dérangée plus que ça. Très rapidement, il ma avouée avoir de gros fantasmes à ton sujet. Que veux tu que jy fasse, ou que je lui dise ? Je ne suis pas très bien placée pour dire quoi que ce soit. Mais pourtant, je lavoue, je lui ai promise de laider si je le pouvais. Alors, évidemment, quand il ma vu avec toi, il a pensé à une trahison de ma part. »
Elle prend ma place sur la chaise et minvite à masseoir sur ses genoux. Je le fais. Elle mentoure de ses bras et je pose ma tête dans son cou. Je suis bien, détendue. Il me semble être une petite fille qui se fait câliner, juste pour le plaisir.
« Et moi ? Pourquoi ? »
« Il y a des choses que lon a bien du mal à expliquer, parfois. Pour toi, rien nétait prémédité. Tu es belle, ta main était chaude, mon cur cest emballé. Cest tout. Je suis désolée. »
« Non, ne le soit pas. Tu avais raison, il ny a rien de grave dans tout ça. »
Il nous a fallu trois heures pour tout remettre en état. Sans elle, je ny serrais pas parvenue. Nous buvons un thé bien mérité et nous nous écroulons dans le canapé, épuisée.
« Val, dis moi. Pense tu que je doive coucher avec Guillaume ? »
« Bien sur que non. Ce sont ses fantasmes, cest à lui de les assumer, pas à toi de les réaliser. »
« Oui, mais
. »
« Mais quoi ? Petite fille ! »
Elle me prend dans ses bras en souriant. Jatt un coussin et cache mon visage dedans.
« Oui, mais si maintenant jen avais envie aussi ? »
Elle essaye de menlever le coussin du visage, mais je my accroche comme une folle, pour quelle ne puisse pas lire la honte inscrite sur mes joues. Alors comme deux s qui chahutent, elle commence à me chatouiller, à me bousculer et me sauter dessus. Au milieu de nos éclats de rire, je lentends dire.
« Alors, je tiendrais la promesse faite à ton frère. »
« Doucement !doucement ! Je nai pas dis que jen serrais capable. Jai juste dis que jen avais envie. »
« Jai bien compris. Alors je vous aiderais tout les deux. Jai une petite idée. Donne moi un peu de temps et je vais vous organiser une petite soirée dont vous vous souviendrez longtemps. »
«Hum ! Tout ça me fait peur. Mais je veux bien te faire confiance. »
Trois semaines se sont écoulées. Je nai pas revu mon frère, ni ma tante. Ce matin, à ma grande surprise, jai reçue une courte lettre de celle-ci.
Chère Cécile.
Si le désir de ton frère est ton désir.
Si son envie est ton envie.
Je tattends samedi à 21 heures précises.
Valérie
Nous sommes samedi. Pour un peu je recevais sa lettre trop tard. Milles questions et milles doutes envahissent mon esprit. Il va être lheure de me mettre en route. Mon cur bas la chamade et jai bien du mal à contrôler les tremblements de mes mains.
Jarrive devant la grande maison de ma tante. Cest une vieille demeure tout en pierre, avec une sorte de petite tour à un angle, qui ma toujours fascinée. Petite, je rêvais que jétais princesse de ce petit château, et ma tante me laissait courir partout. Il y a bien longtemps que je ny suis pas revenue. Je nai pas le temps de sonner, que déjà la porte souvre.
« Cest bien tu es à lheure. Entre vite. »
Elle memmène dans le salon et moffre un thé. Je ne peux pas cacher très longtemps langoisse qui me ronge. Mes mains sont devenues incontrôlables, mes joues doivent être violettes et mes jambes ne me soutiennent plus. Même ma voix est chevrotante.
« Guillaume nest pas là ? »
« Non, il arrivera un peu plus tard. »
« Je ne sais pas si cest une si bonne idée. Je pense quil vaudrait mieux que je rentre. »
« Allons, jeune fille. Il faut apprendre à maîtriser tes émotions. Tout se passera bien et en douceur. Jai préparée une soirée magique. Fais moi confiance, veux tu ? »
Jacquiesce de la tête et tente de finir mon breuvage sans le renverser.
« Il y a longtemps que tu nes pas venue. Jai refais toute la déco de ma chambre. Viens, je vais te montrer notre terrain de jeu. »
Je nen crois pas mes yeux. Cet endroit est magique. Cest une grande pièce carrée. Aux murs, des tentures mauves, qui font ressortir de vieux tableaux et des meubles très stylés. Aux fenêtres, de lourds rideaux dun violet plus soutenu et ornés de fines cordelettes dorée. Au plafond, des grosses poutres en chêne semblent soutenir un ciel étoilé. Mes pieds senfoncent dans une moquette dune épaisseur impressionnante. Et enfin, éclairé par une cinquantaine de bougies dispersées dans la pièce, trône au centre un gigantesque lit à baldaquin, sortie tout droit des « mille et une nuits ». Les montants sont finement sculptés de petites scènes érotiques à peine visible si on ne les cherche pas. De grands voiles de soie font le tour de ce beau navire, dévoilant par transparence une énorme couette rouge, recouverte dune multitude de coussins de toutes tailles et de toutes formes. Valérie, derrière moi, menlace et membrasse dans le cou. Je suis tellement fascinée, que je ny prête même pas attention. Une de ses mains caresse maintenant mes seins, tandis que lautre sattarde sur mon ventre. Une douce chaleur commence à menvahir.
« Ça te plait ? »
« Cest magnifique ! Je crois rêver. »
« Et ce nest que le début. »
Elle memmène jusquau lit. Toujours émerveillée, je prend la soie et caresse mon visage avec le tissu. Dans un coin des bâtons dencens diffusent un doux parfum exotique. Doucement, elle fait descendre la fermeture éclair de ma robe, la fait glisser sur mes épaules et la laisse tomber à terre. Ses yeux brillent, reflétant les flammes des bougies. Son sourire, rempli de tendresse, mapaise. Je me sens bien. À mon tour, jeffeuille cette merveille, la débarrassant de son chemisier et de sa jupe. Les remparts de nos sous vêtements tombent rapidement. Nos peaux fébriles se touchent de nouveaux
enfin ! Le souvenir de nos deux corps ce caressant, ma hantée pendant ses trois semaines. A de nombreuses reprises, je me suis masturbée comme une démente, en pensant à ses instants de bonheur. Je suis si heureuse de pouvoir de nouveau caresser sa peau satinée et goutter ses lèvres chaudes. Nos doigts ségarent dans nos intimités, nous buvons nos jouissances, clitos et tétons sont triturés, tirés, branlés. Cest mon corps couché sur celui de Val qui se libère le premier. Un doux et long orgasme traverse mon ventre, mes tripes. Mes jambes se tendent, mes fesses se contractent puissamment et je sens ma chatte semplir de ma liqueur. Cest au tour de Val dexploser et comme deux femmes serpents, nous ondulons de longues minutes, afin que nos sexes se frottant lun contre lautre, mélangent bien leurs amours. Nos baisers sont fougueux, presque sauvages, tout comme nos caresses qui sont plus prononcées, plus directs, plus franches. Cest avec un sentiment de plénitude que je glisse sur le coté et tenant la main de Val, nous restons ainsi couchée cote à cote durant de longues minutes.
« Cécile
cest lheure. Reste ainsi, je vais devoir te laisser un petit moment. »
Elle lâche ma main, me donne un doux baiser sur le front et sort de la chambre sans bruit. Je me sens un peu perdue. Je massoie à genoux au milieu du lit. Jécoute le moindre bruit, mais rien. Rien que ma respiration et mon cur qui tape dans ma poitrine, à sen décrocher. Jignore totalement ce qui mattend. Peut être aurait elle dut men dire plus ? Trop tard. Il me faut maintenant lui faire une confiance aveugle.
Lorsque la porte souvre, jatt un gros coussin et le presse contre ma poitrine. Valérie entre, suivit de cinq hommes. Je nen crois pas mes yeux. Ils sont nus. Où plutôt quatre dentre eux le sont. Ils encadrent un cinquième homme, qui lui, porte une longue cape noir et un bandeau sur les yeux. Arrivé à un mètre du lit, je le reconnais. Cest Guillaume. Je mapprête à dire quelque chose, mais Valérie, guettant toutes mes réactions, me pose un doigt sur les lèvres pour men empêcher. Les quatre hommes laident à monter sur le lit, debout, puis ils ladossent à un des montants du lit. Valérie défait le nud qui retient la cape et mon frère mapparaît nu. Ses mains sont attachées, dans son dos, au montant du baldaquin. Puis, comme une chorégraphie bien réglée, deux hommes se placent debout sur la droite du lit et les deux autres font la même chose sur la gauche. Je nai jamais été aussi troublée, dautant plus que ces messieurs qui me dévisagent, ne peuvent cacher leurs « sentiments » à mon égard. Mon frère, lui, semble être au repos total.
Valérie, sest agenouillée derrière moi. Tout en me chuchotant à loreille, elle me retire le coussin que jagrippe depuis tout à lheure. Dun coup et presque ensemble, japerçois les quatre membres se redresser dun cran, à la vue de mon corps qui leur est enfin dévoilé.
« Ne parle pas, ne dis rien surtout. Guillaume ignore encore que tu es là. »
Elle prend mon poignet et tend mon bras vers lui. Jai trop peur, je recule. Val ninsiste pas, et me laisse contempler mon frère. Puis, hésitante, je mapproche de ce corps offert. Je pose timidement mes mains sur ses cuisses et anxieuse, je caresse ses jambes, jusquaux mollets. Elles sont fermes, musclées et recouvertes dune douce couche de poils souples. Quand je relève la tête, je me retrouve face à son membre, qui me laisse penser quil a apprécié mes caresses. Forte de cet encouragement, je mattaque maintenant à son torse, malaxant sa poitrine, pinçant légèrement ses tétons. Puis, je les lèche, les suce, les aspire. Sa respiration saccélère. Je colle sa queue entre mes seins, appuie sur ses fesses pour le plaquer contre moi et le masturbe de ma poitrine. Jembrasse et lèche son ventre en salivant. Son sexe est désormais gonflé et dur. Son gland frappe avec force mon menton. Je penche la tête et le fait glisser entre mes lèvres. Puis, descendant de plus en plus, je finie par engloutir son membre tout entier. Tout en suçant guillaume, deux hommes me place en position de levrette. Linstant daprès, un énorme braquemart me pénètre, me remplissant semble til le ventre tout entier. Les puissantes mains de lhomme, agrippées à mes hanches, donnent désormais le rythme de ma fellation. Guillaume, gémit de satisfaction. Je fais frétiller ma langue le long de sa queue et gobe tour à tour ses couilles grossies par lexcitation, puis, je remonte doucement vers le gland violacé. Je sens sa queue vibrer, tressaillir et avant que je puisse réagir, un jet de liqueur mexplose en plein visage. Dans ma chatte aussi, je sens la libération de lhomme qui me prend en levrette. De puissantes éruptions de foutre sécrasant sur mes parois, rendent mon sexe encore plus chaud, plus lisse, plus bruyant aussi. Une onde de plaisir me parcoure léchine et jai beaucoup de mal à ne pas crier mon plaisir. Jouvre grande ma bouche pour recevoir les décharges suivantes. Je suce, jaspire et bois mon frère avec avidité. Il pousse de longs râles qui en disent long sur le degré de sa jouissance. Le jus chaud qui coule dans ma gorge, à un goût de victoire, peut être le goût dune liberté nouvelle. Son sexe se ramolli et je le presse des deux mains pour faire sortir les dernières gouttes de se nectar. Mais, Val me tire légèrement en arrière, mobligeant à délaisser lobjet. Elle me couche sur le dos et toujours en chuchotant à mon oreille, elle sallonge sur moi.
« Alors ! Tu es contente ? ça na pas été si difficile, non ? »
Son sourire est radieux. Elle aussi, doit penser avoir gagnée une victoire. Doucement, du bout de sa langue, elle entreprend le nettoyage de mon visage, souillé de semence. Sa langue descend dans mon cou, ségare entre mes seins, glisse sur mon ventre et enfin titille mon clito. Un homme, sûrement plus excité que les autres, saute sur le lit, se place derrière ma tante, et senfonce, non sans mal, dans le fondement de celle-ci. Elle relève la tête un instant. Les yeux fermés, elle se mord la lèvre inférieure avec un rictus de douleur. Puis, ses traits se détendent. Elle ouvre les yeux, me regarde et me sourie avant de replonger entre mes cuisses. Elle fouille de sa langue, tous les recoins de mon sexe, aspirant tout le sperme quelle trouve. La vision de mon frère, toujours attaché, de cet homme qui sodomise ma tante, de celle-ci qui me fouille et des trois autres types qui me caresse en se masturbant, me propulse une fois de plus dans un océan de plaisir et sans pouvoir me retenir, je lâche un long cri de jouissance. Aussitôt, Guillaume redresse la tête. A-t-il reconnu ma voix ? Valérie aussi, pousse un long gémissement, tandis que son partenaire vide ses couilles au fond de son ventre. Apres quelques minutes de repos, Valérie me fais masseoir sur mes talons, au milieu du lit, et se penche à mon oreille.
« Écoute moi bien, Cécile ! Je vais te bander les yeux et jenlèverais le bandeau de Guillaume. Il ignore si il vient de se faire sucer par moi, ou par toi. Mais même si il sen doute, te voyant les yeux bandés, il supposera que toi, tu ne sais pas qui tu a sucée. En aucun cas, tu ne dois retirer ton bandeau. »
Je plonge dans le noir. Mon corps est glacé. Jentends ma tante murmurer, mais ce nest plus à moi quelle parle. Pétrifiée, je reste ainsi, les mains sur mes genoux, essayant de décoder les sons, les mouvements autour de moi. Jai senti mon frère bouger, peut être même descendre du lit, mais je ne peux en être sur. Des lèvres chaudes se posent sur les miennes. Je répond au baiser et entrouvre ma bouche. Tandis que deux mains caressent doucement mes seins, une autre se fraye un passage entre mes cuisses. Je les entrouvre et me redresse pour donner libre accès à ma vulve bouillante. Mes fesses sen trouvent accessibles et deux autres mains entrent en action et me les écartes. Ma bouche toujours prise dassaut par une langue fougueuse, laisse échapper quelques gémissements, quand un pouce force le passage de mon anus et disparaît en moi. Mes soupirs redoublent de puissance, lorsque deux doigts écartent mes grandes lèvres et me pénètrent en frétillants. Une première jouissance un peu timide, me fait pousser un petit « ouiii ! » de contentement. La bouche séloigne, les doigts libèrent mes orifices. Les deux mains ne caressent plus ma poitrine. Elles sont remontées à mes épaules et appliquent une pression sur celles-ci, me faisant comprendre quon désire que je mallonge. Ce que je fais. Deux hommes me prennent sans trop dégard, chacun leur tour, mes jambes levées bien haut au dessus de leurs épaules et leurs mains écrasant et pétrissant mes seins. Tout en me faisant baiser, je masturbe deux énormes pénis, que lon ma mis dans les mains. Bientôt, mon con se remplis de foutre, et mon corps reçoit plusieurs giclées de ce chaud sirop. La levrette prend le relais et cest tour à tour que lon gicle dans mon anus ou dans ma chatte. Devant moi, sans relâche, il se trouve toujours une queue à sucer et à boire. Je suis comme une folle et ne compte plus mes spasmes de plaisirs. Mes orgasmes senchaînent à une cadence insensée. Je sens un corps sallonger près de moi. On maide à lenjamber et à mempaler sur lui. Je pose mes mains sur son torse, espérant reconnaître la poitrine de mon frère, mais je nen sais rien. Je commence à onduler pour bien frotter mes parois à toute la circonférence du sexe. Une queue vient une fois de plus, sinviter dans ma bouche, alors que mes mains retrouvent deux candidates à la branlette. Dondulations en succions, les quatre dards jouissent pratiquement en même temps, me noyant, maspergeant et me remplissant, dans la même minute. Lhomme épuisé entre mes jambes, se retire et est instantanément remplacé par un étalon tout neuf. Ma chatte inondée, se remplie sans effort de se nouveau membre vigoureux. Je me prépare à une énième jouissance lorsque deux mains me poussent en avant et me plie en deux. Mes seins sécrasent sur le torse velu et deux bras puissants mentourent, minterdisant tout mouvement. Sans me laisser le temps de réagir et sans aucun ménagement, mon cul se trouve sollicité et emplis dune queue énorme. Déjà souillée, la douleur est moins forte. Seul la surprise est douloureuse. Cest la première fois que lon minflige une double pénétration. Le choc passé, mon corps senflamme et jexplose en même temps que mes compagnons du moment. Un bien être immense menvahie. Je suis bien, heureuse. Dégoulinante damour, je me laisse glisser sur le coté, extenuée. Jentends les respirations essoufflées des hommes qui mentourent. Les yeux bandés, je compense mes sens par lodorat. La sueur et le sperme forme un cocktail merveilleux et excitant. Soudain, il y a du mouvement autour de moi, suivis dun grand silence. Plus un bruit. Je reste ainsi quelques minutes et ny tenant plus, je retire doucement mon bandeau. Ma vue est trouble, mais suffisante pour voir que je suis seule. Je me frotte les yeux. Sur le lit, une feuille de papier ou est griffonné « Bravo. Signé Val ». Je me laisse retomber sur le lit et épuisée, je mendors. Mon sommeil est agité par mille questions. Quelle fut la réaction de mon frère en me découvrant nue sur le lit ? Ma-t-il touchée, prise, embrassée ? A-t-il jouis en moi ou sur moi ? Est til resté ? Nest til pas partie de suite en mapercevant ? Que pense til de moi à présent ? A-t-il
? A-t-il
? A-t-il
?
Jignore combien de temps jai dormie, mais suffisamment pour que les traînées de sperme sur mon corps, aient eu le temps de sécher. Je me lève et sort de la chambre, à laffût du moindre bruit. Mais je dois me rendre à lévidence
je suis seule. Je reste sous la douche une bonne demie heure. Puis, je me rhabille. Sur la porte, un papier. « Claque la porte en sortant. Valérie ». Je rentre chez moi à pied, histoire de me ressourcer et de prendre le temps de trouver des réponses à mes interrogations. Comme dhabitude, la maison est vide. Depuis que mon frère a quitté la cellule familiale, je suis très souvent seule, mes parents préférant sortir de leur coté, sans moi. Ceci dit, je ne men plains pas. Cest très agréable, à dix huit ans, davoir une baraque rien quà soit. Je monte à létage et je rentre dans ma chambre. Je nen crois pas mes yeux. Elle est remplie de roses rouges. Il y en a partout, dans tous les coins. Tous les vases de la maison ont été réquisitionnés. Des bouquets de dix, vingt roses, et plein dautres éparpillées un peu partout. Cest splendide. Sur mon lit, déposée sur loreiller, il y a une enveloppe sous une rose blanche. Je la prend et louvre en tremblant.
Petite sur
Je ne sais pas si je dois te dire merci ou pardon.
Alors je te dis merci et pardon.
Guillaume qui taime.
§§§O§§§
Nous nous voyons souvent, Guillaume et moi. Mais jamais nous navons reparlé de tout cela. Lexpérience était bonne, mais ne doit rester que souvenir.
Pour ce qui est de Tante Valérie, elle ne ma jamais dévoilée se qui cétait vraiment passé, quand javais les yeux bandés. Cest peut être mieux ainsi. Je la vois régulièrement, seule ou en compagnie de ses nombreux amis. Nos après midi et nos soirées sont torrides, pleines de douceur, damour et de sexe.
Dailleurs, je vous laisse, elle mattend.
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