Jeanne Et Le Bain De Minuit

L'été était très chaud et ce jour là nous avions invité à diner deux couples d'amis.
Vu la chaleur, les libations avaient été copieuses et nous avions tous bu plus que d'habitude.
Nous trouvant à quatre Kms de la mer je proposais d'aller prendre un bain de minuit pour nous rafraichir le corps et les idées.
Nos amis objectèrent qu'ils n'avaient pas de maillot de bain, ce à quoi je retorquais qu'un bain de minuit était par tradition pris dans le plus simple appareil.
Après quelques objections vite balayées, nous primes la direction de la plage, que nous trouvions deserte.
Chacun laissa tomber ses legers habits sur le sable, pour jeanne il ne lui suffisait que d'ôter sa robe et son string.
Jeanne téméraire se lanca vers le large accompagnée des deux autres hommes, moi je restais en retrait avec les deux autres femmes car l'eau était froide, et je ne suis pas un fana de la natation.
Le clair de lune éclairait les corps bronzes et faisait ressortir les bandes blanches des parties cachées par les maillots de bain.
J'avais donc la vue des seins et des fesses de nos amies et je voyais au loin Jeanne qui chahutait avec les deux hommes. Je devinais leurs mains baladeuses sur le corps de mon épouse, et vis celle-ci à genoux un moment entre les deux hommes. J'étais trop loin pour voir si elle faisait réellement ce que je pensais mais au mouvement de sa tête et à l'immobilité des deux hommes je compris que cette chienne leur suçait la queue.
Je fis remarquer cela à mes deux compagnes qui pour ne pas être en reste se jeterent sur ma queue bandée et me firent une double fellation dont j'ai encore le souvenir.
La plus vicieuse passa derriere moi et me demanda de me pencher pour m'enculer avec sa langue, pendant que l'autre enfonçait ma queue au plus profond de sa gorge.
Je ne pus tenir tres longtemps à ce régime, d'autant que je voyais toujours Jeanne pomper les sexes de mes copains, ce qui m'excitais au plus haut point.


Lorsque Jeanne revint avec les hommes elle me prit la queue et me roula une pelle dans laquelle je crus dicerner le gout de la liqueur qu'elle venait de boire.
Nous sommes ensuite rentrés chez nous, et nos amis partis, elle me demanda de l'enculer violemment tellement elle était excitée par les pipes de la plage.

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