Ma Nièce M'Héberge

Je devais me rendre à Clermont-Ferrand pour un Congrès de deux jours. J'envoyai un e-mail à ma nièce Charlotte pour savoir si elle pouvait m'héberger En contrepartie, je me proposais de l'inviter au restau le soir, comme ça elle n'aurait pas à se soucier du repas.
Il faut dire qu'entre Charlotte et moi il y a une certaine complicité, qui ne date pas d'aujourd'hui. Charlotte a maintenant 22 ans, moi un peu plus du double , c'est une jolie brunette aux cheveux courts, qui sait bien mettre en valeur sa féminité. Elle est pesque toujours en jupe (plutôt au-dessus qu'au-dessous du genou)-chemisier.
J'arrive chez elle en voiture et me gare dans la cour de son immeuble. Elle habite au second, et il semble qu'elle me guettait sur le balcon. Elle descend à ma rencontre et se jette dans mes bras. Je la serre contre moi, sentant ses petits seins s'écraser conte mon torse. Charlotte est en vacances. Elle est en t-shirt mauve et petit short blanc.
Elle s'empare de ma valisette et m'entraîne dans l'escalier, car l'ascenseur est en dérangement.
Arrivés dans l'appartement, je ne puis m'empêcher de la complimenter sur son physique et sa tenue. Elle se suspend à mon cou dans l'entrée, un fois la porte refermée, et enserre mes hanches de ses cuisses, comme elle faisait lorsqu'elle était adolescente. J'ai les deux mains libres, et j'en profite pour caresser son dos, à l'endroit de l'attache du soutien-gorge. Puis mes mains descendent vers ses petites fesses rondes et fermes, que je touche à travers son short. Ses cuisses sont douces.
Nous nous asseyons sur le canapé du salon. Je la prends sur mes genoux. Ses fesses sont sur ma braguette, déjà bien tendue, ce qu'elle ne peut ignorer. Je lui caresse les cuisses, puis l'entre-cuisses à travers le tissu fin de son short. Tout en l'embrassant, je palpe sa poitrine sur puis sous le t-shirt.
Je lui dis :
- Si tu me montrais ton soutien-gorge, ma chérie ?
- Eh eh, pas tout tout de suite, tonton
- Quand alors ? demandais-je tout en l'embrassant.

Elle allait me répondre quand son portable, qui était sur la table, sonna.
- Attends, me dit-elle, en se levant précipitamment pour répondre.
A suivre...