Les Parents De Mon Amie
Avertissement: les prenoms ont été changés, parce que mon amie aussi vient sur le site.
J'etais en fac. J'avais fait la conaissance de ma voisine dans l'amphi, Debora(Deb). Nous avons discuté pendant le cours et apres le cours. nous avons passé la soirée ensemble, diner, pub, bavardage, bavardage, bavardage. Apres cette soirée nous ne nous sommes plus quittés. On se telephonait tous les jours, même si on se voyait à la fac, on avait toujours un tas de choses à se raconter.
En plus on vivait dans le même arrondissement à Paris et comble de la joie dans la même rue, elle était au numero 45 avec ses parents et moi au 62 avec mon pere. Il y avait une brasserie entre nos deux numeros, on s'y retrouvait quand on n'avait pas trop envie de sortir.
Un matin en prenant ma douche, comme toutes les femmes, je me lavais le minou, quand j'ai senti une bosse tout pres de la lèvre, une toute petite bosse qui me faisait un peu mal quand j'appuyais dessus.
Les parents de mon amie étaient pharmaciens, et ils etaient tres gentils avec moi, ils m'emmenaient souvent en vacances avec eux. Parce que mon pere etait toujours entre deux avions, ils se sentaient obligés, je crois, de s'occuper de moi, histoire que "je ne parte pas à la derive"( c'etait leur phrase).
Je me suis donc rendue au 45, ils possedaient l'immeuble, une batisse de 3 etages. Ils vivaient au 1er et 2eme (duplex), avaient loué les 2 appartements du 3eme. Au rez de chaussé c'etait la pharmacie.
Quand je suis entrée il y avait beaucoup de clients, alors je suis restée au fond, je voulais attendre que cela se vide un peu, mais Irene ( la mere de Deb, petite brunette aux yeux vert, toute mince derriere ses 45 ans), m'a vu et m'a fait signe de m'approcher. J'ai traversé la queue timidement, legerement genée de passer devant tout ce monde qui me fusillait du regard. Je me suis dirigée vers le bout du comptoir histoire de raconter mon probleme à l'abri d'oreilles indiscrete.
Me voilà donc penchée au comptoir chuchotant ma bosse à la maman de mon amie. Elle s'est mise à rire et m'a dit que ce n'etait rien, mais qu'il valait mieux en parler à son mari qui s'y connaissait mieux en gynécologie. Fernand ( le beau pere, grand monsieur d'1m86, aux tempes grisonnantes et au corps bien musclé sous ses 52ans) est arrivé et de nouveau je raconte mon probleme, encore plus embarrassée. Il affiche un sourire et me rassure, mais il voudrait voir la bête et me demande d'aller l'attendre dans la salle à l'arriere.
Une piece pas bien grande, une table, une chaise, des cartons, des boites de medoc, des ustenssiles de cuisine, de biologie, une bate de baseball avec le gand et dedans la balle, une blouse blanche, des chaussures un paquet d'autres choses rangés en fouillie.
Le beau-pere de mon amie est entré, je donnais le dos à la porte.
Il m'a dit que ce n'etait rien et qu'il voulait juste voir l'aspect de ma bosse et s'il y avait du pue(beurk). Il m'a donc demandé de descendre legeremnt mon pantalon, mais je crois qu'il n'a pas compris que la bosse se situait pres du clitoris. j'ai tenté de le lui expliquer en choississant mes mots afin de ne pas depasser la bienseance. Il a repondu
" tu es presque comme ma Deb, alors ne sois pas genée, et puis Debora me parle de ses problemes vaginaux, je suis de bon conseil pour ça, n'aie pas peur".
J'ai baissé mon pantalon, hesitante. Il m'a fait assoir sur la table, et m'a demandé d'ecarter les jambes, pour une bonne visibilité. Je me suis executée, parce que sa femme etait juste à coté avec une tonne de clients, alors aucune crainte à avoir.
J'etais donc assise sur cette table froide sous mes fesses, le jean sur les chevilles, les cuisses ouvertes. Il s'est baissé, a ajusté ses lunettes et a passé le doigt au commencement de la cuisse à quelques centimetres de la levre vaginale. Il passait et repassait, je surveillais tout de même, qu'il n'aille pas trop loin, déja que l'air qui s'engoufrait dans mon vagin me faisait un peu mouiller, il aurait suffit de pas grand chose pour m'exciter.
Apres quelques minutes, j'etais confiante, il ne faisait rien de mechant et puis il soignait aussi sa fille alors! Je l'entendais dire
"oui, oui je vois ce que c'est, oui, oui".
Je scrutais la piece des yeux, sur un mur il y avait une photo de Deborah au ski et d'autres de la famille entiere. Je m'atardais sur celle de Debi, quand j'ai sentie un doigt sur ma levre. J'ai eue un leger sursaut, il m'a regardé puis c'est excusé en souriant. Il c'est remi à l'ouvrage gentiment, mais je surveillais pour etre sûre qu'il ne recommence pas. Apres un petit moment, de nouveau confiante, je me suis repenchée sur la photo de Deb. Une nouvelle fois je sens se doigt sur ma levre, puis carrement sur mon clitoris. d'abord doucement, puis de plus en plus vite. je me sens mouiller, bien mouiller. Genée, ennervée, surtout genée mais encore plus excitée je ne dit pas un mot, je le regarde c'est tout. Lui il ne bouge pas, ne me regarde plus et ne parle plus. Il est concentré sur ce qu'il fait. Il ecarte mes levres, fait glisser son doigt de mon clitoris au trou de mon minou, il y introduit son doigt, le tourne et retourne à l'interieur, le sort, le passe sous son nez et le met dans sa bouche. Il le suce, le ressort de sa bouche pour le remettre aussitot dans mon vagin. Moi je mouille de plus en plus, mais suis aussi inquiete. Il vient d'introduire un second doigt, il fait 2 ou 3 va et vient avec, puis rajoute un troisieme. Il fait tout ça sans s'occuper de moi, sans me regarder, comme si je n'etais personne. Je le vois enfourner les 3 doigts dans sa bouche, les lecher, ensemble puis un à un. Il degage l'une de mes jambes du pantalon, la pose sur la chaise, je suis un peu plus ouverte, il plonge sa tete et je sens sa langue monter et descendre sur ma foufoune, c'est bon, c'est si bon. Mais je ne veux pas qu'il sente que ça me plait, mais c'est aussi inevitable. Il introduit la langue dans mon minou, c'est delicieux, je n'en peux plus, j'appuis sa tete contre ma chatte et me frotte à son visage, je suis presque à la jouissance quand il att mon bras se degage et me lance un regard menaçant, je me confond en excuse, il se met dedout, reste un court instant figé devant moi degraphe son pantalon
" tu la veux tu vas l'avoir".
Il sort sa bite deja bien raide, large, gonflée de veines, au gland rouge sang. Il att mes jambes, les passe sur ses bras me penetre violemment, cette entrée brutale me fait pousser un petit cri. C'est terriblement bon. Il s'arrete d'un coup, se retire, me retourne et me plaque le ventre sur la table, il ecarte mes jambes du pied, tel un flic pendant un controle, et s'enfonce toujours aussi brutalement dans ma chatte, mais là je mouille tellement, sa queue entre facilement. Il m'assene de coups aussi bruyants que brutaux, et des insultes par-ci par-là
" ohhh salope, salope, salooope, oooooh".
La porte s'ouvre, Irene
"voilà c'est la pause, plus de client".
Elle me regarde, plaqué sur cette table, j'ai honte, horriblement honte parce que ma mouille degouline sur mes cuisses. Elle s'approche de moi, me prend par les cheveux
" salope, je savais que tu voulais te faire baiser par mon mari". Elle ecarte mes fesses de ses mains
" vas y mon cheri defonce cette petite garce".
Pendant qu'il me "defonçait" elle introduisait un doigt dans mon petit trou, de temps en temps il s'arretait et elle passait sa langue dans mon anus. Quel pied! Elle me donnait d'ennorme fessés que j'entendais claquer. Ils m'ont de nouveau retournée face à eux, elle m'a giflée, m'a e à m'assoir parterre, il ne disait rien, il se branlait en me regardant. Elle m'a attaché les bras à chaque pied de la table, mais j'avais vonlontairement ecarté les cuisses. Elle me crachait dessus, pinçait tres fort mes tetons au point de me faire mal, tirait sur mon clitoris.
"Vas y mon cheri baise la cette pute".
Cette fois c'est elle qui se faisait prendre par les cheveux
" ouvre ton garage à foutre et suce moi".
Il a enfoncé sa bite profondement dans la bouche de sa femme, maintenant sa tete et faisant des va et vient du bassin.
Une petite sonnette a retenti, signe que des clients venaient d'entrer. Il s'est rhabillé en quatrieme vitesse et est sorti.
" regarde, regarde comme ma chatte est belle, regarde la salope".
Comme si cela n'etait pas assez vulgaire, elle c'est assise en face de moi les cuisses bien ouvertes, s'est introduit un doigt, puis deux, tres vite c'etait le poing qui lui servait de bite. Elle se lechait les levres
" regarde à quoi ressemble une vrai chatte de pute, regarde bien ma cochonne".
Apres quelques va et vient du poing, où elle mouillait comme une folle, je n'avais jamais vu autant de liquide sortir d'une chatte, elle s'est eloignée et est revenue avec la bate de baseball dans les mains.
Mon excitation etait à son paroxisme, la scene qu'elle venait de me faire avait fini de me mettre dans tout mes etats. Je la regardais la suppliant presque de me baiser. Elle faisait bouger la bate devant mon visage, est venue l'ecraser sur mes seins.
quand elle l'a plantée à l'entrée de ma chatte, je me suis inquiétée devinant ce qu'elle voulait faire
" non pas ça!".
Et la voilà qui me reflanque une paire de gifle
" quoi pas ça! tais toi, je vais te dechirer, tu vas aimer ça".
Elle enfonce le bout le plus gros de la bate dans ma petite foufoune, je cris, mais timidement à cause des clients dans la boutique. Elle l'enfonce de plus en plus loin et fait des va et vient avec, cette bate est enorme et me dechire, mais j'aime ça, je perds le controle
" oui, oh oui, vas y, fais moi du bien, fais moi mal, arrache moi le con, demoule moi",
"tu vois je savais que ça te plairait, grosse pute".
Elle s'est assise en face de moi et s'enfonce le plus petit bout, mais insatisfaite, elle se retire, sort la bat de ma chatte
" tu ne le merites pas"
elle leche le bout qu'elle vient de me retirer, le suce, pose un pied sur la table et se l'enfonce. Elle a une belle chatte, bien ouverte au dessus de ma tete. Je la vois se baiser avec la bat et j'en meurs d'envie, je serre les cuisses, pour me faire jouir, ell vient coller sa chatte poilue sur ma bouche, je la suce avidement. Je passe ma langue, je veux lui faire du bien, je veux qu'elle me remette la bat dans la chatte. Mon coeur bat à vive allure, j'en veux plus, encore plus. Je me pisse dessus, je tire sur ses poils avec mes dents. Elle serre ma tete entre ses cuisses, j'ai mal, je m'en fou ,je la devore, j'avale le liquide et les poils, je mord son clitoris. Elle aime, elle aime
"vas y baise moi avec ta langue, baise moi, baise moi".
A ces mots son mari revient
" ah mes cochonnes, vous vous regalez".
Il plaque le ventre d'Irene sur la table, juste au dessus de ma tete, la fourre aussi violement que moi au debut et la baise
" vas y prends, prends ça, ma salope, prends ma bite dans ta chatte, tu aimes ma queue hein, hein, tiens prends".
Moi je tends la tete un maximum pour lecher la chatte ou la bite, nimporte. Je supplie
" je veux qu'on me baise, baise moi, baise moi aussi".
Il sort sa bite de la chatte de sa femme pour la fourrer dans ma bouche
"tiens voilà",
puis la remet dans sa femme, le ressort pour ma bouche
" allez mes cochonnes".
Il prend Irene par les cheveux la jette parterre, me libere les bras, s'agenouille devant moi, me tire vers lui
" une bonne chatte de fille de 20 ans".
Il me baise , elle n'est pas contente, vient s'assoir sur ma tete, pose sa chatte sur ma bouche, je lui ecarte les fesses, enfonce un doigt dans son anus, et recommence à lui bouffer le minou, je le mord tire dessus avec mes dents, elle cri de plaisir moi aussi. Se releve , reprend sa bat et au dessus de ma tete nous la voyons se faire des va et vient avec son mari, qui ne devait jamais l'avoir vu faire ça car il se retire brusquement et vient jouir sur mon visage en la regardant. Je sens au bout de quelques secondes un torrent de liquide se deverser sur moi c'est Irene ( une femme fontaine, je n'apprendrait ce nom que plus tard), elle hurle sans se soucier de probable clients
" oh putain, oh putain, c'est bon, c'est bon, ooooh ma chatte ce qu'elle prend cette pute, ce qu'elle prend, ouiiiiiiii".
Le fait de l'entendre jouir aussi durement me fait jouir à mon tour instantanement. Je suis trempée du sperme de Fernand et du litre de jus d'Irene. Nous restons ainsi quelques instant, extenués.
Quand tout le monde reprend ses esprits, j'ai de nouveau honte. On s'habille et il retourne à leur comptoir et moi à la maison, j'ai completement oublié ma bosse.
J'avais rendez-vous le soir même avec Debi, je devais passer la nuit chez elle, c'est elle qui est venue chez moi et là, là...
Mais ça c'est une autre histoire.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!