Le Déchainement Continue

Après notre aventure avec Sabine, je ne faisais plus jamais l’amour avec Margaux, je la baisais, ce qui lui convenait parfaitement à en voir son état à chacun de nos rapports. Il faut dire qu’à chaque fois, je lui rappelais la salope qu’elle avait été ce jour là et c’est certainement cela qui la replongeait dans l’ambiance.

Trois semaines passèrent comme cela, et nous brûlions d’envie de renouveler cette magnifique expérience. Et puis enfin, Sabine nous contacta, elle m’ordonna par téléphone d’amener Margaux, le samedi suivant à une adresse située dans la même ville qui nous avait accueilli pour notre premier rendez-vous.

Nous y sommes arrivés, toujours après trois heures de route. C’était un cabinet médical, plusieurs médecins du travail y exerçaient dont un dont le prénom était Sabine. Notre sabine était-elle médecin ? J’en étais assez surpris. Puis elle nous ouvrit vêtue d’une blouse blanche. Elle nous installa dans la salle d’attente. Quelques minutes plus tard, elle nous fit passer chacun dans un vestiaire qui devait servir à faire déshabiller les patients. Ce qu’elle nous demanda de faire. Jusque là on aurait pu avoir l’impression de passer une visite médicale ordinaire. Mais j’imaginais déjà tout ce qui allait bien pouvoir se passer dans ce cabinet.

Elle est venue me chercher en premier et me disant que si je voulais participer je devrais être attaché, elle m’emmena vers une grande pièce qui ressemblait plus à une salle de réunion qu’un cabinet médicale. Au milieu, il y avait une table de consultation sur laquelle Sabine me demanda de m’allonger et entreprit de m’y attacher solidement. Puis elle me laissa seul. De longues minutes plus la porte de la pièce s’ouvrit et je vis Margaux allongée sur une table de consultation gynécologique, entièrement nue, les pieds dans les étriers et donc les cuisses largement écartées laissant voir sa chatte qui j’en fut surpris venait d’être totalement rasée. Deux hommes poussaient son « brancard » et pouvaient profiter en même temps que moi du spectacle de ma femme ainsi offerte.

Je reconnu en l’un d’eux l’homme de cinquante ans qui était intervenu lors de notre première rencontre avec Sabine. L’autre homme était sensiblement du même âge. Puis ils sont ressortis tous les deux, nous laissant seuls avec Sabine.

Elle s’occupait de Margaux et je ne me faisais guère d’illusion quant à ma participation aux festivités, je me contentais donc de la scène qui m’était offerte. Margaux était déjà très réceptive, et Sabine ne prolongea pas les préliminaires. Elle sorti de la pièce et entra presque aussitôt avec trois hommes. Je me disais à ce moment qu’elle allait en prendre plein ses trous. C’était une première pour Margaux d’être prise par plusieurs hommes. Ce groupe était composé des deux hommes qui l’avaient amené dans la pièce, puis d’un autre plus jeune qui devait avoir 35 ans. Ils s’approchèrent d’elle. L’un se posta debout entre ses jambes, les fesses de Margaux étant sur le bord de la table de consultation et il n’eut aucun mal à la pénétrer d’autant plus qu’elle devait mouiller abondamment. Un autre se plaça à sa droite au niveau de sa bouche et lui attrapant la tête entreprit de se faire sucer. L’autre se mit à coté de son collègue pour pétrir les seins de ma chérie qui commençait à gémir. Moi j’étais tout près d’elle sur son coté gauche toujours attaché et je la regardais prendre du plaisir à sucer une grosse bite et en recevoir une autre.

Les hommes ne la ménageaient, et la pistonnaient comme elle le méritait. Puis le premier jouit en partie dans sa bouche et sur son visage, l’autre se mis également à jouir dans sa chatte et le troisième se déversa sur son ventre, puis ils repartir tous les trois vers la sortie. Margaux tourna légèrement la tête et je vis dans son regard comme une déception. Elle n’en avait pas assez et n’avait pas encore jouit. Elle appréciait vraiment de se faire prendre par ce groupe d’homme et voilà que tout était déjà terminé. Mais ses yeux s’écarquillèrent quand elle vit entrer un deuxième groupe de trois homme.
L’un était âgé d’une trentaine d’année, un autre donnait l’impression d’être puceau et devait tout juste être majeur, le troisième avait au moins 65 ans. Le jeune prit la bouche de Margaux, le trentenaire la pénétra et le vieux attendait sur le coté.

Elle s’éclatait, se déchaînant en suçant le jeune garçon, mais l’homme qui la pénétrait se retira et éjacula sur sa chatte et sur son ventre. Ceci déclencha l’éjaculation du jeune qui déversa des quantités impressionnantes de sperme sur le visage de Margaux. Le vieux pris place entre ses jambes et relevant ses fesses, la pénétra d’un coup sec. Au cri que margaux poussa à ce moment, je compris qu’il venait de la sodomiser. Quelques coups de butoir plus tard et il jouit dans son cul. Ils sortir tous les trois de la salle, et un autre groupe de trois entra. Je n’en croyait pas mes yeux. Sabine s’approcha de moi et me dit « alors surpris. Ne t’inquiète pas ce n’est pas fini, j’ai recruté tous ces hommes pour qu’ils baisent ta femme, ils sont venus pour ça et il ne vont pas reculer devant une salope pareille. Je suis sure que tu aimerais la baiser aussi. Mais à partir d’aujourd’hui, elle est à moi et elle fera ce que je lui ordonne. Elle aura pour consigne de ne plus te satisfaire et si tu veux t’envoyer en l’air, tu devras me le demander. Mais tu auras quand même un lot de consolation. C’est toi qui la fera jouir, ils ont tous pour consigne de ne pas la laisser jouir.» et en me disant ces mots, elle me toucha la queue et je failli jouir par cette simple caresse.

Margaux étaient toujours sous le coup de ses étalons qui la baisaient à tour de rôle. Je ne prêtais même plus attention à qui baiser ma femme, toutes les générations lui passaient dessus. Au total une vingtaine de types se sont succédés dans tous ses orifices, elle était maintenant couverte de leurs semences et devait aussi en être remplie. Sabine la fit se lever en lui disant « maintenant tu vas jouir », et je compris que c’était à moi. Elle la positionna à genou au dessus de ma tête et je voyais le sperme qui coulait le long de ses cuisses sortant de ses deux trous.
Sabine plaqua la chatte de Margaux sur ma bouche et je me mit à lui bouffer le minou, léchant au passage les effluves des mâles qui venaient de prendre ma femme. Cela aurait pourtant du me répugner, mais mon excitation surpassa ce dégoût et en un instant elle contracta les muscles de son vagin faisant sortir encore plus de liquide et explosa de jouissance.

Elle se retira ensuite et Sabine pris place sur ma queue. Elle était trempée et s’activa énergiquement sur mon sexe. Notre état d’excitation à tous les deux nous amena à jouir très rapidement. Elle nous raccompagna dans les petits vestiaires en nous disant « au revoir ». Nous nous sommes rhabiller, Margaux n’ayant à peine eu le temps de se débarbouiller le visage et donc encore dégoulinante de sperme, nous sommes rentrés chez nous encore tout bouleverser de ce que Sabine nous avait préparait.

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