Jocelyne 2
Il avait dit : " Viens ici samedi vers dix sept heures
et pas question de repassage, nous ne ferons que nous amuser tous les trois
. Nous nous occuperons de toi en détails
."
Nous amuser
nous amuser
nous amuser
Le vendredi, je fus surprise de trouver un petit paquet dans ma boite à lettre. Je n'avais pourtant rien commandé nulle part. Pas de cachet de la poste
le colis avait du être déposé. Curieuse, je l'ouvris. Il contenait deux pochettes, une boite et un petit mot. Je reconnus l'écriture de Monsieur Guy. Le petit bristol disait :
" Pour demain
et sans autres sous vêtements
Guy "
Fébrilement, j'ouvris les pochettes. Elles contenaient respectivement, une paire de bas noir et un porte-jarretelles de même couleur. La boite, elle contenait une paire d'escarpins vernis noir. Ces chaussures étaient très belles. Elles devaient valoir cher. Mais ce n'était pas là leur seul motif d'interrogation. L'autre motif était : comment vais-je marcher avec ça ? Le talon très fin me paraissait vertigineux. Il y belle lurette que je ne portait plus de chaussures à talons. En fait je crois ne jamais en avoir porté de si haut. J'allais grandir de onze centimètres
et je n'avais que ma soirée et ma matinée de demain pour m'y habi.
Je vous l'ai dit j'avais l'habitude me déshabiller dans l'entrée du pavillon de Monsieur Guy lorsque j'allais repasser, mais là
il voulait corser l'affaire
. Il est vrai qu'il était très attiré par les actrices de film porno et me disait très souvent qu'il aimerait bien que je leur ressemble. Ce n'est pas que je trouvais cela dégradant, juste un peu gênant m'en moquant toutefois tant je me sentais prête à leur donner satisfaction. Après tout, j'avais bien fait l'amour avec Bertrand sous le regard de Monsieur Guy. Dans un sens c'était sûrement plus inavouable que de se mettre en en lingerie sexy. En plus, ses mots "pour nous amuser
pour nous amuser" résonnaient encore une fois dans ma tête.
J'eus du mal à trouver un sommeil serein et là, dans mon lit, malgré cette chaleur, née de l'ouverture des cadeaux de Monsieur Guy et qui ne me quittait pas. Je luttais contre le plaisir, et m'interdis de me caresser comme si je ne voulais pas entamer mes influx de demains. Mais je dois admettre que j'avais envie de jouir
. jamais pareille chose ne m'étais arrivée j'avais envie de jouir par le sexe de Bertrand et en plus, de jouir en contentant leurs fantaisies qui seraient probablement immodérées.
Le matin me trouva dans le même état d'esprit et pour la première fois je décidais de ne pas m'habiller de la journée et de ne la passer que juchée sur les talons aiguille offerts. J'effectuais donc mes petits travaux ainsi. Je faisais des pauses de temps à autre car je manquais d'entraînement. Le fait d'avoir le pied en extension me faisait un peu mal au mollet. Tant pis, je persévèrerais. De toute façon, je n'allais certainement pas faire des kilomètres. Je me voyais, au cours de la soirée à venir, plutôt allongée ou a genoux (oh oui!) ou encore à quatre pattes (oh oui, oui, oui
). Le temps s'égrenait avec une lenteur
. Plus le temps passait, plus une chaleur sourde m'envahissait le ventre. Je ne pouvais m'empêcher de me toucher les seins. Ils étaient tout gonflés de désir et dès que je me les caressais, les bouts s'allongeaient comme rarement, comme s'ils n'attendaient qu'une chose, être pétris, manipulés, sucés. Bon, il était enfin temps que je me prépare. Je me coiffais soigneusement, faisant gonfler mes cheveux et retaillais minutieusement ma toison pubienne. Sur les sites pornos que m'avais enseigné Monsieur Guy, les actrices étaient superbes, avec beaucoup de point communs : des poitrines on ne peu plus généreuses, toutes étaient extrêmement et fort bien maquillées, la majorité étaient blondes (vraie ou fausses), et la plupart avaient le pubis et l'entrejambe complètement épilées.
Ah les vêtements ! si l'on peu dire
. J'agrafais le porte-jarretelles et en réglais celles-ci, puis j'enfilais les bas, les lissant bien le long de mes jambes pour les fiacre monter le plus haut possible. Une fois tout bien mit en place et les jarretelles bien tendues je me glissais dans mes chaussures. Un regard dans le miroir
ouh là là
j'avais presque peine à me reconnaître. Je faisait très
très
enfin
vous voyez ! En toute honnêteté je pensais pouvoir ainsi parée, provoquer le désir chez beaucoup d'hommes. Et c'était exactement le but recherché. Je voulais exciter ces deux débauchés et les rendre encore plus vicieux à mon égard.
Bon, il était presque l'heure. En jetant un petit coup d'il par la fenêtre, je vis que la voiture de Bertrand était là. Dire que dans un moment, j'allais de nouveau avoir on gros membre dans la bouche
.
A la hâte, je mis rapidement un chemisier et une jupe et enfilais un vêtement de dessus. Le cur battant, je traversais la rue. Comme d'habitude lors de mes visites, la porte du pavillon n'était pas verrouillée.
"Ah voilà la belle Jocelyne ! C'est bien tu es à l'heure" intervint Monsieur Guy
"Tu parles qu'elle est à l'heure ! Ca doit la démanger !" répartit Bertrand
"Alors tu as trouvé mon paquet ? Si tu nous faisais voir comme tu as été bien obéissante !"
Je répondis affirmativement et prenant le bas de ma jupe à deux mains, je fis posément remonter le tissu. Je dévoilais ainsi mes genoux puis lentement mes cuisses. Leurs yeux s'allumèrent en apercevant le renfort du bas et la peau nue au-dessus. Ménageant mon effet je leur fit enfin admirer mon pubis encadré par les jarretelles noires. Ils apprécièrent
puis me demandèrent de montrer le coté pile. Serrant le tissu de ma jupe autour de ma taille je me tournais leur faisant reluquer mon postérieur nu. Monsieur Guy tout d'abord me complimenta sur mon obéissance. Bertrand me complimenta, lui aussi, à sa manière
en déclarant "que j'avais quand même une balle paire de miche".
"Fais-nous voir le haut maintenant !" demanda Bertrand.
Aussi posément que j'avis fais pour la jupe, qui était retombée, je défis les bouton de mon chemisier et en écartais les pans dévoilant mes seins nus. Sous les regards lubriques ils semblèrent se gonfler encore et durcir d'une manière peu courante. J'étais, je l'avoue, vraiment, mais vraiment excitée.
"Enlève tes fringues ! Allez à poil maintenant !" indiqua Monsieur Guy.
Je retirais jupe et chemisier et les laissais me lorgner à loisir. Monsieur Guy dit me trouver particulièrement désirable ainsi en porte-jarretelles et talons hauts. Il ajouta que cette coiffure et mon maquillage m'allaient très bien. Il souhaita que je sois désormais ainsi au minimum pour chacune de mes visites. Je promis. Pendant qu'il me complimentais, Bertrand s'était levé et vint se poster à mes cotés et se mit à me caresser les fesses.
Il trouva aussi que le dessin de ma bouche était très réussit. Il ajouta que j'avais décidément "une bouche à tailler des pipes" et joignant le geste à la parole il me pesa sur l'épaule me faisant comprendre ce qu'il souhaitait que je lui pratique. Docilement, je m'agenouillais devant l'homme et défit son pantalon. Comme l'autre jours, il était nu en dessous. Je baissais le pantalon et finalement il m'aida, décollant un pied puis l'autre, à le retirer complètement. Je pouvais me consacrer à l'imposante virilité de Bertrand. je commençais à la caresser imprimant à mon poignet des petits mouvement d'ondulation. Quand elle fut fièrement redressée, je léchais ce beau gland cramoisi et refermais mes lèvres autour comme pour former une moue sensuelle. Avec une lenteur calculée j'engloutis le mandrin. Il soupira d'aise. Enfin j'avais en bouche un gros
une grosse
bref j'avais la bouche remplie pour ma plus grande joie. Je me mis à le sucer avec application ouvrant la bouche en grand pour l'absorber. Lorsqu'il l'enfonça loin, je n'eus pas de réflexe de nausée comme la fois dernière. J'en conçus une légitime fierté. Il recommença, pour voir. Devant mon nouveau savoir faire il évalua:
"Parfait Jocelyne tu vas pouvoir le prendre en entier maintenant ! Mais dis-moi, tu t'es entraînée sur qui ? Guy ? Ton facteur ?"
Monsieur Guy me força à dévoiler que je m'étais entraînée avec une carotte. Je crois pratiquer cette fellation sous les yeux de Monsieur Guy en rajoutait à mon excitation et je voulais me surpasser Je mis en uvre tout mon savoir faire, la faisant bien coulisser entre mes lèvre, la serrant entre mes joues, l'embrassant, la léchant, l'aspirant titillant le méat de mon bout de langue
sans oublier les belles bourses lisses et douces. Bertrand, pourtant satisfait de mes activités me fit cesser et en disant :
"Bon, maintenant il faut que l'enfile !'"
Il m'aida à me relever et me prit dans ses bras pour m'embrasser voracement. La chaleur de sa langue remplaçait celle de son sexe. Je passais mes bras autour de lui. Son sexe était plaqué contre mon ventre. Il me fit reculer jusqu'à ce que mes fesses butent contre le rebord de la table de salle à manger. Il me poussa légèrement m'invitant à m'allonger sur le dos. Il me leva les jambes et les écarta. Il prit sa verge en main et m'en caressa le clitoris et l'ouverture du vagin. J'étais trempée et je ne pouvais empêcher mon bassin d'aller à la rencontre de cette hampe. Cela les fit ricaner et il me demanda :
"Tu la veux hein ! Dis-moi que tu la veux !"
"Oh oui Bertrand je la veux !"
"Qu'est ce tu veux ?"
"Ton sexe Bertrand
ton sexe
"
Monsieur Guy nous interrompit.
"Jocelyne je t'ai déjà dis que je voulais que tu ne dise que des mots grossiers. Alors répète ! Qu'est ce que tu veux ?"
Qu'est ce qui me prit encore ? Monsieur Guy m'avait bien fait proférer deux trois grossièretés. J'avais obéi en rougissant. Mais là c'était différent, je le savais
il en voulais davantage et moi j'avais envie de lui plaire. Toute honte bue, je me laissais aller :
"Sa bite Monsieur Guy, je veux sa grosse bite
. Bertrand donne moi ta grosse bite !"
"Tu vois quand tu veux !"
Et je sentis le
la
la grosse bite de Bertrand s'enfoncer en moi. Comme l'autre jour, il fit cela posément. J'entendis approcher le fauteuil de Monsieur Guy. Celui-ci voulait admirer le spectacle de plus prêt. Lentement mais inéluctablement la verge poursuivait son avance, et ce, jusqu'à ce que les testi
les couilles butent contre mes fesses. J'étais embrochée à fond, quelle sensation ! Elle fut encore plus sublime quand il se mit en mouvement. Ooooh ! Conscient de mon offrande, il ne se gêna pas pour m'imposer de puissant va et viens. Monsieur Guy s'était approché et me triturait les seins. J'étais dans tous mes états, ce qui fit dire à Bertrand :
"Elle est bonne tu sais Guy ! il faut vraiment que tu la baise !"
"On verra
.on verra
." Répondis ce dernier toujours, je suppose, en se sentant coupable de ne plus être ce qu'il avait été. Tout doucement je commençais à partir quand Bertrand m'apostropha :
"Tu aime ça hein te faire baiser comme une chienne ?"
"Oh oui j'aime ça !"
"Comme une chienne ?"
"Ouiiiii comme une chienne ! Bertrand baise moi comme une chienne en chaleur !"
"Ah tu veux être une chienne ! Attends !"
Il sortit de moi et me prenant par le bras me fit relever. Après un patin bien goulu, il me fit mettre à quatre pattes sur le tapis du salon, écarter les cuisses puis il me prit en levrette somme toute ! Monsieur Guy s'était placé face à moi et tout en se caressant ne perdait pas une miette de ce que me faisait Bertrand Les mains de se dernier me tenaient par la taille pendant qu'il me bourrait de grand coups de reins. A un moment, il me prit par les cheveux qu'il tira en arrière pour me faire cambrer davantage en disant :
"C'est bon hein ! tu aimes ça !"
"Oui Bertrand c'est booon ! Oui j'aime çaaaaa! Prend-moi
.baise-moi !"
"Tu vas faire ta chienne maintenant ! Allez aboie !"
Comme je n'obéissais pas, un claque magistrale s'abattit sur mon postérieur
"Allez aboie !"
La seconde claque, encore plus appuyée me fit céder et
très timidement
je me mis à aboyer.
"Plus fort !" commanda Monsieur Guy.
Servilement je me mis à le faire
et c'est peut être le fait de réaliser cette complaisance perverse autant que les coups de boutoirs de mon amant qui me fit jouir. Je me rendais bien compte de la situation. La petite secrétaire insipide d'il y a quelques temps se retrouvait en porte-jarretelles, prise en levrette au beau milieu d'un salon par un homme superbement membré, obligée d'aboyer devant un infirme qui se masturbait en savourant la scène
.
Oui
je jouis en criant entre deux aboiements
. Sentant ma jouissance Bertrand se lâcha également et ne se retint plus. Je le sentis se vider dans mon vagin puis se retirer.
J'étais encore étourdie de mon orgasme quand Monsieur Guy me demanda de venir l'embrasser. Je m'empressais de venir vers lui. Pendant qu'il me bécotait fiévreusement, je sentis ses doigts venir explorer mon sexe. Bertrand, lui s'était rapproché et passant les mains sous moi me pétrissait les seins. Ouhhhh ! la soirée ne semblait pas finie. Monsieur Guy tint à me faire sucer ses doigts souillés de mes sécrétions et encore plus de l'abondante semence dont Bertrand m'avait fait don. Monsieur Guy me prédit :
"Tu vas voir Jocelyne, nous allons te transformer
avec nous tu vas devenir une grosse cochonne !"
Demandais-je autre chose ? Non, le programme me convenait même s'il me faisait un peu peur. Les deux hommes parlementèrent ensuite un moment. Bertrand voulait absolument que son ami me baise. Monsieur Guy hésitait, il avait peur de ne pas être à la hauteur. Bertrand me pria d'insister. Je balbutiais:
"Oh oui Monsieur Guy ! Ce n'est pas grave si cela ne marche pas tout à fait
nous recommencerons ! Je vous promets, je serais une infirmière patiente et très dévouée
allez Monsieur Guy ! Et puis, j'en ai tellement envie
"
Je n'eus pas beaucoup à me forcer car c'était vrai. Il fur vaincu par mes accents de sincérité. Nous gagnâmes donc sa chambre. Lui par le monte charge et Bertrand et moi par l'escalier. Tut en montant Bertrand me demanda d'être particulièrement lascive pour donner le plus de plaisir possible à son amis. Je promis de faire de mon mieux. Jamais je n'étais venu faire des cochonneries dans sa chambre. D'habitude cela se passait en bas. De cette chambre, je vous reparlerais peut-être un jour. Monsieur Guy s'allongea donc sur le dos et j'achevais de le dévêtir. Avec lenteur je me mis face à lui à quatre pattes puis j'avançais depuis le bord du lit. Je stoppais, ma bouche à hauteur de son pénis et sans l'aide des mains je pris entre mes lèvres et le suçait un peu. Je repris ma progression et se furent mes seins qui frôlèrent sa verge tendue. J'avançais encore, l'embrassais puis comme mon vagin était à l'aplomb de sexe, je le pris en main me l'introduisit et m'abaissais avec douceur. Il poussa un long gémissement, un peu comme si c'était la première fois qu'il possédait une femme. Je restais un instant sans bouger pour qu'il s'habitue puis très doucement je me mis à onduler des hanches. Je penchais ensuite sur lui écrasant mes seins contre son thorax pour venir l'embrasser et lui lécher les lèvres. Enfin me redressant j'envisageais de le chevaucher avec délicatesse. Bertrand s'était confortablement installé dans un fauteuil pour regarder le show. Tout doucement je montais et descendais sur le manche de Monsieur Guy. Bien entendu, sa taille était inférieure à celui de Bertrand mais néanmoins elle était de bonne taille. Il était inévitable qu'elle me fasse jouir un jour ou l'autre et bien comme il faut
.
A un moment je m'étais de nouveau penchée pour embrasser Monsieur Guy quand Bertrand se leva. Il se mit sur le coté du lit et attira ma tête vers lui. Il me fit tourner le visage vers lui
enfin vers sa bite qu'il avança au devant de ma bouche. Il voulait que je le suce en même temps que je faisais l'amour à mon second partenaire. Jamais je n'avais fait cela ! Déjà baiser devant quelqu'un d'autre me semblais très osé en dehors des films, mais m'occuper de deux hommes à la fois
. Je fis pour le mieux en essayant de coordonner les mouvements de mon bassin et celui de ma tête. Ce n'était pas évident ! Encore une fois ma référence était les films pornos. Je me rendis compte en fait à ce moment que les actrices et acteurs étaient de vrais pro. Ils n'avaient pas, eux de problèmes de coordination et pourtant j'y mettais du mien.
Finalement, devant mon manque évident de pratique Bertrand se rassit en grommelant je ne compris pas bien quelque chose comme "
faudra qu'elle s'entraîne
" ou "
faudra qu'elle apprenne
". Par contre, il me demanda :
"Caresse-toi les nichons ! Guy adore voir des gonzesses se peloter les nibards !".
Ça je savais. Il me demandait de le faire à chacune de nos rencontres. Comme je le faisais d'habitude devant lui (et aussi seule chez moi) je me pris les seins en coupe et commençais à le mes caresser. Je m'attaquais ensuite à leurs pointes que je pris entre les pouces et les index pour les faire se raidir encore plus et le tout en continuant d'aller et venir sur le membre de Monsieur Guy. Je le sentais bien maintenant, c'était bon
et j'étais très, très excitée par la situation. J'étais en train de me caresser la poitrine, chevauchant l'homme qui me dévergondait pendant qu'à ses cotés son meilleur ami bandait comme un cerf dans l'attente évidente de son tour.
"Lèches-les maintenant, ils sont assez gros pour cela !" commanda ensuite Bertrand.
Ça par contre, ne n'avais jamais fait, même dans mes moment de solitude. Indiscutablement Bertrand état vraiment un cochon (et j'étais encore bien loin de la réalités). Encore une fois, complètement dépendante de leurs exigences, je remontais mes lolos vers le haut et me mit à lécher sensuellement. Je me promis de recommencer (seule ou pas) car je m'aperçus que j'aimais bien le contact de ma propre langue sur mes seins. La scène dut plaire à Monsieur Guy. Je le sentis plus gros et il me pria d'accélérer ma cadence. Je le sentis se raidir de tout son être en il rugit en giclant au profond de mon vagin. Cela avait été un peu trop bref pour moi et il culpabilisa :
"Tu vois, j'avais raison ! Je ne t'ai même pas fais jouir
Je le rassurais, l'assurant que ce n'était que partie remise, que ce serait mieux la prochaine fois ou celle d'après, ou celle d'après encore. Je l'assurais de ma patience à venir et concluais que de toute façon, il se servait déjà pas mal de ses doigts et de sa langue pour m'assurer le plaisir. Il parut rasséréné pas entièrement convaincu.
Bertrand se lev et en proférant un "bon c'est pas tout ça !" il vint s'installer sur le lit et demanda de me mettre en position de soixante neuf. Je m'emparais avec gourmandise de la grosse bite et lui se mit à agacer mon clitoris de sa langue. Alors qu'il me lapait la vulve, il avala un des petits poils frisés de ma toison. Il toussa en rouspétant. Toujours au aguêts, Monsieur Guy renchérit avec une nouvelle exigence :
"Il va falloir que tu te fasse épiler ma petite Jocelyne. Tu m'entends bien pas rasée épilée
je ne veux que tu n'ai plus aucun poil
nulle part ! Allez promets !"
La langue jouant avec mon clitoris et les lèvres de mon sexe m'affolait
je promis. A priori le mélange de cyprine et des deux éjaculations mêlées ne gênait pas trop Bertrand. Remarquez, il s'intéressa vite à autre chose. Une ou deux fois sa langue râpeuse était remontée jusqu'à mon orifice le plus secret. Maintenant elle s'y appesantissait comme s'il souhaitait déplisser mon illet.
"Ton petit cul m'excite trop ! Je vais t'enculer Jocelyne !".
J'étais prévenue
. A dire vrai, je ne fus pas surprise. Voyant à qui j'avais à faire, je me doutais qu'ils ne voudraient pas se priver de faire subir les derniers outrages. Par avance je m'étais résignée. Il y fort longtemps mon mari me l'avait fait quelque fois. Cela ne s'était pas trop, trop mal passé. Il faut dire que les tailles des sexes n'étaient pas comparables. Ce n'avait pas été somme toute trop désagréable
ni très agréable non plus ! J'avais consenti à cette demande pour lui faire plaisir. Là les choses me semblaient différente. Non pas que j'en aie une envie démesuré (quoique
) mais je m'était faite à l'idée
et elle avait fait son chemin. Il m'avait fait l'amour, je l'avais sucé, donc suite logique
. Ma seule inquiétude était la taille de la
de la queue qu'il allait me mettre dans
mettre dans le cul ! Voilà, je pensais avec les mêmes mots qu'ils employaient et avec lesquels ils voulaient que je m'exprime.
Jespérais simplement qu'il prendrait soin de m'enculer avec précaution .Je lui dis :*
"Fait doucement, elle est tellement grosse".
"Je vais faire comme d'habitude, tu n'es pas la première que j'encule me répondit il.
Sa langue d'abord me travailla la rondelle, puis se glissa dans mon anus pour me le lubrifier.
Une fois l'opération terminée il me de manda de me mettre à quatre pattes sur le lit et de bien me cambrer. Il enfonça tout d'abord un doigt qu'il fit aller et venir, puis deux avec lesquels il entreprit des mouvements tournants puis qu'il écarta pour me distendre encore, puis enfin c'est avec trois doigt qu'il finit élargir l'ouverture. Lorsqu'il me pensa prête il appuya son gland ,sur mon petit trou. Je détendis pour lui (et me) faciliter les choses. Il ne me pénétra que de quelques millimètres, s'arrêta puis recommença sa poussée pour que je sois pénétrée d'une manière plus conséquente. Il ressortit sa bite, m'écarta les fesses en grand, fit tomber un peu de salive de sa bouche sur mon anus prêt à le recevoir. Il re-força mon anus et appuya lentement mais sûrement, je le sentis senfoncer de quelques millimètres, puis ressortir, puis écarter de nouveau mes fesses et recommencer sa pénétration. Je sentis mon sphincter se relâcher et son gros gland passa le cap de mon muscle anal. Je sentis sa queue sintroduire plus profond puis se dégager encore et revenir. Il marqua un temps d'arrêt une petite minute et repris sa progression Legros gland me m'écarta les muqueuses désormais sans discontinuer jusquà me toucher le fond et appuyer contre celui-ci fortement. En sueur, je ne pus empêcher un râle de sortir de ma bouche
un peu de douleur et aussi un peu de plaisir (enfin pas vraiment encore mais plutôt comme une fierté d'avoir tout prit !). Il comprit que je devais d'abord "l'accepter" et ne se mit à bouger que quelques minutes après. J'étais écartelée, mais je crois que j'aimais ça, je ne ressentais presque plus de douleur,simplement une sensation d'écartèlement anal, la sensation d'être remplie. Il se mit a bouger légèrement en moi en mouvements, circulaires sensuels et délicieux comme pour se ménager de la place. Je le sentis alors se retirer
complètement. Il me dit :
"Celle-là tu vas lavoir profond dans le cul ma salope"
Il pointa son gland à lentrée de mon anus qui lâcha facilement cette fois sous la pression et je pris sa grosse queue d'une traite dans le cul. Il remplit mon orifice au plus juste de ses possibilités, se couilles venant battre ma chatte. Il se mit à me sodomiser alors lentement avec force, je sentais chaque millimètre ainsi que chaque aspérité de sa pine en moi. Il allait me rendre folle. Je découvrais encore quelque chose : le plaisir anal. Je savais que j'aimais assez être soumise et je m'apercevais qu'il n'y avait pas plus douce humiliation que la sodomie. Je découvrais que, j'aimais cela, recevoir les coups de queue d'un homme me défonçant l'anus, cambrée et offerte sur un lit comme maintenant ou ailleurs. Il commença alors un va-et-vient de plus en plus rapide sous l'il allumé de Monsieur Guy qui s'était mis à rebander à son tour et qui se caressait. Ce que voyant, Bertrand nous fit changer d'orientation sur le lit et me fit avancer vers Monsieur Guy à grands coups de bassins. Enfin, quand je dis "vers", il est plus exact de dire qu'il me fit avance au-dessus de Monsieur Guy, et même plus particulièrement au dessus de sa trique. D'une pression sur la nuque il me fit l'absorber. A nouveau je devais m'occuper simultanément des deux hommes. Sauf que là, j'en avais une fichée dans le rectum et l'autre entre les lèvres. Cela me sembla meilleur encore
et plus facile du fait de la position où les coups de reins de Bertrand me projetaient vers le membre de Monsieur Guy. Celui-ci passant un bras sous moi se mit à se consacrer à mes seins et à leurs bouts érigés. Je sentais monter un plaisir fort et inéluctable qui menvahissait complètement de la tête aux pieds crescendo, toujours plus fort, je perdais insensiblement tout contrôle sur moi même.
Je m'évertuais à bien pomper Monsieur Guy, enfin du mieux que je pouvais car Bertrand m'enculait divinement bien en me débitant des mots bien crus que je finissais par aimer :
"Tu laimes ma grosse bite dans ton cul , salope! "
"Oh oui, je l'aime !"
"J'aime ta grosse bite"
"Où est ce que l'aime allez dis !
"J'aime quand tu me la mets dans le cul Bertrand ! Ouiiiii elle me remplit ta grosse queue ! Ooohh mets-moi la bien à fond
."
"Je ne t'ai pas bien entendu ! Tu n'as pas dit comment tu voulais être enfilée !"
"Fort, oui fort
. Oh oui Bertrand encule-moi bien ! C'est cela que tu veux que je dise ? Alors oui vas-y encule-moi à fond
. Que veux-tu que je dise encore ? Que je suis une salope ? Oui je suis une salope
je suis votre chienne, votre salope à tous les deux
. Encule-moi comme une salope pendant que je fais une pipe à Monsieur Guy !"."
En disant "Ah tu en veux
tu vas en avoir
."
Il se mit à me pilonner le cul avec son énorme manche. Et encore pilonner est un mot un peu faible en fait, maintenant sans trop d'égard, tant son membre allait et venait librement, il me défonça carrément le cul. Le plaisir montait dans mes reins, un plaisir de folie
il me rendait folle de plaisir. J'allais ressentir un orgasme d'une intensité rare. J'atteignis le point de non retour :
"Ooooh Bertrand ! C'est trooooop ! je vais jouir par derrière
. Je vais jouir par le cuuuuul
. ahrrhhhhrrrrrr! "
Une plainte continu s'échappe de ma bouche ouverte (sous la jouissance et les uvres de Bertrand j'avais délaissé ma fellation). Je me pâmais de ce plaisir nouveau, de ce premier orgasme anal. Sûrement du au fait d'être enculée par cette grosse queue comme une salope en chaleur. Bertrand , quand à lui ,tout en sactivant dans mon anus défoncé lâcha alors :
"Aaaahhh ,je jouis ,tiens ,prends tout ,salope ! Il est trop bon ton cul
,je viens,ouiiiiii, "
Il s'engagea au plus profond de mon rectum et poussa un long beuglement de plaisir. Je sentis les saccades de son sperme dans mes intestins. Nos corps toujours agités de quelques sursauts comme pour extraire les dernières émotions de notre orgasme réciproque. Je m'écroulais, écrasée sous lui et qui resta ainsi un moment sans déculer. Avec précaution, il se retira de mon fondement me laissant un tel vide que je pensais avoir perdu un morceau de moi-même. Ouuuu là là, mon anus était quand même endolori ! Et j'avais mal aux reins de m'être tellement cambrée. Monsieur Guy, lui était toujours en érection. Visiblement il était enchanté :"On dirait que cela t'as plut ma petite Jocelyne de te faire défoncer la rondelle ! Ce n'est quand même pas la première fois ?"
"Non, mais c'est la première fois que je prend du plaisir de ce coté."
"Alors, cela s'arrose. Redescendons boire un verre
de plus votre petit numéro m'a donné une de ses soifs !"
Je redescendis avec lui. Lui était resté nu dans son fauteuil roulant et moi
. Je fus effrayée de mon image. J'étais échevelée, mon maquillage n'était qu'un souvenir
une ruine, mes bas étaient filés, j'avais des marques rouges partout. C'était les témoignages des caresses appuyées
mes seins, mes hanches et mes fesses avaient une belle coloration
. Monsieur Guy servit à boire et nous trinquâmes tous les trois. Mine de rien les deux hommes recommençaient à me toucher. Une caresse par ci, une par là
un bisou ici, un bison là
un doigt devant, un derrière
un baiser de l'un, un patin de l'autre
à ce petit jeu, ma fatigue s'estompait pour faire place à un désir renaissant ou du moins l'envie de donner du plaisir. Cela tombait plutôt bien :
"Dis donc, tu m'a bien laissé tomber tout à l'heure !" fit remarquer Monsieur Guy.
"Elle était trop occupée à se faire éclater le trou de balle ! La pauvre
elle ne sait pas encore faire plusieurs chose en même temps
il faut que nous la prenions en mains !" rétorqua Bertrand.
"Je vais me rattr !" déclarais-je ne m'agenouillant devant le fauteuil roulant. Avec tendresse, je repris ma fellation. Je l'interrompis à un moment pour m'approcher encore plus près afin de pouvoir prendre la bite de Monsieur Guy entre les seins. Je la plaquais contre moi et l'enserrais de mes deux globes. Je le branlais ainsi entre mes nichons pendant un instant. Tournant légèrement la tête, je vis Bertrand qui se masturbais
le diable d'homme avait retrouvé sa vigueur masculine. Quand il manifesta des signes d'embrasement plus prononcé, je le repris sur ma langue. Je le suçais bien à fond en lui massant les bourses. Je voulais absolument le boire
les boire
. C'est pour cela que lorsque je le sentis se raidir, je me mis à m'activer sur le membre en serrant bien mes lèvres autour. J'avais beau m'attendre à la suite, j'étais (et de suis) toujours surprise du moment ou le foutre fuse. J'avais du bien exciter Monsieur Guy il fut généreux. J'avalais tout bien sûr, et le relâchais que quand elle fut propre.
J'allais me relever mais d'une main Monsieur Guy m'en empêcha.
"Attends ! Vas sucer Bertrand maintenant ! Vas-y à quatre pattes et tortille bien du cul !"
Je m'exécutais consciente du spectacle obscène que j'offrais. Je savais bien que Monsieur Guy matait mon arrière train. Je sentais bien aussi ma chatte sourdre des deux pénétrations précédentes et aussi un filet de sperme s'écouler lentement de mon anus encore ouvert. Mon entrejambes et mon entre fesse en étaient tout poisseux. M'étant avancée je pris le gros pénis en main et marquais un temps d'hésitation. Je n'avais pas eu l'impression que Bertrand se fut nettoyé après m'avoir sodomisée. Il s'aperçut de mon doute et dit :
"Tu ne vas pas faire la difficile ! C'est de ta faute si elle n'est pas tout à fait propre
elle sort de ton cul après tout ! Allez suces ! Tu en sucera sûrement de plus sales !"
Ignoblement dissolue je commençais par lécher le beau gland avant dans absorber la plus grande longueur comme il aimait.
"Elle ne se fait pas prier, dis-moi !" constata Monsieur Guy.
"Elle aime ça ! C'est une véritable petite salope ! Allez suce ! Suce-moi bien à fond !"
J'admis et me lançais dans une pipe effrénée, suçant et léchant avec soin. Il me fit suspendre mes activités buccales deux fois. Une pour se faire gober les couilles et un autre pour avoir lui aussi droit de faire un séjour entre mes seins. D'ailleurs, il me le demanda avec tant de gentillesse d'un "Et moi alors, tu ne branle pas entre tes grosses mamelles !" que je ne pus faire autrement que lui faire ce plaisir. Je le repris en bouche un peu plus tard à sa grande satisfaction :
"Elle fait ça de mieux en mieux
elle progresse notre petite Jocelyne. Il faudra la récompenser. Guy il faudra que tu me permettes de la sortir un de ces soir."
"Pas de problème ! Quand tu veux ! Mais attention pas de folie
juste pour ton usage personnel !"
Ils éclatèrent de rire et je ne compris pas pourquoi. Cet éclat de rire fut fatal à Bertrand. C'est un vrai flot qui m'emplit la bouche. J'eus d'ailleurs du mal à tout absorber et il m'en coula un peu sur le menton. Sortant sa queue de ma bouche, il me barbouilla les lèvres du mariage de semence et de salive. Ils s'amusèrent de mon premier réflexe qui fut celui de me lécher les lèvres et ce fut à nouveau le prétexte à de nombreuses trivialités.
Je n'avais peut être pas une grande habitude de ce genre de soirée, mais je n'étais pas la seule à être fatiguée
. Il était tard ! Je demandais à Monsieur Guy l'autorisation de prendre une douche rapide. Je ne tenais pas à tacher mes habits avec le sperme que j'avais partout. Il m'accorda bien volontiers cette autorisation. D'autant plus volontiers qu'il me privèrent de l'intimité habituelle des salles de bain en exigeant que je me douche devant eux. Il fallut d'ailleurs, à leur demande, que j'insiste particulièrement à certains endroits : seins, entrejambe, fesses et raie de celle-ci.
Avant de me laisser me passer mes frusques, ils m'embrassèrent à tour de rôle en me remerciant et m'assurant qu'il y avait longtemps qu'il n'avait pas passé une si bonne soirée. Je confirmais, il en était pareil pour moi et leur confiais que cela avait été l'une (sinon LA) des meilleures de ma vie.
Avec beaucoup de douceur Monsieur Guy me dit avant je parte :
"A mercredi Jocelyne, j'aurais du repassage
."
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