Ma Femme Féministe Offre Ses Fesses Au Premier Mâle Dominant Venu
- Virginie, le rôti est-il bientôt près? Notre invité ne devrait plus tarder maintenant.
C'était une douce après-midi d'été, et notre appartement parisien était baigné de soleil. Ma femme Virginie s'activait aux fourneaux. Elle était habillée d'une robe légère et printanière qui mettait bien en valeur sa somptueuse poitrine. J'étais fier et impatient de la présenter bientôt à notre invité. Je pressentais avec délice qu'il serait instantanément jaloux de ma femme.
Nous attendions la visite de mon ancien camarade de classe Patrick, que j'avais connu en Hypokhâgne au lycée Lakanal. Cela faisait au moins dix ans que je ne l'avais pas revu, et c'est dans d'étonnantes circonstances qu'il était réapparu dans ma vie. En flânant avec ma femme à la libraire des Grands Boulevards, j'étais tombé nez-à-nez sur une affiche figurant la tête souriante de mon ancien camarade. L'écrivain était invité de Londres pour une séance de signature, et ce dans la plus grande librairie de Paris. A cette nouvelle je ressentis une jalousie intense.
Je savais pourtant bien que Patrick était écrivain à succès. Il écrivait des romans de gares à caractère semi-pornographique. Ses textes étaient vulgaires, et participaient à ce mouvement de dégradation de la femme qui avait commencé avec l'explosion de l'industrie pornographie américaine. Patrick mettait en scène toutes les clichés qui nous dégoutaient, Virginie et moi, de la sexualité uniformisée et dégradante de notre époque. Il flattait sans scrupule les plus bas instincts de ses lecteurs.
Virginie pouffa à la vue de la femme vulgaire et dénudée sur la couverture de son roman mis à l'affiche. Une idée cruelle me vint alors à l'esprit. Je proposais à Virginie d'inviter ce sombre personnage à une sorte de Diner de Cons Littéraire. En effet, nous pourrions utiliser cette rencontre comme sujet d'étude pour l'essai que nous préparions, une "Critique du Nouvel Imaginaire Sexuel des Masses".
La sonnette retentit gaiement. En ouvrant, je fus surpris de constater que Patrick n'était pas seul. Il était accompagné d'une très jeune femme habillée de manière ridiculement provocante: une jupe noire trop courte et des bas transparents faisaient saillir des cuisses d'un blanc laiteux, un décolleté plongeant d'où naissait une maigre poitrine blanche, et comble du vulgaire elle portait un fin bandeau noir qui barrait son cou pâle, et qui me fit immédiatement songer à une laisse de chien. C'était une modèle russe qui posait pour la couverture de son livre. Elle n'avait visiblement aucune intention de faire la conversation, et pendant le reste de la visite eut un comportement qui se rapprochait plus d'une chatte domestique que d'une invitée. Elle était absorbée par son téléphone portable, mais ces poses sensuelles et sa tenue provocante attirait les regards et invitait les pensées vicieuses.
Patrick lui n'avait pas changé. Un beau teint halé trahissant ses origines latines, un torse bien fait, une mâchoire carrée et un cou massif de buffle. Mais cette brutalité masculine était adoucie par un beau sourire franc, une élégante chemise en lin et un parfum sophistiqué et subtilement musqué.
Après les politesses d'usage, notre invité entra dans le vif du sujet:
- Oui, tu t'imagines sans doute que mes romans ne s'adressent qu'à de vieux vicieux. Mais paradoxalement, mon cher Henri, c'est tout le contraire. La plupart de mes lecteurs sont des lectrices, et elles sont jeunes. Les chiffres de vente le prouvent. Mais au-delà des chiffres, je reçois sans cesse des courriers de jeunes femmes troublées par mes romans. Ces lettres disent tout la même chose: elles voudraient vivre des expériences de sexe avilissantes, mais elles ne trouvent tout simplement pas d'homme qui sachent les mettre en confiance et les prendre en charge au lit.
Avant que je naie le temps de répondre, Virginie rétorqua avec véhémence:
- Bien sûr, les femmes d'aujourd'hui sont totalement déconnectées de leurs propres désirs! Elle se sont fait lavé le cerveau par l'imagination scabreuse des hommes comme vous.
Elle le fusillait du regard. Il répondit:
- Je ne suis pas d'accord avec toi, Virginie. Je crois que la biologie de la femme est plus ambiguë que ça. Il y a un attrait instinctif de la femme à se soumettre à un mâle dominant. Je l'ai observé moi-même à de nombreuses reprises. Ne l'as-tu jamais ressenti au fond de toi, ce désir d'être prise en charge?
Ma Virginie avait les joues en feu, elle n'en pouvait plus d'entendre de telles sottises. J'essayai de calmer le jeu:
- Allons Patrick, tu ne peux pas être sérieux! On peut sans doute admettre qu'il y a une certaine diversité de...
Ni l'un ni l'autre ne m'adressèrent la moindre attention pendant que je continuais. Ma femme fixait Patrick ardemment dans les yeux, et lui ne détachait pas son regard d'elle, sauf pour lorgner de temps à autres sa généreuse poitrine de manière très irrespectueuse.
Virginie m'interrompit dans mon monologue:
- C'est ignoble. Vous lavez le cerveau des jeunes femmes pour ensuite les conformer à vos fantasmes.
Il ne baissa pas le regard et dit calmement:
- Si c'est vraiment que tu ressens, j'en suis désolé, Virginie. Mais je ne crois pas que les instincts de la femme soient aussi simples que ça.
Je regardai ma femme avec fierté. Nous étions les étudiants les plus studieux de la classe à la Sorbonne, et nous nous étions donc naturellement rencontrés sur les bancs de la bibliothèque. Tous deux passionnés de féminisme, nous avions logiquement décidé de nous marier afin de mener ce combat ensemble. Quelle fierté le jour de notre mariage! J'avais obtenu le gros lot. En plus d'être intelligente, Virginie était une femme de grande classe. Elle était par ailleurs pourvue d'une poitrine incroyable, et le bas de son corps était aussi somptueusement sculpté que le haut.
Au moment du café, la tension n'était toujours pas redescendue. En servant nos invités Virginie fit un geste brutal qui renversa le liquide brulant sur les cuisses de la modèle. Ma femme s'excusa entre ses dents et on aurait pu quasiment croire qu'elle l'avait fait exprès. Les deux femmes se toisaient tandis que je m'efforçais de créer un semblant de conversation avec notre invité. Au moment du départ, Patrick me remercia puis il se tourna vers ma femme et lui tendit sa carte:
- C'est malheureux que nous n'ayons pas pu dissiper ce malentendu Virginie. N'hésite pas à me contacter, ce serait un plaisir de continuer cette conversation avec toi. Et j'ose penser que le plaisir serait partagé.
A ce jour, je ne comprends toujours pas quel mystérieux charme animal s'était opéré entre eux. Pendant tout le repas et le café, je m'étais senti ignoré, ma femme n'avait pas quitté Patrick des yeux. Inexplicablement, j'eu la certitude dérangeante que Virginie chercherait à le revoir.
Rencontre à l'Hôtel George V:
Je les entends enfin pénétrer la chambre d'hôtel jouxtant la mienne. Ma femme et Patrick sétaient donnés rendez-vous dans le luxueux hôtel George V, où Patrick résidait pendant la durée de sa visite à Paris. En lisant les messages échangés sur le téléphone de Virginie, je m'étais enquit du lieu et de l'heure de leur rencontre. Désespéré et dévoré par la jalousie, mais toujours sans certitude sur le but de cette rencontre, j'avais réservé la chambre d'à côté pour les espionner. Par chance, la fenêtre de leur chambre était ouverte ce qui me permettait de les entendre distinctement. Ils continuaient une conversation qu'ils avaient commencée dans le lobby, et ils n'avaient visiblement pas perdu de temps.
- Montrez-moi ce que vous faites à ces femmes au lit. Je voudrais comprendre l'attrait que votre comportement machiste a sur elles.
- Mais c'est-à-dire? Comment tu t'imagines que je traite les femmes au lit?
- Comme dans vos romans par exemple. Vous voyez bien ce dont je parle, ne faites pas l'idiot.
- Mais ton mari? Est-il au courant de ce rendez-vous? Qu'est-ce qu'il en penserait?
- J'aime Henri, mais il ne sait pas me faire l'amour. Il est maladroit à force d'être attentif à mes désirs. Et puis, il ne sait pas m'exciter. Il ne comprend pas mes besoins profonds. Comme vous l'avez dit si subtilement la dernière fois devant lui, j'ai besoin d'être prise en charge par un homme, qu'il me dirige au lit.
- Je comprends mieux maintenant pourquoi tu t'es autant énervé au repas: tu es mal baisée par ton mari. Installe-toi sur le lit à quatre pattes, si tu veux bien. Ca ne te dérange pas que je te prenne en photo? Tu es superbe avec ces bas et cette mini-jupe en cuir, ça fait bien ressortir tes cuisses blanches.
J'entends le déclic caractéristique d'un appareil photo professionnel qui crépite.
- Cambre-toi un peu plus. Regarde-moi. Prends ton air énervé de l'autre jour, oui, parfait. Clic. clic. Retourne-toi maintenant. Tu veux bien relever ce haut pour moi? Hmm, tu n'as rien mis en-dessous! Tu es donc venue me rendre visite avec les loches à l'air? Laisse-moi te prendre en photos avec tes gros seins à l'air, c'est bien vulgaire. Clic. clic. Maintenant écarte tes cuisses s'il te plait, je parie que tu n'as pas mis de culotte non plus? Gagné. Clic. clic. Hm, ta petite chatte est bien lisse. Je croyais que s'épiler était contre les standards du féminisme? Tu l'épiles comme ça pour ton mari ou tu l'as fait spécialement pour moi? Clic. clic. Hmm, voilà une photo que ton mari trouverait bien vulgaire, tu es très impudique. Il ne faudrait pas qu'il tombe là-dessus.
- Tu peux lui envoyer cette photo si tu veux. Il me pardonnerait j'en suis sur. Il est toujours si gentil avec moi. Il ne sait juste pas s'occuper de moi au lit. Il ne comprend ce dont j'ai besoin. Elle ajouta avec une voix rauque, provocante: J'ai besoin d'être baisée par un vrai mâle, après tout je suis simplement une femelle moi aussi.
- Je vois, tu es frustrée par ton mari qui ne sait pas bien te baiser. Tu veux me montrer tes qualités de suceuse maintenant? Non, pas sur le lit, je préfère te voir à genoux. Remonte juste ta jupe que je puisse admirer ton cul pendant que tu suces. Voilà, c'est ça, active-toi lentement sur ma bite. Cambre ton cul. Montre-moi ta conception féministe de la fellation. Hmm, c'est bon. Ton mari ne mérite pas un beau cul comme ça, c'est vraiment du gâchis.
Je n'arrive pas à en croire mes oreilles. Virginie et moi avions convenu depuis bien longtemps que la fellation à genoux devrait être abolie dans tout pratique égalitaire du sexe. Cet homme lui faisait vraiment perdre la tête. Quelques longues minute plus tard:
- Tu es très mouillée. Qu'est-ce qui te met dans cet état?
- C'est votre queue qui m'excite. Sautez-moi s'il vous plait, Patrick.
Je n'entends plus que des bruits étouffés pendant un moment, puis des bruits de fessées retentissent. Virginie gémit à chaque nouvelle fessée.
- Cesse de gémir, petite putain. Je fais ça pour ton éducation. Tu dois comprendre où est ta place au lit, et cesser de faire la maline. Tu n'as pas à exiger que je te saute. Tu es juste bonne à me vider les couilles, n'oublie jamais ton rôle.
Virginie acceptait sans broncher cette fessée humiliante, elle qui n'acceptait pourtant aucun symbole de domination masculine au lit. Elle me refusait même parfois le cunnilingus pour rester en contrôle de son plaisir.
Les bruits de fessées s'arrêtèrent, et même en tendant l'oreille je n'entendais plus rien. J'étais dévoré de l'intérieur par un mélange de jalousie et de curiosité malsaine. Que se passait-t-il maintenant? Lui murmurait-il des mots tendres à l'oreille? Ou au contraire, lui enfonçait-il vicieusement ses doigts dans les fesses? L'incertitude était insupportable. J'entendis enfin un couinement de lit répétitif, et je fus presque soulagé d'en déduire que ma femme était en train de se faire prendre.
- Oh, oh, oh. Tu es tellement gros en moi. Je suis à toi. Je suis ta chienne.
Je ne l'avais jamais entendue aussi expressive au lit. Je songeai tristement à mes médiocres ébats sexuels avec Virginie: c'était comme si on m'avait offert les clefs d'une magnifique voiture de sport, et que je n'avais jamais su la conduire au-delà de 30 kilomètres à l'heure. Et maintenait elle avait trouvé un pilote de formule I qui savait la conduire. Plus beau, couronné de succès, un homme à femmes, il l'excitait à la folie. Quant à moi, piètre intellectuel sans envergue, je méritais ma situation de cocu. Etrangement, ces sombres réflexions commençaient à m'exciter.
Je fus interrompu dans mes pensées par une proposition incongrue de Patrick:
- Je voudrais te la mettre dans le cul maintenant. Ca te convient?
Et la voix embrumée de plaisir de Virginie de répondre:
- Oui. S'il te plait, encule-moi.
- Très bien. Je pensais bien que tu voudrais être enculée. L'autre jour chez ton mari, j'ai remarqué ton petit jeu, quand tu te déhanchais comme une salope devant moi au moment de servir le café. Les femmes qui se déhanchent comme toi ont toujours besoin de se faire enculer. Je te préviens, tu vas me sentir très fort dans tes fesses.
Même après tout ce dont j'avais été témoin, je fus choqué par la réponse de Virginie. Dans notre "Traité de l'Objectification de la Femme", Virginie avait elle-même écrit le premier jet du chapitre contre la sodomie chez la femme, arguant qu'il n'existait pas de terminaison nerveuse du plaisir dans leur région anale. Et maintenant, là voilà qui encourageait son amant à la sodomiser:
- Tu peux l'enfoncer plus loin dans mon cul si tu veux.
- C'est bon comme ça? lui répond la voix masculine d'un ton triomphant. Tu aimes être prise par ce trou-là? Ton mari n'y a apparemment jamais eu droit, vu comme tu es serrée. Si il savait à quel point tu peux être chaude. Tu es une vraie salope sous tes airs de bourgeoise coincée du cul.
Après une séance de gémissements interminables, les bruits se calment enfin dans la pièce d'à coté. Je crois un instant que mon supplice est terminé mais l'idée que les amants sont maintenant enlacés dans le lit vient bien vite me hanter.
J'entends ma femme murmurer d'une voix rauque et intime:
- Ton sperme dégouline de mes fesses, tu veux voir? C'était si bon Patrick. Merci, j'en avais besoin depuis longtemps.
Patrick lui répond brutalement:
- Viens avec moi sous la douche. J'ai besoin de pisser et je voudrais me soulager sur toi.
J'entends la porte de la salle de bain se fermer. Je ne peux que m'imaginer la scène impensable qui est en train de se dérouler, pudiquement couverte par les bruits d'eau. J'imagine ma femme à genoux dans la douche, Patrick debout devant elle. Avec un air satisfait de mâle dominant, il lui pisse négligemment dessus, sur ses gros seins, sur son visage, dans la bouche. J'imagine le visage épanoui de Virginie, tendu vers son amant. Je sens mon sexe raide et douloureux dans mon pantalon, je n'ai jamais été aussi excité de toute ma vie. Je me masturbe dans un mouchoir et jouis en quelques secondes. Je décide de rentrer discrètement à la maison et de ne rien dire à mon épouse. J'avais pris goût de la voir ainsi se faire prendre en charge par un mâle dominant, et souhaitait secrètement qu'elle recommence à me tromper avec lui.
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