Le Pressoir
Un soir de septembre, en rentrant du travail, alors que le temps était encore suffisament doux pour utiliser ses vétements d'été, je décidais de passer acheter quelques fruits chez le primeur du quartier. Il était bien achalendé, très sympatique et tout près de chez moi.
Lorsque j'arrivai à la boutique, il était en train de ranger ses dernières caisses. Voyant ma mine un peu désespérée, ll me dit que ce n'était pas grave et que je n'avais qu'à passer à l'arrière du magasin que je pourrai certainement y trouver mon bonheur.
Effectivement tous les produits étaient entreposés là et j'avais l'embarras du choix.
Ne sachant que choisir, je lui demandais ce qu'il avait à me proposer. La saison du raisin venait de commencer et il en avait reçu ce matin. "Voulez-vous le gouter ?" me dit-il. J'allais me servir lorqu'il pris une grappe, en détacha un grain et l'apporta à ma bouche tout en se rapprochant de moi.
J'eus alors une sensation bizarre, comme si l'air s'échauffait, un peu surprise de le voir tout à coup de si près, mais je me laissai faire. Il avait de très beau yeux et sa stature était celle-ci un homme musclé par le travail physique que lui imposait sa besogne. Bref, il n'était pas mal du tout. Le raisin aussi n'était pas mauvais, il était juteux tout en étant ferme. Je le savourai un moment en le gardant dans ma bouche avant de le croquer à pleines dents. Il m'en proposa un deuxième grain que j'acceptai.
Il me l'apporta encore plus près. L'offrant à mes lèvres, nos deux corps allaient maintenant entrer en contact. Il porta le fruit à ma bouche mais il ne retira pas sa main au contraire, il enfonca deux doigts dans ma bouche. Ce qui me surpris et me fit reculer de quelques pas et me colla àl'établi qui était derrière moi.
Bloquée ainsi, il s'était complêtement collé a moi. Je mangeais le raisin tout en gardant ses doigts dans ma bouche. Il m'étais impossible de parler.
Cette situation, bien évidemment, excitat mes sens. Plutôt que de m'affoler, j'avais envie de savoir jusqu'où il voulait aller. Bien que j'en ai déjà une idée.
Il me dit "Ne dis rien, laisse toi faire" ... C'est dingue la vitesse à laquelle, nous étions passé du vouvoiement au tutoiement. Rapidement, il descendit son autre main sous ma courte jupe et entre mes cuisses. Il m'explorai afin de savoir ce que je portai comme dessous. Ses doigts, visiblement expérimentés, je m'imaginai déjà le nombre de filles qui avaient pu tomber dans le même piège et fini comme moi au fond de la boutique, parcouraient mon string afin d'en délimiter les contours. Ses attouchements étaient très délicat.
Alors me prenant soudainement sous les fesses, il me souvela, m'assit sur l'établi et écarta mes jambes. Je me trouvais tout à coup en face de lui, cuisses ouvertes la jupe relevée et ne sachant comment l'affaire allait continuer.
Attrapant brutalement mon string, il l'arracha d'un seul coup. Je sursautais en poussant un petit cri. Il vit tout de suite ma vulve rasée, il eu un sourire réjouit, je le regardai alors dans les yeux et je lui souris aussi.
Ses doigts parcouraient ma fente à la recherche du point d'entrée qu'il trouva aisément tant ces émotions m'avait déjà préparée. Mon clitoris était déjà au garde à vous prêt à se faire caresser.
«Laisse-toi aller, on va faire du jus de raisin» me dit-il, je m'interrogais ... Il pris un grain et avec deux doigts l'enfonca dans ma chatte. Il le laissa quelques instants. Je sentais que j'étais en train de m'inonder, il devait le sentir aussi à ma respiration qui s'accélérait.
Il sorti le grain et me le fourra dans la bouche et essuya ses doigts sur mes lèvres, je sentais et goutais mon fluide corporel. Il me roula alors un énorme patin, nous partagions le raisin et ma mouille.
«Tu aimes ?» ... j'adorais .
Il pris une autre grappe et commenca à me fourrer la vulve grain par grain. Il était en train de me remplir le vagin. Excitée par la situation, j'entrepris moi-même de prendre une grappe et de l'aider à la tâche. J'étais étonné par la quantité de fruits que l'on pouvais y ranger. Mes doigts et les siens oeuvraient sur mon sexe et augmentait mon plaisir à grande vitesse.
Bientôt, mon vagin fut rempli. Ma chatte était toute gonflé de nourriture mais aussi de plaisir, mes lèvres avaient doublées de volume.
«Bon maintenant, nous allons presser le jus», je me demandais comment il allais s'y prendre. La réponse en tarda pas.
Baissant son short, je découvris un engin du plus beau gabarit qu'il soit. Bien membré, il se prit à pleine main, dégaga son gland et me dit « Voila le pressoir !»
Il m'attira sur le bord de l'établi en me tirant par les fesses. Bien calée, légèrement en arrière sur les mains, j'attendais.
Les derniers grains placés avaient laissé ma fente grande ouverte. Aussi, habilement, posa t-il son gland dessus et s'enfonca doucement.
Je sentis la pression monter dans mon bas ventre puis son sexe ferme commenca à percer les grains. J'entendais les petits claps qu'ils faisaient quand ils explosaient. Le jus commencait à couler entre mes cuisses, les grains bougaient à l'intérieur. Il continuait en s'enfoncer doucement.
« On va tout broyer me dit-il » et il commenca un va et vient afin de piler toute la marchandise. Du jus sortait en quantité de ma chatte ainsi que de la pulpe et des peaux. Mon con trempais dans ce mélange, mes fesses, mes cuisses étaient inondées. Moins il y avait de grain et plus il allait loin et vite.
D'une habitilé incroyable, il me fouillait avec sa queue afin d'écraser tout ce qui se trouvait à l'intérieur.
Je commencais à sentir l'orgasme monter en moi. Il en était de même pour lui, il restait en moi de plus en plus longtemps, son bas ventre et ses cuisses s'étaient durcient.
"tourne-toi !" m'ordonna-t-il. Il m'attrapa, me fis descendre de l'établi. Je me retournai et me penchai afin de m'accouder sur l'établi. Ma croupe lui était offerte
Le plan était plein de jus de raisins et de pulpe, quelques grains avaient survécus au massacre.
Penchée en avant, avec son pied, il poussa le mien, je compris alors que je devais plus écarter les jambes en les gardant tendues.
Sans plus tarder, il me pénétra à nouveau, à la recherche de quelques survivants. Son membre était maintenant de bois et brulant, j'étais comblée et j'allais venir.
Il pris un grain rescapé sur l'établi et le posa sur mon anus, essayant de l'enfoncer mais il creva.
Il en pris un deuxième, je me détendis et celui-ci disparu dans mon petit trou, cela eu l'air de lui plaire et de l'exciter encore plus. Il en pris un autre qui entra aussi bien, il le poussa un peu plus loin avec son index.
Il dut alors me retenir par la croupe tant le plaisir commençait à devenir violent en moi et je me sentais défaillir.
Brutalement, il se retira et posa son gland, là où il venait de mettre les raisin. Poussant légèrement sur l'entrée, il y pénétra son gland et dans de violent soubressaut, je sentis sa semence me remplir la où je ne m'y attendais le moins. A chaque spasme mon orifice se dilatait dans pouvoir résister tant le jet était violent.
Au bord de l'orgasme, quelques caresses complémentaires sur mon clitoris me firent jouir profondément alors qu'il finissait de se branler et se viderdans mon cul.
Nous restâmes un moment ainsi, lui savourant l'endroit dans lequel il s'était introduit et qu'il avait souillé et moi qui me fouillait à la recherche de grains qu'il aurait pu oublier mais il avait très bien fait le ménage.
Nous finimes par nous séparer, il m'embrassa tendrement et nous n'échangâmes que très peu de paroles après cet intense échange physique.
Je quittai le magasin non sans avoir pris quelques fruits dont il me fit cadeau bien sur, sans culotte et collante de partout.
Rentrée chez moi, je pris un long bain pour me remettre de mes émotions puis mangeais quelques fruits, le raisin avait un gout bien fade après une telle aventure.
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