Anne-Sophie Suite Et Fin
Il était maintenant 23 h 30 et nous devions partir. Je sentais Anne-Sophie en proie aux doutes, elle ne savait plus quoi faire , hésitante entre un « stop raccompagnes moi » et se laisser mener pour de nouvelles expériences avec une certaine appréhension. Elle me regardait pour tenter de percevoir une réponse. Nous sortions à peine du parking et pour la rassurer je lui ais glissé un doux « je t aime, fais moi confiance » en posant mes lèvres sur sa joue. Je réalisai dans l instant que je venais de tavouer mes sentiments et fut surpris que tu ne te manifestes pas, et jeu même l impression que c était ce que tu attendais. Sur la route mon téléphone sonna, c était Patricia, une amie rencontrée sur le net et avec qui j ai sympathisé et bien plus encore mais c est une autre histoire
La soirée prévue passait par son appartement ou nous avions convenu d une petite mise en scène en lhonneur de mon épouse d un soir. Elle s inquiétait et je l ai rassuré en lui annonçant notre arrivé imminente. Une fois stationné sur le parking de la résidence, je te dis de rester comme tu étais c est a dire a demi nue , nous sortîmes de la voiture, chose promise, chose due, fesse à l'air et dépoitraillée je tattirais contre moi pour t'embrasser avec passion devant la porte dascenseur.
« Tu passe une bonne soirée mon Amour ? »
-Surprenante oui, j'ai un peu honte et un peu peur mais je suis dans tous mes états.
Me soufflas-tu les yeux brillants dexcitation due à l'imminence de l instant.
Je sonnai et Patricia ouvrit, je fis une rapide présentation et celle-ci sans rien me demander, une fois entrés, prit le bras dAnne-Sophie, et linvita à la suivre. Elles échangèrent quelques mots que je tentai d intercepter, « changer, maquillage, salle de bain ». Je me suis servi pour patienter un bon vieux rhum et je me suis posté de façon à suivre la suite des événements.
Dans la salle de bains, les deux femmes poursuivaient leur conversation et tandis que Patricia se déshabillait sans la moindre pudeur devant toi, légèrement gênée, tu détournas les yeux.
Complètement nue, Patricia qui sen était aperçu, vint se camper devant toi en te prenant les mains
« comment me trouves-tu ? » pâle et très gênée, tu ne sus quoi répondre et manifestas un trouble évident qui semblait exciter ta compagne.
« Cest la première fois ? »
-Oui
-Tu as peur ?
-Un peu
-Cest le premier pas qui compte, je vais taider à le franchir du mieux possible, regarde moi et caresse-moi.
Tout en parlant, Patricia te pris la main droite et la porta sur son sein gauche.
Patricia était une superbe femme brune, pas très grande, plutôt mince, mais doté dune magnifique poitrine lourde et généreuse. Le reste nétait pas mal non plus et la cambrure de ses fesses rondes et fermes attirait irrésistiblement le regard. Cétait à lévidence une fille délurée et sans tabou dont les yeux bleus expressifs laissaient transparaître ses sentiments.
Sous sa main, tu sentis aussitôt le téton se réveiller et cela te provoqua un trouble étrange.
Trouble qui saccentua quand Patricia qui sétait plaquée contre toi, te prit lautre main pour la placer entre ses cuisses, sur sa petite toison parfaitement taillée.
Instinctivement, tes doigts se mirent en mouvement très lentement, ce qui transporta Patricia
« oui, comme çà, continue »
Et prenant ta bouche, elle tembrassa goulûment, tu eus un mouvement de recul sous la surprise. Patricia avait introduit dans ta bouche une langue dune dimension et dune agilité peu courantes.
Hilare, elle se recula, et devant sa compagne incrédule fit arriver sa langue bien au-dessus de la pointe de son nez, puis elle imita faiblement le « youyou » des femmes algériennes pour démontrer sa mobilité et sa vivacité.
« Je suis née comme çà, et crois-moi, cest un avantage dont je sais très bien me servir en faisant lamour ! »
Patricia vint me rejoindre dans le salon laissant Anne Sophie prendre une douche et par la suite ce parfumer le corps avec les huiles qu elle lui avait sortie.
« Elle très belle, tu en as de la chance, j ai hâte de la caresser et de la goutter ! » je lui souri et acquiesça de la tête.
« Lui as tu parlé de la suite du programme ? »
-Non du tout, je ne veux pas la brusquer, et à dire vrai je n en ai pas envie, je souhaiterais rester avec elle cette nuit, enfin peut être en aura-t-elle envie, mais moi pour le moment, je nen ai nullement envie.
-Moi je te préviens à 1 h 30 maxi je suis partie avec ou sans vous »
Sur cette brève conversation, tu nous rejoins au salon, et comme te lavait demandé Patricia, porte jarretelles, bas noirs et escarpins uniquement. Je te regardais un pincement au cur me surprenant à découvrir des sentiments que je n aurais jamais imaginés , tu étais magnifique, rayonnante, souriante, des yeux pétillants qui exprimaient un bien être total et un profond désir de séduction.
Je me suis approché, j ai posé mes mains sur le bas de ton dos à la naissance de tes courbes, je me suis collé à toi, ma main droite est remontée le long de ton sillon dorsal pour te caresser la nuque et ensuite la glisser dans tes cheveux soyeux.
Tu posas ta main sur mon cou, attira doucement ma tête de la tienne, posa ton front sur le mien. Tu sentais bon. Tes yeux dans les miens...
« Je t aime Luc, fais moi l amour »
Les yeux fermés... tu attendais que je t embrasse... et je ne pus résister. Mes lèvres se posèrent tout doucement sur les tiennes, et ce fut un baiser extraordinaire, plein de douceur et de tendresse .Patricia se tenait derrière toi, ses mains se sont posées sur ton corps effleurant tes cotes puis du bout des doigts te caressa le dos, les épaules et redescendit sur tes fesses, et zébra tes cuisses de ses ongles .Prise entre nous deux, tu eus un petit sursaut aux contacts de ses mains qui fut suivi de multiples frissons. Emprise à un délicieux quatre mains, ton corps devenait l instrument du désir. Mes mains autour de ton cou les doigts écartés peignant ta chevelure, glissant sur tes épaules les contournant pour revenir à la naissance de tes seins, puis sur ta gorge ou l afflux du désir se lisait sur tes carotides.
Prenant les deux jambes de ma copine dun soir, je t écartais au maximum affin que tu sois ainsi largement offerte .Très douée dans cet exercice, et favorisée par la nature , Patricia à genoux devant toi, se servait de sa langue agile, elle obtint ce quelle voulait, te soumettre totalement à l orgasme. Le bout de lappendice glissait sur tes bas, jouant avec la lisière de chacun d entre eux, puis sur l intérieur de tes cuisses, la ou la peau est la plus fine. Tu te tortillais doucement comme pour échapper au supplice, la tête légèrement en arrière tu balançais ta chevelure fouettant l air emplie de petits gémissements. Mes mains sur tes hanches, je te maintenais fermement. Des pouces je massais ton losange de Michaelis, des frissons te parcouraient le dos. Ta magnifique croupe tendue vers moi, que je convoitai depuis notre première rencontre prenait là toute sa splendeur. Patricia accentuait ses caresses reptiliennes, je vis même le bout de sa langue forcer puis s immiscer entre tes globes charnues et dans un ronronnement j ai compris qu elle avait fait mouche et que tu appréciais très certainement que l on s occupe de ton illet. Alors qu elle s appliquait sur tes lèvres et te fouillait l entre cuisse avec une dextérité hors paire, mes mains couraient sur ton corps, ton ventre tes cotes tes seins que je pétrissais avec de plus en plus d excitation et fermeté, mes lèvres couvraient ton dos de baisers, je te léchai, te mordillai, et d un geste et dans un cris de plaisir tu as planté tes ongles dans mes cuisses :
« Oh oui continuez, je viens, c est trop bon je vais jouir
.
Il n y eu besoin que de quelques secondes pour entendre ton râle, tes cris fendre l air, sentir tes vibrations, tes ongles s incruster plus profondément lorsque tu as atteint l ivresse des sens.
Ecroulée sur mon torse la respiration haletante, les yeux clos, cherchant a reprendre tes esprits, tes mains glissaient sur mes cuisses en murmurant un tendre « je t aime ».
Patricia parti, tu t es tournée, me fixant tu me dis :
« Tu vas finir par me rendre folle !! Jamais je n aurais imaginé
»
Nos visages se touchaient presque, tes yeux se voilèrent, ta bouche s'entrouvrit, je me pencha sur toi et nous avons échange un baiser brûlant. Enlacé l un l autre, se cajolant, Patricia reparut avec ce quelle appelait sa boite à jouets. Interrogative, surprise, tu regardais son petit coffre avec attention et tu attendais qu elle te les présente. Godes en jelly, plugs, dildos, boules de geisha, boules anal, stimus en tous genres, strings fendus, combis latex et godes ceinture, un vrai sexe shop son petit coffre !!
Tu ne savais plus quoi faire ni même penser, perdu, abasourdi par cet étalage de gadgets, tu te blottis contre moi en poussant des « Oh, Ohh... » Mais dans ta voix je pouvais lire une certaine lubricité quant a lutilisation de tous ces merveilleux outils.
Avant de faire quoi que se soit avec tout cet attirail, je fis remarquer à Patricia que mon sexe était toujours cloîtré sous mon jean Sans un mot, debout face à moi, tes longues jambes légèrement écartées, galbées, fuselées étaient telles les colonnes dun temple qui menaient au sanctuaire !! Tu tes penchée au niveau de ma ceinture et tu as dégrafé mon pantalon. Tu as déballé de mon caleçon mon membre gonflé par le désir et du bout des doigts tu l as saisi. Tu commenças à me caresser doucement d'une main, tandis que l'autre tu soupesais les testicules gonflés , tu remarquas alors que mes testicules étaient épilés, tu me les caressais et me dit qu elles étaient douces. Tu me faisais languir.
Comme dans un rêve, te fixant, perchée sur tes talons, les jambes droites, couvertes de tes bas, la croupe offerte, penché en avant, ta chevelure me caressant le bas ventre. je te vis humidifier tes lèvres dans un mouvement lascif de la langue, puis commencer à lécher mon gland luisant, rouge brillant qui t était proposé par des mouvements circulaires, et puis, tes yeux rivés aux miens, comme pour guetter mes réactions, embouchas ma verge tendue.
Je voyais tes lèvres coulisser, tes joues se creuser, avalant, aspirant le membre, ta langue le parcourir, tes mains le caresser, alternant les succions profondes, avec les coups de langues pervers, les seins libres se balançant au rythme de la fellation . Avec étonnement, je constatais que tu prenais un plaisir intense à manipuler ma bite tendue, à lengouffrer avec ravissement.
N'en pouvant plus, j'échappais des ralles de plus en plus fort , ta bouche gourmande, le gland de mon sexe entre tes lèvres pulpeuses, ta langue , tel un tourbillon aspirait ma queue au fond de ta gorge. Le va et vient incessant de tes doigts, les clapotis de ta langue, l'aspiration de tes lèvres sur la totalité de ma bite, tu me préparais à ton tour à une chaude nuit pour assouvir notre appétit sexuel. Dans un cri ultime, je te repoussai mais de nouveau et pour mon plus grand plaisir tu as gardé mon sexe en bouche et je me répandis en de longs jets puissants. Tu resserras tes lèvres autour de mon membre pour ne pas en laisser échapper une goutte, et tu finis pas le libérer après l avoir méticuleusement nettoyé.
A la suite de ce délicieux instant, je me suis déshabillé, nu, le sexe gonflé a demi rigide. Patricia qui n avait rein perdu de la scène, avait débuté un long moment d'intenses masturbations. Le latex du vibromasseur s'échauffait sur les lèvres de sa chatte parfaitement taillée, faisant ressortir sa vulve humide et gonflée. D'un petit signe de la tête, Patricia t'invita à la rejoindre. Pour commencer, je décidai alors de faire quelques photos de poses aguichantes de notre amie avec son toy, toi à ses coté, la caressant, ou vos corps se sont mélangés avec douceur et tendresse. L érotisme qui se dégageait de vos attouchements me fit vite retrouver ma vigueur, la bite bien raide je suis partis installer son appareil photo sur le pied et lais positionné en mode automatique afin de mémoriser nos ébats. . Nous allions passer à des choses plus osées.
Pour ce faire Patricia sortit de son coffre un petit flacon dhuile d ylang-ylang et elle te demanda de lui enduire le corps et surtout de bien insister sur ses orifices. Tu fis couler le précieux liquide sur ces épaules , au contact des tes mains, elle se colla davantage, dos a toi, tu lui parcourais les bras, et comme de jeunes amoureuses, tes mains sur les siennes vos doigts se sont entrecroisés. Tu lui déposas un baiser dans le cou l enlaça de ta main gauche, une main posée sur son ventre l autre sur ses seins vous étiez partis pour une : Touche-moi là, petite leçon et éveil de lanatomie érogène.
T attrapant les hanches elle se colla tout contre toi et comme par magie vos corps n en faisaient plus qu un .J assistai à une véritable fusion, ou gémissements, langues, bras et jambes créaient un véritable nud d amour. La rencontre des corps un moment quasi sacré, J étais hypnotisé par leurs sensuels balais.
Je me suis invité à cette danse intime en me plaçant doucement et très sournoisement derrière toi, te caressant un sein d'une main, de l'autre je jouai avec la bride du porte jarretelles. Je vous ai prise dans mes bras et vous ais susurré :
« Oh mes Amours, vous me transportez dans un autre monde !! ».
Tout en matant ton corps avec mes yeux lubriques, fantasmant tel un épileptique, en un jeu virtuel dun agrément sadique, mes doigts vinrent chatouiller ton divin losange, courir sur tes renflements, croisant les mains de Patricia, et doucement je suis descendu sur ton anus . Tu écartas les jambes. Et dans un léger râle, je ne pu dissimuler mon plaisir d'accéder à ton petit trou. Ton corps a demi nu, tendu, exacerbé, m'en approchant progressivement je remontais doucement entre tes deux globes et redescendais en caressant et en effleurant le doux petit illet. Je caressais vicieusement tout le tour du joli petit cratère avec des cercles concentriques. Tu frémis soudain du plaisir, et dune joute érotique en un jeu excentrique dun violent va et vient furieux et frénétique, je me suis mis à te le masturber. Tes omoplates contre mon torse, tu entrepris dinfliger le même traitement à Patricia .Alors que tu la pénétrais par les deux orifices, je descendis et promena mon nez, mes mains, ma bouche sur toutes les parcelles de ta peau de satin. Je suis a genoux, dos a moi, les jambes bien écartées, tu t es cambre m offrant ta divine croupe. Ma tête entre tes deux fesses, tel un chien assoiffé je suis venu laper tes lèvres où ton acre liqueur séminale ma sevrée. Laissant vagabonder ma langue parfumée, écartant de nouveau les deux sphères, je pus voir ton anus. Ma langue se fit alors mutine et je goûtais avec délices à ce fruit défendu. Il s'ouvrait sans réticences à mon baiser, elle en faisait le tour, le chatouillait, si introduisant de temps en temps et ne tenant plus je t ais littéralement fouillé. Mes mains sur tes cuisses, tu te trémoussais d'aise et poussais tes fesses vers moi, comme si tu voulais que je m'introduise plus encore. Tu t ais prêté au jeu, tu gémis, cries « encore t arrêtes pas j adore » afin de perpé ce furieux cul à corps. Tes mains sur les seins de Patricia, à lui r ses tétons dardant, elle n était pas en reste. Dégoulinante, haletante, elle demandait l intromission de boules anales en remplacement de tes doigts inquisiteurs et cherchait, de sa main à combler son vagin béant. Après bien des gémissements et avoir bien joué avec ta petite cerise, j ai plongé mon pouce dans ton vagin avec une certaine dextérité et pression, je t ais masturber le point « G ». Patricia toujours fournis hurlait son bonheur, tu l as rejoint et vous avez éclater dans un râle sans pareil, tremblantes, essoufflées, vous vous étés écroulés.
Affalée sur le fauteuil, telle une débauchée sensuelle, les yeux hagards, tu te caressais le corps, les seins, l entre jambe pour perdurer l instant et tu m invitas à te rejoindre en me tendant le bras.
Patricia reprenait aussi ses esprits en se touchant légèrement, et me dit :
« Et moi, mon petit ? Tu sais que j adore ça, j ais envie de te sentir au plus profond de mes entrailles ».
J ai fouillé dans la boite à jouets et j ais sorti un foulard, je t ais demandé de te lever et de venir me rejoindre. Face a moi je tais passé le bandeau sur les yeux et je t ais guidé sur le bord du tapis.
« Patricia sera face à toi, son visage à quelques centimètres du tien et tu l écouteras attentivement hurler sous mes assauts. Je vais la prendre par le siège de l âme et ensuite se sera à ton tour , laisses toi guider par ses gémissements, imagines, ressens
..».
Tu t es mise à genoux, les yeux bandes, les cheveux dénoues, accoudée sur le tapis, reins cambrés ta divine croupe haut levée, attendant la perforation annoncée et pour patienter et te préparer je t ais introduit avec précaution et malicieusement un petit anus picket dans ton illet déjà bien préparé.
« Je vais te sodomiser Patricia, tu vas sentir mon sexe rentrer dans ton cul magnifique et enfin je jouirai sur tes fesses, tu veux ? »
- Oui prends moi je suis à toi, encule-moi maintenant, je veux sentir ta grosse bite dans mon cul
- Mais quel langage peu commun pour une femme aussi BCBG, tu te laisses aller .Mets toi en face d Anne-Sophie, à dix centimètres pas plus.
Chose faite, dans la même position que toi te touchant presque, je me plaça derrière Patricia penchée en avant les fesses offertes, je lui mangeais la croupe, mordillant ses fesses, et enfonçant ma langue dans son sexe. Remontant ensuite sur son anus je la fouillais comme un dingue. Mes mains accrochées à ses seins, effectuaient des mouvements de traite comme pour lui extirper du lait. Ses soupirs et halètements se faisaient de plus en plus fort et curieusement tu mimais ses gestes et poussais de petits cris envoûtants.
Ramenant ses bras en arrière je lui pris ses mains et les liai avec une cordelette, je pris un autre foulard et lui banda les yeux. Je me retrouvai face à sa croupe, libre daccès et sans défense à mes futurs assauts.
Comme le souhaitait Patricia avant chaque sodomie, je lui infligea une petite correction avec la règle en bois sortie du coffre. Je l abattis plusieurs fois sur sa croupe qui devenait rose et rouge par endroit lui arrachant quelques cris non pas de supplices mais plutôt de délice. Ensuite j ai écarté ses deux globes pour libérer la raie de ses fesses et y loger ma queue et je lui ordonnai de bouger sa croupe afin de frotter mon membre raide et suintant. Après mêtre masturbé en usant de ses fesses, j ai positionné mon gland à lentrée de son anus, et lais appuyé sur son petit trou, jais commencé a appuyer franchement, Patricia poussa un cri lorsque mon gland a franchi la barrière de son petit oeillet. Je me suis figé quelques instants pour lui laisser le temps de shabi et tout doucement je lui enfonçai, il se dilata sous la pression. Enfoncé jusquà la garde, lui saisissant les fesses à pleines mains, je me suis mis a bouger dabord lentement puis de plus en plus vite, et avec force.
Maintenant je la pilonnai, comme un marteau piqueur, ma pine fouillant son fondement auquel elle me répondait en tendant ses fesses. Je la laminai, détruisais, défonçai, elle gémissait, mon sexe la faisant jouir comme une folle, pendant que mes mains saplatissaient sur sa croupe faisant rougir ses fesses. Tu gémissais tout autant qu elle, les boules faisaient leur effets tu te dandinais et appuyais même sur l objet entre tes fesses pour qu il te pénètre encore un peu plus.
« Taime ça cochonne de sentir ma grosse bite dans ton petit trou »
- Oui continue cest trop bon.
J ais prolongé alors cette enfilade extrême en ne respectant plus ce corps ambré que jaimai.
Tout cela me procurant une jouissance extrême, mes deux mains sétaient emparées de nouveau des ses seins que je malaxais avec forces, les faisant sentre choquer entre eux. Je jouis très vite au fond de ses fesses lui laissant sentir la chaleur de mon sperme au fond de ses entrailles. Mon sexe sorti de son anus, je giclai le reste sur ses fesses, et l étala avec ma bite encore bien dur. Mon corps épuisé se laissa enfin tomber, je me blottis contre elle tout en lui caressant tendrement le corps. Quelques minutes passèrent sans bruit simplement nos souffles haletants. Nous restâmes silencieux, sans bouger, collé lun a lautre, et toi face à nous. Je te regardai, lisais du regard tes courbes, j avais
Très envies d être sur toi de sentir ton corps, humer le parfum de ton fruit, et d être inondé par bouffées de cet émoi sensuel.
Je me suis relevé et me suis approché de toi. Mes mains sont descendues sur ton dos, j ai réveillé à nouveaux tes sens, mes doigts dans tes cheveux puis sur ta nuque. Je suis remonté et je t ais extirper l objet planté entre tes globes fessiers, tu as poussé un long soupir de bien être
interprète du plaisir et je pouvais voir ta cerise qui se refermait en petits spasmes. Je t ais relevé, j ai défais le bandeau qui te couvrait, tes cheveux détachés flottaient sur tes épaules comme un voile. Une étrange lueur brillait au fond de tes yeux. Comment resté insensible à tant de beauté et de sensualité ???
Je passa mes mains autour de tes épaules et te colla à moi. La chaleur traversait nos deux corps comme une décharge électrique. Ton odeur menvahi, je men régalai. Mes mains glissèrent dans ton dos jusquau creux des reins. Je tattirai encore un peu plus contre moi. Tes doigts, comme dix feux, tournoyaient entre mes clavicules, je tembrassa et dans linstant les paroles etaient inutiles. Ma langue parcourait ta bouche, tes lèvres se sont ouvertes pour me laisser entrer, nos salives se sont mêlées. Nous nous sommes installés sur le canapé, j ai versé trois coupes de champagne et nous avons trinqué, toi à ma droite et Patricia à gauche en portant un toast à tes charmes et à la suite de la soirée. Pendant la petite pose, nous avons parlé de toi, de Patricia de la façon dont nous nous sommes rencontrés, comment et pourquoi tu as accepté mon invitation. Je fus surpris de constater que tu éprouvais malgré tous de profonds sentiments envers moi. Que tu ne souhaitais pas les avouer et que tu préférais les garder dans ton jardin secret mais tout le long de la soirée, tu n a fait quen lever les barrières. Afin de t aider et de remettre au coffre tous ces merveilleux trésors à tout jamais, je t ais dis que tout ceci ne serait qu éphémère et que c est ce qui rendait cette soirée magique. Ce fut et tu peux me croire avec beaucoup d amertume que je prononçais ces quelques mots. J aurais tant donné pour prolonger cette soirée à quelques mois, années voir toute une vie
Moi aussi j éprouvais beaucoup de sentiments envers ma femme d un soir, envers toi Anne-Sophie.
Enfin après ce doux et torturant moment, ma main posée sur ta cuisse s est immiscé sur l intérieur. Je me suis laissé tomber à genoux devant toi. Mes mains se posèrent sur tes genoux que j écarta lentement. Je te couvrais de tendresse avec mes lèvres tout en ayant mes yeux rivés aux tiens. Lentement mes mains caressèrent l'intérieur de tes cuisses et ma tête sinclina. Nous rentrions progressivement en hypnose ou la notion de temps et d espace n existait plus, nous partions pour un voyage intemporel.
Ma tête maintenant entre tes cuisses, le compas de tes jambes suffisamment ouvert, je me suis invité à la dégustation du plus beau des mets. Devant moi, captivant mon regard, ton sexe, il perlait déjà du plaisir avenir, pour moi, cette intimité que j avais fouillé de ma langue et de mes doigts, humé, goutté mais sans vraiment la voir. Deux boursouflures, séparées par un sillon luisant et au sommet, un bourgeon dardé , le plus beau fruit d Amour que je n ais jamais vu. Le puis aux milles plaisirs. De ma langue j en ai éprouve la fermeté, de mes papilles je l ais goutté et apprécié, et de mes yeux, dévoré. Ma bouche se posa sur ta fente et ma langue en lissa les lèvres gonflées par l afflux sanguin, mes doigts glissèrent entre ces deux boursouflures sans te pénétrer, et vinrent ensuite les disjoindre, tu étais trempée. Ma langue vint lécher l'ouverture de ta grotte
et elle s'enfonça
délicieusement... Puis telle une sangsue, je me suis collé à ton sexe.
Je me suis occupé de parcourir tes lèvres et de titiller ton clitoris du bout de la langue avec une précision de chirurgien, jouant avec tes plis intimes, amenée progressivement au bord de l'orgasme, sentant ta poitrine se soulever de plus en plus frénétiquement t'arrachant un soupir de plaisir, tu empoignas mes cheveux. Jalternais mon jeu de langue avec l'excitation de ton clitoris que je fis saillir avant de l'aspirer et de le titiller à nouveau. C'était vraiment bon et je sentais le plaisir t'embraser le ventre. Je ne marrêtai point et ma langue te procura une jouissance que tu étouffais en te mordant la lèvre inférieure. Patricia me regardait et je sentais bien qu elle te jalousait, ses mains courraient sur le haut de ton corps et te pétrissait les seins. Je regardais ton ventre plein de vie, secoué de spasmes, le galbes de tes seins ta gorge et ton visage, la bouche ouverte poussant de petits cris muets , encore une fois je cru rêver. Tu m as supplié entre deux spasmes de venir en toi, tu allais jouir et tu voulais me sentir pour la première fois.
Te laissant allongée sur le dos, je me suis mis debout face à toi en posant tes talons aiguilles sur mes épaules et je me suis avancé le sexe à la main. Je le frotta sur ta fente trempée quelques instant comme pour te faire goûter le velouté de mon gland puis je le guida vers l'intérieur et l'engagea avec douceur. L'effet était fabuleux, je n'en finissais pas de rentrer en toi. Te l'enfonçant jusqu'à la garde... je suis resté immobile, laissant le plaisir t'envahir, puis j ai posé mes doigts en plein centre de ta poitrine et en ais fait le tour. Ils descendaient doucement sur ton corps et Lorsque cette caresse passa sur ton ventre, douce comme une plume, un frisson chargé de désir et dexcitation te transperça de bord en bord.
"Oui
oh oui
." Me dis tu d'une voix pâmée.
Je me mis en mouvements, lents, marquant des petits temps d'arrêts au début. Quand je fus sûr que tu t'étais bien adaptée, l'amplitude de mes mouvements augmenta
crescendo
. Une fois que je me rendis compte que tu étais suffisamment accoutumée, je te pris avec moins de retenue, je sentais cogner ma bite au fond de toi et mes bourses battre tes fesses. Tu te mis à geindre et moi je t'encourageai :
« Vas-y ma belle gémis ! Dis moi que tu aimes et que c'est bon !
-oh oui Luc c'est bon
c'est booon
encore
.huuuuuummm
.!"
-Tu vas me dire quand tu vas jouir hein ? Je veux t'entendre !"
-Oui je vais le dire
. Je te promets
Ooooh
Mais arrêtes toi un peu mon chéri, ne me fais pas jouir trop vite. Je voudrais tellement prolonger ces instants de plaisir.»
L'absence de retenue fit place à l'a frénésie et tu t'abandonnais au délice des toutes ces sensations. Tu savourais ce moment de plénitude, totalement possédée par ce membre généreux.
« Oooh Luc
jamais aussi gros, jamais aussi long, jamais aussi loin
jamais aussi bon
»
Des ondes de plaisirs montaient en toi et entre deux râles, tu eus la présence d'esprit de balbutier :
« Ooooh, Luc c'est y est
c'est y eeeest
je jouis
je jouiiiiiiis
. Ooooooh ouiii Luc
. . »
Je t'acheva de grands coups de reins qui te clouèrent au canapé et tu n'avais pratiquement pas repris tes esprits que tu me sentis grossir (encore) en toi, puis vibrer et dans un grognement jéjacula longuement par saccades. Apres une très abondante éjaculation, lorsque je me retira, je te laissa un vide d'un contraste encore inconnu du fait de l'importance de l'occupation précédente. Je t'aida à te relever te pris dans mes bras et t'embrassa longuement.
Patricia après avoir jouis elle aussi avec ses toys, nous proposa une petite pose restauration et champagne. Une fois la collation fini, nous sommes allez dans la chambre de notre ôte.
« Luc a refais toute la déco de ma chambre. Viens Anne-Sophie, je vais te montrer notre terrain de jeu. »
Tu nen croyais pas tes yeux. Cet endroit te semblait être magique. Une grande pièce carrée. Aux murs, des tentures mauves, qui faisaient ressortir de vieux tableaux et des meubles très stylés. Aux fenêtres, de lourds rideaux dun violet plus soutenu et ornés de fines cordelettes dorée. Au plafond, des grosses poutres en chêne semblaient soutenir un ciel étoilé. Tes pieds senfonçaient dans une moquette dune épaisseur impressionnante. Et enfin, éclairé par une cinquantaine de bougies dispersées dans la pièce, trônait au centre un gigantesque lit à baldaquin, sortie tout droit des « mille et une nuits ». Les montants etaient finement sculptés de petites scènes érotiques à peine visible si on ne les cherchait pas. De grands voiles de soie faisaient le tour de ce beau navire, dévoilant par transparence une énorme couette rouge, recouverte dune multitude de coussins de toutes tailles et de toutes formes. Patricia, derrière toi, tenlaça et tembrassa dans le cou. Tu étais tellement fascinée, que tu ny prêtas même pas attention. Une de ses mains caressa maintenant tes seins, tandis que lautre elle sattardait sur ton ventre. Une douce chaleur commença à tenvahir.
« Ça te plait ? »
« Cest magnifique ! Je crois rêver. »
« Et ce nest que le début. »
Elle temmena jusquau lit. Toujours émerveillée, tu pris la soie et caressa ton visage avec le tissu. Dans un coin des bâtons dencens diffusaient un doux parfum exotique.
Ses yeux brillaient, reflétant les flammes des bougies. Son sourire, rempli de tendresse, tapaisa. Tu te sentais bien.
Vos peaux fébriles se touchèrent et de nouveaux
Patricia caressa ta peau satinée et goutta tes lèvres chaudes. Vos doigts ségarèrent dans vos intimités, vous buviez vos jouissances, clitos et tétons furent triturés, tirés, branlés. Cest ton corps couché sur celui de Patricia qui se libéra le premier. Un doux et long orgasme traversa ton ventre, tes tripes. Tes jambes se tendaient, tes fesses se contractèrent puissamment et tu sentis ta chatte semplir de ta liqueur. Cétait au tour de Patricia dexploser et comme deux femmes serpents, vous onduliez de longues minutes, afin que vos sexes se frottant lun contre lautre, mélangent bien leurs amours. Vos baisers furent fougueux, presque sauvages, tout comme vos caresses qui furent plus prononcées, plus directs, plus franches. Cest avec un sentiment de plénitude que tu glissas sur le coté et tenant la main de Patricia, vous étés restées ainsi couchées cote à cote durant de longues minutes. Me levant du fauteuil d ou je venais de jouir du spectacle, te dis
« Anne-Sophie
cest lheure. »
Tu tapprêtais à dire quelque chose, mais, guettant toutes tes réactions, je posai un doigt sur tes lèvres pour ten empêcher. J ai alors pris T es mains et les ais attachées aux montants du baldaquin. Puis, comme une chorégraphie bien réglée Patricia te banda les yeux et moi te passai une cordelette autour des genoux pour la fixer aux nuds de tes mains. Ainsi croupe offerte à la sodomie, soumise sur le lit des milles plaisirs. Je lubrifiai lillet fripé avec le produit de ton entrejambe, je tapotais mon bout lisse à la fois dur et satiné sur ta magnifique cerise, puis je me suis approché de la cible étroite, le siège de l âme, la voie royal, dépliant les chairs délectables, j ais appuyé le gland contre la corolle. Lentement je vis mon membre s'enfoncer, électrisant les muscles fessiers, de l'anus distendu. Je te glissa avec tendresse la chose dans le derrière, je pouvais enfin sodomiser ma compagne, ce qui je l avoue restait mon fantasme préféré. Malgré les précautions prises l'anneau résistait et je tentendais haleter sous l'effort. Je demandai à Patricia de te branler lentement pour que tu te détendes, ce quelle fit d'une main, l'autre s'activant sur ta poitrine. La tête renversée, soudain tu poussas un petit cri, et moi un soupir de satisfaction, le sphincter avait enfin cédé. La suite de la pénétration fut plus aisée, et je vis mon sexe s'enfoncer doucement mais sans répit entre tes fesses. Je taccorda un temps d'adaptation puis je me suis retiré pour te pénétrer à nouveau cette fois ci sans marquer d'arrêt et bien à fond .Je contemplai ton anneau qui se déroulait sur ma hampe quand je me retirai lentement et senroulait à nouveau dessus quand je menfonçai en toi . Le fourreau étant désormais adapté au diamètre de ma queue, et frémissant soudain du plaisir à venir agrippant tes fesses, j entama un va et vient continu qui te comblait. Tu te pâmais, me disais des phrases obscènes, tu te trémoussais d'aise et poussais tes fesses vers moi, comme si tu voulais que je m'introduise plus encore. Rugissant dans une cambrure fanatique tu engloutissais ma verge. Tu ondulais du bassin et contractais ton muscle entraîné qui me serrait puissamment le sexe. Après bien des gémissements encourageants, te retournant, tu madressa un sourire de courtisane expérimentée qui savait que je n allais pas pouvoir te résister longtemps. Tu m as offert tes lèvres dont je me suis emparé goulûment. Puis j ai saisis tes seins à pleines mains pour te faire aller et venir, ton ventre se soulevait comme une houle. Je te pistonnais maintenant sans retenue à grand coup de reins, tu secouais la tête dans tous les sens, j ais pris tes cheveux en mains, je te chevauchais. De ton coté tu répondais en te projetant au devant de ma queue qui te taraudait. Puis tu te figeas et dans une plainte ininterrompue souffla :
« Ouiii, ouiii je vais jouir »
- Par où tu vas jouir ??
- Par derrière, oh oui c'est fort, je vais jouir par derrière.
- Dis-moi que tu vas jouir par le cul !!
- Aaaah, je vais jouir par le cul.
- ah je n'en peux plus moi aussi, je vais tout te donner !!
- Tu es énorme, vas y donnes moi tout » et au moment crucial, Patricia menfonça sournoisement un doigt dans lanus qui me fit décharger convulsivement toute ma semence dans tes reins. Tu en tremblais tellement la sensation était extraordinaire. Ensemble, dans un râle de jouissance, toi cambrée au maximum et moi arc bouté tinondant les entrailles.
Je me suis retire doucement de ce nid damour en abandonnant quelques gouttes de sperme sur tes cuisses, et quelques instants plus tard, Patricia avec un regard lourd à prit ma queue et la frottée voluptueusement contre tes cuisses gainées de nylon.
Ce contact des fibres sur mon gland mélectrisa et je mabandonnai un long moment à des caresses pour retrouver mes forces. Nous sommes restés ainsi couchés cote à cote, toi encore attaché, durant de longues minutes. Je te coucha sur le ventre et te chuchota à loreille :
« Maintenant mon amour nous allons te prendre à deux, une double pénétration, en sandwich, une expérience mystique.»
Tu me lanças un regard éperdu et je compris que pour toi cela représentait un des sommets de la perversion, et que dans l'absolu tu souhaitais tenter l'expérience, bien que la redoutant. Mais là tu étais au pied du mur et te récrias :
« Ce n'est pas possible, je ne l'ai jamais fait et puis vous êtes trop gros, vous aller me déchirer »
« Mais non mon amour, tu vas voir, tu vas adorer, et puis, je crois que tu as été un peu élargie, non ?"
« Oui c'est vrai, d'ailleurs, je l'ai sentie passer quand tu m as sodomisée, écoutez, je veux bien essayer, mais vous me promettez d'arrêter si j'ai trop mal, n'est ce pas Patricia, tu lui diras d'arrêter ??!!»
J'acquiesçais en réponse tout en regardant Patricia qui attrapait un harnais de latex rouge monté d une verge de silicone translucide. Elle saisie les lacis de cuir et se l accrocha solidement aux reins .Patricia s'allongea sur le dos, et te pria de venir sur elle après t avoir détaché des liens de la sodomie passé. Tu l'enjambas et te laissa glisser sur son sexe en latex. Je te fis pencher en avant jusqu'à ce tes seins s'écrasent sur les siens .Cambrer et saisissant les globes charnus de tes fesses dans chaque main je t écartais afin de dégager l'anus déjà souillé et qui béait encore un peu. Je pris position, guida ma bite à l'orée du rectum et commença à m'y introduire. Cela ne se faisait pas sans mal car tu demandas :
"Doucement, doucement, ça brûle, arrêtez un peu que je souffle, oui comme cela, allez y recommencez doucement, vous êtes tellement gros".
Ce que nous fîmes en commentant
« Voilà tu vois bien qu'elles sont rentrées, tu sens ?"
« oh oui, je sens, elles sont énormes »
« Maintenant on va bouger, tu vas aimer »
nous t avons demandé de reprendre appui sur tes mains et avons commencer a nous mettre en mouvement, alternativement, en accordant nos rythmes, lorsque Patricia s'enfonçait profondément, je ressortais jusqu'au gland et le mouvement reprenait. J'avais l'impression d'assister à un film pornographique ou un rêve éveillé : devant mes yeux exorbités je pouvais voir ma femme d un soir, en porte jarretelle s'offrir à une double pénétration allant même au devant des queues qui la taraudaient. Le plaisir qui avait fait place de puis longtemps à la légère douleur de l'intromission s'intensifiait progressivement, nous en profitions pour accélérer le rythme, nos mains te parcourant entièrement, nos bouches se posant sur ton corps. Patricia avait saisi tes seins et les léchait ou les faisant saillir mordillait les tétons érigés. Tu étais en sueur, ahanais sous le plaisir mêlant soupirs et gémissement. A travers la fine paroi je pouvais sentir le gode de Patricia glisser contre mon sexe et déclencher chez toi des ondes de plaisir.
« Regardez ce que vous me faites, c'est terrible, oh ouiii, vous me remplissez complètement, aaah, je vous sens glisser l'une contre l'autre, oh que c'est bon, vous me baisez et vous m'enculez en même temps, c'est trop bon, ouiiii, je vais bientôt partir
, encore
, oui
, encore
, ne m épargnez pas, plus fort, aaaah oui défoncez-moi
»
Bien entendu, nous ne sommes pas fait prier pour répondre favorablement à ta requête et dans une longue plainte, tu jouis bruyamment en offrant tes orifices aux queues qui te limaient. A mon tour les mains crispées sur tes hanches je laissais fuser mon plaisir dans le conduit annelé de mon « épouse » offerte.
« Alors ! Tu es contente ? Ça na pas été si difficile, non ? »
La part daventure et les variations subtiles que nous venions de t infliger se sont abattues contre toi comme une gifle qui tont coiffé contre un mur.
« Oooh Luc, une expérience mystique, Dieu ou Diable
Ange ou Démon
Cupidon ou satyre
je ne sais pas ce que tu es, ni même qui tu es !!! Mais jamais tu m entends
, jamais je ne t oublierais ».
Patricia est partie dans la salle de bain. Tu t es allongé sur moi pour un tendre câlin et après quelques minutes, elle est revenue habillé d une robe « seconde peau » en mousseline rouge. Ses formes mises en valeurs, elle nous sourit et dit :
« Les tourtereaux, je vous laisse et je pense que vous préféreriez restez tout les deux. Moi je vais au château de Courance pour la soirée privée hhuum
, et je ne rentrerais que demain soir.
-Merci Anne-Sophie, ce fut magnifique et j espère que l occasion se représentera. Luc à bientôt
»
Nous sommes restez ainsi toute la nuit, collé l un à l autre à se caresser à se couvrir de baisés puis nous nous sommes endormis lové sous le drap de soie.
Au réveil, il était dix heures passées, nous avons pris une douche ou nous nous sommes lavés mutuellement. Pas un mot avait été prononcé juste des regards doux dans lesquels on pouvait y lire une certaine tristesse, la fin d un rêve, d une histoire éphémère , dune ornementation peu commune pour une soirée inoubliable.
Je t ai raccompagné et avant que tu ne descendes de la voiture je tai posé une baisé sur la joue et :
« Merci Anne-Sophie, je
.je voulais que tu saches
que.. . Enfin comment dire ?...Non, ne gâchons rien
»
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