Pot De Départ

Je travaille en région parisienne dans un grand Immeuble fréquenté chaque jour par des milliers d'employés. Je croise donc quotidiennement des tas de femmes que je ne connais pas. Parmi celles ci, de temps en temps, sans que je sache trop pourquoi, une d'elles retient particulièrement mon attention. Cela se produit parce que la femme travaille non loin de moi mais malgré cette promiscuité, je ne la connais pas, j'ignore son prénom et le poste qu'elle occupe. En outre, c'est loin d'être un canon et je n'oserai pas prétendre qu'elle s'habille de façon suggestive. Je n'ai donc aucune raison de me vanter auprès des collègues qu'une inconnue me perturbe les hormones sauf si je tiens absolument à me faire chambrer par ces vieux machos indécrottables. Mais c'est ainsi, cette femme a un truc indéfinissable qui m'émeut et fait que je me verrais bien passer un moment en tête à tête avec elle. Et cette simple perspective suffit à mon bonheur.
C'est exactement ce qui s'est passé il y a quelques mois lorsque j'ai croisé Corinne en allant à la cafétéria. Corinne ne doit pas être loin de la cinquantaine. De taille moyenne, elle est brune avec des cheveux plutôt courts généralement tirés en arrière par un élastique ou un petit chignon. Elle porte habituellement un jean bleu marine qui moule raisonnablement son pétard généreux, des bottines à talons et un chemisier au dessus duquel elle peut arborer un pull si la météo le nécessite. Il est vrai qu'elle a de beaux nichons plutôt volumineux mais ça ne suffit pas en faire une bombe. Bref Corinne est une femme proche de 50 ans souriante et me semble t-il bien dans sa peau.
Il y a quelques semaines j'ai enfin eu l'occasion de faire connaissance avec elle. Serge un de nos collègues communs avait organisé un pot pour fêter son départ en retraite. Il avait fait les choses en grand et après les habituels discours élogieux des chefs de service sur la carrière évidemment brillante du futur retraité nous avons pu faire honneur aux boissons et au copieux buffet qu'il avait installé.

Peu avant 19h00, il ne restait plus grand monde dans la grande salle de réunion aménagée pour l'occasion. L'alcool avait fait son effet et je me sentais plus décontracté et plus rêveur que d'habitude. De temps en temps je jetais un coup d'oeil vers Corinne la trouvant à chaque fois particulièrement attirante. Évidemment Quand on descend pas mal de pinard, au bout d'un moment il faut éliminer. Je quittai donc provisoirement la fête en cours pour me diriger vers les toilettes.
Lorsque je sortis après une miction libératrice, mon coeur se mit à battre plus vite. Corinne avait elle aussi eu besoin de soulager sa vessie à moins qu'elle ait simplement souhaité faire une petite retouche à son maquillage. Toujours est-il que je la croisai alors qu'elle quittait le petit coin des femmes. Elle me sourit. Je me risquai à poser ma main sur son bras. J'espère que tu ne vas pas partir tout de suite déclarai je. Elle resta silencieuse. Suis moi si tu le veux bien, ai-je dit d'une voix plus ou moins assurée en lâchant son bras avant de marcher vers mon bureau. Lorsque je déverrouillai la porte, je constatai ravi que Corinne était derrière moi. Je pris sa main pour la faire entrer et refermai le battant en laissant la lumière éteinte. Face à cette femme qui me souriait, en proie à une vive excitation, je m'approchai d'elle pour l'embrasser. Elle répondit à mon baiser avec passion. Alors je la poussai jusqu'à mon Bureau sur lequel je la forçai à s'asseoir. Sa bouche avait un goût exquis. Je glissai mes mains dans son décolleté pour masser sa poitrine.
Loin de s'en offusquer, elle m'aida aussitôt à déboutonner son chemisier. Je plongeai mon visage entre ses seins lourds et denses que je fis jaillir hors du soutien gorge pour butiner ses gros tétons hérissés. Tout en les aspirant avec délice je m' attaquai au jean de Corinne avec la ferme intention de découvrir sa petite culotte et bien plus encore. De nouveau Corinne m'aida et le pantalon ne tarda pas à tomber sur ses mollets ronds. Aussitôt je m'accroupis et fis glisser son slip taché de cyprine jusqu'à la naissance de ses cuisses. Sa vulve à la toison entretenue luisait de mouille et je ne pus me retenir d'y plonger les narines m'énivrant de son odeur intime et envoûtante . Je me mis ensuite à lécher et aspirer délicatement ses petites lèvres et son gros bouton turgescent me fiant à sa respiration bruyante et saccadée pour varier mes caresses. Mon traitement s'avéra efficace puisqu'au bout de quelques minutes elle appuya fortement ma tête contre son sexe avant d' un cri de jouissance et de m'arroser le visage d'un puissant jet de cyprine. Je ne lui laissai guère le temps de reprendre son souffle. Je me relevai, dégraffai mon pantalon et extirpai ma queue de mon slip avant de la planter d'un coup dans sa chatte trempée. Je me mis alors à pilonner Corinne comme un mort de faim lui arrachant peu à peu des soupirs de satisfaction puis des gémissements de plaisir jusqu'au moment où incapable de de me retenir plus longtemps je me vidai dans son con tandis que les spasmes d'un nouvel orgasme agitaient son corps . Je restai ainsi un long moment collé à ma conquête ravi du plaisir que nous venions de partager.
J'avais encore des étoiles plein les yeux lorsque je sentis un tapotement sur mon épaule. Je sursautai et reconnus la voix de Serge:
- Hé! vieux reviens parmi nous, t'as un peu abusé du pinard on dirait; la fête est finie. Ils sont pratiquement tous partis et il faut remettre la salle en état. Si tu pouvais nous filer un coup de main ce serait sympa.
- Bien sûr... répondis je en me levant de ma chaise.