Rencontre Avec Mon Futur Maître 1
Ce jour là, j'avais mis une robe près du corps, juste au-dessus du genou mais qui laissait suffisamment entrevoir mes formes, mon cambré callypige et mes tétons, pour que quelques hommes me regardent avec appétit.
Je pris le métro sur une dizaine de stations pour me rendre à mon rendez-vous, il était bondé, surchauffé. Je tentai de m'adosser à une porte du fond pour éviter de tenir la barre mais plusieurs personnes y étaient déjà installées. Je me retournai pour me placer entre un homme, derrière moi et une femme âgée, devant moi. Je ne pouvais tenir la barre et tentais de m'ancrer au sol pour ne pas tomber à chaque va-et-vient de la machine.
A plusieurs reprises, mes fesses effleurèrent l'homme d'âge mûr qui se trouvait derrière moi. Je sentais maintenant son souffle dans ma nuque. Un mouvement du métro m'entraîna vers l'arrière et je me retrouvai dans ses bras ou plutôt retenue par la taille par ses mains puissantes, mon cul touchant complètement son sexe déjà durci.
Je balbutiai des excuses, consciente de son excitation. Il me murmura à l'oreille que je ne devais pas m'excuser, qu'il sentait que ma chute n'était pas innocente et qu'elle lui faisait déjà très plaisir.
J'étais décontenancée mais aussi émoustillée, d'autant qu'il commença à frôler avec ses pouces, mes tétons nus sous ma robe.
Son odeur ne m'était pas agréable, il portait une eau de toilette qui me dégoûtait mais étrangement, cela ne rendait la situation que plus excitante. Il me susurra que je devais me laisser faire, que si je portais ce genre de robe, c'est que j'avais envie que des hommes me fassent du bien.
Je ne résistais pas, j'étais juste une chose entre ses mains, qu'il caressait comme bon lui semblait et dont l'entrejambe commençait dangereusement à sentir les frissons d'un désir inavouable.
Les mouvements du métro accentuaient ma conscience de son membre turgescent contre mon cul qui se cambrait sans que je ne le contrôle vraiment.
La rame était si remplie que nous étions presque imbriqués l'un dans l'autre, autant que cela fut possible pour le moment du moins.
« Tu ne vas pas sortir avant que je ne te le dise », je m'entendis expirer « oui », il me serra plus fort contre lui et me rappela à l'ordre « oui monsieur ». Je ne lui répondrais que comme ça dorénavant, j'acquiesçai un « oui, monsieur » docile.
Après quelques minutes de caresses de mes seins et de mes fesses, de soupirs discrets, il commença à titiller ma petite fente à travers mes vêtements. J'avais envie de gémir et de crier « oui monsieur », « encore monsieur » tant la situation était exaltante.
Il était habile de ses mains, il était parvenu à trouver mon clitoris et le frottait avec ses doigts avec délicatesse. J'étais déjà mouillée et ne me souciais plus des gens qui nous entouraient.
Après un moment dont je n'aurais su évaluer la durée, je sentis qu'il était très excité, qu'il bandait fort et que sa queue était énorme.
« Tu vas toujours obéïr à ce que je te dis » auquel je répondis « oui monsieur, toujours monsieur ».
Il relâcha alors un peu son étreinte et je sentis qu'il bougeait dans mon dos. Je compris quand il mit sa main sous ma robe et descendis ma culotte qu'il venait de sortir son braquemart par sa braguette.
Il inséra alors son membre entre mes cuisses et le frotta contre ma chatte. Cette dernière était en effet trempée et il put nous faire plaisir sans difficulté pendant qu'il caressait d'une main mes tétons.
J'avais l'impression de me liquéfier, de n'être plus qu'une poupée sous ses doigts, d'être parfaitement soumise à sa queue.
Quand il vit que j'étais très excitée, il la plaça entre mes fesses pour titiller mon petit trou qui palpitait de désir mais aussi de honte. Je me rendis compte alors qu'un inconnu était en train de me souiller dans le métro au milieu d'une foule mais je m'abandonnais à cette langueur scandaleuse.
Mon déshonneur n'avait d'égal que mon envie de me faire souiller par cet homme qui s'était permis de me soumettre à sa queue.
Il me dit « tu vas sortir avec moi, je vais te montrer ce qu'est un homme », je répondis « oui, monsieur » et il remballa son sexe couvert de ma cyprine. A la hâte, je remontai ma culotte et nous sortîmes comme si nous nous connaissions et que nous étions des amants de longue date.
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