Chrstian
Christian
Christian était vraiment un beau gosse. Vingt-huit ans, grand, chatain, naturellement musclé sans aucune pratique culturiste, son sourire faisait craquer toutes les filles à qui il ne disait jamais non. Ma soeur, vingt-deux ans, était lune delle depuis deux mois. Jappris, en surprenant des discussions assez crues entre ma soeur et dautres filles, que Christian était un super bon coup, quun rien le mettait en érection et que son sexe endurant était à la hauteur de son charme, de ses caresses et de ses baisers. Bref, le must.
résumez votre récit en une phrase : votre sexe : homme femme transexueJai dix-huit. Je me prénomme Fabien. Jétais un peu jaloux pour deux raisons. Dabord, bien que nétant moi?même pas mal non plus, jenviais ce que représentait Christian. Ensuite, bien que nayant aucune certitude ni pratique homosexuel je savais que les garçons mattiraient et je mourrais denvie de me retrouver avec lui sous quelque forme que cela prenne. Hier, jai eu cette chance.
Ma soeur devait aller chez lui ce jour là vers 18 heures et elle a eu un empêchement impératif lié à la maladie dune copine à qui elle devait passer ses cours de fac et lui en expliquer le contenu. Elle ne voulait pas annuler simplement son rendez-vous par téléphone et elle ma supplié de passer chez Christian pour bien lui expliquer le contexte. Avec mon scooter, cétait un infime détour, dautant plus que je partais pour aller chez Fred qui habitait juste à coté.
Jacceptai. Dix minutes plus tard je sonnai à la porte du studio de Christian qui fût assez surpris de me voir au lieu de ma soeur. Je compris leur degré dintimité en voyant Christian torse nu, avec une simple serviette nouée autour des reins. Il sortait de la douche et attendait ma soeur dans cette tenue sans équivoque. Je balbutiai mon baratin. En souriant, Christian me fit entrer.
- Tu veux boire quelque chose, me dit-il.
- Euh, oui.
- Allez, une boisson dhomme : un whisky chacun, me dit-il.
- Je naime pas ça. Jy ai déjà gouté une fois ou deux. Cest trop fort, répondis-je.
Mais, sans mécouter, Christian avait déjà servi deux verres avec un demi-centimètre de whisky.
- Tiens bois ça cul sec, ça téclaircira la tête et ça te chauffera le ventre, me dit-il.
Christian avalait son verre et je fis de même dun trait pour sentir le moins possible le goût de cet alcool. Cela me mis lsophage en feu. Puis, lalcool me monta à la tête et me rendit euphorique. Christian me dit avoir compris les raisons de labsence de ma soeur et il me demanda :
- Et toi, tas une petite amie ?
- Non...
Enhardi, sans doute par lalcool, je mentendis lui dire ce que je navais jamais dit à personne :
- Je crois que je ne suis pas très attiré par les filles.
- Et par les garçons ? enchaina Christian avec désinvolture.
- Peut-être, répondis-je.
- Tu na jamais eu dexpérience avec un garçon ? Tu tes jamais branlé avec un copain ? minterrogea-t-il.
- Ben non... Et toi ? lui dis-je.
- Oui, bien sûr, quelques fois... Tu veux te branler avec moi ? Tu veux essayer ? demanda-t-il.
Je restai muet. Je rougissais. Jen mourrais denvie sans pouvoir prononcer un mot.
- Allez, sois pas timide, Fabien, fais comme moi.
A ce moment, sans pudeur, Christian dénoua sa serviette, la posa sur une chaise et, complètement nu face à moi, il commença à se caresser la queue qui se mit à bander de plus en plus. Maintenant, elle était bien raide et Christian se branlait sans égard à ma gène et à mon désir.
- Vas-y, dit Christian, déboutonne toi, sors ta bite et branle toi aussi.
Fasciné par le spectacle, je métais mis à bander de plus en plus. Puisque cétait comme ça, jallais lui faire voir que javais une aussi belle bite que lui. Je déboutonnai mes jeans et je les baissai dun coup en même temps que mon slip jusquà mes genoux.
- Ouahou, dit Christian, belle pine ! Tu vois quun mec ça te fait bander ... Vas-y, paluche toi, Fabien, tu mexcites...
Je me branlais maintenant face à Christian qui sastiquait aussi. Nous nous excitions de plus en plus quand Christian sapprocha de moi, mit sa main sur ma queue en me disant :
- Arrête, faut pas en rester là. On peut faire mieux. Déhabille toi, mets toi à poil comme moi.
Javais enlevé ma main de ma queue, mais celle de Christian était toujours dessus et elle continuait de me caresser. Javais la tête en feu. Cétait la première fois de ma vie consciente que quelquun dautre que moi me touchait le sexe. Je bandais comme un fou, me laissant faire. Narquois, Christian embrassa mes lèvres, puis recommença plus insistant. Je navais jamais dans mes flirts vraiment embrasser une fille. Mais là, à la deuxième tentative tout en douceur de Christian, je laissais aller mon instinct et mon désir. Je sentis avec délice nos bouches soudainement se fondre et nos langues se rejoindre comme nos lèvres et, pendant que Christian me caressait la queue, naturellement ma main droite alla vers la sienne. Je branlais Christian qui me branlait aussi pendant quon ne quittait pas notre baiser fusionnel.
Tout mon corps et tout mon esprit était embrasé.
On se dégagea quand même et jen profitai pour finir de me déshabiller en pensant, à temps, à appeler Fred pour me décommander. Coup de pôt, ça larrangeait.
Christian sétait allongé sur un fauteuil-relax. Il tenait sa queue raide.
- Tu vas me sucer la bite, Fabien, me dit-il. Après tu sauras vraiment si tu préfères les garçons.
Je nattendais que cela. Je neu aucune hésitation à me pencher sur lui et à sucer sa superbe queue, longue, raide, chaude et gonflée de désir. Plus je le suçais, plus je bandais.
Christian se laissa aller à jouir dans ma bouche, puis il me suça à son tour.
- Voilà, on est quitte, me dit Christian, ... et, pas un mot à ta soeur.
Je me rhabillai et il me laissa partir. Hier soir après cette visite, et ce matin, je me suis branlé à fond en fantasmant sur Christian ? Je rêve dune autre occasion avec lui.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!