Matinée Fort Agréable
Je suis, tranquillement, entrain de déguster mon pain frais grillé, tartiné dun bon beurre normand, assorti dun miel Toutes fleurs, lorsquelle apparaît dans lembrasement de la porte.
Vêtue dun long T-Shirt lui arrivant à mi-cuisses, Caroline (Caro pour les intimes) est une belle brune de 33 ans, affichant une taille d1 m 70, les yeux bleus et à la chevelure mi-longue. Avec une bouche assez pulpeuse et un nez fin, on peut dire que cest une belle femme.
Pour ma part, je mappèle Christophe, 40 ans depuis quelques mois. Jessaye dentretenir ma forme en fréquentant une salle de gym, me partageant entre mon boulot de commercial en informatique appliquée et vie familiale.
Ma femme, Kathy, est aussi, une belle femme que jadore. Elle travaille dans la pub.
Nos travails respectifs sont très prenants, et nos moments intimes ne sont pas légion.
Caro est une amie de ma femme qui est venue passer quelques temps à la maison pour des raisons professionnelles.
Aujourdhui, après le départ de Kathy pour son travail, jai décidé de prendre mon temps. Dailleurs il est 7h30 du matin et je nai pas trop dobligations, puisquen RTT.
Caro me regarde, en souriant, me lançant un « bonjour » encore, un peu, ensommeillé.
Elle sassied face à moi et se verse un grand bol de café noir, encore tout chaud, puis se met à le siroter en me jetant, de temps en temps, quelques regards appuyés.
On échange quelques banalités puis elle me demande :
-« Je peux te poser une question
euh !
indiscrète et intime ? »
-« Oui, bien sur, vas-y »
-« En fait
euh !
je voudrais savoir si tu es tout nu sous ta sortie de bain »
Quelque peu interloqué et amusé je lui réponds :
-« Oui, je le suis, car je dors, toujours tout nu »
Silence. Puis, je reprends goguenard:
-« Tu veux voir ? »
-« Euh !
Ca me gène
mais
»
-« Ne tinquiètes pas.
-« Alors OK »
Je me lève et défait, lentement, la ceinture du peignoir dont les deux pans souvrent sur mes flancs, laissant apparaître mon sexe à demi-gonflé.
Caro fixe, intensément, mon entre-jambe, et, un peu étonnée, me demande :
-« Tu es circoncis ? »
-« Non (rires). En réalité, lorsque tu es apparue, je repensais au délicieux rêve que javais fait avant de méveiller. »
-« Ah ! Bon. Et on peut savoir de quel rêve il sagit ? »
« Ca me gène un peu de te raconter ça »
« Mais si, vas-y, raconte »
-« Et bien, je me trouvais dans un sauna naturiste avec trois femmes, dont deux saffairaient entre mes jambes et dont la troisième sétait assise sur ma bouche »
-« Humm
.Beau programme. Ca reflète un peu un fantasme non ? »
-« Certainement. Mais est-ce que moi, aussi, je peux te poser la même question que toi, tout à lheure ? Ca ne serait que la réponse de la bergère au berger, non ? »
Caro sourit, hésite un instant et :
-« Ok, pourquoi pas »
Elle se lève et me tourne le dos. Elle se penche légèrement, en avant, croise ses bras devant elle pour saisir le bas de son vêtement et le tire par-dessus sa tête, me laissant admirer ses belles fesses bien dessinées. Son T-shirt tombe au sol.
Je sens mon sexe se gonfler tout doucement.
Elle croise à nouveau les bras, posant ses mains sur son bas-ventre. Elle se tourne et me dévoile ses seins fermes et suffisamment volumineux. Je remarque, immédiatement, ses tétons bien pointés vers le haut.
-« Alors ? »
-« Tu es superbe, mais nous ne sommes pas à égalité »
Elle remarque, par-dessus la table, quelle ne mest pas indifférente. Elle décroise ses mains et lève les bras au-dessus de sa tête, en faisant plusieurs tours sur elle-même. Jai le temps dapercevoir sa vulve, entièrement lisse.
Elle arrête ses tournoiements et se campe devant moi, jambes légèrement écartées et les mains, fermement, posées sur ses hanches.
Mes yeux se rivent sur son entre-jambe et mon sexe finit sa complète érection. Elle regarde ma queue fixement.
-« Ca te plait ? »
-
-« Et comment. Et toi, ça te plait, ce que tu vois ? »
-« Totalement ! Tu es en pleine forme on dirait »
Elle se rapproche de moi, se penche, pose sa main gauche sur le haut de ma cuisse, effleurant mes couilles, toutes dures et gonflées et membrasse à pleine bouche. Nos langues s'emmêlent, furieusement, comme pour se dire, sans prononcer un mot :
-« Jai envie de toi ! »
Elle enroule sa main sur mon sexe et entreprend des mouvements de bas en haut, continuant de me le faire grossir. Jessaye de parvenir à sa chatte avec ma main, mais la position ne me le permet pas. Je me contente de caresser lintérieure de sa cuisse, mes doigts effleurant, seulement, la lisière de ses grandes lèvres.
Elle lâche ma bouche pour regarder son uvre et en parait satisfaite.
-« Si on allait dans un endroit plus confortable ? »
Je me lève, mon peignoir, toujours, ouvert de telle sorte que Caro sempare de ma queue et me précède vers la chambre damis quelle occupe.
Devant le lit, elle me retire mon vêtement inutile et me fixant dans les yeux, saccroupie, lentement, me gratifiant, au passage, des coups de langue sur la poitrine et sur le ventre.
Arrivé à lendroit stratégique, elle branle mon vit quelle na, dailleurs pas lâché et assène à lextrémité et à la base du gland des petits coups de langue, savamment dosés.
Elle plaque ma bite sur mon ventre et entreprend de me lécher, par petites touches, les bourses.
Puis cest le grand assaut. Elle membouche, presque totalement.
Au bout dun long moment de ce plaisir intense que, même, Kathy, ne mavait, jusquà présent, jamais procuré, je prends sa tête entre les mains, lui donnant lindication darrêter ce doux traitement, avant une issue quelle ne pourrait, éventuellement, pas désirer.
Elle me regarde attristée :
-« Ca ne te plais pas ? »
-« Oh ! Si, bien au contraire. Mais, si tu continues, je ne pourrai pas me retenir »
-« Mais cest bien ce que je veux. Je veux tout ton plaisir dans ma bouche. Sil te plaît, laisse moi finir. Jen ai, vraiment, envie »
Elle paraît, tellement, sincère que je me laisse faire et elle reprend sa fellation denfer et, au bout de quelques instants seulement, jévacue toute ma jouissance dans sa bouche. Je vois des étoiles partout et frissonne de plaisir. Trois bonnes giclées de sperme sécrasent au fond de sa gorge. Caro avale tout avec, me semble-t-il, beaucoup de bonheur.
Elle continue à me lécher pour bien me nettoyer, puis se relève et membrasse à pleine bouche. Cest avec beaucoup de plaisir que je lui rends son baiser, après la jouissance quelle vient de me procurer.
Mais je reste un peu frustré de ne pas avoir, jusquà présent, eu accès à son joli minou qui me fait, terriblement, envie.
Je la prends par les épaules et lallonge sur le lit, les fesses au bord de celui-ci. Elle a compris ma démarche et écarte, largement, les cuisses.
Je me régale à la vue de ses lèvres luisantes et du capuchon de son clitoris bien gonflé.
Je me dis que je vais faire un vrai festin et entreprends, directement, car la sentant bien excitée, de lécher sa chatte de bas en haut en appuyant, à chaque passage sur son petit trou, pour y faire pénétrer le bout de ma langue.
Caro gémit déjà et je pense quelle ne sera pas longue à venir, vu ses déhanchements provoqués par ce que je lui administre.
Jaccélère, encore le mouvement de ma langue et sent sa mouille, abondante me couler sur le menton. Elle ne tarde pas à exprimer sa joie en se cambrant et projetant son bassin vers ma bouche. Cela dure quelques instants puis elle se laisse retomber sur le lit en gémissant.
Reprenant notre souffle côte à côte, tendrement enlacés, je lui exprime tout le plaisir quelle a su me donner.
-« Tu sais, ça na pas toujours été comme ça. »
-« Comment ça ? »
-« Et bien pendant mes études en terminale, jétais avec un garçon qui ma vite laissé tomber. Je ny connaissais rien au sexe. A part ce que javais pu voir de-ci delà, jétais inexpérimentée. Le premier que jai sucé, cétait lui et il ma quitté après. Jen ai déduit que je faisais ça mal. »
-« Cest un con ce type »
-« Je ne sais pas, mais je me sentais responsable. Puis tout a basculé, le jour où je me suis rendu chez mon professeur de math. »
-« Hein ? »
-« Et bien ce prof était très sympa et plutôt bel homme, mais je ne comprenais rien au cours quil nous prodiguait en classe. Aussi, un jour, je me suis décidée à aller le voir à la fin du cours pour lui expliquer que jaimais les maths mais que je ne comprenais pas toujours et que je voulais réussir mon bac. »
-« Ok mais quel rapport ? »
-« Attend jy viens. Il ma dit que si je voulais quil mexplique ce que je navais pas compris, je pouvais venir chez lui les samedis après-midi et quil pourra parfaire mes connaissances à titre gratuit. Un vrai altruiste quoi. »
-« Ouais ! je vois »
-« Non ce nest pas ce que tu pense. Il a bien, effectivement, comblé mes lacunes et tout ce que je navais pas compris en cours devenait clair, subitement, lorsquil me donnait ses explications. »
-« Ok, soit, et alors ? »
-« Alors, un jour ou nous avions fini les démonstrations des théorèmes de la semaine, il me proposa un verre de jus dorange que jacceptais bien volontiers, nayant, à cet age, pas limpression dr de la situation. »
-« Daccord, continue »
-« Il sest absenté dans sa cuisine lorsque est apparue sa femme dont il mavait déjà parlé. Elle sappelait Myriam. Une belle grande femme, mince, aux cheveux blonds et très bien proportionnée. Elle sest approchée de moi et a engagé la conversation, me disant que son mari lui avait parlé de moi et que je faisais beaucoup de progrés, daprès lui. On a discuté de choses et dautres puis elle en est venue à me demander si javais des petits copains etc
, enfin, tu vois le genre. Un peu comme une grande sur qui pourrait sinquiéter de ma vie extra-scolaire. »
-« La chose se précise, on dirait »
-« Attend, je nai pas fini. Donc je lui dis que de ce côté là, cest comme, un peu, avec les math, je ne comprends pas tout. Je lui explique la mésaventure davec mon dernier petit copain mais, bien sûr, évite les détails. Mais elle veut aller au fond des choses. Enfin cest ce que jen ai ressenti. »
Caro sest, alors, lancée dans son récit, mexpliquant quelle avait fini par raconter à Myriam ce quelle venait de me dire. Cette dernière sétait absentée un court instant puis était revenu dans la pièce avec en main un godemiché de taille plus que convenable et avait entrepris de lui montrer comment elle procédait lorsquelle voulait donner du plaisir à un homme. Cest à ce moment là que son prof est réapparu dans la pièce, nullement surpris de ce que sa femme était entrain de faire. Myriam lui expliqua la situation et Caro ne savait plus où se mettre. Mais ce fut pire lorsque Myriam décida de donner à Caro une démonstration en « chair et en os » et quelle entrepris de désaper son mari et de le sucer. Le paroxysme de la situation survint au moment ou Myriam proposa à Caro dessayer en lui tendant le sexe de son mari. Elle hésita puis se lança. La situation était, tellement, excitante que Caro sentait son sexe shumidifier fortement.
Myriam, tout en la regardant faire lui indiquait les endroits ou elle devait sappliquer. Au bout dun long moment du traitement quelle prodiguait, avec plaisir, à son prof, ce dernier émettant des signes avant coureurs de sa proche jouissance, Caro voulu sarrêter mais Myriam lui dit de continuer et de goûter au moins une fois dans sa vie. Elle sexécuta et son prof évacua de longues giclées de sperme dans sa bouche quelle avala avec curiosité et crainte à la fois. Elle se rendit compte que sa crainte nétait pas justifiée et avoua que cela lui avait procuré beaucoup de plaisir. Ils nont pas été plus loin ce jour là, mais par la suite, lors des cours de rattrapage qui ont suivi, ils ont fait plusieurs fois lamour ensembles, Caro goûtant même aux joies du saphisme.
A la fin de ce récit, mon sexe a reprit une belle forme. Caro sen aperçois.
-« Dis donc, on dirait quelle ta plu ma petite histoire »
-« Ce nétait pas un conte de Grimm, il me semble »
Caro rit, franchement, pose sa main sur mon sexe et entreprend de lentes et douces caresses. Puis elle mempoigne et me masturbe carrément. Elle met sa tête sur mon ventre, regardant son uvre, et au bout de quelques instants, je sens la douce chaleur de sa bouche sur mon gland. Elle laspire, le suçote, le lèche. Sa main caresse, à présent, mes couilles avec douceur, puis se met à les malaxer, plus fermement.
Pendant ce temps, jinsinue deux doigts dans son minou tout humide et frotte son clitoris avec mon pouce. Elle commence, doucement à gémir, pendant que je savoure le velours de sa bouche.
Après quelques instants de cette caresse mutuelle, Caro se redresse et, toujours mon sexe en main, se met à califourchon sur celui-ci et le guide vers sa grotte secrète. Sa chaleur entoure mon vit que je sens raidir à son paroxysme.
Elle accélère le mouvement, me chevauche de plus en plus vite, bouge son bassin davant en arrière, appuyant bien sur mon ventre pour que mon sexe cogne le fond de son vagin.
« Je te sens bien. Que cest bon ! »
Puis, penchée la tête en arrière, les yeux fermés et la bouche grande ouverte, elle crie, littéralement, sa jouissance.
Sen est trop pour moi. Je suis pris dun long spasme et joui à mon tour dans un râle de plaisir.
Caro seffondre sur moi, en nage. Elle me murmure que cétait merveilleux, quil y a longtemps quelle na pas eu autant de plaisir.
Nous nous embrassons encore longuement comme pour se remercier, mutuellement, du bonheur que chacun a apporté à lautre.
Caro se détache de moi. Un filet de liqueur sécoule le long de sa jambe. Nous restons un long moment, côte à côte savourant notre bonheur, lorsque, soudainement, la porte de la chambre souvre.
Cest Kathy !
Mais là, cest une autre histoire.
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