Au Ski

Au ski

Il m’avait repéré sur la piste. Il était maintenant devant moi dans la file d’attente du tir-fesses. Il m’aborda très simplement.
- Tu skies parfaitement pour ton âge, me dit-il
- J’ai 19 ans mais cela fait douze ans que je skie, presque tous les ans, répondis-je
- Quel est ton prénom ?
- Cyril
- Moi, je m’appelle Hubert. J’ai commencé à skier au même âge que toi, mais j’ai 42 ans. Je suis toubib en Normandie. Je suis ici avec un ami, mais il est nettement plus débutant et il y a
des moments où on ne skie pas ensemble. Et toi, t’es avec ta famille ? m’interrogea t-il.
- Non, cette année je suis seul, répondis-je
- Même pas une copine ? ou un copain ? demanda t-il.
- Non.
- Mon ami Roland avec qui je suis ici, vit aussi avec moi à Alençon. On forme un couple si tu vois ce que je veux dire, m’assena t-il en souriant et en me regardant droit dans les yeux.
- Je vois d’autant mieux que j’ai les mêmes goûts, répliquais-je avec un sourire ravageur.
C’était son tour au tir-fesses.
- Je t’attends en haut, lança t-il au moment où la perche l’embarquait.

Dès que je fus en haut à mon tour, nous redescendîmes ensemble, comme des champions, les deux immenses pistes qui nous ramenaient dans Avoriaz.Un véritable sans faute. Son immeuble était près du mien. Au bar où il m’avait donné rendez-vous, son ami Roland l’attendait déjà. C’était un beau gosse de 34 ans sympa et bien foutu. Il était infirmier à l’hôpital d’Alençon. Hubert et lui eurent vite fait de me convaincre de monter dans leur studio. Je ne m’étais encore jamais trouvé à plusieurs...

Leur studio était un peu plus grand que le mien et il y avait un grand lit à deux places. A peine entré, Hubert embrassa Roland à pleine bouche en lui caressant les couilles à travers son pantalon ! Ils étaient vraiment tout près de moi et j’étais comme électrisé. Hubert quitta Roland et se tourna vers moi.


- Viens Cyril, me dit Hubert.
Je fis un pas vers lui et ses bras m’enlacèrent. Sa bouche vînt au contact de la mienne pour un baiser auquel je me laissais aller avec fougue. Je sentis alors une de ses mains venir me tater la queue. Je bandais déjà et les caresses d’Hubert achevèrent de me durcir la bite. Quand Hubert s’écarta un peu, je m’aperçu qu’il bandait aussi et, en me retournant, je vis que Roland s’était déjà foutu à poil. Roland s’approcha de moi et me pris la bouche à son tour pour un long baiser. N’y tenant plus, je laissais mes mains aller sur sa queue pour le branler. Roland, ravi du traitement, en profitait pour prolonger notre baiser. Hubert à son tour s’était mis nu. Bel athlète pour ses quarante-deux ans ! Quelques poils grisonnant et les tempes très légèrement grises ajoutait à son charme. Lui et Roland maintenant s’ingéniaient à me déshabiller. Je les aidais discrètement et, bien que mon pantalon fût encore sur mes pieds, Roland caressait mon torse nu et me suçait les seins pendant qu’Hubert, à genou, avait englouti ma queue dans sa bouche. J’avais la tête qui tournait. Ils achevèrent d’oter mes vêtements.
- Penche toi sur la table, me dit Hubert, écarte bien les jambes.
Je me penchais, en croisant les bras sur le bord de la table et en mettant ma tête dessus. Roland s’était accroupi sous moi et me suçait la pine avec passion. Hubert s’était agenouillé derrière moi et me léchait la raie et l’anus. J’étais au comble de l’excitation quand Hubert se releva. Il enfila une capote et pointa son gland sur mon trou plein de salive. Il m’écarta les fesses avec ses mains et il enfonça sa pine avec tant de douceur que je sentis mon anus s’ouvrir pas à pas sans douleur. Quand Hubert commença son va-et-vient, je grognais de plaisir.
Au bout d’un moment, je sentis Hubert quitter mon cul sans qu’il ait encore joui.
- Debout Roland, dit-il, prends la place de Cyril.
Pendant que Roland s’exécutait, Hubert me caressait et m’embrassait.
Puis il m’enfila une capote sur la queue et il y étala du gel avant d’en enduire la raie et l’anus de Roland.
- A toi, me dit Hubert, baise le bien.
Je ne me le fit pas dire deux fois et je plongeais ma bite dans le cul de Roland qui s’ouvrait et palpitait de désir. Au bout d’un moment, Hubert me dit de rester bien au fond de Roland et de ne plus bouger. Je sentis alors sa queue se glisser dans ma raie, trouver mon trou et m’empaler complètement.
- Vas-y, reprends tes mouvements, me dit Hubert.
Hubert sut rester au plus près, en ne bougeant presque pas, de façon que sa queue ne quitte jamais mon cul pendant mes va-et-vient réguliers qui enculaient Roland. Pas une fois la queue d’Hubert ne sortit de mes fesses. C’était une sentation inouie que d’être fourré par un mec qui me limait le cul pendant que j’en baisais un autre !
- Je vais jouir, dis-je dans un souffle...
- Oui, Cyril, dit Hubert, vas-y, jouis à fond, jouis tant que tu peux. Tu sens Roland, ajouta t-il, c’est moi qui te baise à travers ce joli p’tit minet...
Roland contractait maintenant son anus en cadence avec moi et il se branlait pendant que la jouissance lui montait des sphincters jusqu’au creux du ventre. Quand j’éculais en secouant son cul de mes violents spasmes, Roland laissa aussi partir son foutre en ralant de plaisir.
Hubert me plaqua alors contre Roland, lui disant de ne pas bouger et de garder ma queue bien au fond de son cul. Je me penchais un peu sur le dos de Roland pendant qu’Hubert se mit frénétiquement à me limer avec des mouvements si rapide qu’il éjacula dans mon cul en quelques secondes.
- Je n’en pouvais plus... J’étais hyper excité... C’est trop bon, nous dit-il en retirant sa pine de mon cul et en me regardant déculer pendant que Roland se redressait. Chacun enleva et jeta sa capote.
- On t’invite à diner, Cyril, dit Hubert, et, si le cul t’en dit, on remettra ça avant de dormir.
- A condition que je puisse vous sucer l’un et l’autre et ensemble, répondis-je.
Et puis, j’aimerais aussi voir vos deux pines à la fois dans mon cul.
- Tu sais qu’il me donne envie ton petit protégé, dit Roland, dont la queue gonflait et durcissait de nouveau sous la caresse de sa main.
Hubert, qui avait rincé sa bite à l’eau du lavabo, approchait.
- Eh bien suce moi Cyril si tu en as envies, me dit-il.
Je m’agenouillai et je pris la belle queue encore molle d’Hubert dans ma bouche. J’étais fou de bonheur de sentir cette bite s’alonger et durcir à nouveau. Quand il fut assez raide, je le décalottais complètement avec une main et je le suçais comme un pro, dans un flot de salive.
Roland s’était rapproché et me mettait sous le nez sa queue presque totalement raide. Je quittai la bite d’Hubert pour engloutir celle de Roland qui prit vite ses proportions définitives. En levant les yeux, je vis qu’Hubert et Roland s’embrassaient à pleine bouche. Avec mes mains je les rapprochais le plus possible et je pu prendre ensemble dans ma bouche leur deux queues à la fois. Cela dura comme un moment de rêve.
- Viens sur le lit, me dit alors Hubert
Il enfila une capote et en plaça une sur la pine de Roland. Il les enduisit de gel l’une et l’autre puis il m’élargit le trou en y passant deux, puis trois, doigts pleins de lubrifiant. Je me mis sur le coté pour laisser Hubert s’alonger derrière moi et m’enculer à fond. Hubert se bascula légèrement sur le dos en m’entraînant avec lui et me dit de relever les jambes. Quand j’ai eu les pattes en l’air, je compris que j’offrais à Roland une vue superbe sur mon cul où était déjà planté la bite d’Hubert ! Roland s’agenouilla devant mes fesses et avec ses doigts il appuya sur son gland pour le faire passer dans mon trou contre la bite d’Hubert. Je mourrai d’envie qu’il y arrive et j’ouvrai mon cul le plus que je pouvais. Enfin, je sentis le gland forcer son passage et la queue de Roland écarteler mon trou pour s’y enfoncer en frottant la bite d’Hubert. Cette double et deuxième pénétration me fit horriblement mal et je laissai partir un cri de douleur.
Cela eu pour effet de les exciter encore plus.
- Alors beau gosse, tu les voulais ensemble nos deux pines... Tiens petit vicieux prends les bien, dit Hubert qui commençait à bouger très doucement en moi.
résumez - Hmmm, prends là toute, ma petite salope, dit Roland en faisant buter brutalement son bas?ventre sur mes fesses et en commençant un va-et-vient d’une rare violence...
- Arrêtez les gars, ça me fait trop mal, dis-je en gueulant et avec quelques larmes incontrôlées qui coulaient sur mes joues...
- Ne l’écoute pas, dit Hubert à Roland. Continue à frotter ta pine contre la mienne dans son petit cul de rêve, c’est prodigieux... Vas-y, baise le à fond. T’arrête pas... J’l’ bloque complètement. Il ne peut pas bouger.
Roland était gagné par une excitation incensée qui me mettait à la . Cela dura un temps infini. Je ne sentais que brûlure et chaleur et un sentiment de soumission totale. Plus cela durait, mieux je tenais le coup et plus j’étais heureux qu’ils aillent jusqu’au bout. Roland en vint à jouir avec une brutalité incroyable, mais mon cul acceptait tout. Roland resta enfoncé au maximum rebasculant avec moi sur le coté pendant qu’Hubert cherchait à jouir à son tour en me limant avec ardeur. La queue de Roland protégeait le coté meurtri de mon orifice et la queue d’Hubert travaillait l’arrière de mon anus me procurant une sensation de bien être incroyable. Je sentais monté en moi un plaisir lent, un orgasme du cul comme je ne croyais pas possible d’en avoir. Ce vicieux de Roland en profitait pour passer une main entre nos deux ventres et pour me tater la bite qui ne demandait que cela.
- Il se remet à bander ce petit salaud, dit Roland. Vas-y Hubert, bourre le à fond, tu es en train de le faire jouir.
Hubert ne se retînt plus. Je sentais ses spasmes vider ses couilles pendant que j’éjaculais en même temps dans les doigts de Roland. Je râlais de plaisir, sans retenu au milieu des grognements d’Hubert. On devait ameuter tout l’immeuble !
Ce fut Roland qui ota sa queue à peine amolie le premier. Il le fit tout doucement. La sensation était divine. Hubert en fit de même dès qu’il sentit mon anus se resserrer sur sa bite. C’était infiniment bon. Roland et Hubert otaient leur capotes inondées de foutre. En me tournant sur le dos, je réalisais que je gardais au cul une solide douleur qui ne partirait pas de sitôt...
- Alors Cyril, ce double pinage, c’était une première pour toi, il me semble, dit Hubert.
- Un vrai dépucelage, surrenchérit Roland... Et ça l’a fait jouir ce p’tit salaud...
- Tu vois ce que c’est que de nous demander de réaliser tes fantasmes, ajouta encore Hubert.
- Je vois surtout que je vais avoir mal au cul pendant des heures, ironisais-je.
- Tu ne risques rien, parole de toubib, dit Hubert en riant.
- De toubib un peu sadique, non ? répliquais-je.
- Si tu veux je te passe une pomade anesthésiante. Aller, lève toi et viens te laver, qu’on puisse enfin aller diner. J’ai comme un petit creux...
Quand j’ai été debout, l’un et l’autre me gratifièrent d’un long et tendre baiser sur la bouche. Décidemment, cette semaine de ski s’annonçait bien. Cela risquait d’être la méga teuf à ma bite et à mon cul. Je vous raconterai la suite une autre fois.

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