Des Travaux De Folie
Des travaux de folie
Lhistoire que je vais vous raconter est parfaitement authentique, elle mest arrivée au cours de lété 2005 et se poursuit encore aujourdhui.
Je me prénomme Véronique, jai 46 ans, divorcée et je suis secrétaire de direction en Normandie.
Lété dernier, je métais décidé à engager des travaux dans mon appartement, il fallait refaire les linos, les moquettes, les tapisseries, ainsi que le remplacement de la baignoire par une grande douche.
Jai tout dabord contacté plusieurs entreprises, mais aucune ne pouvait commencer les travaux avant octobre ce qui me contraria un peu et en discutant avec un collègue, il me donna le numéro de téléphone de quelquun qui avait effectué divers travaux chez lui.
Je contactais donc ce monsieur, qui acceptât de venir vérifier si tous ce que je souhaitais faire était bien dans ses cordes et lon se fixa un rendez pour le lendemain soir vers 18 heures.
Quand il vit les travaux que jattendais mais surtout dans quel délai jaurais voulu quils soient effectués, il mannonçât quil faudrait au moins quatre personnes pour pouvoir finir en moins de 10 jours et mestimât assez grossièrement le nombre dheures de travail que cela représenterait avec le taux horaire souhaité, en précisant que je les réglerai en chèque emploi service.
Il fit un peu la grimace, mais nous sommes quand même tombé daccord et il proposa même de maccompagner pour acheter les différents matériaux dont jaurai besoin, mais un de mes beaux frères sétait déjà engagé à le faire.
On sest donc donné rendez vous cinq semaines plus tard, pour quils puissent commencer à mon retour de vacances.
A lheure et au jours convenu, ils étaient tous au rendez vous et moi bien contente de les voir arriver, après quinze jours passés au bord de la mer, jétais reposé et détendu et dexcellente humeur.
Je les laissais regarder le chantier à attaquer pendant que je leur préparai un café, ils ne ressemblaient pas trop au type dhommes que je côtoyais au quotidien, mais ils avaient lair plutôt sympathiques.
Ils se mirent rapidement au travail et là ce ne fût plus que bruit et poussière tout au long de la journée, je me contentais juste à leur amener des rafraîchissements car il faisait horriblement chaud et je les voyais transpirer sévèrement.
Je fut bien contente de les voir enfin partir le soir, afin de pouvoir retrouver un peu de tranquillité, toutefois rapidement je me suis surprise à ressentir un grand vide après le débordement dactivité de la journée et javais bizarrement hâte de les voir revenir.
Je les accueilli donc le lendemain toute pomponnée, et très heureuse de les voir.
Au fil des heures, je commençais progressivement à discuter avec les uns et les autres, pour finir par plaisanter carrément avec eux, jadmets que parfois leurs plaisanteries étaient un peu grasses mais je ne men offusquais pas plus que ça.
Et cest ainsi que ce passa les cinq premier jours des travaux dans la bonne humeur, malgré la chaleur et le désordre.
Au sixième jour, il fallait sattaquer à la moquette de la chambre, mais pour cela il fallu sortir le lit bien sur mais aussi la commode qui elle est très lourde, ils me demandèrent den vider les tiroirs et moi très naïvement je commençais à tout étaler sur le lit et cest alors que je réalisais que jétais en train dexhiber à mes ouvriers toute la lingerie quelle contenait.
Je suis devenu toute rouge quand lun deux envoyât, « ça cest une femme qui a des dessous sexy », il y avait sur le lit des strings fantaisies, des body, deux guêpières et plusieurs porte jarretelle.
Si javais pu menfoncer à dix mètres sous terre, je laurais fait, mais ils sont ensuite tous repartis à leurs taches comme si de rien nétait, mais bien entendu ce fut devenu le premier sujet de plaisanterie.
La journée se terminait enfin, jallais pouvoir profiter de mon dimanche pour remettre un peu dordre et souffler un peu avec juste un bémol, je navais plus de baignoire et une douche pas encore en état de fonctionner.
Je fit une chose que je naurai jamais fait dordinaire, je me suis lavé et je me suis baladé toute nue dans lappartement pendant toute la soirée en trouvant cela très agréable, il faut dire aussi que la chaleur qui régnait à lextérieur y était aussi certainement pour quelque chose.
Une chose aussi que je navait plus fait depuis un certain temps fut de me caresser dans mon lit, et là javais dans la tête la vision de ces quatre hommes qui avaient envahi mon appartement toute la semaine et à qui joffrais ce spectacle, ce qui me fit jouir comme une folle, cétait irréel mais ça mexcitait de façon démentielle.
Je me suis enfin endormi, mais au réveil quelle ne fut pas ma surprise de voir une grosse auréole sur le drap, je pensais avoir peut être uriné pendant la nuit, mais non, javais mouillé et taché mon lit pendant mon sommeil.
Je ne comprenais pas ce qui marrivait, je navais certes pas eu dhomme dans mon lit depuis quelques mois, mais de là à me sentir comme ça carrément en chaleur, ça ne métait jusqualors jamais arrivé.
Je suis resté toute nue comme ça pendant tous le dimanche et jai compté mêtre masturbé dix sept fois dans la journée, javais comme qui dirait vulgairement le feu au cul, moi qui dordinaire sans être une oie blanche suis plutôt fleur bleue, javais des images obscènes dans la tête.
Le lundi matin alors que la sonnette de linterphone raisonnait, je me suis habillé à la va vite et consciemment ou pas javais enfilé un string noir sur un panta-court blanc transparent et un chemisier rose pale sans soutien gorge.
Quand je leur ai ouvert pour les faire entrer, je les ai vu me scruter de la tête au pied et cest en me retournant que je réalisais que jétais en plein dans le contre jour du couloir dentrée et que si je leur avais ouvert simplement en string, je leur en aurais montré autant.
Alors que jallais ouvrir la bouche pour leur reprocher de mavoir laissé sans douche, lun deux me dit : »bon dieu, tai sacrément bien roulé ma petite dame » et au lieu de lui retourner la gifle quil aurait du mériter, je me suis mise bêtement à lui sourire, laissant de ce fait la porte ouverte à ce allait marriver par la suite.
Effectivement, alors quils avaient reprit le travail et que je me promenais dune pièce à lautre, je les entendais murmurer des : » tu as vu le beau petit cul quelle a, ou, elle a les nichons en liberté, ou encore tu crois quelle a envie de se faire sauter » et bien que faisant celle qui nentendait pas, javais lentre jambe qui se liquéfiait.
Tout dégénéra vers les onze heures trente quand lun deux mannonça que la douche était terminée et prête à lemploi et ils me suggérèrent donc de lessayer.
Je voyais bien où ils voulaient en venir et jétais partagé entre ma tête qui en refusé absolument lidée et mon minou qui pleurait denvie de le faire et bien ce fut la chair qui fut la plus forte, car cétait plus fort que moi, javais envie de me faire sauter.
Jai juste pris une serviette de bain et je me suis déshabillé en laissant la porte ouverte pour rentrer dans la douche afin de ne laisser aucune équivoque sur mes intentions et effectivement il ny en eu aucune, les quatre hommes se sont postés dans lentrée de la salle de bain et quand lun deux me proposa de venir me frotter le dos, je lui ouvris directement la porte coulissante.
Et cest ainsi quils vinrent un par un me prendre debout dans la douche pour mon plus grand bonheur, il ny avait plus ni pudeur ni convenance, juste un désir bestial qui ma fait crier de plaisir, chose qui à mon age ne métait encore jamais arrivé.
La seule chose que jai pu contrôler fût le port du préservatif, pour le reste je vous laisse imaginer ce quune femelle en chaleur et quatre males en rut peuvent faire pendant tout un après midi.
Je fût prise de partout et dans toutes les positions possibles, car si sous la douche ce fût chacun leur tour, après cétait réellement tous ensemble et je me suis comporté comme la dernière des traînées car ce fût moi qui leur demanda les pires obscénités, je voulais quils me traitent comme une chienne, quils me violent tous les trous, quils minsultent, je ne savais vraiment plus qui jétais et ce que je faisais, javais perdu tout contrôle de moi même.
Vous donner le détail de tous ce quils mont fait jen serais bien incapable car jétais ce jour là comme possédé, ivre de sexe, une véritable e en manque.
Jai eu plus dorgasme en un après midi quen une année avec mes différent petits amis, mais à la fin de la journée, je ne ressemblais plus à rien, javais du sperme partout, les fesses en marmelade et la mâchoire toute engourdie, je devais faire peine à voir, mais à ce moment là je men moquais éperdument.
Quand les ouvriers sont repartis, ils mont lancé un : »on remet ça quand tu veux », mais jétais trop épuisé pour leur répondre quoi que ce soit.
Je suis resté coucher pendant plus de deux heures, à bout force, avant de prendre conscience de ce que venais de faire, cétait toute mon éducation et mes convictions qui avaient volé en éclat en quelques heures et cest alors que je fût assailli par un grand sentiment de honte.
Je nen ai pas dormi de la nuit et pourtant jétais morte de fatigue, langoisse du matin et du retour des ouvriers mobsédait.
Quand linterphone sonnât, jhésitais un long moment avant douvrir et quelle ne fût pas ma surprise de les voir arriver avec un énorme bouquet de fleurs.
Ils mont simplement souhaité bonjour et mont tendu le bouquet tout en me remerciant et en sexcusant pour ce qui sétait passé la veille et que si je souhaitais les renvoyer, ils comprendraient.
Je mattendais vraiment à tout, mais pas à ça, je métais comporté comme une moins que rien et cétait eux qui sexcusaient, je ne savais plus quoi répondre sinon que jaimerais quils finissent le travail.
Durant la journée, lambiance lourde du début se détendit petit à petit et en début daprès midi le sentiment de gêne réciproque sétait presque totalement estompé.
Les deux jours qui ont suivi furent tout à fait normal, jétais très contente du résultat des travaux et le jeudi soir alors quils allaient partir, je leur proposais de faire un bon repas le lendemain midi, si ils étaient daccord bien sur et jeus droit à un grand oui en cur.
Je suis sorti faire les courses mais nétant une grande cuisinière, ce fût le rayon des plats préparés qui fit mon bonheur et en sortant je me suis attardé au magasin de lingerie de la galerie marchande ou je me suis acheté un string microscopique.
Jai passé la soirée à faire lessayage de ce que javais de plus sexy, mais finalement une idée me traversa lesprit, et si je métais juste un tablier de cuisine et le mini string.
Je devais être complètement folle, mais je crevais denvie de recommencer la séance du mardi et je me disais que cétait sûrement la dernière fois que je pouvais connaître ça.
Quand ils sont arrivés, ils devaient avoir encore deux bonne heures de travail, le temps de tout remettre en ordre et de tout ranger, aussi vers les onze heures, je suis aller dans la chambre pour enfiler le tablier et le string et javais pris soin au préalable de me raser intégralement le pubis.
Rien que lidée de franchir la porte dans cette tenue, me mettait dans un état dexcitation pas possible, je sentais le sang pulser dans mes tempes et le bout de mes tétons durcir, je pris une grande inspiration et je sorti ainsi en souhaitant de tout mon être que tout ce passe bien.
Ce fût le cas, le premier à ouvrir la bouche envoya : »si le repas est à la hauteur de la cuisinière, quest ce quon se mettre »et un autre de relancer : »si ça cest pas un beau dessert ».
Je leur servi donc lapéritif dans cette tenue et alors que sentis une main se poser sur mes fesses, je répliquais : » il faudra attendre le dessert » et ils ont tous éclaté de rire.
Ils ne posèrent quune seule condition : »si tu es capable de nous épuiser tous les quatre avant ce soir, ce sera à nous de te faire une surprise », je ne compris pas vraiment mais jacceptais.
Le repas fût avalé en prés de trente minutes et je me fis une joie de leur envoyer le tablier à la figure et alors que je mattendais à les voir se ruer sur moi, ils se contentèrent juste de me demander de venir les sucer.
Ce que je fis avec une grande joie, mais dans létat dexcitation où ils étaient, ils meurent tous inondé la bouche en tout juste dix minutes.
Malgré cela je dû me rendre à lévidence, ils avaient encore de la réserve et mon string se retrouva rapidement suspendu au lustre de la salle pour céder la place à leurs gros sexe bien dur qui retrouvèrent très vite les bonnes directions à prendre.
Là par contre je me rappelle très bien tous ce quils mont fait, car je nétais pas dans le même délire que la première fois et je crois que jai encore plus apprécié bien que lintensité eu été inférieure.
Ils mont baisé pendant prés de deux heures, se relayant à la fois dans mon cul, ma chatte ou ma bouche et souvent les trois en même temps, quand je nen navais pas deux qui mécartelaient les mâchoires.
Mais vers quatre heures, ils ont commencé à donner des signes de faiblesse et malgré mes efforts, je pense quils avaient tout donné.
Lun dentre eux nous laissa, pendant que les trois autres se firent une joie de mattacher les poignets aux montants du lit et entreprirent de me caresser et me lécher, ce nétait plus bestial, mais presque tendre et je mabandonnais délicieusement à toutes ces vagues de chaleur qui me traversaient le ventre.
Quand au bout dun certain temps, jentendis discuter dans le hall dentrée et alors quinstinctivement je tirais brutalement sur mes poignets, je vis rentrer plusieurs personnes que je ne connaissais pas, dont une espèce de géant qui me fit très peur.
Cest à nous de voir maintenant si on peux tépuiser, à huit on devrait y arriver, ce chiffre me fis perdre la tête à nouveau et je leur répondis que même à vingt cinq ils tomberaient avant moi, cétait purement de la prétention, mais ils mont tout de même prévenu de ne pas trop les tenter car ils connaissaient du monde.
Effectivement à huit cest déjà beaucoup, surtout avec larmoire à glace quils avaient ramené et qui été monté comme un âne, il ma littéralement démonté le cul et à ma demande en plus, car alors quil me prenait la chatte, il ressortait régulièrement son engin pour le frotter entre mes fesses, je nen pouvais et je lui ai demandé sil fallait que je lui tienne la main pour me la mettre dans le cul.
Malgré le nombre de pénétration que javais subit, quand il sest enfoncé, jai bien cru le voir ressortir par le nombril, il y a eu comme un vide dair dans mes poumons et le sentiment de mouvrir en deux.
Essayer dimaginer moi un mètre cinquante trois, quarante deux kilos, embroché par ce mecs de prés de deux mètres et cent kilo avec un truc entre les jambes qui ferait jaser un acteur de film x.
Il a réussi à se mettre debout en me gardant toujours enfilé, javais les pieds dans le vide, pour que les autres puissent me baiser aussi et cest à ce moment que jai recommencer à débiter des horreurs, je disais nimporte quoi, mais ceci eu le mérite de les voir sacharner sur moi comme des morts de faim et là de nouveau black out dans la tête.
Le soir quand ils sont tous partis, jai mis à la poubelle trente sept préservatifs usagés, je marchais comme si javais fait une randonnée à cheval pendant un mois, javais la chatte qui me brûlait et peut être que vous allez me trouver cinglée, mais jai adoré.
Il ma presque fallu une semaine pour totalement récupérer et retrouvé ma petite vie habituelle, mais je ne regrettais rien et bien que le mois suivant je me suis mise à ressortir avec un de mes ex, je trouvais dun fade au point de simuler quand il me faisait lamour, je me voyais assez lui demander de me défoncer le cul ou de me ravager le ventre, il maurais prise pour une folle, dans mon cercle de connaissance ce sont des choses qui ne se disent ni ne se font.
Quand arriva la fin octobre, jétais triste et déprimé, sans goût à grand-chose, javais vécu quelque chose de tellement intense et qui bien que loin de correspondre au comportement normal dune femme, me manquait tout simplement.
Il me fallu encore deux autres semaines avant denfin oser rappeler lhomme à lorigine des travaux, pour savoir sil serait daccord pour morganiser une autre surprise.
Il accepta mais pas chez moi car en ce moment ils travaillaient tous trop loin, par contre si moi jacceptait de me déplacer, on pourrait se fixer un rendez vous dans la semaine, ce que jacceptât.
Mais je vous raconterai la suite une autre fois.
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