Ma Cousine Amandine 08.

MARION

Cette fois, il ne manque plus que notre princesse, mais il est l’heure, d’un instant à l’autre elle peut débarquer. Je demande aux garçons de sortir sur la terrasse derrière la maison pour ne pas l’effrayer, surtout Théo.
Je vous enverrai un SMS si elle consent à transgresser ses propres barrières.

Nous savons que pour la convaincre nous serons pas trop de deux filles motivées et j’espère que nos complices ne vont pas trop se morfondre en espérant que nous allons réussir à la dépraver.

Toujours le regard tourné vers la fenêtre, je vois une petite Clio blanche se garer devant la maison, mon rythme cardiaque s’accélère, je fais signe à Camille et la rassure en voyant Amandine sortir de l’auto : c’est bien elle est fidèle à son image, jupe longue et chemisier bien boutonné jusqu’au cou, je n’attends pas pour l’accueillir et ouvre la porte d’entrée suivi de Camille.

Les présentations faites, nous retournons dans ma chambre pour l’écouter nous expliquer ses intentions, toujours butée à devenir bonne sœur! maintenant à nous de jouer, et je vais vous épargner un long argumentaire d’au moins une demi-heure avant d’arriver à quelques petites avancées.

Elle nous a confirmé ce que nous imaginions, à savoir, vierge de toute action, mais chose encourageante pas de toute pensée, car dans son pensionnat de jeune fille, des discussions entre elles sur certaines petites aventures que quelques-unes ont partagées, ont laissé sur les autres une vive appétence.

Mais malheureusement aucune expérimentation en petit comité, la discipline étant super stricte, aucun instant de liberté ne leur est laissé. C’est pourquoi, lui ayant parlé de minous rasés, elle accepte que nous lui montrions comment nous pratiquons la chose.

- Tu veux voir mon petit cœur ? Lui fais-je.

Camille a tout de suite compris ce que je voulais insinuer, mais Amandine évidemment ne se doute pas où je place mon cœur.

Assise sur mon lit, je fais remonter ma jupe écartant légèrement les jambes je lui fais découvrir celui-ci.

- il est très joli, me dit-elle en riant.

- et ce qu’il cache est encore plus beau, fait Camille en écartant ma petite culotte et découvrant mon sexe rasé.

À la tête qu’elle fait, je vois sa surprise, elle ne devait pas savoir que cela existait, mais aucun mouvement d’aversion même plutôt une aspiration à intensifier ses découvertes.

- regarde la mienne, dis Camille en relevant sa jupe debout devant Amandine.

Surprise par l’absence de culotte, elle est très emballée par la beauté du spectacle et Camille lui propose que nous fassions la même chose à la sienne.

Après quelques hésitations finalement elle accepte. Et nous nous dirigeons vers la salle de bain.

Quand elle quitte sa culotte, nous voyons le chantier à débroussailler, cette forêt vierge et sauvage va nous occuper un petit moment.

Afin de faire patienter les garçons, je leur envoie un SMS leur expliquant la situation et augurant d’une issue qui me paraît bien partie. « Chatte est instance de déboisage, stop, patience, stop, bientôt vous pourrez l’admirer, stop «  je récupère une paire de ciseaux dans un des tiroirs et débute l’opération «  terre brûlée » comme dirait Attila.

THÉO

Quand je reçois le SMS de Marion, j’en fais part immédiatement à mes camarades, cela nous met en joie, je propose alors qu’il se dévêtissent aussi pour ne pas être le seul nudiste ridicule.
Ils acceptent avec enthousiasme, le soleil de juillet étant bien présent nous n’avons besoin d’aucun vêtement et le fait de la surprendre et, ils l’espèrent de l’impressionner dès son premier regard, ne les laisse pas de marbre.

C’est à ce moment que j’ai compris pourquoi Hugo a mis du temps à se préparer, il a tout rasé du sol au plafond à l’exception de tes cheveux. Ses jambes, ses bras, son torse et bien sûr son sexe sont lisses comme un rasoir, en anglais nous dirions «  un Smooth boy « et je le trouve sincèrement superbe comme cela.

- Est-ce que ce ne serait pas mieux de la recevoir bite en l’air, propose-je.

Tout le monde est partant et nous commençons en s’astiquant le manche et bientôt l’effet désiré apparaît progressivement.
Avec quelques légères variances, Hugo : bien horizontal, Alexis : curviligne et moi toujours proche de la verticale.

Mais une idée me trotte dans la tête, et j’ai une envie folle d’expérimenter cette élucubrations.

Doucement d’abord, pour voir sa réaction, j’approche ma main de la bite d’Alexis, je la touche au bout dans le peu d’espacelibre disponible après sa main et poursuit le même mouvement qu’il a engendré. Progressivement il soustrait sa main et je prends sa place en continuant l’agitation à la même cadence, mais lui n’en reste pas là, il dirige sa main vers la bite d’Hugo qui a bien remarqué notre manège et laisse la place à celui-ci qui le branle vigoureusement. Instinctivement nous nous regroupons en cercle et Hugo peut à son tour saisir ma queue et la caresser, quelle drôle d’aréopage formons nous ! Mais cela contribue fortement à finaliser le but du jeu. Nous voilà plus que présentable pour accueillir Amandine.

Mais profitant de la situation favorable, je veux aller encore plus loin, j’ose une chimère qui me vient d’un seul coup et je m’aventure à demander :

- Hugo, puis-je sucer ta bite ?

Je ne me reconnais pas ! Mais j’ai proposé cela à Hugo plutôt qu’à Alexis, car rasé comme il est, je le trouve irrésistible.

Sa réponse est immédiate et positive, je me positionne à genoux devant lui, j’ai hâte de savoir pourquoi les filles aiment tant faire cela, je passe ma langue dessus, c’est bon et la queue d’Hugo réagit plutôt bien alors je l’enfourne et serre mes lèvres autour et je la fais coulisser entre, c’est plutôt pas mal et je me sers de mes propres expériences, mais de l’autre côté du manche, pour donner du plaisir à Hugo et je me rends compte que moi aussi cela me plaît.

Mais je suis interrompu par un petit gling qui m’indique que j’ai reçu un SMS :

«  Amandine est prête, nous arrivons « 

À suivre.