Insatiable Marie-Paule

J'en viens à cette fabuleuse histoire qui s'est produite durant nos vacances d'été en 1991 à Cagnes sur Mer, dans un appartement que nous disposons sur la côte.
Une journée de vacances dans le midi commence généralement le matin par un câlin aux alentours des 9 H 30, car les nuits sont tellement chaudes que nous faisons la grasse matinée. Après une petite sauterie, où nous avons fait profiter les voisins, ( là bas les fenêtres possèdent des grilles en fer forgé et sont fréquemment ouvertes), nous prenons le petit déjeuné sur la terrasse, au 3ème étage avec vue sur la mer et préparons le programme de la journée. Un programme quelque peu répétitif, généralement mer le matin ou piscine de l'immeuble jusqu'à 13 H, ensuite à midi un repas léger, parfois une petite sieste crapuleuse, piscine et vers les 18 H préparation pour une sortie, avec dîner au resto. Il est donc 18 H nous remontons de la piscine et avons décider d 'aller ce soir sur St Tropez. Bien sûr sortie BCBG, pour moi pantalon bleu marine et chemisette blanche, pour Marie-Paule un dessus noir sans soutien gorge et une jupe dans un imprimé vert et orange courte et hyper moulante et chaussée de superbes nu-pieds dorés à talons aiguilles très effilés. Ce qui est admirable avec cette jupe, c'est qu'elle remonte à chaque pas de ma femme, au bout de 30 m ça ressemble à une large ceinture, la tenue rêvée et hyper sexy pour ce genre de soirée. L'avantage aussi de ne pas être connu et de pouvoir s'exiber librement afin d'être bien dans sa tête. A notre arrivée à St Tropez, nous faisons les boutiques de fringues du port, là mon épouse déniche une petite jupette noire très très courte en lycra avec un body vert pomme de la même matière, avec fermeture à pression entre les cuisses. Elle l'essaie, et bien sûr avec les conseils du vendeur et de moi même lui disant que dans cette ensemble elle est hyper sexy, elle l'achète. Vers les 22 h nous trouvons un resto sympa, faisons un petit tour sur le port avant de repartir, où nous pouvons admirer de superbes yachts et reprenons la route pour Cagnes.

Nous arrivons vers les 2 H du matin et allons enfin pouvoir se donner à une bonne nuit de baise. Nous nous installons sur le balcon dans les transats et ouvrons une bouteille de champagne. Marie-Paule me dégraffe la chemisette et le pantalon et commence en douceur à me tailler une pipe. Un remontant que j'apprécie tout particulièrement et qui vous met en très bonnes conditions pour la suite. Elle prend sa coupe me trempe la queue dedans et me la suce intensément. Je l'invite à passer dans la chambre qui donne à l'opposé sur une coursive où de notre fenêtre ouverte on peut entendre une femelle en plein orgasme. Nous essayons de voir la provenance de ses cris et arrivons à localiser l'appartement. Je prends la paire de jumelles et à tour de rôle ma femme et moi pouvons admirer le spectacle. Un spectacle où nous avons l'habitude d'être acteurs, mais jamais spectateurs. La baie coulissante de cette appartement est grande ouverte, et nous pouvons voir plusieurs endroits où le couple s'ébats. C'est là que nous choisissons d'attirer l'attention sur nous. J'allume les deux lampes de chevet, assoie mon épouse sur la commode et commence à lui brouter la chatte. Notre pugnacité commence à payer, les miaulements de ma partenaire répondent aux gémissements du couple d'en face. Nous sommes repérés. Je porte Marie-Paule sur le lit, lui remonte sa jupe, lui descend le string et lui arrose la moule au champagne et la dévore. Les cris font échos d'un immeuble à l'autre tel un jeu entre nos deux couples. Les cuisses grandes ouvertes de ma partenaire me laissent admirer son énorme chatte, où deux lèvres béantes attendent à se faire tringler. Je remplis une nouvelle fois nos coupes de champagne et lui vide le restant de la bouteille sur son clitoris en fusion. Je continue à lui bouffer la moule et commence à lui introduire le goulot de la bouteille dans son vagin. Je l'excite énormément en lui retirant et enfilant petit à petit cette chose artificielle, tout en continuant à la sucer et titiller le bout de ses seins elle jouit me demande que je la défonce avec du naturel, je fait la sourde d'oreille, elle ne supporte plus d'attendre et enfonce ma main qui tient la bouteille profondément à l'intérieur d'elle.
Le goulot disparaît dans son vagin, suivit du corps de la bouteille. Les 9 cm de diamètre de l'objet sont introduit, elle se branle aux plus profond de ses entrailles et d'une voix raillante me dit:" Baise moi je t'en prie, baise mooii!!" Je me mets en position, lui tends sa coupe à ses lèvres, boit 2 gorgées de champagne, avant de reposer le verre, je trempe ma bite dedans, embrasse ma partenaire et lui bourre ma queue dans son cul. La bouteille prenant une grosse place déjà en elle, j' ai du mal je l'avoue à l'enculer. Je me repositionne lui verse encore un peu de champagne dans son derrière et je la défonce, elle braille, essaie de récupérer son souffle, c'est le septième ciel pour nous deux. Dans l'appartement d'en face ça continue également, sans trop se soucier de leur sorts, je continue à limer mon épouse. Sur les coups de butoirs la bouteille et ressortie, nous changeons de position, lui enfonce mon membre au plus fort de sa taille, dans son vagin, je doit l'admettre sans forcer, mais le naturel est encore plus apprécié. Je lui dit:

"Tiens salope c'est ce que tu voulait? Alors tu l'aimes ma queue?

- Oh! Ouiii! Bourre moi! Bourre moi ta grosse queue dans mon gros bon cul!!! Tu l'aimes mon bon gros cul? Hein? Réponds mon cochon? Tu l'aimes?"

Et tous les deux dans un profond orgasme, je lui réponds:

" Oh ouiii! Je l'aiiime! Tiens prends ça sssalooope!!!"

Et je lui déverse toute ma purée sur sa vulve, avec laquelle elle se frictionne le sexe. Nous nous embrassons, trinquons et buvons notre dernière coupe de champagne en signe de notre intime complicité sexuelle. En face c'est l'heure de la douche, je vois aisément la femme dans sa baignoire, tout est allumé et grand ouvert, je range les jumelles tire le store, avec une petite idée qui me trotte déjà dans la tête. Sans dire mots à ma femme je la rejoints dans la salle de bains, où également elle prend sa douche, flânons encore un peu sur la

terrasse et allons nous coucher.


Le lendemain, à 11 H nous descendons à la piscine. Aujourd'hui le soleil est brûlant, et disposer une piscine pour les deux immeubles c'est super car nous sommes en général peu de monde. Aujourd'hui nous sommes sept dont le couple de hier soir qui a si bien pigmenté notre soirée. Nous sommes tous installé an bord de la piscine certain sur des transats d'autres sur la pelouse. A présent, à cinq mètres de ma compagne et moi nous pouvons mieux observer ces personnes. Elle une brune aux cheveux longs, entre 35 et 40 ans le teint mat, plutôt jolie avec une très forte poitrine qu'elle à mise l'air, tout comme ma femme d'ailleurs, et un cul, que je qualifie de très accueillant, rebondissant et même généreux. Lui, un peu plus âgé qu'elle, pas mal dans son genre au dire de ma femme (en 1991 ma femme et moi avons 32 ans). J'ai très envie d'entamer la conversation, mais comment puis- je m'y prendre? Une occasion s'offre à moi, lorsque dans un appartement situé au deuxième des cris éclatent, un couple est en train de se quereller. Tout le monde lèvent les yeux en direction du conflit, et là je place la phrase suivante:

"Je préférais l'ambiance de hier soir, c'était plus sympa." A ces mots la femme sourit et me réponds:

"Pourquoi vous avez entendu ?" sachant pertinemment bien que tous le monde les a entendu, et nous a également entendu. La conversation est lancée, dans le style y a pas de mal à se faire du bien, si ils y en a que ça gène ils ont qu' à se boucher les oreilles, bien sûr comme j'ai envie de faire connaissance avec ces personnes, Marie-Paule et moi abondons dans leur sens. Toute cette conversation se déroule donc à merveille, comme je l'avais souhaité. Nous en venons même à parler de tout autre chose, nos situations, nos vies privées, si bien qu'au bout de quelques heures nous connaissons les prénoms de l'un et de l'autre. Elle c'est Alexandra et lui Michel, chef d'entreprise comme moi et sa femme s'occupe du secrétariat. Le temps s'écoule si vite, que nous en oublions l'heure du repas.
Il est déjà 14 H Alexandra invite son mari à remonter prendre une petite collation, ce que l'on fait également, et nos deux couples, laissons nos serviettes, afin de conserver notre emplacement pour tout à l'heure. Nous redescendons les premiers, et quelques instants plus tard, Alexandra et Michel viennent nous rejoindre. Nous continuons à mieux se connaître, nous les hommes,

s'adonnons à une partie de pétanque, et là me vient une idée lumineuse, je lui propose que le perdant paye l'apéro, chose qu'il accepte. Nous revenons de notre partie de boules et Michel annonce à nos femmes, qu'il a perdu la partie et que ce soir, l'apéro serait chez lui. Tous les quatre semblons très réjouis, et fixons à 20 H, l'heure du rendez- vous chez Alexandra et Michel. L'heure de quitter la piscine est venue et rejoignons chacun nos appartements. Chez nous commencent alors les préparatifs vestimentaires de cette petite soirée. Je me prépare donc avant mon épouse et part vite chercher un petit présent pour nos nouveaux amis. A mon retour Marie-Paule termine son maquillage, elle est vêtue de sa jupette noire et de ce fameux body vert achetés la veille à St Tropez et à ses pieds toujours ses hauts talons. Elle est hyper bandante, j'ai déjà la trique. Un rouge à lèvres et vernis à ongles rose vif, font ressortir son bronzage. Nous sommes prêt et partons pour notre rendez-vous. Nous arrivons et sommes très bien accueilli. Tous les deux sont très séduisants, mais je n'ai que pour yeux Alexandra, qui a revêtis une robe orange au dessus du genou, boutonnée sur le devant, dont les trois premiers boutons du bas sont dégrafés, des nus-pieds assortis à la couleur de sa robe parachèvent son habillement. Réunis tous les quatre sur la terrasse, dans un décor exotique, et après avoir fait encore davantage connaissance et bu quelques flûtes de champagne, Alexandra nous propose de rester pour dîner ensemble, ce dont nous acceptons. Entre temps, nos deux compagnes, nous ont gratifiées de poses très sexy, laissant apparaître, leurs dessous de charme. L'épouse de Michel a tout assorti avec sa robe donc orange. Il est déjà 21h30, et nous les hommes partons chercher des pizzas, et laissons ses dames préparer la soirée. Sur la route, mon nouvel ami, m'apprends que leurs vacances se terminent dimanche. Nous sommes jeudi soir, pour mon épouse et moi, ils nous restent 10 jours, là je réalise, que nous pourrons certainement pas renouveler l'invitation, il faut absolument que je prenne les choses en main. Nous voici de retour à l'appartement, avec les pizzas et le rosé que j'ai pris chez nous en passant, Alexandra et Marie-Paule nous attendent, au salon sur le canapé. Avant de passer à table, je branche tout le monde très sexe, en commençant à complimenter nos femmes sur leur tenue et ensuite je vante les capacités sexuelles de mon épouse, là je sais que normalement je dois avoir une réaction d'Alexandra. Et bien oui, sans attendre, elle nous annonce avec une pointe d'orgueil qu' elle aussi dispose d'un potentiel sexuel très élaboré. Michel la mine réjouie, nous le confirme, et invite ses dames à nous le démontrer après le repas. Je suis satisfait de la façon dont les choses se présentent, et tous les quatre continuons à placer quelques banderilles érotiques au court du repas. Vers les minuits, le repas terminé, nous nous dirigeons vers le salon, nous sommes placés, au même endroit où nos hôtes de ce soir baisaient la veille. Les rideaux et les baies vitrées sont largement ouvertes, Michel et moi sommes installés chacun d'un fauteuil en cuir blanc, nos épouses sur le canapé. A ce moment là, je crois que tous les quatre avons les mêmes désirs, mais comment, comment allumer la mèche. Je me décide à placer une ultime banderille, il faut une nouvelle fois toucher l'orgueil de nos femmes. Michel, me devance et dit en s'adressant à moi:

"Dis-moi Christian, Marie-Paule et Alexandra devaient pas nous montrer leur capacité sexuelle?"

A ces mots Alexandra vient s'asseoir sur les genoux de son mari face à lui, et Marie-Paule en fait de même.

Les deux femelles sont bouillantes comme de la braise, leur rivalité sexuelle à touché leur orgueil, c'est alors que l'on commence le concours de la meilleur pipe. Nos deux compagnes, à cheval sur le devant de nos cuisses, nous font sauter les boutons des braguettes et entament une palette de leur savoir faire dans l'art de tailler une pipe. Nous les mâles allongés dans notre fauteuil laissons la maîtrise de notre périscope à nos partenaires. Pour la longueur du pénis, je dois l'avouer, je laisse l'avantage à Michel, un membre assez long mais très effilé. Par contre le miens est plus fort en diamètre, et mon gland plus gros. Les femelles avec ardeurs ne lâchent pas le morceau, chacune d'elles présentent ses spécialités. De mon côté, je remonte la jupette de ma femme au dessus de ses fesses et lui décroche les trois pressions de son body, où je peux directement accéder à sa moule toute baveuse de désirs. Marie-Paule, jambes écartée est accroupie sur le sol, continue à me sucer, moi avec mon orteil, je lui excite le clitoris dépourvu de poils. Je jette un coup d’œil à ma droite Alexandra à laissé tomber la robe et le soutient gorge. De son string en dentelles orange, on ne voit que la ceinture agrémenté par un lacet bleu, la ficelle se perd dans ce gouffre servant de garage à bites. Michel lui pelote ses grosse mamelles, qui s'agitent de tout côté avec l'ardeur qu'elle met à le sucer. Commencent alors les premiers cris, Alexandra glousse par alternance, Marie-Paule en continuité. Les deux mecs nous nous regardons et d'un petit signe très expressif voulons échanger nos partenaires. De mon côté, je commence à installer Alexandra sur le canapé, lui descend son string, et le porte à ma bouche, là elle me fait un petit numéro avec ses seins, m'invite à lui lécher, et finissons par nous embrasser. Je redescends le long de son corps, où ma langue salive sa peau bronzé et plonge dans sa moule coiffée d'une petite touffe de poils très noirs et proprement épilés. Je lui écarte les lèvres de son clitoris et redouble l'intensité du désir de la bouffer. Un petit coup d’œil sur ma partenaire qui également se fait bouffer la chatte. Michel est allongé par terre et Marie-Paule accroupie sur sa bouche lui offre sa moule. Les deux femmes se font entendre de plus en plus, le spectacle de la veille recommence, avec le double d'acteurs. Alexandra me demande de la prendre, je m'exécute à ses ordres. Je lui lève une jambe, me mets à cheval sur l'autre et lui enfonce mon gros morceau. La pénétration est intensément jouissante, je sens les lèvres de son clitoris qui se referment après le passage de mon gland, cette femme s'abandonne à moi tout entière, cette femme qui hier soir encore était inaccessible, aujourd'hui à mon grand bonheur, je la défonce .J'ai l'impression de la déchirer de lui faire mal tellement elle hurle, tellement les contacts de nos muqueuses sexuelles sont si proches, mais elle me rassure, me fixe dans les yeux et me glisse discrètement à l'oreille entre deux gémissements:

" Hier soir je t'ai vu, depuis je voulais que tu me baise."

Tout comme moi j'étais devenu le fantasme d'Alexandra et lui avoua également que moi aussi. Cette déclaration m'a un peu déboussoler, sur le point d'oublier Michel et ma femme.

" Ca va?" Me demande Alexandra.

Je lui réponds oui et reprends mes ardeurs.

Je me lève, la prends sous les cuisses ses bras accrocher à mon cou, je la plaque contre la cloison et la baise tout debout en s'embrassant. De son côté, Marie-Paule se fait sodomiser par Michel, qui est sur le point de tout lui lâcher dans le cul, pour poursuivre l'aventure nous changeons tous de position, je reprends Marie-Paule, lui enfile ma bite profondément dans son vagin et par derrière Michel lui défonce une nouvelle fois l'anus, elle jouit intensément comme rarement je l'ai entendu et Alexandra lui titille le bout de ses seins et très sensuellement mouille les doigts dans sa bouche. Les deux mecs allons bientôt rendre notre jus, je me retire de ma femme et laisse Michel lui donner son breuvage. Alexandra prend ma verge entre ses seins et me la masturbe en me taillant une dernière pipe. Elle tends sa bouche et sa langue gourmande et je lui lâche une première trissée de sperme suivit d'une autre plus abondante. Elle le recrache sur ma queue puis me resuce et avale le précieux nectar. Très goulûment, elle me nettoie la bite de tout mon jus et finissons par nous embrasser une troisième fois.

Nos femmes dégoulinantes de sperme, se caressent les seins et la chatte encore brûlante, et finissons tous les quatre par une délicieuse et rafraîchissante flûte de champagne.

Marie-Paule et moi, regagnons notre appartement, nous nous installons un instant dans le salon.

Je demande à ma femme:

"Qu'est ce qu'il te ferais plaisir chérie?"

Elle me répond:

"Baiser".

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