Sexe Et Boulot Font Bon Ménage

J’avais accepté un travail en tant que femme de ménage chez un patron qui travaillait de chez lui. Ce n’était pas du tout ma vocation mais j’avais besoin de ce boulot d’appoint pendant que je finissais mes études. C’était ma dernière année et je voulais m’acheter une autre voiture avant de commencer à travailler en tant que commerciale. Ma vieille gimbarde n’aurait vraiment pas pu aller avec l’image d’une attachée commerciale. Ce boulot me permettait de mettre ainsi quelques sous de côté ! Je travaillais de 17h à 19h tous les jours. Le premier mois, tout se passa à merveille. Mon patron était très gentil. Je lui avais parlé de mon désir d’acheter une nouvelle voiture, de mes études etc... Il me parlait pendant ses pauses de sa société de bâtiment, de ses projets de voyage. Je m’entendais vraiment bien avec lui. Je sentais bien quelque part que je lui plaisais. Je croisais parfois ses regards sur mes jambes ou ma poitrine lorsque je nettoyais son bureau mais je ne me sentais pas menacée. Un soir, il me demanda de nettoyer à fond son bureau puisqu’il avait une réunion importante le lendemain. Je laissais donc tomber le reste de la maison et m’attaquais à la poussière. D’habitude il sortait du bureau quand je nettoyais mais ce soir là il avait certainement à faire et il resta devant son ordinateur. « Tu sais Valérie » me dit-il soudain, « je voudrais vraiment t’aider dans tes projets, je sais que les jeunes comme toi ont besoin d’argent . J’ai une proposition à te faire mais elle est délicate. » J’espérais qu’il me demanderait de travailler pour lui en tant que secrétaire, cela m’avait souvent traversé l’esprit. Je l’encourageais donc à poursuivre. « Voilà, tu sais que je te trouve très jolie et je veux que tu continue à faire le ménage pour moi, mais j’aimerais que tu le fasses nue. Je suis prêt à te payer le double ». J’étais très interloquée par cette offre : « Monsieur, je suis désolée mais je ne pense pas pouvoir le faire ». Pour couper court à cette discussion trop gênante, je pris l’aspirateur et continuais le ménage.

Quand le travail fut terminé, je pris congé de lui comme si de rien n’était. Cette nuit là, je ne pus m’empêcher de penser à ce qui avait été dit et surtout de compter combien je pourrais gagner en acceptant. Je ne me sentais pas à l’aise face à mon comportement mais le gain facile fait toujours réfléchir ...
Le lendemain, je décidais d’accepter son offre. J’allais le voir dans son bureau et le salua : « Bonjour Monsieur, votre réunion de ce matin s’est bien passée ? » « Très bien merci Valérie ! ». « Ecoutez », commencai-je, « à propos de votre offre d’hier, est-ce qu’elle tient toujours ? ». « Biensûr et même bien volontiers, je te paie le double ! ». « J’ai bien réfléchi et j’ai décidé d’accepter votre proposition ». Je commencais par enlever mes chaussures et mon jean, puis mon pull. Je dû me tourner instinctivement pour enlever mon string et mon soutien-gorge. Je ne me sentais pas à l’aise. Je saisis le chiffon à poussière et commencais à dépoussiérer. Il m’observait sans aucune gêne. Il détaillait mes seins et mes fesses mais surtout il ne quittait pas ma chatte des yeux. Pendant plusieurs jours je venais travailler ainsi. Je m’assurais qu’il n’y avait que lui dans la maison, je me deshabillais et nettoyais. Un soir, il m’invita à m’approcher de son bureau. « Ecoute ma jolie » me dit-il, « je t’observe depuis plusieurs jours et tu sais parfaitement l’effet que tu as sur moi ». « Je te propose mille euros si tu te laisses faire ce soir ». Excitée comme je l’étais de travailler nue sous ses yeux, je décidais d’accepter sans aucune arrière pensée. Il m’invita à m’assoir sur son bureau. Il plaça sa webcam entre mes jambes et me dit « je suis connectée avec mon meilleur ami à shangai qui profite de tes services depuis quelques jours. Il veut mieux voir ta chatte alors écarte bien les jambes pour lui et pour moi ». J’ouvris les jambes et leur montrais ma chatte rasée, ma vulve était complètement offerte. Il attrapa la webcam et la passa sur mon clitoris. Il m’ordonna de m’allonger et de lui présenter mon anus. Il détaillait tout avec sa caméra et prenait des photos souvenirs. Il m’enfonçait ses doigts dans le vagin sous l’oeil vigilant de son ami. Il prit son presse papier qu’il me mit dans le vagin, puis dans l’anus. Je râlais de plaisir et en demandais encore. Il m’enfonçait tout ce qu’il avait sur son bureau en me traitant de salope. Je n’en pouvais plus de plaisir ! Jamais on ne m’avait utilisé comme cela ! Il se leva de sa chaise avec sa webcam et vint près de mon visage, de l’autre côté su bureau. Il enleva son pantalon et me brandit son sexe devant la bouche. Je cru qu’il voulait que je le suce mais il tint ma bouche à l’écart. Il tenait fermement ma tête dans une main et sa queue dans l’autre. Je vis soudain une expression de plaisir se dessiner sur son visage et son urine jaillit. Il passait le jet sur mes lèvres, m’ouvrit la bouche pour asperger ma langue d’urine. J’étais inondée. J’étais à deux doigts de jouir sous ce traitement. Il s’allonga sur moi en 69, me colla sa queue dans la bouche et commenca à me lécher le clitoris, tout en me travaillant l’anus avec son presse papier. Je hurlais de plaisir et continuais à déguster sa queue. Il finit pas me décharger dans la bouche en m’ordonnant de tout avaler .. Je cédis à ce dernier ordre en me laissant aller dans mon plaisir ...