Sous Le Soleil

J'ai vécu cette histoire avec ma copine et elle a tenu à ce qu'on la divulgue ensemble. Je la raconte comme si je lui remémorais à elle.

Le chaud soleil estival allonge ses rayons et éclaire doucement l’horizon en lui apportant une lumière discrète mais puissante a la fois. Cette clarté grandissante peint dans le ciel un vaste éventail de couleurs changeantes et nous offre un spectacle tout simplement superbe. Nous sommes sur le bord de la rivière, complétant les derniers préparatifs qui nous accompagnerons sur cette eau calme et profonde. Tu prends place a bord du petit canot, a l’avant, pendant que je le pousse et le laisse glisser sur l’eau. Nous voilà partis pour une excursion dans cette vaste vallée, en ayant pour compagnons la tranquillité de la nature, la splendeur du décors, et l’inestimable compagnie de l’un et l’autre…
Notre promenade se déroule dans la plus nette joie ; aucune animosité, aucun stress, aucune préoccupation autre que celle d’apprécier chaque instants de cette splendide journée. Une fois que notre embarcation est brise en charge par le léger courant qui la porte, tu te permets un moment de repos bien mérité, et tu t’allonges vers l’arrière, entre mes jambes. Tu utilises mes cuisses comme appuis-bras, et tu te laisses dorlotée par les chaud rayons du soleil. Même si tu portes de jolies lunettes de soleil, je suis persuadé que tu as fermée les yeux et que tu respires intérieurement le bonheur du calme qui nous entourent. Je dépose mes mains sur tes épaules, sur le haut de ta poitrine, et je laisse couler doucement mes doigts sur ta peau. Je te masse tranquillement, amoureusement, en investissant chacun de mes mouvements d’une tendresse minutieusement calculée.
Bien à ton aise, tu te relèves quelques instants afin d’être en mesure de tirer délicatement la corde qui soutient ton haut de maillot. Voilà une idée formidable pour égaliser son bronzage ! Tu as pensée que notre solitude et l’entière discrétion que nous offre la nature te permettais ce luxe.

Cependant, en te dévoilant ainsi, tu n’espérais quand même pas que je ne remarque rien, et que l’éblouissante poitrine que tu divulgues sous mes yeux, de pars l’éclat qu’elle projette sous la chaude lumière du soleil, me laisse entièrement passif. Ce n’est toutefois pas mes mains qui te font réaliser que ton audace a eu de l’effet sur moi. C’est plutôt le mouvement grandissant qui grimpe dans ton dos. Comme tu t’es replacée entre mes jambes, où tu étais initialement, tu sens bien, de pars le contact que tu as contre moi, que toute cette splendeur dévoilée a occasionné quelque perturbations. Tu ne fais fit de rien, mis a pars tes repositionnements de plus en plus fréquents contre moi. Soit tu as de la difficulté a te trouver une position confortable (ce qui est peu probable dans les circonstances), soit tu m’agaces joyeusement et tu prends plaisir a sentir mon membre se durcir et l’allonger contre toi. L’idée se précise lorsque, doucement, tu te retournes pour t’allonger face a moi. Je me dis, un peu naïvement : « Tiens, madame désire faire griller le dos a présent… ». Mais, avec l’endroit où se sont posées tes mains, je doute que tu aies comme préoccupation première de bronzer ta superbe peau. Je sens le bouton de mon maillot de défaire, et je sens aussi un relâchement dans le cordon qui maintient le tout a niveau. J’entends ensuite le velcro s’arracher lentement, et, par le fait même, je sens que mon membre, désormais bien long et fortement durcit, respire un peu d’air frais. Tu me lances un de ces coquin regards, en abaissant impétueusement tes lunettes du bout des doigts. Je te vois ensuite descendre la tête entre mes jambes, et je sens immédiatement les effets de ta chaude et visqueuse langue parcourir mon pénis de bas en haut. Tu procèdes d’une manière tout a fait délicate et sensuelle, tu fais preuve d’une minutie et d’une dextérité franchement remarquable. Je sens maintenant tes lèvres s’agrandir langoureusement et enrober chaleureusement la cime de mon membre, avant de m’exalter tendrement par l’effet de succion que tu ajoutes au processus.
J’aimerais poser mes mains chaque cote de ta tête, laisser glisser mes doigts dans tes cheveux et accompagner ta cadence, mais si je lâche le gouvernail, nous risquerions de faire naufrage rapidement. A défaut d’être parfaitement concentré sur la navigation de notre petite embarcation (parce que le fait de te voir et de te sentir me sucer ainsi me procure, tu l’imagines sans doute, un degré de plaisir si intense qu’il vaut la peine de s’y consacrer entièrement), je conserve néanmoins le cap et je te laisse aller seule, me laissant guider par ton adresse. Tu t’appliques remarquablement a chaque bouchée. Chaque aller, et chaque retour est couronné de la même parfaite attention et délicatesse. Je dois t’avouer que, somme toute, tu laisses mijoter mon pénis dans ta bouche a la perfection. Chaque basculement de ta jolie tête, autant lorsque tu englouties que lorsque tu reprends ta respiration, porte la marque d’une succulente opération dans laquelle je savoure, autant que toi, chaque instant…
Satisfaite de ta petite coquinerie, tu décides de tout remballer avant même l’ébullition. Quoique cette interruption peut sembler étonnante, voire même un peu frustrante pour certains, je n’en fais pas le moindre cas et je continue d’afficher un sourire béant, parfaitement heureux de la tournure des évènements. Tu te replaces face au soleil, imprégnant ainsi ta peau de toute sa chaleur. Naviguant donc paisiblement, j’aperçois au loin, sur le rivage, un étendu relativement plat qui a manifestement l’allure d’une petite plage. Fier de ma découverte, j’oriente l’embarcation vers ce petit amas de sable fin pour voir s’il n’y aurait pas là l’endroit idéal pour une pause bien méritée. Accostant sur la côte, j’en viens vite a la conclusion qu’il s’agit bien d’une brèche miraculeuse au sein de la vallée et que d’omettre d’y poser les pieds serait, franchement, une insulte portée a la nature. Nous débarquons donc sans attendre, ayant en main le petit panier de provisions ainsi qu’une grande et large couverture.
Quel plaisir de marcher pieds nus dans ce sable si doux et si chaud ! Un fois la couverture bien étalée sur la plage, nous prenons place afin d’y apprécier quelques fruits frais que nous avons apportés. La dégustation est lente, mais combien agréable ! Tout en appréciant ce modeste mais délicieux repas, nous en profitons pour planifier la suite de notre itinéraire, toi étant allongée de tout ton long sur le ventre, et moi étant installée un peu lâchement, semi assis et semi couchée sur le dos. Alors que tu verbalises énergiquement sur ce que tu aimerais accomplir durant le restant de la journée, je bascule vers toi et m’assois promptement sur le haut de tes cuisses. Je dirige mes mains directement sur le haut de ton maillot, où j’y tire généreusement la corde, afin de dégarnir complètement ton dos. Tu sembles bien préoccupée par tes plans, puisque que tu continues de parler avec la même énergie et la même intensité. Cependant, lorsque j’allonge les bras et que mes mains se posent entre ta nuque et tes épaules, ton rythme verbal diminue au fur et a mesure que mes mains s’ondulent sur ta peau. Après avoir créer de nombreuses vagues a la grandeur de ton dos, et revenus entre ta nuque et tes épaules, tu es muette et parfaitement réceptive au traitement que je t’offre. Ayant pris soin de bien te masser, de bien couvrir l’étendu de ce qui m’est accessible, je décide de changer d’outil pour poursuivre ton massage ; je me soulève, je dresse bien solidement mes bras chaque côtés de toi avant de m’incliner sur toi, approchant ainsi mes lèvres de ton corps. J’amorce mon périple au niveau de ton cou, pour suivre l’inclinaison qui me mène a ton épaule droite. Je parcours ensuite la largeur de ton dos pour rejoindre ton épaule gauche. Après avoir bifurquer quelque peu sur ton bras, je me recentre au niveau de ton dos, où, avec de chauds et tendres baisers, je descends tranquillement en formant de grands « S ». Naturellement, cette descente me fera quitter, plus vite que tu ne le crois, la sphère de ton dos.
Mais que vois-je ici ? Serais-ce un obstacle qui m’empêcherais de goûter ta peau ? Mais quel est ce bout de tissus, même si fort léger, qui se met en plein milieu de mon parcours ?! J’ai bien peur qu’il n’est pas sa place, et qu’il devra disparaître sur le champ ! Je désancre donc mes bras, pour avoir le loisir d’utiliser mes mains et lutter contre ce vilain obstacle qu’est ton petit bas de maillot. Je glisse mes doigts sous le rebord, pour ensuite diriger le tout hors de vue. Tu soulèves ton bassin, afin qu’il puisse déambuler le long de tes cuisses, et une fois arrivé a tes genoux, tu replis les jambes pour qu’enfin (oui…enfin !), ce petit bas de maillot devienne une histoire du passé. Te voilà donc entièrement habillée de peau, t’exposant ainsi dans ton plus sublime habit. Je pose ma main sur ta hanche et, d’un coup sec, je te retourne sur le dos. Lorsque je m’approche de toi, tu t’empresses d’agripper ma tête entre tes mains et tu me tires vers toi. Nous prenons le temps d’échanger un long et tendre baiser, où nos bouches s’entremêlent passionnément. Je force un peu la note pour me dégager, en me laissant tomber dans ton cou. Après avoir poser quelques baisers (et même, quelques traînées de langue), je me retrouve (non pas sans une délicieuse excitation) a la hauteur de ta poitrine. Etant de passage dans cette volumineuse région, j’en profite pour investir convenablement les richesses du territoire. L’un après l’autre, tes seins se retrouvent englobés dans ma main. Cet enrobage prend bientôt la forme d’une grosse pince qui a pour effet de propulser bien haut tes doux petits mamelons. Une fois qu’ils sont bien assortis, et surtout bien durcis, j’ouvre grande la bouche et je m’y cramponne ardemment. Je les suce tout deux copieusement, tout en les saupoudrant de coups de langues répétés. Il m’arrive aussi de laisser traîner longuement ma langue a la grosseur de tes seins, pour ensuite retourner tes mamelons entre mes lèvres, et même, tendrement, entre mes dents. Je les croque finement, « félinement ». Par la suite, en laissant mes mains bien en poste sur ta somptueuse poitrine, je continue de couler sur ton corps. En moins de temps qu’il n’en faut pour dire : « Ah ouii ! », je me retrouve entre tes jambes. D’une manière affirmée, je soulève tes jambes bien haute et surtout, je les ouvre bien grandes. Je m’allonge ensuite sur le ventre, très confortablement installée entre tes cuisses. J’étire les bras le longs de ton corps, et j’avance ma tête (et surtout, ma bouche) près de ta petite chatte. Rendu a une distance raisonnable, je déploie ma langue et je la plonge allègrement dans ta chaire chaude et humide. Je la laisse s’éterniser longuement, très énergiquement, en prenant bien soin de m’attarder sur toute la surface. Après avoir placée tes mains brièvement sur ma tête, tu va rejoindre mes mains et tu enroules tes doigts entre les miens. Tu serres fort, et la pression que tu exerces me donne une certaine mesure sur le plaisir que tu reçois. Lorsque j’augmente le rythme et que je concentre la majeure partie de mon activité sur ton clitoris, tu compresses spontanément avec force et passion. Je continue jusqu'à ce que ton dos commence a se courber de plaisir, et que tu ne puisses plus retenir intérieurement tes gémissements. Je réussi a dégager ma main droite, et a la faufiler entre tes cuisses. L’espace est restreint, mais je suis tout de même en mesure de combiner une succion intense sur ton clitoris avec un va et viens constants a l’aide de mes doigts. De plus en plus excité moi aussi, je décide soudainement, et surtout rapidement, je me camper sur mes genoux, d’y descendre mon maillot en toute vitesse, et de m’allonger sur toi. A l’instant même ou je me retrouve parallèle a toi, tu agrippes mon pénis et tu le diriges instantanément entre tes jambes. Une fois que je sens la douce et humide chaleur de ta petite chatte couvrir mon membre, j’amorce une pénétration énergique et intense. Sous l’emprise de cette vigoureuses cadence, nos regards se croisent férocement et intensément. Je m’assure que chaque pénétration trempe profondément en toi, que chaque coup de bassin soit donné avec vigueur et enthousiasme. Après quelques minutes sous cet envoûtement malicieux, je me retire et me dresse debout devant toi. Tu te redresses aussitôt, et tu te places a genoux devant moi. Tu commences par enlever le maillot qui traîne sur mes chevilles, pour ensuite t’intéresser plus particulièrement au membre bien dure qui est allongé sous tes yeux. Affamée, tu poses fermement tes mains sur mes fesses avant de laisser glisser ta langue le long de mon pénis. Toutefois, une fois au sommet, tu continues de grimper en laissant ta langue et tes lèvres se poser sur mon bassin, mon ventre, mon torse, pour finalement rejoindre mes lèvres et m’embrasser fougueusement. Maintenant debout, tu sautes spontanément sur moi en enroulant tes jambes autour de ma taille. Tu te laisse ensuite tomber sur mon pénis, jusqu'à ce que celui-ci s’insert confortablement en toi. Tout en s’embrassant amoureusement, je te soutiens dans mes bras par le haut de tes fesses et, en ondulant mon bassin, j’emmène le tiens a venir se frapper contre mon moi. La cadence est plus calme que la précédente, mais il n’en demeure pas moins qu’elle est délectable a tout les niveaux ! De toute façon, le pression est de plus en plus haute en moi, et une cadence trop active me ferait exploser a tout moment ! Lorsque je t’avise que je suis sur le point de succomber, tu me demandes de te poser. Tu t’assois sur tes chevilles, tu empoignes bien fermement mon pénis et tu l’agites a vive allure. Lorsque tu constates que ma respiration s’accélère, et que ma tête s’élève dans les airs, tu prends place a genoux, et tu positionnes adroitement ta bouche près de mon gland, prête a recevoir le ferme que tu as joliment fait bouillonner. Au moment au je pousse un long soulagement, tu goûtes le gommeux liquide sur ta langue et tu le sens se propager dans ta bouche. Tu l’ouvres alors bien grande, afin de tout tout tout recevoir. Après avoir fait ta vilaine gourmande en avalant tout ce que tu avais en bouche, tu continues de me sucer encore quelques instants, afin d’être bien certaine que tu as extraite mon sperme jusqu'à la dernière goûte. Avant de s’habiller et de reprendre notre excursion, nous prenons quelques minutes pour s’enlacer, nus, en sueur, en se disant de tendre petits mots et appréciant la chance de s’avoir l’un l’autre…
Reprenant la route, nous avançons et parcourons l’étendu des eaux durant le restant de l’après-midi. Le soleil devient de moins en moins chaud, et sa magnitude s’abaisse de plus en plus. Il faut maintenant penser a trouver un endroit où se camper pour la nuit, car installer la tente en pleine noirceur n’est pas une tache des plus amusante ! Aux aguets, tu déniches une légère plate-forme au loin, soutenue par de gros rochers. Nous nous hâtons d’ériger notre camp avant le couché du soleil. Une fois la tente montée, tu t’occupes de préparer notre petit nid d’amour pendant que je pars a la recherche d’un peu de bois sec. Lorsque tu sors de la tente, habillée chaudement et prête pour la fraîcheur des nuits au bord de l’eau, le feu commence a s’alimenter timidement. Pendant qu’il consume tranquillement le bois, nous nous assoyions sur un gros rocher et nous regardons le soleil s’évanouir langoureusement au loin. Tu te couches doucement sur mes cuisses. Je passe finement ma main dans tes cheveux. Nos yeux sont rivés sur l’horizon et contemplent l’œuvre et la splendeur de la nature. Quel spectacle magistral…
Le feu s’étant presque endormi, la nuit s’étant mise en toile de fond, nous nous dirigeons vers la tente. Bien emmitouflés a l’intérieur du « sleeping », nous discutons longuement de choses diverses, autant de nos projets proches que lointains, de nos préoccupations, du cœur de la vie, de petites coquetteries et de choses sans la moindre importance. Au cours d’une de nos discussions, sur un sujet plutôt amusant, tu t’enjoues et emprunte (ou retrouve) la petite fille en toi et tu as soudainement l’envie de jouer. Tu me fais des grimaces, tu ricanes, tu essaies même de trouver les endroits où je suis chatouilleux ! Alors que nous sommes en plein combat, que, de pars et d’autre, de mains se promènent un peu partout a la recherche « du » point sensible, tu viens qu’a basculer sur moi et tu te retrouves pleinement allongée sur mon corps. Au moment même ou nos yeux se rencontrent, l’activité incessante de cette « chatouillerie en règle » cesse. Je te prends alors chaudement dans mes bras, je te regarde franchement dans les yeux et je te dis, d’une manière simple, franche et attentionnée : « Leelee, tu es la femme de ma vie. » Sans rien me répondre, tu affiches néanmoins un large sourire et tu viens déposer, avec amour véritable, tes lèvres contre les miennes. Ton intention première était sans doute de m’offrir ce juteux baiser pour me remercier, mais la saveur et l’amour qui circule entre nous font en sorte que le baiser s’éternise, et surtout, s’intensifie. Nos lèvres partagent rapidement l’espace avec nos langues pour former un baiser des plus passionné et des plus vrai. Je ne peux m’empêcher, devant cet excès de désir, de laisser voguer mes mains le long de ton corps et de caresser joyeusement chaque parcelle de toi que je rencontre au passage. C’est peut-être maladroitement, ou bien volontairement (a toi de décider…) que mes mains se retrouvent a caresser un peu plus longuement et un peu plus énergiquement tes jolies petites fesses. Au fur et a mesure que je les masses, tu sens mon membre se gonfler doucement sous toi. Tu te soulèves alors, juste le temps nécessaire pour descendre ta main le long de mon torse et aller la stationner sur mes boxers. Aurais-tu envie d’accélérer la croissance par hasard ? Si ce n’était pas ton intention, c’est quand même l’effet que tu as produit. En moins d’une minute, ta main s’agitant coquinement sur lui, mon pénis atteint une durée optimale. Fière de tes manigances, tu remplaces aussitôt ta main par quelques sublimes ondulations de bassin. En poursuivant le travail au niveau du bassin, tu te redresses momentanément afin de retirer ton chandail ; surprise ! Tu ne portes pas de soutient-gorge…Tu replonges immédiatement sur moi, mais cette fois-ci, ma bouche a le privilège de déguster une autres partie de toi ; tu prends un de tes seins bien en main et tu le projette contre mes lèvres. Je m’empresse sans tarder a le dévorer. Tu interromps soudainement ma dégustation ; avec une vitesse telle qu’on pourrait la confondre avec un tour de magie, tu bascules sur le côté, te débarrasse de tes pantalons, descends mes boxers et remonte sur moi. Tu te penche vers mon oreille et, tout en empoignant mon membre et en le glissant doucement entre tes cuisses, tu me chuchotes a l’oreille : « bébé…fais moi l’amour… ». Sensuellement, nos bassin se synchronisent et produisent une cadence remarquablement agréable, que je qualifierais même d’amoureuse : nous avons réussi a marier ensemble lenteur et vigueur, tendresse et fougue, calme et intensité…

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