Ma Vie A Changé Depuis Ce Jour
En sortant de mon travail, ce jour là je me suis arrêté dans un bar pour boire un verre, cest exceptionnel, car ma femme était chez ses parents pour le weekend. Une fois mon verre terminé je suis sortit et marche dans la rue. Une voiture se gare à côté de moi, mais je n'y prête pas attention, c'est très courant. Et lhomme au volant (que javais aperçu dans le bar me demande de monter dans la voiture sur un ton sec), je ne sais pourquoi mais je mexécute sans un mot, une fois dans la voiture, il me dit je vais te mettre un bâillon et un loup, tu ne dois pas voir ou je temmène, et le laisse faire, il m'insère le bâillon dans la bouche quil attache derrière ma tête, et le loup sur mes yeux puis me dis baisse toi pour quon te voit pas.
Quelques temps plus tard, la voiture s'arrête. On me descend, et j'entends quelqu'un frapper à une porte. Elle s'ouvre, on me fait entrer, puis jentends la porte de refermé. Tout ceci sans un mot.
On me change de pièce. On attache mes mains en hauteur, juste assez pour que je puisse tenir debout, et l'on commence à me déshabiller. On me met des anneaux aux pieds. Je suis tétanisé de peur, je n'ose pas me débattre.
Je suis désormais totalement nu. Un genou force entre mes cuisses afin que je les écarte. Une fois mes jambes bien écartées, mes anneaux sont accrochés au sol pour que je ne puisse plus rapprocher mes jambes. Je ne peux plus bouger.
Une paire de mains se pose sur mon corps. Elles glissent le long de mon cou, puis descendent sur mes bouts qui sont pincer sans trop de brutalité, quelles caressent, titillent, pincent. Cest à la fois douloureux, et agréable. Une bouffée de chaleur menvahit. Puis, une des mains quitte mon torse et se dirige vers mon sexe. Le geste est brutal, les caresses sont rapides et puissantes. Dun seul cou, on me serre les couilles. Je frissonne, jai mal. Ma bite reste molle sous la douleur. Je comprends alors que mon corps ne mappartient plus, je vais me fais posséder.
Jentends de petits bruits qui mindiquent des mouvements. Les deux mains viennent alors se positionner sur mes hanches depuis derrière. Un doigt sinsinue dans ma raie fessière et me titille lanus, une peur ou angoisse menvahit, puis une langue fait suite aux précédentes caresses sur mon anus, a ce moment je comprends que je vais me faire dépuceler, et cette situation mexcite comme jamais.
Les mouvements sont plus doux. Mes bouts se durcissent sous le plaisir. La langue prend bien le temps dhumidifié ma rondelle. Puis cest un doigt qui commence à pousser pour entrer dans mon cul, étrangement je trouve ça très bon, après plusieurs va et vient, un second doigt senfonce, une petite douleur très courte et le plaisir revient, le va et vient saccentue ainsi que le plaisir en moi. Je profite réellement de la situation, et je voudrai que cet instant dur longtemps, mais ça ne sera pas le cas.
Lhomme stoppe net ces « préliminaires », et cest alors que je sens un sexe bandant se frotter contre ma rondelle (ne pouvant rien dire a cause du bâillon), je commence à soupirer. Il se base juste à lentrée de mon anus, sans sy introduire. Et intérieurement je nattends que ça, quil enfonce son membre dans mon cul, je sens son souffle dans mon dos. Il ne me touche pas, juste son sexe qui effleure mes fesses.
Cest alors quun autre homme, placé devant moi, prends ma bite molle et la masse contre sa verge, elle me semble longue est grosse, des frissons parcourent à nouveau mon corps. Je ne sais pourquoi, mais à ce moment jai une envie folle de me faire bourrer en continu bien que cest ma première relation sexuel avec un homme, mais une peur menvahi, je me sens humilié et utilisé comme une poupée gonflable, et ceci me fait peur et mexcite en même temps.
En effet, lhomme qui venait de se coller contre moi devant, passe ses mains sur mes fesses afin de les écarter et lhomme qui est derrière moi, enfonce son sexe dans mon anus assez brutalement.
Les va et vient dans mon anus commencent, la pénétration est douloureuse, mais finalement mon corps sadapte, mon anus se dilate. Le désir monte en moi. Je tente de me cambrer mais les menottes me linterdisent, je suis réduit au strict minimum. Je tressaute de plaisir et après 10 longues minutes environ je joui. Mon orgasme est partagé entre douleur, peur, excitation, humiliation, envie
Après les contractions de mon anus, lhomme se retire sans même avoir éjaculé. Je me sens vidé, je ne tiens plus sur mes jambes.
On me détache. Jai du mal à marcher. On me place à califourchon sur ce que je pense être une poutre, on attache à nouveau mes chevilles, et menottes au sol, de telle manière que mon torse soit plaqué contre la poutre
J'ai toujours les yeux bandés.
Quelque chose de froid et visqueux est déposé sur mon anus, je sent que je vais à nouveau être sodomisé, et malgré mon anus douloureux, jai vraiment envie dêtre encore pris. Je suis lessivé, et ce bâillon dans ma bouche me fait mal.
Un homme att mon front de sa main gauche et me tire la tête en arrière. Je suis entièrement cambrée. A nouveau quelque chose se présente devant mon anus, et sans ménagement, le pénètre, la douleur est vraiment acceptable. L'homme me tire la tête, et moi, j'essaie de me débattre mais je n'y arrive pas. Je crie, mais les sons sont étouffés par le bâillon. Une première claque frappe mes fesses. Il ne bouge pas, ne fait pas de va-et-vient. Sa main droite se balade sur ma croupe. C'est agréable, et me soulage brièvement.
Un souffle vient effleurer mon oreille:
"Je vais retirer le bâillon de ta bouche, mais si jamais, un seul son est prononcé..."
C'est la même voix que précédemment.
Le fait qu'il ne termine pas sa phrase, ne laisse rien présager de bon.
Enfin ma bouche est libre. Après quelques rictus s, je ne souhaite qu'une chose, c'est que l'homme qui est en moi me lâche les cheveux. Mais non, il ne le fait pas, et je ne tarde pas à savoir pourquoi. En effet, cette position est parfaite pour offrir ma bouche à lautre homme.
Un sexe est aussitôt porté à ma bouche, et force mes lèvres à s'ouvrir.
L'homme qui me pénètre commence ses allées et venues en moi. La douleur me fait automatiquement ouvrir la bouche, et l'homme en face de moi s'y engouffre. Lorsque l'un ralentit, l'autre accélère. Je commence à frissonner, j'aime cette situation, deux hommes en moi, pour leur plus grand plaisir. Je donne de temps en temps des coups de reins pour recevoir allègrement ce sexe en profondeur, mais immédiatement je reçois une claque appuyée sur les fesses qui me fait comprendre que ce n'est pas moi qui mène la danse. Cependant, ce contact très agréable m'incite à recommencer... rien que pour recevoir une autre claque sur mes fesses, ça fait monter le plaisir en moi.
Un nouveau murmure:
" Tes ma salope et tu avale tout ... "
De toute façon, je ne pouvais faire autrement, tous les deux en moi. Je sens le sexe se contracter contre ma langue, et plusieurs giclées inondent ma gorge. Je récolte précieusement ce qui m'a été offert et avale tout, cest bizarre comme goût, mais jaimerais en avoir plus.
Puis il laisse ma bouche tranquille, et celui qui m'encule lâche mon front. Je peux alors complètement apprécier cette pénétration, mon anus se contracte. L'homme sait que je vais jouir, et avant que je nai ma jouissance il porte sa main sur ma bouche, pour que je ne crie pas. Mes soubresauts lui font comprendre que j'ai joui. Il se retire et éjacule sur mes fesses.
Je me laisse totalement reposer contre la poutre. J'ai la tête qui tourne. Je pense que c'est terminé, et que l'on va me rapporter où on m'a embarqué, mais non, ce n'est pas fini.
On me détache. Bien évidemment, je ne prononce pas un mot, pour essayer d'abréger tout ceci. On me fait assoir sur une chaise, et mes poignets sont attachés dossier ainsi que mes chevilles aux pieds.
Toujours le même homme, qui me susurre:
"Je vais retirer le bandeau de tes yeux, mais n'oublie pas, pas un seul mot... tu es ma salope et tu aime être ma salope, ont va parler de la suite, tu vas devenir mon esclave
."
Le bandeau retiré, mes yeux ne sont pas trop surpris par la lumière car je suis dans un salon avec une lumière tamisée. Je tourne la tête pour apercevoir celui qui m'a accompagné pendant toutes ces pénétrations, cest bien lhomme que jau au bar, mais lautre se tient dans un coin très sombre et je ne vois pas son visage.
Lhomme du bar reprend la discussion :
"Jai pris des photos et jai filmé, tu es une bonne salope obéissante et tu vas devenir ma salope soumise, ma pute mais surtout mon esclave, sexuellement je pourrais faire de toi tout ce que je veux sexuellement, tu ne dis rien, tu nen parle à personne, je sais que tu es marié, et je ne ferais rien qui puisse te faire rompre, mais je veux un soumission totale, je ferais un contrat que tu devra signé, et seulement après je te laisserais partir et tu attendra mes ordres
."
Cest alors que lhomme dans lombre avança, et à ma grande surprise, je reconnais mon ex-patron, lhumiliation ne peux m'empêcher de prononcer son prénom par surprise... Angelo
.
Dans mon prochain courrier je vous montrerais le contrat de soumission que jai du signé, et depuis
.. pour mon plus grand plaisir je suis devenu lesclave de lhomme du bar et de mon ex-patron Angelo, je me fait baiser une fois par semaine, plus les jours ou je reçois un ordre par téléphone, je dois prendre très souvent un jour de congé à mon travail pour ne pas éveillé de soupçon de ma femme, jaime vivre ces deux relations sexuel si différente dans la plus discrétion.
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