Antoine

Le jeune Antoine de Saint-Val, dix?huit ans, était dans la cuisine, assis sur le bord d’une chaise,le dos en arrière, les jambes écartées, le pantalon ouvert, offrant sa bite bien raide à ce minet de Julien qui la suçait avec ardeur. C’était la première fois qu’Antoine se faisait sucer. Julien était le nouveau livreur de l’épicerie. Il avait vingt ans, mais en paraissait à peine seize. Le frère d’Antoine avait raison : le beau Julien adorait tailler des pipes.

C’est pour le vérifier que, ce matin là, Antoine, deuxième fils de Hubert et Christiane de Saint-Val, était allé à la porte de service pour ouvrir à Julien. Pendant qu’il controlait la livraison que Julien étalait sur la table, Antoine se massait ostensiblement la bite à travers ses jeans. Visiblement Julien n’hésitait pas à mater la queue d’Antoine qu’il voyait gonfler sous le tissus. Quand la livraison fut vérifiée et reconnue complète, Antoine aperçut un regard de Julien qui en disait long. Désormais persuadé que son frère avait dit vrai, Antoine s’assit au bord d’une chaise, ouvrit son pantalon et commença à se branler sous les yeux du jeune livreur.
Le visage tendre et doux de Julien s’illumina. Avec un sourire d’ange, celui-ci s’approcha de la chaise d’Antoine, s’agenouilla et avança sa bouche vers le gland brillant et distendu de cette bite impudique. Antoine arrêta sa masturbation et tendit sa queue vers la jeune bouche toute proche. Julien engloutit toute la verge dans un flot de salive et se mit à la sucer de façon inouie. Antoine, transporté, sentait monter en lui un plaisir intense. Julien se leva alors et mis son cul à l’air en baissant son pantalon. Sa bite était complètement raide et ses fesses étaient petites et toutes rondes. Julien se pencha en avant sur la table et mis sa tête sur ses bras. Il écartait ses jambes largement et offrait son superbe petit cul à la vue d’Antoine. Antoine quitta sa chaise. Il n’y tenait plus. Il écarta les fesses de Julien avec ses mains.

Il contempla un moment l’anus de Julien, puis il y posa son gland encore plein de salive et appuya bien fort. Julien savait s’ouvrir et toute la queue d’Antoine s’enfonça lentement sous sa poussée régulière. Cela faisait moins d’un an qu’il baisait son amie Hélène, mais c’était la première fois qu’Antoine baisait un mec. Il avait la tête en feu et il voulait jouir vite et sans retenue. Il accéléra son mouvement et sentit le foutre lui monter du fond des couilles. Il éjacula puissament, sans ménager le joli cul qui s’offrait si simplement.

C’est exactement à ce moment qu’entra dans la cuisine Fernand, le valet de chambre qui d’habitude ouvrait aux livreurs. Antoine était aussi affolé que Fernand était heberlué !
- Oh ! Monsieur Antoine, qu’est-ce que vous faites ! Si madame votre mère l’apprenait !
- Et alors, Fernand, ça ne t’est jamais arrivé ? dit Antoine en en cherchant une contenance.
- Monsieur, ce n’est pas la question, répondit Fernand fasciné de voir Antoine nu, dans sa cuisine.
- Mais, toi, t’aimes me mater à poil, hein Fernand ? dit Antoine. Et ce n’est pas la première fois. Le mois dernier quand j’étais dans mon bain, je t’ai vu me regarder par la porte entrebaillée... J’ai fait celui qui ne le savait pas et, pour t’exciter, je me suis mis debout dans la baignoire pour me branler sans pudeur. C’est alors que tu as tapé à la porte et que tu es entré pour replacer du linge. En passant devant la baignoire où j’étais debout, nu, la queue raide, tu as dit : ”Monsieur est bel homme”.
- Parce que c’est vrai, murmura Fernand, en regardant Antoine toujours nu.
- Montre nous ta queue, Fernand, avant qu’on se rhabille, dit Antoine désireux de l’impliquer pour s’assurer de son silence.
C’était une aubaine que Fernand, 34 ans, attendait depuis longtemps. Il était bi et, malgré sa copine qu’il baisait régulièrement, ses fantasmes sur les deux garçons de Saint-Val lui assuraient aussi de belles érections. Sans rien dire, il ouvrit sa braguette et sortit sa verge déjà bien gonflée.
Antoine jubilait.
- Suce-le, Julien. Fait le bander dans ta bouche.
Julien s’exécuta avant que Fernand n’ait réalisé ce qui lui arrivait. Antoine se remettait à bander en les voyant. Il savait maintenant ce qu’il voulait : se faire enculer lui aussi pour voir la sensation que cela donne.
- Laisse le Julien. Fernand va m’enculer maintenant, dit Antoine en se mettant les bras et la tête sur la table, comme Julien juste avant.
- Je vais essayer de le faire doucement, monsieur Antoine, répondit Fernand qui prit dans le placard une bouteille d’huile pour en remplir une demi-tasse.
Avec ses doigts plongés dans l’huile, Fernand lubrifia la raie d’Antoine et fit plusieurs fois pénétrer un doigt dans l’anus afin de le huiler en profondeur. Fernand mit ensuite de l’huile plein sa bite et approcha son gland du petit anus d’Antoine. Il le pénétra millimètre par millimètre avec une infinie douceur. Antoine, qui se sentait écartelé et de plus en plus introduit, avait un sentiment de plénitude intense. Il ne ressentait pratiquement aucune douleur car, à chaque instant, son rectum prenait lentement la dilatation qu’on attendait de lui. L’abondance de l’huile empêchait toute brulure des muqueuses et des sphincters. Quand la queue de Fernand fut tout au fond, Antoine baignait de bonheur et ondulait des fesses en serrant son anus sur la bite de Fernand. Quand ce dernier se mit à le pistonner, de plus en plus fort et de plus en plus vite, Antoine se redressa un peu en cambrant les reins pour assurer une meilleure pénétration. Voyant Julien bander devant lui, il lui fit signe d’approcher et il se pencha sur sa queue pour la sucer. En peu de temps il sentit, dans son cul, les spasmes de Fernand qui éjucalait au fond de ses entrailles et, dans sa bouche, une inondation de foutre de Julien qui giclait abondamment.

Julien s’aperçu qu’il était très en retard. Il se rhabilla immédiatement et disparu en moins de vingt secondes. Antoine était sonné. Fernand s’était rincé la queue à l’évier et se réajustait en regardant Antoine.
Il reprit vite son attitude de valet.
- Monsieur Antoine, ne rester pas là-bas. Venez que je vous nettoie un peu afin que vous puissiez remettre vos habits, dit Fernand avec cérémonie.
Antoine s’approcha de l’évier près duquel se tenait Fernand. Celui-ci avait mouillé un linge qu’il passait maintenant dans la raie du jeune homme, lavant et essuyant l’huile et le foutre. Voyant la queue d’Antoine toujours raide, il décida de le soulager.
- Monsieur ne peut pas rester ainsi, dit-il.
D’autorité, il posa sa main gauche sur les fesses d’Antoine et sa main droite saisit sa pine pour la branler très vite, en même temps que, tout naturellement, sa bouche vint rencontrer celle de l’adolescent. Antoine sentit qu’un doigt de Fernand touchait son anus et que son baiser était de plus en plus profond. Mais surtout la frénésie et la vitesse avec laquelle on le branlait sans nuance eurent raison de lui. Il gémit violemment quand son foutre parti, droit devant lui, en longs jets sur le carrelage. Fernand tînt son baiser jusqu’au dernier jet, rinça la bite d’Antoine puis le carrelage. En lui tournant le dos, Antoine se rhabillait puis quittait la cuisine.
- Monsieur Antoine, dit Fernand au moment où il ouvrait la porte.
- Oui ?
- Monsieur Antoine, dit Fernand, il faudra trouver une place dans la cuisine pour cacher des préservatifs. Pensez que ce jeune Julien livre dans toutes les maisons de la ville.
- Alors apportes en ce soir, dit Antoine. Je t’attends dans ma chambre après vingt-deux heures. Mais cette fois-ci prépare ton cul.
- A vos odres, Monsieur, répliqua Fernand en souriant. Tant de garçons dans la place, le livreur, Antoine et peut-être son frère ainé, dont il pourrait disposer à loisir lui laissait entrevoir un avenir sexuel particulièrement excitant.

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