Soirée Militaire

J'étais assigner sur un cours de qualification militaire pour l'été quand cette aventure s'est passée. Les militaires sont réputés pour être des alcooliques de première et nous ne faisions pas exception à la règle. Cela ne faisait que deux semaines que nous étions arrivés dans ce trou perdu et nos journées étaient de plus en plus ardues. La chaleur était quasi insupportable et l'entraînement exigeait toujours plus de notre personne. Lorsque les weekends arrivaient, c'était la dépravation totale. Enfin, vendredi soir! Nous nous apprêtons à sortir. Nul besoin de vous dire qu'après une semaine tout de vert vêtu, une femme aime bien se retrouver dans ses propres vêtements, s'asperger de parfum et sentir la douceur du mascara couvrir ses cils d'un regard sexy... question de ne pas oublier la femme derrière le gars manqué qu'elle devient. Il y avait toujours une certaine fébrilité qui règnait les vendredis soirs, nous nous retrouvions dans la salle de bain entre filles à se transformer en de véritables femmes fatales. Ce soir là, je dois dire que c'étais la première fois depuis notre arrivée que les gars du groupe nous voyaient autrement qu'en habits moustachés. La soirée s'annonçait excitantes. Les gars nous voyaient débarquer les unes après les autres dans le salon de nos quartiers et je dois avouer que ce soir là, ma métamorphose était particulièrement réussie. Ma chevelure châtaine finement coiffée, mes yeux verts ressortaient comme jamais à travers mon maquillage et mes attraits se moulaient à travers le chandail noir moulant et transparent que je portait. Nous nous rendions donc dans un bar de la ville voisine prendre "quelques" consommations. À deux reprises cette soirée là, Allan, le gars le plus sexy de mon groupe, me complimenta sur mon apparence. Très timide de nature, je ne fis qu'un sourire en coin pour le remercier de son attention. Allan étais le genre de gras qu'on remarque au premier coup d'oeil, le genre coup de foudre.

Six pieds et trois, musclé, cheveux foncés et un sourire à faire craquer. Ce soir là, nous avons échangé quelques banalités comme nous en avions l'habitude, mais rien ne laissait croire la suite. La femme de principe que je suis ne se laissait guère prendre par les hommes mariés et d'autant plus par un collègue de travail. Cette nuit là, je rentrais donc dans un état avancé au camp en compagnie de quatre de mes collègues. Je partageais la banquette arrière du taxi qui nous ramenait avec Allan et Éric, un autre de mes collègues qui me faisait de l'oeil depuis mon arrivée. Déconnant sur notre manque de sexe grandissant, Allan et Éric en profita pour glisser leur mains entre mes cuisses. Sachant Éric beaucoup plus sérieux que Allan, je me laissa donc prendre au jeu. Ce dernier commença à frotter l'extrémité de son nez le long de mon coup et me siffla des mots à l'oreille que je ne pouvais saisir. Voyant le manège d'Éric et mon impotence face à lui, Allan cessa de me carresser la main et dit d'un ton frustré: " Et bien Éric, on voit ce que tu veux... pas de trouble, j'vous laisse!" Voyant le désarroi d'Allan je ne pouvais perdre le peu d'espoir que je venais de gagner je me mis à caresser la main d'Allan en le regardant droit dans les yeux, les miens rempli de plaisir. Voyant mon désir, je vis la satisfaction d'Allan s'écrire sur son visage et je savais maintenant plus que tout que je le tenais! Une quinzaine de minutes plus tard, nous arrivons au camp. À mon gardn désarroi, j'ai dû relâché la main d'Allan pou sortir du taxi et surtout, que personne ne constate notre excitation. Parce que je dois mentionner que la fraternisation n'est pas tolérérée entre collègues. Toutefois, je remarquais le regard ¸d'Allan qui ne se détachait pas de ma personne. Comme si de rien était, je pris place devant la télé du salon commun à feindre de m'intéresser au téléjournal pendant que les autres s'apprêtait à aller dormir. Allan vint vite me retrouver au salon. Un malaise de quelques minutes perdura lorsqu'il me demanda si j'étais intéressée à aller faire une balade avant d'aller me coucher.
Fantasmant sur ce qui allait arriver, j'acceptais donc l'invitation. Tout semblait sorti d'un roman savon, la balde au clai de lune au milieu d'une base militaire perdue, aux abords de petits boisés... la nuit était belle. Entre deux discussions insignifiantes, Allan se risqua glisser sa main dans la mienne observant ma réaction. Bien que ce simple contact me fit frémir, rien sur mon visage ne se laissa tranparaître. Après avoir marcher une bonne quinzaine de minutes, nous nous retrouvions assis sur une caisse de métal, probablement pour l'alimentation en électricité, l'un contre l'autre. Rien dans les alentours, qu'un boisé clairsemé! Allan avait les mains de plus en plus baladeuses et attendait une réaction de ma part, mais les réglements étant clairs sur la conduite à adopter, je ne m'avançais à rien. À un tel point que Allan me dit: "Je crois que c'est à ton tour de me répondre Jane!" "Que veux-tu que je dise Allan, tu attends quoi de moi?" " Pour ma part, j'ai passé une excellente soirée", me répondit-il... Humm, qu'est-ce que j'avais envie de lui me disais-je en mon fort intérieur, et puis de la merde ce qui se passera... je me précipita sur ses lèvres que je dévorrais littéralement. Sa langue vint rapidement retrouver la mienne et puis je senti sa main qui se glissait dans mon chandail. " Je te veux ici et maintenant", me répondit-il... Quelle invitation! Sur ce ton ferme et militaire, il m'excita davantage. Je me glissa donc de tout mon corps sur ce caisse de métal où il s'allongea par dessus moi. Rapidement, je me retrouva en soutien-gorge. Le froid du métal contrastait avec la chaleur ambiante de l'été. J'avais des frissons que me parcourait le corps. Sa langue parcourait ce qui ressortait du peu de tissus qui recouvrait mes seins. Rapidement, ce tissu noir disparut et le bout de mes mamelons pointaient comme deux obus. Je sentais le bout de sa langue qui s'excitait à parcourir l'itinéraire entre les deux bouts roses. Ma main tant qu'à elle, explorait le bas de son dos et s'aventurait au niveau de ses jeans.
Bientôt, c'est Allan qui se retrouva dans l'herbe à côté, moi par dessus. Il dévorait le bout de mes seins pendant un moment, et tranquillement, je fis glisser ma langue de sa bouche jusqu'à la couture de ses pantalons. Tout en continuant mes caresses sensuelles, je détacha ses jeans et fis glisser au passage ses boxers jusqu'à ses chevilles. Hummm... la surprise, Je me retrouva nez à nez avec un magnifique engin... déjà dressé. C'est dans cet état qu'ils semblent le plus attrayants. Ma langue se glissa donc le long de cet énorme pieux. Déjà j'entendais Allan soupirer sous mes caresses, nous oublions quasiement les gens qui circulaient dans les rues une centaine de mètres plus loin. J'aspirait entièrement et avec difficulté sa longue queue du gland jusqu'au couille. Ma langue allait parfois même se déposer discrètement à l'entrée de son anus. Après un moment, je remontais aller retrouver ses lèvres. Il me regarda dans les yeix et me dit d'un ton soupirant: " Humm.. tu m'excites tellement!" Dans mon fort intérieur je savais que la partie ne faisait que commencer. Me débarrassant de mon string, je me mis à me frotter la chatte le long de son pieux. On aurait dit une allumette se frottant à une mèche, j'avais littéralement le feu aux fesses. Craignant pour notre manque de protection, Allan prit le temps de me demander si j'e prenais la pillule, un peu inquiète de sa réaction, je m'empalla sur sa grosse queue question de lui faire oublier. Du même coup, j'oublia moi aussi mon manque de discernement. Quel plaisir... je le sentais m'emplir totalement. Rien ni personne ne m'avait autant excité. Mon bassin prit aussitôt son air d'aller se balançant de l'arrière vers l'avant. C'est alors que Allan me partagea son désir de me manger. Aussitôt dit, je me plaça en 69. C'était un délice. Sa langue me pénétrait et me mangeait avec tellement de passion, il m'aspirait littéralement. Je sentais un flot de cyprine qui coulait le lond de ma chatte et lui se délectait de mon nectar.
.. Je sentais son efficacité s'accroître au degré de ma succion. Plus rien ni personne n'existait. Et puis, il vint par dessus moi.. Sa queue piolonnant ma chatte trempée, il ne pouvait faire autremement que de s'y glisser. Sous ses assauts, j'eu un orgasme incontrôlable et nous voilà trempés! Je frissonnais, je me donnais corps et âme, oubliant cette semaine de fou, me concentrant sur ce militaire à grosse bite devenu ma marionnette. Il était sous mon emprise à moi, sous mes ordres. J'avais envi de lui donner ce qu'il méritait, sa médaille de bravoure.. Je le renversai aussitôt et me mit à le sucer comme une vulgaire pute, comme une chienne en manque de sperme... Je sentais ses muscles se contracter et une première gicle de purée me coula dans la gorge, et puis une deuxième... je glissa mon doigt à l'extrémité de son anus et à l'aide de se dèche, j'y glissa mon doigt comme dans du beurre pour le vider complètement de ce qu'il lui restait.

Cette nuit là, nous retions à nos quartiers respectifs, et à travers un baiser intense.. tout me laisser présager la suite!

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