La Suite...Ma Maîtresse

Comme d'habitude...voilà celle qui est depuis ce 2eme rendez-vous du mardi après-midi ma maîtresse depuis plus de trois ans . Elle frappe à la porte d'entrée de mon bureau, puis après que je lui ai répondu d'entrer, elle ouvre la porte en me souriant puis ferme à clefs mon bureau. Elle retire son manteau qu'elle dépose sur une table de réunion et vient vers moi qui suis assis derrière mon bureau de travail..Je me lève, alors qu'elle s'apprête à me faire une bise, je l'enserre avec mes bras et dépose sur ses lèvres les miennes puis avec ma langue, je force l'entrée de sa bouche et je butine sa langue la plaquant contre moi, nos deux bas ventres collés sur lesquels j'exerce quelques mouvements afin qu'elle sente mon érection puis je descends mes mains sur ses fesses qui sont bien rebondies et fermes et j'excerce une plus grande préssion...mon sexe est tendu au maximum dans mon boxer; Elle n'essaye pas de se dégager, au contraire, elle fait des rotations avec son bas ventre sur ma tige, alors voyant qu'elle est venue chercher pour la deuxième fois du plaisir, je glisse ma main gauche sous sa jupe et je la passe entre ses jambes qu'elles écartent ; je sents sa petite culotte mouillée. Je fais des va et vients sur le tissu qui me sépare de son sexe, elle pousse des petits soupirs. je constate que les grandes lèvres de son sexe aspirent sous mes caresses de plus en plus pressantes et appuyées le tissu de sa culotte; Entre deux soupirs, elle me dit qu'elle adore, ensuite je passe deux doigts de ma main sous le tissu qui m'empêche d'accèder à son trésor et ces derniers s'engouffrent dans sa grotte humide de cyprine et je la masturbe en continuant d'appuyer sur son derrière avec ma main restée sur ses fesses de chienne en chaleur..elle crie "oui" et elle respire en haletant..je fais des va et vients de plus en plus vite dans sa chatte et de plus en plus loin jusqu'au moment où les muscles de son corps ne la tiennent plus, sa tête qui tombe sur mon épaule.

elle vient de jouir. Au bout de quelques secondes, elle me regarde et me dit que c'était trop bon, je lui donne à lécher mes doigts mouillés par son jus. C'est la première fois que je vois une femme qui mouille autant. Puis après le nettoyage de mes doigts, j'exerce une préssion sur ses épaules pour qu'elle s'accroupisse et je libére mon sexe de sa prison. Il est tendu fierement et je lui dis je vais t'apprendre à sucer car rappelez-vous lors de notre première rencontre et ce malgrès qu'elle soit mariée depuis plus de 22 ans, elle n'avait avoué n'avoir jamais pratiqué une fellation digne de ce nom. Avant que je lui donne son premier cours, je lui demande d'enlever son chemisier et son soutien gorge qu'elle remplit avec une poitrine de 95 d, ses seins sont fermes auréolés par de gros tetons qui sont tendus. J'adore voir les seins de celle qui me suce, il en est de même pour ma femme qui quant à elle n'a pas été aussi gâtée par la nature côté seins. Je lui explique que sucer une bite c'est comme manger une glace, qu'il faut considerer le gland comme la boule de glace sur le cornet et la tige de mon sexe comme le cornet..la coquine doit adorer les glaces car elle ne lâchait plus mon sexe essayant de s'appliquer au maximum à chaque fois que je lui donnais le mode d'emploi pour envoyer un homme au 7eme ciel avec sa bouche et sa langue qu'elle faisait courir à ma demande sur mon pieu ou entre mes jambes du petit trou aux bourses. J'exigeais qu'elle se caresse tout en me suçant en lui disant qu'elle devait m'obeir maintenant si elle voulait une suite à ces deux rencontres; Elle m'a simplement répondu oui entre deux mouvements de ses lévres sur mon sexe. Puis, je lui ai dit d'arrêter après un bon quart d'heure de cours de fellation. Elle s'est levée et je lui ai dit de partir car je lui avais donné l'ordre de se caresser et qu'elle ne l'avait pas fait comme je voulais s'étant arrêtée entre temps, mais qu'avant de partir, elle devait me donner sa culotte et rentrer par consèquent nue si elle voulait une suite à cette rencontre. Elle s'est immédiatement exécutée. j'ai passé une main entre ses cuisses, l'intérieur de ses cuisses étaient mouillées et les grandes lèvres de son sexe encore ouvertes et trempées. Je lui ai juste donné l'ordre avant qu'elle ne remette son manteau de rentrer dans mon bureau mardi prochain sans aucun sous-vêtements et qu'aux moindre écarts de sa part sur les ordres que je lui donnerai qu'elle mette une croix sur notre relation. Elle me dit avant de remettre son manteau et de partir qu'elle tenait à me revoir. Je ne vous explique pas que j'avais la bîte qui me faisait mal tellement ayant actionné dessus parfois d'une manière maladroite malgrès mes explications. J'attends avec impatience le mardi suivant, peut-être vous aussi car je me suis promis t'en faire ma chose et que son petit trou j'allais le déflorer.